La Baronne Et Le Plombier
<< Madame la Baronne et le plombier >>
Cette aventure mest arrivée il y a de ça plusieurs années, mais aujourdhui, trente ans plus tard jen garde encore un souvenir ému. Jaimerai vous la narrer afin de la revivre encore une fois et peut-être y retrouver mes émois dantan.
A cette époque je venais de fêter mon vingt-deuxième anniversaire et malgré quelques liaisons amoureuses vite terminées je nétais pas un foudre de guerre en ce qui concernait le sexe : en fait je ne connaissais pas vraiment grand-chose comme jallais men rendre compte ce jour là.
Depuis un an javais monté mon entreprise de dépannage rapide en plomberie : entreprise qui ne marchait pas trop mal. Le jour où se passa cet épisode, qui allait me faire découvrir une nouvelle face de la sexualité féminine, un coup de téléphone dune femme à la voix angoissée mappelant durgence à son secours me propulsa par les rues de la ville
Equipé de mon nécessaire pour la réparation dune fuite deau, je me retrouvais très vite devant la porte dentrée dune superbe résidence bourgeoise située en plein centre ville. Sur une plaque de cuivre ouvragée plusieurs noms se suivaient. Je repérai assez vite celui de ma cliente :
« Madame Antoinette de Saint Simon »
Une noble pensai-je, quelque peu intimidé, en me présentant à linterphone : comment cette descendance de la noblesse française allait-elle accueillir un simple plombier issu de la classe ouvrière ? Lorsquune voix chaude et agréable minvita à monter au troisième étage je me sentis légèrement rassuré. Curieux de mettre un visage sur cette voix pleine de charme qui navait rien de hautain comme je lavais craint, jempruntai lascenseur qui me monta rapidement à létage désiré. Là, à peine sortis la cabine, avant même que jessaye de me diriger vers lune des trois portes du palier, lune delle sentrebâilla, minvitant à avancer dans sa direction. Je mapprochai ma mallette de dépannage à la main, désireux de voir à quoi pouvait ressembler cette dame de haut lignage dont la voix mavait si chaleureusement accueillie à linterphone.
La porte souvrit entièrement sur une silhouette vêtue dun peignoir en soie de couleur parme, orné de diverses fleurs et retenu à la taille par une large ceinture de soie également. La femme qui me souriait chaleureusement avait certainement dépassé la cinquantaine, elle devait même être plus près des soixante que des cinquante. Ses cheveux bruns noués en un chignon parfait sornaient de quelques fils gris et les minuscules rides qui sillonnaient son front et celles qui se formaient à la jointure de ses lèvres lorsquelle souriait lattestaient sûrement. Mais son visage rond aux joues pleines et dodues lui donnait un air poupon qui la rajeunissaient. Derrière des lunettes aux larges branches, ses yeux bleus lumineux brillaient dun éclat malicieux, prouvant chez elle une joie de vivre et une certaine jeunesse desprit. Grande et légèrement enveloppée, sans être vraiment grosse, la femme qui me faisait face avait gardé un charme certain. Les généreuses proéminences qui déformaient le vêtement à hauteur de la poitrine attirèrent irrésistiblement mon regard. Comme beaucoup dhomme javais toujours, et cela depuis ma puberté, été attiré par les femmes aux fortes poitrines. Et daprès ce que le peignoir me révélait, ma cliente devait être abondamment fourni de ce coté là. Victime de mes vieux démons sexuels, je me pris à imaginer le volume et la forme de cette opulente poitrine, plus mis en valeur que cachée, par le peignoir saillant. Ne se doutant certainement pas de mon intérêt pour les abondants fruits de sa poitrine, la quinquagénaire pivota sur elle-même :
-- Suivez-moi, sil vous plait, me murmura-t-elle
Que je vous conduise jusquau lieu du sinistre.
Suivant mon hôtesse, mes yeux furent automatiquement attirés par les fortes rotondités qui roulaient dune manière toute sensuelle devant moi. Le spectacle des hanches rebondies qui ondulaient doucement et de la croupe épanouie que dessinait avec une extrême précision le léger tissu du peignoir me procura un instant de pur plaisir.
Arrivés dans la salle de bain carrelée du sol au plafond, la femme, inconsciente du trouble pervers quelle avait créée dans mon esprit, me montra lobjet de ses soucis. Leau gouttait de dessous le lavabo dans une bassine à moitié pleine.
-- Dès que je men suis aperçue jai fermé larrivée deau, me prévint-elle.
-- Vous avez bien fait, la complimentais-je.
Déposant ma caisse à outils, je repoussai la bassine avant de métendre sur le dos à même le sol afin de découvrir lorigine de la fuite avant de la réparer.
-- Cela ne vous ennuie pas si je reste à regarder ce que vous faites ?
Encore une cliente « emmerdante » pensai-je, qui ne va cesser de me questionner sur ce que je fais, et peut-être même critiquer tout ce que je vais faire... Ne pouvant refuser, (le client à toujours raison !) je maugréai :
-- Je vous en prie
Comme si elle avait lu dans mes pensées la quinquagénaire ajouta :
-- Nayez aucune crainte, je ne vais pas vous ennuyez dans votre travail... Mais cest si agréable pour une femme seule davoir de la compagnie
Surtout celle dun beau jeune homme
Surpris par la dernière phrase, et surtout par le ton sur laquelle la femme lavait prononcée, je jetai un coup dil interrogatif en direction de ma déconcertante cliente.
-- Cest quand même agréable davoir un homme à la maison !... Etes vous marié ?
-- Non pas encore
-- Moi, je lai été trois fois
mon troisième mari était même descendant dun Baron du second Empire
Et aujourdhui je me retrouve seule
Vous ne pouvez-vous imaginer combien la solitude est dure à vivre
Les soirées surtout sont longues
et même les nuits
Je demeurais ébahi. Que cachaient les assertions que me distillait la quinquagénaire ?
-- Vous devriez trouver un
compagnon, tentais-je de répondre, essayant de rentrer dans le jeux de la femme, curieux de savoir jusquoù celle-ci oserait aller dans ses confidences intimes.
-- Jy ai pensé, mais à mon âge qui voulez-vous qui veuille de moi
Si je dois prendre pour compagnon un homme plus âgé que moi, il va falloir que je supporte ses grimaces toute la journée et jai bien peur quil ne sache, le soir venu, me contenter
Madame la Baronne sexprimait sans gêne ni pudeur, et à lécouter me parler de ses aspirations sexuelles, tout en me concentrant sur mon boulot, jéprouvai un amusement certain. Quune femme de cet âge puisse encore éprouver des désirs sexuels me surprenait grandement. Et à mimaginer cette quinquagénaire frustrée sexuellement obligée peut-être de se caresser, de se branler, seule le soir dans son lit, telle une adolescente perturbée fit naître en moi un surprenant désir.
