Mariées Et Abandonnées
MARIÉES ET ABANDONNÉES (6)
Lhistoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires
Après mes études primaires, mes trois ans de pensionnat pour apprentissage, après quelques années de travail, après 18 mois de service militaire obligatoire, je rengageais pour quelques années et me retrouvais en caserne entre Méditerranée et étang de Berre. Nous sommes en 1965, jai 22 ans, célibataire, pas de copine « attitrée ». Quand la « tension » est trop forte jai deux solutions : « la veuve poignet (masturbation) ou la drague.
Le samedi après-midi quand le service et les corvées sont finis, cest le départ en « quartier libre » : chacun vaque à ses occupations. Depuis quelques temps jai remarqué que des voitures particulières se garent sur le parking devant la caserne. Ces véhicules sont bien souvent conduits par des dames dun certain âge pour ne pas dire dun âge certain. Une rumeur prétend que ce sont des membres de la famille des jeunes appelés, soit leurs mamans, soit leurs tantes
Une fin de semaine de septembre, Hervé, un jeune appelé vient me trouver et me dit : « Chef, je suis très embêté, samedi après-midi je devrai aller en quartier libre et jai un empêchement
- Oui, en quoi cela me concerne ?
- Jai ma tante qui doit venir me chercher pour faire un petit travail chez elle, comme je ne peux pas la prévenir, pourriez-vous y aller à ma place. Vous verrez, elle est très gentille, vous ne serrez pas déçu
- Je nai rien de prévu et si je peu te rendre service, ce sera avec plaisir.
- Merci chef, elle a une voiture de telle marque, telle couleur, immatriculée tant, elle arrivera vers 13h30. Vous ne pourrez pas vous tromper
»
Le samedi en question, je mapproche du véhicule et me présente à la conductrice : « Bonjour Madame, je suis le chef dHervé votre neveu, il a eu un empêchement, il ne peut pas venir, il ma demandé de venir faire le petit travail à sa place si vous voulez bien
- Mais Monsieur, je ne vous connais pas
Hervé nest pas mon neveu
Cest mon filleul
Il vous a dit quel genre de travail il fait chez moi ?
- Neveu ou filleul, peut importe, jai accepté pour lui rendre service et à vous aussi si je peux
- Vous mavez lair sérieux.
Je monte donc à coté de la conductrice, une dame denviron quarante cinq ans, brune, yeux marron presque noirs, mince, bien de sa personne, bronzée à souhait, maquillage et parfum légers. Elle a laccent caractéristique des rapatriés dAfrique du nord. Étant assise au volant je ne peux apprécier sa taille mais je pense quelle doit être grande. Habillée dune robe longue, boutonnée sur le devant jusquà mi-cuisses, au décolleté bien échancré où lon peut voir lamorce de deux seins bien potelés et apparemment bien fermes. Tout en roulant, nous parlons de banalités sur larmée, le temps, le paysage, etc. Quand elle actionne les pédales de la voiture, sa robe remonte un peu plus découvrant des cuisses bien rondes et bronzées quelle tient écartées. Le trajet est assez court et nous sommes arrivés avant que je puisse voir sa culotte. Elle habite une petite maison dans un lotissement à quelques centaines de mètres de la mer. Garage et cuisine dété au niveau du sol, habitation au-dessus. Un jardin dagrément bien entretenu et fleuri en fait le tour. Lintérieur est sobrement meublé, sans style particulier, une impression de confort douillet sen dégage.
« Mettez-vous à laise, me dit-elle, vous voulez boire quelque chose ?
- Je vous remercie mais je nai pas soif
- Un petit café avec un cognac ou un armagnac
- Si vous insistez, je veux bien
- Au fait on ne s'est pas réellement présentés, je mappelle Agathe, je suis originaire dAlgérie. Jhabite à Paris et vous ?
- Très sérieusement, je mappelle Eros Petikokin. Je suis originaire de Laville-aux-bois dans les Landes maritimes, sous-officier, rengagé pour 4 ans
- Joli nom, est-il bien porté au moins ?
