Le Déménagement
Je venais tout juste d'avoir 20 ans. J'avais à ce moment-là une relative expérience en matière de sexe. En effet, je n'avais jamais eu que 3 partenaires, toutes aussi inexpérimentées les unes que les autres et finalement peu aventureuses. Cela dit, je ne cherchais pas non plus à forcer leurs tempérament, ou ne savais tout simplement pas comment les stimuler plus que ce qu'elles n'étaient. J'avais une petite amie, Virginie, depuis quelques mois, rencontrée à la fac, que j'avais abandonné depuis(la fac pas la petite amie), et je dois bien avouer que nos étreintes étaient pour le moins frustrantes : toujours les mêmes positions, peu de caresses, de jeux et surtout toujours dans le noir. A contrario, sa mère, Chantal, belle femme divorcée d'une cinquantaine d'années, semblait être tout l'opposé de sa fille : elle multipliait les rencontres, les aventures, les partenaires. Il m'est même arrivé plusieurs fois, alors que je dormais chez Virginie de l'entendre hurler de plaisir, le mot n'est pas trop fort, alors qu'elle recevait un bon ami. Dès que j'ai commencé à fréquenter sa fille, Chantal s'est montrée trés libre avec moi, me racontant ses coups, les bons et les mauvais amants, se baladant nue dans son appartement malgré ma présence, mais toujours de manière naturelle, sans volonté de me séduire apparente, ce qui me faisait bander au plus haut point!
Un jour, Virginie me demanda de la part de sa mère si je pouvais aider cette dernière à déménager son cabinet professionnel de Bayonne vers un coin paumé de la Creuse(j'ai oublié le nom, c'est dire si c'est paumé). Elle me demandait mon aide car elle n'avait pas assez d'argent pour embaucher de vrais déménageurs et j'étais la seule de ses connaissances à être disponible pour l'aider : son ami était en déplacement, sa fille préparait ses exams. N'ayant rien d'autre à faire, j'acceptais, en plus je ne connaissais pas la Creuse! Nous voici donc, quelques jours plus tard, chantal et moi en train de charger un camion qu'elle avait loué pour l'occasion.
A mon réveil, elle dormait toujours, mais elle était collée contre moi et sa chemise de nuit était remontée sur son corps de sorte que je sentait la peau de ses cuisses et les poils de son sexe contre mes propres cuisses : je bandais comme jamais, ne sachant trop comment faire pour éviter qu'elle ne se réveille trop tôt et n'aperçoive ma bite durcie à me faire mal de désir pour elle! J'en étais là de mes réflexions lorsqu'elle ouvrit elle aussi les yeux. Passé un léger instant pour reprendre ses esprits, elle me dit bonjour avec un sourire et repoussa les draps vers le pieds du lit pour se lever, là tout s'enchaîna comme une évidence. Mon sexe, toujours au garde-à-vous, dépassait de mon caleçon.elle le vit et une expression vicieuse éclaira son regard : "-Mais on dirait que je te fais de l'effet, petit salaud! Tu bandes pour ta belle-mère, tu n'as pas honte?!"
J'essayais de présenter mes excuses mais avant même qu'un seul mot n'est franchi mes lèvres elle était déjà en train de me faire la plus belle felletion que l'on ne m'avait jamais fait.
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