-- Je dois vous choquer, continua la femme... Quel âge avez-vous ?
-- Vingt-deux ans madame.
-- Ah ! Où sont mes vingt ans !... Je suis certaine que vous vous imaginez quà mon âge on na plus de désirs sexuels
Eh bien détrompez-vous
Cest ce que moi aussi je pensais dans ma jeunesse et aujourdhui, à cinquante cinq ans je peux vous avouer que jéprouve encore ces envies
surtout le soir
et cest ce qui est le plus dure à supporter dans la solitude.
-- Et comment calmez-vous alors ces
besoins ? Questionnais-je, éprouvant un plaisir pervers à pousser la quinquagénaire à des confidences plus intimes.
-- Eh bien, ce nest pas à vous que japprendrais quil existe maintenant des
ustensiles plutôt bien réussis pour femmes seules
en plus de certains légumes
Mais croyez-moi rien ne remplacera jamais un véritable sexe masculin
Le désir que javais commencé à ressentir quelques instants plus tôt saccentuait insensiblement à mesure que se déroulait ce dialogue libertin...
Le joint défectueux enfin changé, je me redressais péniblement en prévenant :
-- Voila, cest réparé, vos ennuis sont terminés.
-- Si vous pouviez dire vrai, me répondit la femme, pour qui la fuite deau nétait pas pour linstant son souci majeur.
Comme je métais redressé je me retrouvai assis à même le sol, face au bidet de faïence sur lequel était toujours assise ma déconcertante cliente. Là, la première chose que je remarquai fut la position de la quinquagénaire. Intentionnellement où pas, cette dernière avait élargi langle de ses jambes, et son peignoir sétant un peu plus ouvert, je pouvais maintenant contempler les trois quart de ses cuisses charnues. Seul lintersection de ses jambes où se nichait ce sexe qui me faisait soudain fantasmer métait encore caché. Le spectacle de cette chair blanche, tentante, offerte sans vergogne à mon regard ne fit quaccroître encore le désir qui mhabitait. Sans que je ne puisse len empêcher, je sentis mon sexe se dilater au bas de mon ventre, se redresser, doubler de volume. Aussi incroyable que cela paraisse, je me mettais à bander aux évocations égrillardes dune vieille femme que les sens travaillaient.
Nonobstant lénorme différence dâge qui me séparait de cette luxurieuse mamie qui soffrait aussi impudiquement, la tentation de plonger mon visage dans son intimité secrète, de humer les émanations capiteuses qui devaient sourdre de son sexe certainement privé dhommages depuis longtemps menvahit. Madame la Baronne ne devait rien ignorer du spectacle lubrique quelle moffrait et son immobilité trahissait son consentement à mes regards salaces.
Poussé par ce désir extravagant que la quinquagénaire avait allumé dans mes entrailles, josais alors poser mes deux mains sur les genoux ronds qui soffraient si complaisamment à ma vue. Alors que je mattendais à sentir sous mes paumes une chair sèche et molle, je fus étonnamment surpris en constatant combien la peau que je frôlai était douce au toucher et navait rien à envier en velouté aux jambes des femmes bien plus jeunes. Etonné quand même par la passivité de ma victime et par son silence soudain, je remontai mon regard jusquà son visage. Ce que je découvris alors, me stupéfia. La quinquagénaire mapparut comme transfigurée. Derrière ses lunettes, ses yeux bleus avaient pris un éclat particulier et me fixaient avec une supplication dune telle intensité que je sentis ma gorge se nouer. Ses lèvres étaient entrouvertes sur un souffle précipité , ses narines me semblèrent plus dilatées, comme après un orgasme. Sa poitrine qui me sembla avoir augmenter de volume se soulevait vivement au rythme de sa respiration saccadée, gonflant outrageusement le devant de son peignoir
Son regard et même son silence mencourageaient à poursuivre mes attouchements.
Cest alors avec un plaisir évidant que je laissai glisser mes mains le long des jambes frémissantes, me grisant de la tiédeur qui sen dégageait. Lentement javançai mes mains sur les cuisses parcourues de longs frémissements, les agaçant encore davantage par de légers frôlements de mes dix doigts. Aussitôt jentendis le souffle saccadé de ma compagne saccélérer, comme si la malheureuse manquait soudainement doxygène pour respirer convenablement.
Sans hâte, réfrénant mes pulsions lubriques, je continuai dagacer la chair parcourue de tressaillements. Désirant amplifier encore le désir qui faisait haleter ma victime au-dessus de moi, je mingéniai à frôler, effleurer la chair frissonnante des cuisses depuis les genoux jusquà la limite que mautorisait le peignoir chiffonné, me contraignant à ne pas dépasser cette limite.
Cependant dans mon slip, ma verge se trouvait de plus en plus à létroit. Ma compagne si volubile, quelques instants plus tôt, était devenue étrangement silencieuse tout à coup. Seule sa respiration saccadée perturbait le silence de la salle deau. Je pouvais voir ses hanches sagiter nerveusement, son bas-ventre savancer dans ma direction en une invite sans équivoque. Je continuais imperturbable mon pervers manège pendant encore quelques minutes, laissant mes doigts courir sur toute la surface interne des cuisses qui vibraient de plus en plus intensément. Aux mouvements de plus en plus désordonnés de la quinquagénaire installée sur son bidet, telle une amazone sur sa monture, je sus que javais atteint lobjectif que je métais imposé.
Jugeant ma compagne suffisamment excitée, et létant moi-même autant quelle, je décidai alors de pousser plus avant mes palpations érotiques. Avec une espèce divresse sensuelle, je remontai lentement mes mains le long de la chair frissonnante. Graduellement, pour jouir au maximum de ce moment privilégié de la découverte de ce sexe nouveau. Le cur battant, aussi ému que lors de ma première aventure sexuelle à lage de seize ans, je repoussai le peignoir qui me cachait encore cet entrecuisse convoité. Le léger vêtement sécarta de lui-même, tel le rideau dune scène de théâtre avant une représentation. Le spectacle qui soffrit alors à ma vue me surprit si fortement que je demeurai un instant incapable de faire le moindre mouvement. Le bas-ventre de la quinquagénaire était protégé par une culotte blanche qui avait dû être à la mode au temps de la jeunesse de sa propriétaire. Tout en dentelle dune finesse extrême, le sous-vêtement dun autre âge ceinturait les hanches épanouies, masquant le nombril et descendant jusquà mi-cuisses quil enserrait par un large élastique orné de petites fleurs roses. On était loin des strings portés par les jeunes filles daujourdhui. Madame la Baronne portait une culotte qui avait du appartenir à son aïeul
Seule une large tache plus sombre au niveau du pubis qui assombrissait la dentelle me renseignait sur la pilosité abondante de ma compagne. Dépité par cette lingerie aussi hermétique qui faisait comme un barrage infranchissable à mon exploration sexuelle, je tachai dapaiser ma déception en forçant les cuisses de la quinquagénaire à sécarter au maximum afin dapprocher mon visage de ce pubis convoité.