- Je ne sais pas, il faudrait le demander aux filles qui me connaissent
- Jespère que nous allons faire plus connaissance et que je me rendrais compte par moi-même
Asseyez-vous là
»
Elle me désigne le canapé.
« Ho !
Excusez-moi
» Dit-elle en tendant une main récupératrice. Elle appuie plus quil ne faut pour ramasser un morceau de sucre, elle sattarde sur la place plus que de raison. Pour aller à la pêche au sucre, elle sétait penchée, frôlant mon torse de son épaule. En se relevant, la pression était plus forte. Pendant cette manuvre, Agathe avait le regard rivé au mien, un petit sourire narquois aux lèvres.
« Vous savez ce quil devait faire Hervé chez moi ?
- Non, il ne me la pas dit
- Voilà, après un mois de vacances, mon mari a été obligé de reprendre son travail à Paris. Comme le temps est beau et que je ne travaille pas, je reste toute seule ici. En semaine, je vais au bord de la mer, je nage, je me fais bronzer. Le soir je vais au cinéma, quelques fois au casino ou bien je regarde la télévision. Comme nous navons quune chaîne (nous sommes en 1965), si le programme ne me plaît pas, je vais au lit avec un livre. Je mennuie une bonne partie de la semaine. Alors le week-end je vais chercher un jeune militaire pour me tenir compagnie. Cest comme ça que jai connu Hervé. Il est venu trois ou quatre fois. Il a fait connaissance dune fille et sort avec elle. Il ma prévenu et ma dit quil me trouverait un remplaçant digne de confiance, donc se sera vous si vous le voulez
»
La surprise ! ! ! Je nen crois pas mes oreilles
Je crois rêver
Sacré Hervé, quel cadeau ma-t-il fait ? Mon sexe qui commençait à se raidir fait un bon en avant.
«Eros Petikokin, tu portes bien ton nom, tu mas bien fait jouir comme il y a longtemps que ça ne métait pas arrivé, pour un premier essai cest réussi. Je crois que nous allons passer un week-end merveilleux.
- Vous mexcuserez mais je narrive pas à vous tutoyer. Pourquoi vous êtes venu chercher des militaires pour faire des galipettes ?
- Tu peux me dire vous, ça ne me gène pas
Les militaires sont jeunes, ils peuvent tenir deux jours au moins. Je suis affamée de sexe, jaime ça. Avec des militaires, on n'a pas dhistoires, ils ne sont pas mariés, ils ne sont pas de la région. On peut en changer assez souvent, à chaque fois cest nouveau. Chacun a sa façon de donner et de recevoir du plaisir. Et puis à mon âge, jai de lexpérience ça me permet de parfaire léducation des jeunes
. Ici cest une résidence secondaire, comme la plus part des maisons dà coté. Nous ne sommes pas là toute lannée. Hors les vacances, mon mari vient une semaine tous les deux mois quand son travail le lui permet et de toute façon il nest plus très vaillant au lit. Je vais à Paris quà la mauvaise saison»
Tout en continuant de parler sexe, plaisir, positions, etc. nous nous caressons et dégustons notre cognac.
