La Mère D'Aline
LA MÈRE DALINE (5)
Lhistoire que vous allez lire est rigoureusement vraie. Seuls les noms et prénoms des personnes et des lieux ont été changés. Elle se passe au début des années 60.
Depuis quelques mois javais des relations intimes avec Michèle notre voisine. Aline, la fille de la pharmacienne du village, nous procurait des préservatifs et participait à nos ébats (lire : Aline)
Un dimanche, Michèle ayant eu un empêchement je me suis retrouvé seul avec Aline dans notre « coin damour » pour un après-midi de plaisirs.
Comme moyens contraceptifs, nous utilisions des préservatifs. Mais ce jour là Aline voulait connaître la différence sans cette protection. Pour éviter dêtre enceinte, elle avait pris un flacon de gel spermicide dans lofficine maternelle. Quelques jours après, je croisais Aline en compagnie de sa mère. Elle cherchait à méviter. Je commençais à me poser des questions quand elle réussit à me confier : « Ma mère a découvert « le vol » du flacon et sest aperçue que jai trouvé la cachette de ses revues médicales et érotiques
Si je navoue pas avec qui je les utilise, je resterais en pension jusquaux grandes vacances et serai privée de sorties pendant celles-ci ».
Une telle punition était très sévère mais lâge de la majorité étant 21 ans et par respect pour ses parents, Aline ne pouvait se « rebeller ».
Je la rassurais, lui « remontait le moral », disant que de toute façon sa mère nallait pas faire publier que sa fille avait des relations sexuelles cachées
. Je lui dis que jassumerai le risque dêtre « dénoncé » comme le garçon « coupable » mais que nous ne devions pas parler de la participation de Michèle.
Cest ainsi quun dimanche après-midi je me retrouvais en tête-à-tête avec Madame la pharmacienne. 45 ans environ, grande, brune, le regard perçant, elle mintimide. Vêtue dune robe longue (à mi-mollets), boutonnée sur le devant, au décolleté échancré
Aline est absente.
Assis chacun dans un fauteuil, linterrogatoire commence :
« Alors cest toi qui fait lamour avec ma fille ?
- (hochement de la tête pour répondre)
- Tu laimes au moins ?
- Oui, un peu
- Comment ça un peu ! ! !
- On commence à se connaître
- Mais vous ne perdez pas de temps
Vous vous connaissez à peine que déjà vous couchez ensemble
Et si vous faites un bébé, qui sera responsable ?
Tes parents ? , Nous ?
Vous avez pensé aux conséquences ? ? ?
-
. »
« Lengueulade » dura quelques minutes ou la morale, la religion, les rumeurs, la différence dâge, et bien dautres choses sont invoquées. Tout en parlant, je vois que Madame croise et décroise ses jambes. Elle se lève, fait quelques pas puis revient sasseoir en laissant sa robe découvrir un peu plus ses genoux. Le bas de sa robe souvre de plus en plus dévoilant des cuisses fermes et bien bronzées. Elle se penche de temps en temps pour ramasser au sol une miette imaginaire. Ainsi ses seins tendent le tissu et veulent « prendre lair ». Je vois bien quelle sénerve, que son visage devient rouge, ses mains tremblent un peu.
Je pense que ce changement dattitude est du à une colère difficilement maîtrisée. Soudain elle me demande :
« Comment vous faites lamour ?
Je voudrais bien savoir ?
_Mais, Madame,
cooo
comme tout le monde
bégayais-je
_ Comment ça comme tout le monde ?
Couchés, elle dessous ou le contraire ? Debout contre un mur ? Assis sur un fauteuil ou sur une table ? Tu pourrais me dire ? »
Sous ce déluge de questions, je devais être rouge de honte et dintimidation de la tête aux pieds. Je restais muet. Mais il y avait un moment que, par son attitude et ce quelle découvrait de son corps, ma verge ne restait pas insensible à ses charmes. Jai du mal à cacher mon érection. Elle a vu la bosse de mon pantalon et la tâche dhumidité qui apparaissait.
« - Pourquoi tu ne réponds pas ? Tu as vu ton pantalon comme il est gonflé ? Tu dois avoir une belle queue bien raide. Allons, laisse-moi toucher
»
Joignant le geste à la parole elle met sa main sur ma braguette. Comme je suis encore assis, elle est obligée de se pencher. Jai son décolleté face à mes yeux. Je remarque quelle na pas de soutien gorge.
Elle me fait lever tout en malaxant mon sexe à travers le pantalon. De lautre main elle soccupe à défaire la ceinture et les boutons. Je nose pas bouger
Je me retrouve avec un pantalon et un slip autour des chevilles. Mon tee-shirt passe par-dessus ma tête comme par enchantement. Je suis nu
« Tu attends quoi pour me déshabiller ? Tu connais le proverbe qui dit : « si tu veux avoir la fille il te faut dabord prendre la mère ? »
Je ne peux pas répondre car sa bouche vient de se plaquer contre la mienne. Sa langue senroule autour de la mienne. Je défais les boutons de sa robe, fais glisser le tissu et le vêtement se retrouve à terre. Je reste littéralement pétrifié : Elle est nue, pas de soutien gorge, pas de slip ou de culotte. Elle me prend une main pour la poser sur son sexe bien velu dégoulinant de mouille. Elle me guide dans des mouvements circulaires, montants et descendants. Un, puis deux de mes doigts se sont introduits entre ses lèvres intimes. Je sens son clitoris gonflé et tendu, aussi dur quun morceau de bois. Sa respiration saccélère, elle gémit et râle de plaisir. De son sexe coule un petit torrent de cyprine le long de ses cuisses. Nous nous sommes couverts mutuellement de petits baisers. En descendant, je me suis attardé un moment sur ses seins, elle sur mes tétons. Dans un même mouvement nous nous sommes accroupis sans que nos mains cessent leur travail. Lune des siennes va et vient sur ma verge, lautre soccupe de mes testicules. Lune des miennes est dans sa « grotte damour », lautre malaxe ses seins et titille ses mamelons. Nous nous sommes retrouvés allongés sur la moquette et dans la bonne position pour un 69 particulièrement excitant.
Mon sang ne fit quun tour car javais un peu oublié que jétais venu pour me faire reprocher davoir fait lamour avec sa fille, et je réalise tout à coup que la sentence navait pas été prononcée pour ce délit.
« Tu comprends bien que jai loccasion de menvoyer en lair avec un petit jeune, alors je vais en profiter
»
Cela dit, elle reprend en main mon sexe qui nattendait que ça, elle guide une de mes mains sur le sien, lautre sur sa poitrine et me dit : « Maintenant fais-moi voir ce que tu sais faire ».
Nous nous sommes allongés, nous nous sommes masturbés mutuellement, nos bouches mordillant tout ce quelles pouvaient. Au comble de lexcitation, elle me demande de la pénétrer ce que je fais sans tarder. Elle me dit que je pouvais « décharger dedans car elle ne risquait pas avoir de bébé ». Très vite nous avons jouis ensemble dun orgasme merveilleux. Quelques caresses plus tard, avant de se quitter, elle mavoue quil y avait longtemps quelle navait eu autant de plaisir. Elle veut bien que jen donne aussi à sa fille à condition de prendre toutes les précautions nécessaires pour éviter une grossesse.
(A suivre
)
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