Comprenant mes intentions et désirant peut-être encore plus que moi ce genre dattouchement, ma sensuelle complice sinstalla plus commodément sur son siège de faïence afin de me faciliter la tache. Lançant ses bras derrière elle pour sappuyer des deux mains au bidet quelle chevauchait elle projeta ainsi son bas-ventre en direction de mon visage, en une invite complice et impatiente. Dans ce mouvement plein dune fébrilité érotique, la quinquagénaire moffrit en toute impudeur la vision de son entrecuisse et de nouveau je demeurai ébahi devant ce que mes yeux découvraient. Cette culotte du début du siècle qui mavait paru aussi hermétique quune ceinture de chasteté du moyen age, sornait dans son entrejambe dune longue ouverture bordée dun fin liseré rose. De cette brèche dans les dentelles, un luxurieux buisson noir avec quelques bouclettes grises séchappait, si abondant, si touffu, quil masquait entièrement les grandes lèvres de la fente sexuelle nichées en son centre. Je restai quelque peu étonné par la différence de teinte entre les poils pubiens très brun et la chevelure, qui tirait plutôt sur le gris, de la femme qui soffrait maintenant avec une impudeur totale à mes regards.
Un indéfini émoi menvoûta. Découvrir cet entrecuisse hirsute, à létat naturel, alors que la mode poussait les femmes et même les jeunes filles à se raser le pubis, me ravissait au point que je demeurai un long moment à le contempler. Un sexe féminin rasé, perdait pour moi tout son mystère, donc une grande partie de son attrait.
Me découvrant alors des instincts dexplorateur, de découvreur de sites oubliés, je débroussaillai de mes doigts cette futaie depuis longtemps abandonnée et redevenue à létat sauvage. Dans ma poitrine, mon cur battait aussi intensément que lors de mes premiers attouchements sexuels. Un murmure langoureux me parvint aux oreilles :
-- Oh oui !
Fouillez-moi !...
La quinquagénaire qui me semblait comblée par mes grivoises initiatives mencourageait à maventurer plus avant dans sa forêt vierge. A laide de mes pouces je repoussai les bouclettes emmêlées, découvrant enfin les grandes lèvres gonflées dune vulve épanouie. Saisissant les larges babines sexuelles congestionnées, je les séparai lune de lautre afin de découvrir cette grotte charnelle depuis longtemps oubliée. De cette caverne aux chairs cramoisies, une rosée luisante suintait des parois.
Comme je mapprêtai à venir goûter à cette liqueur qui sourdait des tréfonds du vagin que mes attouchements avait ramené à la vie, la quinquagénaire, encore plus impatiente que moi, avide de retrouver ce baiser subtil que son sexe navait certainement pas connu depuis longtemps, magrippa la nuque dune main décidée pour attirer mon visage contre sa chatte affolée :
-- Broutez-moi le minou ! Grogna-t-elle, Léchez-moi la chatte !...
Malgré le désir impérieux qui lui torturait le bas-ventre, Madame la Baronne navait cure doublier son rang, même pour mencourager à poursuivre mes avances sexuelles. Le fait de me faire vouvoyer par ma compagne sexuelle me surprenait énormément tout en mapportant un surplus de plaisir. Le nez plaqué de force dans labondante toison, je me grisai des effluves épicés qui se dégageaient de la chatte avide. Les lèvres collées à celles largement écartées de la vulve dégoulinante, je mévertuai à plonger ma langue au plus profond du puits féminin, recueillant avec délice le subtil nectar qui sourdait des profondeurs du vagin en fusion.
Sous mon exploration linguale, la quinquagénaire fut soudain prise dune frénésie irraisonnée. Telle une danseuse orientale elle agita furieusement son bas-ventre, lançant violemment sa féminité ruisselante au devant de ma bouche, mengluant les lèvres et le menton de sa liqueur au goût acre.
-- Oh oui !... Bouffez-moi la chatte !... Enfoncez bien votre langue au fond
Devant ce soudain déchaînement charnel dut à une impatience et à une frustration sexuelle longtemps refoulée, je bloquai les hanches agitées de mouvements convulsifs, forçant la femme à simmobiliser :
-- Arrête de bouger, si tu veux que je te broute, conseillais-je, employant le tutoiement afin dimposer ma loi de mâle à celle que je considérai comme une bourgeoise
Surprise par mon tutoiement soudain, madame la Baronne simmobilisa, comme soudainement statufiée. Allait-elle me repousser dentre ses cuisses et se priver dun plaisir quelle devait espérer ? Comprenant sans doute que si elle voulait encore une fois éprouver cette jouissance, quelle navait certainement plus connue depuis longtemps, elle devait se soumettre à mes initiatives et me laisser mener les ébats à ma guise.
-- Lèche-moi bien la chatte, mimplora-t-elle dune petite voix geignarde
Ça fait si longtemps que lon ne me la fait
Vaincue, Antoinette de Saint Simon abandonnait enfin son rang pour se comporter comme nimporte quelle femme travaillée par son sexe, quelle soit Baronne ou prolétaire.
Lâchant alors les hanches enfin figées, je pinçai délicatement les grandes lèvres sexuelles juteuses afin de les écarter le plus largement possible, mouvrant ainsi laccès au vagin ruisselant dune mouille luisante. Pressé de goûter à cette liqueur abondante qui suintait à profusion des parois charnelles, je collai avec une espèce davidité, ma bouche contre cette cavité béante dans lequel jenfonçai une langue gourmande. Alors tel un chiot assoiffé, je lapai le breuvage au bouquet acidulé qui sourdait des tréfonds du sexe féminin en ébullition : tout en léchant longuement les replis vulvaires frémissants, encouragé verbalement par la Baronne complice :
-- Oh mon chéri, comme tu me fais mouiller
Ça me dégouline entre les fesses
Je suis trempée !
En effet, de la vulve dilatée, un véritable torrent de cyprine séchappait, mengluant copieusement la bouche et le menton. Jamais je navais, lors de mes différentes aventures amoureuses, connu de femmes aux épanchements vaginaux aussi importants. Ma langue ne tarda pas à barboter dans un océan de mouille brûlante.