Mon pénis reprend de la vigueur entre ses mains expertes. Il commence à prendre la position du « garde à vous ! ». Je nai pas quitté sa grotte enchantée doù séchappe un petit torrent de cyprine parfumée. Je titille son clitoris et le tire un peu. Il est si long et raide quil dépasse à lextérieur. Il ressemble à un petit sexe de caniche en érection. Lenvie de le sucer est trop forte. Je me laisse glisser en bas du canapé, me retrouve entre les deux cuisses écartées, le sexe offert à bonne hauteur. Telle une ventouse, ma bouche se colle sur ses lèvres divines, gonflées à souhait, ma langue aspire sa « mini bitte » et lallonge encore un peu plus, puis elle va au plus profond du gouffre chercher de quoi désaltérer ma soif de suc intime. Agathe pose ses mains sur ma tête et tout en appuyant elle suit la cadence des allers et retours de ma langue. A son tour elle se laisse glisser sur la moquette et nous nous retrouvons dans la position dun soixante neuf que bien de lyonnais nous envieraient. Elle mouille de plus en plus. Elle ne peut pas parler la bouche pleine mais elle laisse échapper des gémissements qui me donnent une idée précise de la montée de sa jouissance. Je ne suis pas en reste. Dun commun accord nous changeons de position. Je mallonge sur le dos, le sexe, tel une matraque, plaqué sur le ventre. Agathe, à genoux, vient me chevaucher, dune main saisit mon phallus et le fait disparaître dans son épaisse toison. Je le sens bien au chaud dans ce nid douillet. Elle sempale et commence une danse effrénée à deux mouvements. A chaque montée, je sens son vagin serrer mon membre, à chaque descente, il se décontracte. Avec deux doigts je masturbe son clitoris et de lautre main je moccupe de ses mamelons. Très vite nous jouissons ensemble. On se retrouve allongés. Sans sortir de sa chatte dégoulinante je me mets en berne. Nous échangeons un baiser puis nos impressions : « Tu es bien monté, je sentais que tu touchais le fond, cétait sublime.
- Je croyais que vous seriez plus large, je me suis trompé, jai senti que jétais serré comme il faut
- Cest un long entraînement mais jarrive à commander mon vagin. Je serre et desserre à volonté. Tu as apprécié ?
- Ho ! Oui ! Merci
- Il se fait tard, nous allons prendre une douche et manger. Jai prévu un petit repas en tête-à-tête. Après, au lit. Mais on n'est pas obligé de dormir. »
Dans la salle de bain chacun savonne lautre en insistant sur les zones sensibles. Lexcitation ne nous quitte pas quand, seulement habillés dune serviette nouée autour des reins, nous passons à table. Le repas est simple, une salade de crudités, une pizza, un plateau de fromage, une pâtisserie. Le tout arrosé dun bon rosé de la région. Un café et un Armagnac pour aider à digérer et à redonner du tonus, puis direction la chambre. Le lit me paraît grand et confortable. Deux draps et un dessus composent une literie douillette. Je mallonge. Agathe Passe par-dessus le pied de lit. Elle me donne des petits baisers en remontant le long de mes jambes, de mes cuisses, sattarde pour prendre ma queue dans sa bouche et ma la sucer quelques instant. Une main triture mes testicules. Je repars en érection. Elle abandonne mon membre et tout en baizouillant se retrouve la bouche tétant mes petits tétons. Jai une jambe entre ses cuisses, je la plie un peu et mon gros orteil se retrouve entre ses lèvres intimes et rentre dans son vagin. Je commence un mouvement de va et viens du clitoris au périnée. Agathe fait entendre un cri de surprise et me dit que jamais elle sétait faite masturber ainsi. Encouragé par ses propos, jaccélère la cadence. Je sens mon pied qui prend lhumidité. Des gémissements sortent de la bouche de ma partenaire dont une main sest emparée de mon chibre raide et gonflé. Elle jouit dans un râle profond venu du fond de la gorge. Je lui demande darrêter pour garder des réserves. Cest en la tenant serrée dans mes bras que nous trouvons un sommeil réparateur jusquau lendemain.
Levés à neuf heures nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis passage en salle de bain en duo. Chacun fait la toilette de lautre. Chacun caresse lautre devrais-je dire. Vêtus seulement dun peignoir, Agathe étend une serviette de bain sur la grille du balcon, je me ressers une tasse de café. Nous sommes assis sur le divan, à nous raconter nos aventures érotiques, quand jentends du bruit au-dessous. La porte du garage vient de se refermer. Jen fais part à Agathe qui me dit que cest la voisine qui vient
Effectivement, arrive une dame bien de sa personne, aussi blonde quAgathe est brune, à peine quarante cinq ans, de taille et corpulence moyenne, les yeux bleus, des lèvres bien dessinées. Vêtue dune robe légère multicolore au décolleté laissant apparaître la naissance de deux seins généreux et, semblent-ils, assez fermes pour occuper les deux mains dun homme normalement constitué.
