Le Calendrier

Ca y est, l'heure de la débauche est arrivée. Je prends mes affaires, salue mes nouveaux collègues et quitte le bâtiment des archives. J'ai trouvé cet emploi de documentaliste au sein des archives du département il y a 3 mois et j'ai déjà hâte de retrouver mon nouvel appartement. J'y ai emménagé 3 jours auparavant et il me reste un tas de cartons à vider.



Je m'engouffre dans la rue rapidement, remonte le col de ma veste car le froid du mois de novembre me glace le cou. Après 5 minutes de marche, j'arrive à mon logement où la chaleur m'envahit dès l'ouverture de la porte.



Plus tard dans la soirée, alors que je déballe les cartons, la sonnerie de la porte retentit. Je me dirige, pieds nus, vers l'entrée. L'œilleton me laisse entrcevoir un homme en uniforme, un pompier je crois. Je décide d'ouvrir. Il vient pour vendre le traditionnel calendrier.



Je le fais entrer dans le logement et à la vue des cartons, il engage la conversation en me demandant si j'emménage ou je déménage. A ce moment là, je me rends compte que mon interlocuteur est plutôt charmant. Un large sourire vient illuminer son regard plutôt sombre à l'origine. Je réponds poliment que je viens d'arriver en ville.

Je n'arrive pas à me détacher de son regard charmeur.



Installés dans le salon, il sort de son sac l'objet de sa visite. Il est à présent proche de moi. Au contact de sa main, mes yeux s'accrochent à son regard, je me mordille inconsciemment la lèvre inférieure. Je sens une légère chaleur m'envahir, mon esprit se met à divaguer mais la réalité me rappelle.



Sa main ne lâche pas la mienne, elle glisse sur ma hanche puis rapidement sur mes fesses. Mon corps est à présent collé à son torse. Mes mains caressent son dos musclé, il continue de sourire, ses lèvres viennent se poser dans mon cou puis sur ma bouche. Nous échangeâmes un baiser passionné.

Pendant ce temps, je sentais de l'humidité dans ma chatte alors que son membre se dressait fièrement dans son pantalon. Il lâcha mes lèvres et retira mon petit top qui serrait mes gros seins. Rapidement, il continua de me dévêtir et m'allongea sur le canapé. J'étais prête à m'offrir totalement lorsqu'il vint me rejoindre après avoir soigneusement retiré chaussures et chaussettes. Je l'aidai pour le reste. Son corps était parfait, son membre l'était tout aussi. Nous nous caressâmes, embrassâmes jusqu'à ce qu'il entreprenne de me doigter. Il enfourna un doigt, puis deux, les retira et s'allongea sur ma peau déjà en sueur. Son pénis vint s'introduire dans ma chatte ruisselante et son bassin amorça un doux va-et-vient. Des petits cris s'échappaient de ma bouche, mes mains s'accrochèrent à ses fesses et mon bassin accorda nos mouvements. Il accéléra, ralentit et éjacula en moi.

C'était bon, chaud et tendre. Ma foufoune était encore en feu lorsqu'il retomba sur mes seins encore durs. Un long moment de tendresse suivi, mon doigt parcourait sa colonne vertébrale pendant que nous redescendions. J'adore faire ça.

Il se leva, s'habilla et partit.


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