La main féminine, toujours accrochée à ma chevelure se fit plus pressante sur ma nuque, me forçant à enfoncer un peu plus ma bouche et mon nez dans la longue fente élargie. Le pubis, comme animé dune vie propre, sanimait par petits soubresauts rythmés, se projetant au devant de ma bouche active. Au dessus de moi, les gémissements voluptueux dAntoinette devenaient de plus en plus prononcés.
Voulant reprendre mon souffle et examiner le visage de ma victime, afin dy découvrir les stigmates du plaisir, je relevai la tête du sexe féminin bouillonnant. Dans ce mouvement mon menton heurta durement la partie supérieure de la longue fente congestionnée. Sous ce choc involontaire, Antoinette tressauta violemment tandis quun gémissement insistant séchappait de sa gorge. Comprenant que cette réaction soudaine était du au heurt de mon menton avec le haut de la vulve que je venais dabandonner, je reportai mon regard sur lendroit du choc. Je demeurai ébahi devant la particularité de ce que je découvrais. Cette quinquagénaire nen finissait pas de me stupéfier. Après son étrange culotte dun autre âge, sa toison extrêmement luxuriante qui lui tapissait tout le pubis et lentrejambe, ses reflux vaginaux abondants, voila quelle me dévoilait un clitoris dune grosseur peu commune. Devant mes yeux médusés, une véritable petite bite se dressait hors de son capuchon formé par les petites lèvres distendues. Bien que sachant par oui dire que certaines femmes possédaient un clitoris extrêmement développé, jamais il ne métait arrivé den contempler un daussi près. La tirade de « Cyrano de Bergerac » me revint en mémoire : « Cest un roc!... Cest un pic!... » Ce gros bouton de chair cramoisi était dune obscénité extrême.
Pris dun désir pervers, je saisis cette excroissance sanguine entre le pouce et lindex, pour, tout en la pinçant délicatement, la faire rouler entre mes doigts refermés. Bien que mattendant à une réaction de ma victime, le violent soubresaut qui ébranla cette dernière me surprit par sa virulence. Dans un élan de tout son bas-ventre elle lança son sexe ruisselant au devant de mes doigts :
-- Oh oui !... Encore !... Cest merveilleux !... Plus fort !...
Puisquelle me le demandait avec une telle exaltation, une telle véhémence, je mexécutai de bonne grâce, éprouvant moi-même un indicible plaisir à manipuler cette excroissance charnelle démesurée. Serrant fortement mes doigts sur le bouton émergeant de son nid velouté, jentrepris de le rouler entre le pouce et lindex pour la plus grande satisfaction de ma bienheureuse victime qui agita son bas-ventre en des bonds désordonnés. Une longue litanie séchappa alors de sa gorge, faite de :
-- Oui
Encore
Oh oui
Ouuuiii
Cest bon
Oui, ouuii
Ces plaintes érotiques, véritable mélopée sexuelle ne fit quaccen le désir qui mhabitait. Dans mon slip, ma virilité tendue à lextrême depuis un long moment déjà, devenait douloureuse.
Levant mon regard dans la direction du visage de la quinquagénaire, je découvris un spectacle dune rare sensualité. Cette dernière avait rejeté sa tête en arrière, et telle une chienne en chaleur appelant le mâle, les yeux clos, elle poussait de longues plaintes amoureuses. De ses deux mains crochetées sur les gibbosités qui déformaient le devant de son peignoir, elle se pressait fiévreusement les seins à travers le tissu de son vêtement, les pétrissant et les malaxant sauvagement.
Le visage, de cette femme de cinquante ans, ravagé par la jouissance avait quelque chose démouvant. Une certaine tendresse pour cette quinquagénaire qui redécouvrait la volupté après certainement de longues années dabstinence menvahit. Le plaisir lilluminait toute, la rendant soudainement plus belle, plus désirable malgré son âge avancé.
Désirant goûter à ce fruit charnel qui avait si soudainement mûri et émergé tel un diablotin de son nid sexuel, je me penchai entre les cuisses largement écartées de la Baronne impudiquement offerte. Grisé par le fumet épicé qui séchappait de la vulve enfiévrée, je refermai mes lèvres autour du berlingot dilaté pour le sucer lentement, avec une gourmandise sensuelle. Un gémissement prolongé minforma du plaisir que ma compagne éprouvait à mon bécot érotique. Dans le même temps une main volontaire sagrippait solidement à ma nuque et me forçait à écraser mon visage contre le pubis broussailleux et agité de soubresauts.
-- Oh oui !... Suce mon gros bout, mimplora ma bienheureuse victime.
Sans me faire prier, le désirant en fait autant quelle, je me saisis des grandes lèvres sexuelles gonflées par un afflux de désir. Les pinçant délicatement je les écartais largement lune de lautre afin de dégager le merveilleux bouton damour qui mapparut dans toute sa splendeur : boursouflé, congestionné, luisant dune humidité onctueuse. Alors dune langue agile jentrepris de lécher ce prodigieux berlingot, arrachant aussitôt moult gémissements à ma volcanique partenaire. Le menton frottant par alternance la faille sexuelle béante et débordante de son abondante liqueur amoureuse, je lustrai longuement le prodigieux clitoris du bout de ma langue, éprouvant un indicible bonheur à ouïr les gémissements de plaisir que mes attouchements linguales arrachaient à la quiquagénaire.
Songeant avec mansuétude que celle qui se contorsionnait sur son trône de faïence navait certainement pas du connaître ce genre de caresse depuis bien longtemps, je décidai de refouler mon propre désir, pourtant bien réel, pour me concentrer sur celui de ma compagne au comble de leuphorie. Prenant tout mon temps et y mettant tout mon savoir, je mappliquai consciencieusement à amener Madame le Baronne à lorgasme quelle espérait.
Jaspirai entre mes lèvres le clitoris sensibilisé pour le mordiller doucement mais avec suffisamment de fermeté. Au moment où mes dents se refermèrent sur son bouton de chair dilaté, Antoinette tressauta violement en poussant un véritable râle de volupté, tandis que ses doigts se plantaient furieusement dans ma nuque. Je compris immédiatement que je venais de découvrir le point faible de sensuelle compagne. Mais quand même surpris par cette violente réaction je relâchai mon mordillement :
-- Oh non, continue, gémit la quinquagénaire !
Cest si bon !... Je ten prie, continu, mimplora-t-elle !...