« Bonjour Monsieur, bonjour Agathe. Vous allez bien
Vous avez passé une bonne nuit ?
- Bonjour Juliette
Je te présente Eros Petikokin, il est militaire, cest le chef dHervé
Eros, je te présente Juliette ma voisine. Elle aime quon lappelle Juju
Sa maman est hollandaise, son papa allemand. Elle est comme moi, abandonnée par un mari chercheur de pétrole en Afrique.
- Bonjour Madame Juju, je suis enchanté de faire votre connaissance
- Jai demandé à Juju de venir passer la matinée avec nous. Elle sennuie seule chez elle. »
Devant mon air étonné, elle me précise : « Nous avons un moyen de communiquer qui est simple : Si je mets une serviette verte au balcon, elle peut venir de suite. Si la serviette est orange, je suis seule et jai envie de jouir. Nous sommes un peu bisexuelle, Juju et moi. Si la serviette est rouge, elle doit rester chez elle. Maintenant que les présentations sont faites, je vous laisse faire plus connaissance tous les deux pendant que je vais préparer à manger pour midi.
Je me retrouve donc à partager le canapé avec Juju. Elle me demande depuis quand je suis à la caserne.
« Un peu moins dun an
- Tu nas pas de copine ? Cest la première fois que tu passes un dimanche chez une marraine ? »
Surpris par le tutoiement et les questions directes, je ne réponds pas de suite. Juju pose une main sur ma cuisse pour se pencher et me regarder droit dans les yeux. « Il ne faut pas tétonner, nous sommes quelques copines abandonnées par nos hommes depuis des mois ou des années pour certaines. Nous aimons le plaisir sexuel. Se masturber ou jouir entre femmes, cela va un moment. Rien ne vaut une bonne belle et grosse queue dun homme surtout quand il est jeune. Avec vous, les militaires, on na pas dhistoires et vous navez pas toujours loccasion de faire lamour avec des femmes chaudes et expérimentées comme nous. Il faut prendre la vie du bon coté et profiter tant quon peu des joies quelle peut nous offrir. Laisse toi aller
»
Tout en prononçant ces paroles, Juju avait passé une main dans le peignoir, mon seul vètement, me caresse le thorax et le ventre en descendant de plus en plus bas. Bientôt elle touche mon sexe raide et tendu comme un ressort.
« Mon dieu ! Quelle queue je sens là » me souffle-t-elle à loreille. Elle écarte les pans du peignoir et je me retrouve nu, exposé à son regard gourmand. Je déboutonne sa robe qui va se atterrir, après un vol plané, sur le dossier dune chaise. Cétait le seul vêtement de Juju. Je me rends compte que cest une vraie blonde à la toison bien fournie. Ma main se pose sur sa vulve, deux doigts à lintérieur déjà chaud et humide. Ma bouche fait des suçons sur ses seins qui gonflent à mesure. Mon autre main caresse des fesses rebondies et saventure vers sa rosette cachée. Je sens mon chibre pris en main et vigoureusement massé par des va et viens énergiques. Juju coule telle une fontaine. Jen ai plein les doigts, ça déborde sur ses cuisses. Elle me prend la main pour la nettoyer avec sa langue puis la repose à la bonne place. Jexcite son clitoris. Il est déjà raide et bien décalotté. Il est moins long que celui dAgathe mais plus gros. La réaction ne se fait pas attendre. Elle commence à gémir, à pousser des « ouiiii
cest bon ! ! ! » langoureux, sa jouissance monte, lorgasme nest pas loin. Il arrive comme une décharge électrique. Juju se trémousse en tous sens. Elle se raidit, se cambre sur le divan, accélère ses mouvements sur mon sexe qui se met à cracher ma semence. Un râle augmentant crescendo se termine par un cri long et grave. Alertée, Agathe vient voir ce qui se passe. Elle comprend que Juju vient de jouir et lui demande de ne pas r de moi car elle na rien eu depuis hier soir