Puisque Madame la Baronne me faisait lhonneur de me demander ce type service avec tant de ferveur je mexécutai de bonne grâce. Saisissant à nouveau le volumineux clito empourpré entre mes lèvres, je repris mes mordillements, accentuant même mes pincements, puisque Antoinette de Saint Simon avait lair de particulièrement apprécier ce genre dattouchement. Chaque morsure infligée à son merveilleux bouton damour sensibilisé arrachait un cri perçant à la quinquagénaire , cri où le plaisir et la douleur se mêlaient intimement, alors que tout son corps, comme sil avait été traversé par un fort courant électrique sarquait intensément. La lumière se fit dans mon esprit : ma sensuelle compagne éprouvait, comme cela arrivait chez certains individus, un surplus de volupté dans la douleur. Je macharnai alors sur le clitoris enflammé. Les plaintes de ravissement de ma bien heureuse victime ne tardèrent pas à se transformer en petits cris, puis en véritables râles tandis que le bas-ventre parcouru de frémissements à fleur de peau bondissait à la rencontre de ma bouche, dune manière désordonné.
Comprenant que ma volcanique partenaire arrivait enfin au seuil de la jouissance, je décidai de laider à atteindre cet orgasme après lequel elle courait depuis si longtemps. Pour cela, sans cesser de lui mâchouiller le clito irrité, je glissai deux doigts dans sa fente béante et abondamment trempée par une liqueur tiède et sirupeuse. Là, je ne pu que constater que Madame la Baronne avait dû, du temps de sa jeunesse avoir abondamment pratiqué les jeux amoureux, tant elle était incroyablement élargie. Décidément cette quinquagénaire avait le don pour me surprendre. Mes deux doigts accolés avaient glissé dans la longue faille sexuelle sans rencontrer la moindre gêne ni la moindre résistance. La femme qui haletait au-dessus de moi, possédait un vagin aux dimensions démesurées
Surpris par la facilité avec laquelle javais pénétré dans cette vulve impressionnante je décidai alors de joindre un troisième doigts à ceux déjà enfouis dans cette chatte considérablement dilatée. Mon annulaire vint rejoindre mon index et mon majeur avec lesquels je fouillai déjà le sexe dilaté et ruisselant de mouille, tentant dapporter un surplus de plaisir à ma compagne.
Au bout de quelques va-et-vient à lintérieur du vagin brûlant, je me rendis compte que les grandes lèvres de la vulve distendue pouvait encore admettre mon auriculaire, tant cet orifice me paraissait spacieux. Pour exécuter cette nouvelle introduction, je dus forcer quelque peu, mais rapidement je me retrouvai avec ma main droite pratiquement entièrement enfoncée dans la chatte effroyablement dilatée. Seul mon pouce demeurait hors de la cavité spongieuse. Cest alors que la quinquagénaire, dans un long râle inhumain mencouragea à la forcer plus profondément :
-- Oui !... Défonce-moi !... Nai aucune crainte !
Jaime trop ça !... Oui ! Bien à fond !... Humm, comme cest bon !... Continue !... Cest divin
Il y a si longtemps
Antoinette avait largement écarté ses larges cuisses, sécartelant au maximum afin de me faciliter la monstrueuse pénétration qui semblait la ravir. De mes quatre doigts accolés je pistonnai donc allégrement le vagin de plus en plus détrempé, tandis que de mon pouce jécrasai le clitoris protubérant à chaque pénétration de ma main dans la faille sexuelle.
Je neus pas attendre longtemps pour enfin être récompensé de mes efforts. Une longue plainte séchappa soudain de la gorge de ma compagne et résonna dans la salle deau : plainte de femelle comblée sexuellement ! Au comble de la volupté Antoinette de Saint Simon se convulsa en un spasme violent qui lui rejeta le corps en arrière. Tétanisée elle demeura ainsi quelques instants, transformée en statue, alors que ses cuisses sétaient resserrées sur mon poignet, me bloquant la main dans un étau charnel.
Enfin, au bout de cinq à six minutes, ma victime reprit progressivement ses esprits. Haletante, elle se redressa lentement sur son bidet qui depuis le début lui avait servi de siège, puis comme une poupée de son, elle se laissa tomber en avant, posant son front sur mon épaule.
-- Merci, me chuchota-t-elle
Cétait merveilleux
Il y avait si longtemps quun homme ne mavait fait jouir
Tu es un amour
Comme elle sétait décidée à desserrer ses cuisses, je retirai délicatement ma main de son sexe gluant. Aussitôt elle me saisit le poignet pour amener ma main jusquà son visage, et ouvrant une bouche gourmande, elle aspira mes doigts pour les sucer avec une avidité gloutonne, recueillant sur sa langue sa liqueur intime.
-- Cest bon, plaisantai-je en me redressant, les genoux douloureux ?
-- Humm, cest délicieux
Peut-être un peu trop salé...
-- Jen sais quelque chose, jen ai eu ma ration, continuai-je
-- Javais tellement envie
Il y a bien longtemps que je navais éprouvé autant de plaisir
-- Tu as bien joui, demandai-je ?
Je posai cette question afin de forcer cette bourgeoise à accepter les termes plus crus que ceux auxquels elle devait certainement avoir eu lhabitude demployer. Jen éprouvai même un certain plaisir pervers.
-- Oui
Jai énormément
joui, me répliqua Antoinette en me souriant dun air complice, acceptant de me répondre dans mon langage.
-- Cétait aussi bon que lorsque tu te branles ? Continuai-je, lancé dans mon délire pervers.
-- Cétait différent
Tu es un véritable artiste mon chéri
Tu sais, tu ne vas peut-être pas me croire, mais tu es le premier homme qui me touche depuis le décès de mon mari
cela fais maintenant trois ans
Trois ans sans homme, tu ne peux timaginer combien cest dur
Quand je tai vu, je ne sais ce qui sest passé en moi, mais jai immédiatement compris que je ne pourrai te résister si lenvie te prenait de me
manquer de respect
Lexpression me fit sourire, alors quAntoinette continuait dune voix câline :
-- Tu mas vraiment gâtée, tu sais
Comment puis-je te remercier ?
Quelle question ! Lui montrant le devant de mon pantalon déformé par une bosse significative, je lui proposai :
-- Tu pourrais peut-être me calmer !...
-- Tu veux bien ? Sexclama-t-elle avec la mine réjouie dune gamine découvrant ses cadeaux au pied du sapin de Noël.
Lui saisissant la main droite je la posai sur la protubérance que faisait mon membre gonflé :
-- Regarde dans létat que tu mas mis !
-- Ooh, cest moi qui ai fait ça ? Feignit de sétonner Antoinette en pressant tendrement la protubérance qui déformait ma braguette
Je peux voir ?
Terriblement excité je déboutonnai rapidement mon pantalon que je laissai tomber à mes pieds apparaissant en slip aux yeux curieux de la quinquagénaire.
-- Quest-ce que tu me caches là, minauda Antoinette en frôlant dun doigt indiscret la bosse significative qui gonflait le devant de mon sous-vêtement
-- Si tu veux le savoir, Tu devras le découvrir par toi-même !Invitai-je par jeux érotiques.
Impatiente de découvrir ce membre que je lui refusai, la quinquagénaire agrippa mon slip quelle fit glisser promptement le long de mes cuisses :
-- Mon Dieu quel morceau ! Sexclama-t-elle en découvrant ma virilité gonflée et dressée tel un pal orgueilleux.
-- Elle te plait ma queue ? Demandai-je, prenant un pervers plaisir à choquer cette Baronne qui navait certainement pas été habituée à ce genre dexpression.
-- Il faudrait être difficile pour ne pas
la trouver appétissante
Tu es formidablement
monté
Et crois-moi je sais de quoi je parle
Dans ma vie jai eu loccasion de contempler de nombreux membres
Le tien surclasse de beaucoup un bon nombre de ceux que jai pu tenir en main
-- Tu peux le toucher, insistai-je impatient
Il ne va pas te mordre !
-- Me mordre, certainement pas, mais me cracher sa sève, peut-être bien, tenta de plaisanter Antoinette.
Alors que je mattendais à ce que ma partenaire, privée de sexe depuis plus de trois ans, se jette telle une affamée sexuelle sur cette virilité que je lui présentai, il nen fut rien. Pareille à une dévote, la Baronne se saisit de ma queue frémissante quelle enferma au creux de ses deux mains, comme elle laurait fait dun cierge destiné à un saint Apôtre. Dun léger mouvement de ses doigts, elle frôla alors ma colonne de chair , caresse suave mais particulièrement grisante du fait de mon excitation. Pareil à un vol de papillon, les doigts féminins effleurèrent le dôme extra sensible de mon gland turgide avant de redescendre légers et aériens jusquà la base de ma tige érigée quils griffèrent délicatement avant de sactiver sur mes couilles gonflées quils pincèrent précautionneusement.
Jamais aucune des différentes petites amies que javais eues ne mavaient caressé de la sorte. Ces attouchements légers et délicats nen demeuraient pas moins fort sensuels et réussissaient à mettre mes sens à rudes épreuves, déclenchant dincontrôlable frémissement dans mon membre et mon bas-ventre. Grâce à ses différents effleurements savamment pimentés, la sagace quinquagénaire réussit à accen le désir qui mhabitait, au point que jéprouvais le besoin urgent de bénéficier dune caresse plus sensuelle, plus perverse peut-être. Je ne pouvais plus me contenter de ces câlineries terriblement affolantes que me prodiguait ma subtile partenaire. Lui saisissant la tête je lattirai en direction de mon bas-ventre :
-- Suce moi ! Lui commandais-je.
Nullement choquée par ma demande particulièrement salace, Madame la Baronne me laissa lui diriger le visage jusquà mon sexe orgueilleusement dressé. Avec un petit gloussement de ravissement elle avala mon gland volumineux dune bouche gourmande, tout en refermant sa main autour de ma queue frémissante.
Alors commença pour moi une fellation dune extrême lascivité. Je me trouvais en présence dune véritable experte dans lart de sucer un homme. Mettant certainement tout son savoir érotique acquis au cours de ses nombreuses années de pratique, la quinquagénaire mamena avec une habileté diabolique, au paroxysme du plaisir. Avec un art subtil, elle faisait coulisser ses lèvres épaisses le long de la partie supérieure de ma verge raidie, de façon à naspirer dans sa bouche moite que mon gland congestionné. Pareille à une gamine gourmande, la délurée Baronne suçait lextrémité de ma verge, comme elle laurait fait dun berlingot fourré, insistant particulièrement sur le filet extra sensible de mon bourgeon dilaté. De temps à autre, elle cessait sa fellation pour me lécher lextrémité du gland dune langue habile, sinon espiègle.
En amante aguerrie aux jeux de lamour, Antoinette savait deviner aux convulsions perceptibles qui agitaient mon membre, le moment critique où approchant de la béatitude je risquais de me libérer de ma semence. Aussitôt elle stoppait alors ses affolantes caresses et refermait farouchement ses doigts autour de ma verge prête à exploser, la pressant, létranglant, afin de stopper léjaculation annoncée.
-- Cest bon ?
Tu aimes ?
Me demanda-t-elle dans un sourire complice.
-- Cest divin, tu es véritablement une experte dans lart de la pipe ! Jamais je nai été pompé de la sorte
-- Cest vrai ?
Je nai pas trop perdu
la main ?... Il y a bien longtemps que je navais eu un tel morceau dans la bouche
Décidemment, Madame la Baronne se refusait à prononcer, même dans ces moments là, des mots étrangers à son vocabulaire recherché.
Tout en me fixant dun regard brillant de lubricité, elle avait desserré sa pression autour de mon membre momentanément calmé. Telle une dévote en prière, elle maintenait ma verge entre ses deux paumes réunies en un geste de piété. Insensiblement, comme par inadvertance, tout en sachant perfidement ce quelle faisait et ce que sa nouvelle caresse allait me procurer, elle frotta ses deux mains lune contre lautre, roulant ma queue entre elles.
Le désir qui sétait quelque peu calmé durant cet échange verbal afflua de nouveau dans mon sexe si savoureusement pétri. A me faire ainsi tripoter, jéprouvais le désir de participer activement à cette joute érotique. Jamais je navais pu rester inactif lors de mes ébats amoureux, il me fallait dans ces moments là, occuper mes mains, procurer à ma partenaire du moment, une réplique du plaisir quelle me distillait. Saisissant alors lencolure du peignoir de ma sensuelle compagne et le repoussais sur les épaules rondes.
-- Montre-moi tes nichons ! Exigeais-je, utilisant à dessin un terme que la Baronne se refusait à employer.
Avec un sourire complice, cette dernière me laissa écarter son vêtement, sans pour autant cesser le voluptueux pétrissage quelle faisait subir à ma queue raide et aussi dure quune barre de fer. Le peignoir écarté me conforta dans ce que javais quelque peu deviné depuis le début. Aucun soutien-gorge ne venait soutenir une paire de seins dune dimension peu commune. La quinquagénaire possédait des mamelles énormes. Elle devait certainement, pensais-je excité porter des soutiens-gorge taille quatre-vingt quinze, bonnets C ou D. Cétait la première fois que je pouvais contempler une poitrine féminine aussi affriolante dans sa démesure.