Elle nous reproche les taches de sperme sur la moquette et nous demande de nettoyer. Lheure du repas approche. Nous prenons un petit apéritif. Agathe sassoie près de moi et commence à me masturber. Voyant cela, Juju se penche et me prend le gland entre ses lèvres et me le chatouille avec sa langue. Je reste immobile, savourant la montée du plaisir. Un tel traitement donne un résultat rapide. Je me contracte un peu pour retarder léjaculation. Juju se retire et Agathe finie de me masturber et me fait gicler dans un verre vide quelle avait prévu pour ça. « Nous allons goûter un nouvel apéritif » dit-elle. Dans le verre elle verse une rasade de scotch sur le sperme, ajoute un glaçon, remue et goûte. « Cest le meilleur apéritif que je nai jamais bu. Tu veux goûter Juju ? Oui ! Ce breuvage doit être divin
Tiens Eros, à toi lhonneur, cest ta liqueur
» Javais déjà goûté mon sperme. Je ny avais pas trouvé un goût désagréable mais je dois reconnaître que mélangé à lalcool, ma semence devenait un véritable nectar. Le repas se passe tranquillement. On parle sexe, expériences, gestes, positions, fantasmes, accessoires, etc. etc. Nous prenons le café et le digestif au salon. Sur le canapé, jai une dame de chaque coté qui me tripotent. Tout mon corps est visité. Deux paires de seins et deux chattes en chaleur me procurent une activité débordante. Agathe nous propose un nouveau jeu. Un disque est mis sur le plateau de la chaîne stéréo. Le temps dune chanson, deux dentre nous se feront des caresses, le troisième regardera sans se toucher. A la nouvelle chanson, un partenaire du couple sera spectateur, celui ou celle qui était spectateur vient pour reformer le couple. Et ainsi de suite jusquà ce quil y ait jouissance de lun ou des deux partenaires. Laire de jeux est la moquette entre deux fauteuils, le canapé et une table basse. Nous commençons dans lordre alphabétique de nos noms. Je massoie dans un fauteuil et regarde les deux femmes se caresser. Chacune un doigt dans le sexe de lautre, le pouce sur le clitoris, lautre main et la bouche soccupent des seins. Quand mon tour arrive, à sa demande, je continue le travail commencé sur et dans Juju. Elle prend mon sexe qui est déjà en érection et le masturbe doucement. Elle augmente la cadence à mesure que son plaisir monte. La chanson va-t-elle durer assez longtemps pour que lun de nous deux jouisse ? Non, elle finit avant. Agathe vient prendre la place de Juju. Cest à pleine bouche quelle me pompe le dard. Cest avec ma langue que récupère sa liqueur intime et que jexcite son clitoris. Je suis prêt à éclater quand la chanson se termine. Je dois laisser la place à Juju. Comme il est interdit des se finir à la main, je réalise que ce jeu est un peu pervers. Le temps dune chanson est trop court pour arriver facilement à la jouissance. Quand celle-ci approche, il faut arrêter car on devient spectateur et la tension retombe. Deux heures se passent quand Juju clame son orgasme sous les caresses dAgathe. Ayant jouit la première, elle doit « finir » ses deux autres partenaires. Elle fait jouir Agathe avec trois doigts dans le vagin et la langue aspirant cette petite queue qui est son clitoris. Elle saccroupit en position de levrette et me demande de la limer jusquà éjaculation.
Après un passage à la salle de bains, nous retrouvons une tenue vestimentaire plus convenable pour sortir et faire le tour du lotissement. Accompagnée de Juju, Agathe me ramène sur le parking de la caserne et nous nous quittons avec la promesse de se retrouver le week-end suivant.
Une semaine pour récupérer, cest court
(à suivre)
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