Admiratif je contemplai longuement ces extraordinaires appas mammaires qui soffraient à ma vue. Deux outres à la chair laiteuse à la surface parsemée de quelques taches de sons et sur lesquelles couraient de fines veinules bleutées. Deux larges rosaces, encore étonnamment roses, doù émergeaient deux tétons que le désir gonflait outrageusement, venaient recouvrir les extrémités des opulents nichons.
Devant ma passivité à contempler sa fabuleuse poitrine offerte à ma convoitise, Antoinette me tira de mon extase :
-- Ils sont trop gros !
-- Pas du tout, la rassurai-je... Je les trouve magnifiques !...
-- Ne dis pas ça !... Ils ont été beaux
mais en vieillissant ils ont perdu de leur arrogance
regarde comme ils tombent
Si tu les avais connu du temps de ma jeunesse, continua-t-elle dans un soupir.
-- Je suis sur quils ont dû faire perdre la tête à de nombreux hommes.
Et comme pour mieux me montrer à quoi pouvaient ressembler son opulente poitrine quelques années auparavant, la quinquagénaire lâcha mon membre pour empoigner ses imposantes mamelles quelle releva à laide de ses paumes en coupe, afin de leur donner encore plus de volume.
-- Voila à quoi ils ressemblaient du temps de leur splendeur, insista Antoinette.
Terriblement émoustillé je ne pouvais détacher mes yeux de ces masses charnelles que leur propriétaire pressait presque tendrement. Victime de ma luxure, je commandai dune voix que le désir enrouait :
-- Caresse-toi les seins !
Me fixant dun regard fiévreux, et un sourire salace au coin des lèvres, Antoinette pressa tendrement ses seins volumineux lun contre lautre, tout en prenant soin de bien me montrer ses tétons fièrement érigés au centre de leurs aréoles boursouflées.
-- Comme ça, me murmura-t-elle ?
-- Oui !... Continue ! Pince-toi les bouts !...
-- Humm !...
Tout en fixant médusé les doigts féminins qui trituraient sensuellement les deux bourgeons de chair fièrement érigés, javais distraitement empoigné ma verge tendue et dun mouvement machinal de la main je me branlai lentement.
Nous restâmes quelques minutes ainsi face à face à nous observer, prenant un même plaisir à épier les gestes et les émois de lautre. Cependant peu à peu, je remarquai un changement dans lexpression de ma complice. Ses traits semblèrent se figer, sa bouche sentrouvrit sur un souffle plus prononcé, plus précipité, son regard se fixa plus particulièrement sur les mouvements de ma main le long de ma verge tendue dans sa direction. Une étrange lueur accentua léclat de ses yeux derrière le verre de ses lunettes. La sensuelle Baronne semblait prendre un extraordinaire plaisir à me voir me masturber !
-- Jai limpression que tu aimes voir un homme ce branler, lui lançai-je
Ça à lair de drôlement te plaire ce que je fais !
-- Oh oui !... Marmonna Antoinette
Tu ne peux savoir combien ça mexcite !...
-- Si je men rends compte
comment ça ce fait ?
Et pour affoler davantage la quinquagénaire dont le visage avait pris une teinte cramoisie, et la pousser aux confidences, jaccélérai les mouvements de va-et-vient de ma main le long de mon membre viril. Le regard exalté, fixant avec une convoitise gourmande mon gland congestionné, qui suivant le mouvement rythmé de ma main, apparaissait et disparaissait tour à tour, Antoinette commença dune voix étrangement enrouée :
-- Il faut te dire quà lépoque mes parents habitaient une immense maison bourgeoise et que nous avions de nombreux domestiques
Or un jour, je devais avoir seize ans, jai surpris le fils de notre gouvernante et ma jeune sur dans une remise. Le garçon essayait de retirer la culotte de ma sur qui se défendait comme elle pouvait
-- Quel âge avait ta sur ?
-- A cette époque, comme elle est ma cadette de quatre ans, elle devait avoir douze ans
-- Et ce garçon ?
-- Oh lui, il était plus vieux que moi, il devait avoir dans les dix-sept ans
-- Dix-sept ans ! Avec ta sur de douze ans ?
-- Et oui ! Je suppose quil naurait jamais osé quoi que ce soit avec moi.
-- Et tu le regrettes, ironisai-je.
-- Que tu es bête
Non mais en temps que fils de domestique, il ne pouvait se permettre nimporte quoi, et il le savait.
-- Vu lâge de ta sur, il pouvait plus facilement la contraindre au silence.
-- Certainement, tandis quavec moi, il devait se montrer plus craintif
Cest peut-être à cause de ça que ce jour là je me suis conduite comme ça !...
-- Raconte !
-- Oui, mais tu me promet que lorsque tu vas jouir tu
déchargeras
sur mes seins ?
-- Je te le promet, acquiesçai-je, alors quen fait javais songé lui fourrer ma queue dans la bouche au moment opportun
Je te promets de tasperger les nichons avec mon sperme
-- Oh oui
Bon je reprends
Jai réussis sans trop de mal à délivrer ma sur des assiduités poussées du garnement, et je le menaçais daller tout raconter à mes parents
Inutile de te dire que Lucien, cest comme cela quil se nommait, se trouva fort bouleversé et effrayé par ma menace, sachant très bien quil risquait une sévère punition de la part de mon père et peut être le licenciement de ses parents
Il me supplia de ne rien dire, me proposant daccepter tout ce que je voudrai
-- La bonne aubaine !
-- Comme tu le dis !
-- Alors, insistai-je devant la gêne soudain de ma narratrice. Que lui as-tu demandé ? Insistai-je, me doutant quelque peu de la suite.
-- Je
je lui ai demandé de nous montrer sa quéquette
-- Eh bien, rien que ça ! Tu avais déjà un sacré tempérament !... Et ta sur était présente ?
-- Heu, oui. Je sais que ce nétait pas bien, mais à cette époque je nai pas réfléchi à ça
Une seule chose comptait à ce moment là, voir enfin le sexe dun garçon. Car imagine quà cette époque les filles de seize ans ne connaissaient rien au sexe, ce nétait pas comme aujourdhui
Jétais évidemment encore vierge
-- Alors ?
-- Tout heureux déchapper au châtiment paternel, Lucien na fait aucune difficulté pour baisser son short et nous exhiber son sexe, à ma sur et à moi
Aujourdhui, je pense quil a dû sexécuter avec un certain plaisir
Tout en prêtant une oreille attentive aux confidences de la quinquagénaire, je me branlai avec plus de vigueur, pressé soudain de me libérer, datteindre la délivrance. Le regard toujours fixé sur lextrémité de ma bite, Antoinette sétait tue, tout occupée à surveiller cette décharge quelle attendait.
-- Continue ! La pressai-je.
Sans lâcher ma verge des yeux, elle reprit dune voix sourde :
-- Lorsque jai découvert ce morceau de chair qui pendouillait au bas du ventre du garçon, jai été incroyablement déçu
-- Déçu ?
-- En effet, au lycée les grandes en parlaient avec un air tellement gourmand, quen voyant ce bout de chair rachitique je me suis demandé ce quelle pouvait bien trouver de captivant à ce que je découvrais
« Comme cest drôle » sest exclamé ma sur
Je crois que cest ça qui a tout déclenché
-- Comment ça ?
-- Certainement vexé par ma mine désappointé et par la remarque moqueuse de dAgnès ma sur, Lucien sest saisi de sa petite queue et sest mis à lagiter vivement
comme toi maintenant
-- Comme ça ? Renchérissais-je en avançant dun pas afin de me branler vigoureusement à quelques centimètres du visage de la quinquagénaire.
-- Oh arrête, gémit Antoinette
Si tu continues comme ça je ne pourrai jamais finir de texpliquer
Je suis tellement excitée
Abandonnant lun de ses seins quelle malaxait de plus en plus passionnément depuis le début de sa confession, la sensuelle mamie glissa sa main gauche entre ses cuisses écartées. Je ne pouvais voir ce quelle y faisait, mais il nétait pas difficile de deviner à quoi elle sactivait.
-- Cest bon, je marrête, mais dépêche-toi de terminer car je sens que je ne vais pas tarder à tout lâcher
-- Attends un peu, jai presque fini
Et noublie pas que tu mas promis de jouir sur mes seins
Donc Lucien a commencé à se branler devant ma sur et moi. Immédiatement, jai vu ce petit tuyau se gonfler, grandir, prendre du volume
Je nen revenais pas. Même Agnès sexclama de surprise
En quelques minutes, ce sexe qui mavait si déçu avait pris des dimensions extraordinaires
Jamais je naurai cru cela possible
-- Abrège, grognai-je soudain. Je sens que ça vient
-- Moi aussi mon chéri
Retiens-toi, jai presque fini
Muette détonnement jai regardé Lucien se branler sans émettre la moindre réflexion
Je comprenais que jassistais à quelque chose de prodigieux
Les paroles des grandes du lycée me revenaient en mémoire
Et plus le garçon sasticotait le membre, plus je sentais une étrange chaleur se propager dans mon bas-ventre et une humidité suinter de ma petite chatte et mouiller ma culotte
Il était temps que Antoinette achève son récit, car javais de plus en plus de mal à contenir mon éjaculation. Jaurai dû cesser de me masturber, mais je men sentais incapable, excité comme je létais.
-- Quand il a joui, quand jai vu pour la première fois ces jets blanchâtres jaillir de sa bite jai bien cru mévanouir. Un spasme violent ma saisi et jai inondé ma culotte
Ce nest que plus tard que jai compris que javais eu un orgasme, que javais
.. Oh Mon Dieu !
Je jouis
. Aaahhhh
A se remémorer ses souvenirs tout en se masturbant et les seins et le clito, Antoinette navait pu terminer son récit, la jouissance lavait saisi, sans quelle ne puisse la contrôler.
Je navais plus de raison de me retenir. Dans un grognement jaillissant du plus profond de mes entrailles, je lâchais ma semence... Le premier jet, épais et puissant alla sécraser sur le haut du sein gauche de la quinquagénaire qui sexclama dune voix enjouée :
-- Oh oui !... Encore !...
La seconde giclée, aussi consistante que la première, après une parfaite parabole atterrit dans le profond sillon séparant les lourdes mamelles, dans lequel il sinfiltra. Puis les autres salves, décochées en rafale de moins en moins intenses, finirent de souiller les énormes seins blanchâtres. Chaque émission de sperme était accueillit de la part dAntoinette, par un gloussement de délectation.
-- Encore
Oh encore !
ne cessait-elle de réclamer.
Cependant à bout de munition je cessai mes bordées de sperme en direction de la poitrine que l quinquagénaire moffrait généreusement. Haletant, reprenant doucement mes esprits, je contemplai le fascinant spectacle de ces seins blancs que leur propriétaire avait relâchés, et qui suivant la pesanteur mis en évidence par le célèbre Isaac Newton, sétaient mollement avachis. Lair béat, Antoinette examinait les longs sillons blanchâtres qui souillaient la chair de ses énormes mamelles.
Mapprochant du visage extatique, de la quinquagénaire je lempoignai par son chignon :
-- Suce-moi ! Ordonnai-je
Nettoie-moi la queue !...
Sans se faire prier, Antoinette ouvrit largement sa bouche aux lèvres gonflées entre lesquelles je mempressai dintroduire ma verge encore bouffie. Avec un borborygme de satisfaction, madame la Baronne aspira mon gland pour le sucer et le lécher consciencieusement tout en étalant de ses paumes, mon sperme gluant, sur ses lourds nichons.
Quand enfin, au bout de deux minutes je libérai sa bouche de ma queue redevenue à des dimensions plus raisonnables, Antoinette sempressa de porter ses mains maculées par ma semence poisseuses à ses lèvres :
-- Tu en avais une sacrée réserve, me sourit-elle
Regarde-moi ça, jen ai plein les seins
Cest toujours aussi abondant lorsque tu jouis ou bien il y a longtemps que tu ne tavais vidé les couilles ?
Sans attendre ma réponse, qui dailleurs ne lintéressait que moyennement, Antoinette saisit à deux mains son sein gauche, légèrement plus gros que le droit, et le soulevant, lapprocha de son visage quelle avait penché. Alors dune langue agile, elle entreprit de lécher le sperme qui maculait son mamelon. Méticuleusement elle nettoya son sein de ma semence, avant de le relâcher pour faire subir le même traitement à la mamelle droite.
-- Cest bon, demandai-je malicieux ?
-- Huumm, cest savoureux
Ton jus a un goût délicieux
Il y a si longtemps que je nai dégusté pareil nectar
Tu es sur quil ne ten reste pas encore un petit peu ?...
-- Ce serait avec plaisir que je ten offrirais encore, mais je suis déjà en retard pour mon prochain rendez-vous
Encore heureux que ce ne soit pas trop loin dici
-- Alors je te laisse aller, maccorda Antoinette en arrangeant son peignoir sur son opulente poitrine
. Mais si tu es dans le coin à midi, viens déjeuner avec moi, et peut-être que tu auras le temps de moffrir une nouvelle ration
Je quittai la sensuelle quinquagénaire ravi de ma matinée, et en me promettant de venir la rejoindre dès mon second chantier terminé
.
Nhésitez pas à me faire part de vos remarques à
salvatore.c@club-internet.fr
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