Collection Dominant Domine. Le Choix De Mon Épouse (1/3)

• Tu en fais une tête Jean-François, des mauvaises affaires dans ton travail !
• Non, 500 000 en deux jours, de ce côté-là, tout va bien.
• Ta femme, Victoria, je parie que c’est encore elle qui te tracasse.
• Tu as raison Carle, ma femme, je suis à deux doigts de demander le divorce.
• Un divorce que tu engagerais toi-même, quelle horreur, regarde-moi, dernièrement tu m’as vu avec combien de femme ?
• Trois en comptant Paulette, ta première !
• Et ça m’a coûté combien ?
• Je l’ignore, c’est toi qui tiens tes comptes.
• Si tu veux, je parle de ta situation à des amis, ils étudieront votre cas et ils te feront une proposition.
• J’ignore de quoi tu parles, mais si ça doit améliorer ma situation, je suis partant.
J’attends que l’on m’explique ce que je peux faire.
• Je vais, les contacter et s’ils considèrent qu’ils peuvent te faire une proposition, ils t’appelleront directement, je leur donnerais ton numéro de portable.

Carle est un copain trader dans la même société parisienne que moi.
Nous le considérions comme un perdant surtout avec sa première femme.
C’est vrai qu’il a changé trois fois de femme pour en trouver une belle Émilie avec un très bon esprit dont sa première femme manquait énormément.
On l’appelait le cerbère alors que si elle s’était un peu arrangée et surveillée son langage envers lui, elle aurait été, elle aussi une bonne épouse.
La deuxième, aucun avis, il est resté trop peu de temps avec elle, moins d’un an, pour que nous nous rencontrions.

Combien de jours se passent jusqu’à ce que mon portable sonne, je l’ignore.
Quinze jours, non, plutôt trois semaines.
Je décroche.

• Bonjour, je suis maître Yo, un de vos amis a joint ma secrétaire, car il semblerait que vous ayez des problèmes avec votre femme et qu’un divorce soit envisageable.
• Je voudrais avant connaître votre association et ce que vous pensez faire.


• Je vois que votre ami conformément à ses engagements envers nous vous a dit le strict minimum sur nous.
Voilà ce que je vous propose.
Nous rachetons votre femme, nous l’envoyons dans un de nos nombreux centres de formation dans le monde, ce qui assure notre anonymat.
Elle sera formée, nous effacerons ses carences et nous la revendrons avec une plus-value.
Un peu comme vous dans votre métier de trader, vous avec toutes sortes de produits dans le monde, nous avec ceux de vos femmes.
Une fois passés dans les mains de formateurs et que je déciderais de la remettre sur le marché, nous la proposerons à d’autres clients comme vous.
Pour votre part, huit jours après la prise en main de votre femme, nous vous proposerons comme à votre copain cinq femmes à des prix différents.
Les critères principaux sont l’âge bien sûr, la beauté, se promener au bras d’une jolie femme, c’est toujours valorisant pour un homme.
Et enfin le sexe, vous saurez tout sur ce qu’elle accepte ou ce qu’elle refuse.
Aucune surprise.
• Des femmes dans cette situation en avez-vous beaucoup ?
• Ça c’est un secret, mais mon business marche bien, vous trouverez chaussure à votre pied.
• Vous allez dire que je suis curieux, mais c’est de l’avenir de ma femme que l’on parle.
Vous avez de gros frais, ça je le conçois, que se passera-t-il si une femme vous reste sur les bras !
• Exact, tout est prévu, je vois que votre métier vous oblige à analyser très rapidement les situations.
Je vais être directe, mes comptables font le ratio frais et hypothétique vente, dès qu’il est négatif, elles sont envoyées dans un pays du monde pour faire la pute dans des maisons d’abatage afin de récupérer notre mise perdue.
Je sais ça peut vous choquer, mais la philanthropie est loin d’être ma tartine de pain.
• Vous avez un numéro où je peux vous joindre, ce dernier point me laisse perplexe.
• Pour vous rassurer, dernières choses, nos femmes recyclées sont toutes de parfaites ménagères, aucune oisiveté pour elles.

Frotter votre maison, vous faire de bons petits plats suivant vos envies, ce sera fait.
Elles sont formées par des cuisiniers meilleurs ouvriers de leur pays.
Il y a le sexe, mes formateurs les entraînent à satisfaire à tout moment leurs maris.
Elles ont même une formation lesbienne, vous permettant si l’envie vous taraude de la voir baiser avec une autre partenaire.
Enfin, la grossesse.
Bon nombre de femmes, au moment de créer un bébé, refusent.
Toutes nos femmes sont garanties et accepteront cette étape d’un couple avec entrain.
Au début, elles résistent, à la fin, toute réclame la grossesse si le mari, en fait la demande.
Bref, la femme idéale, je l’espère pour vous.
• Je peux réfléchir.
• Bien sûr, voici le numéro où appeler, nous vous ferons une proposition de rachat, notre dossier sur votre couple est prêt, il nous restera à finaliser.

Le numéro 06.00.00.00.00 noté, je raccroche.
Quelques jours passent, je pèse le pour ou le contre.
Bien plus de pour, surtout ce soir où je tente une dernière approche.
Nous sommes couchés, je bande, je me place derrière elle et je caresse sa fente, plutôt sa raie du cul avec mon sexe.
J’ai l’impression qu’un crotale l’a piqué.
Elle se remet sur le dos.

• Pas comme ça, pervers, tu as essayé par surprise, j’aurais pu avoir envie, tes saletés ont tout brisé en moi.

Le lendemain matin, ma décision est prise.
Aplanie le risque qu’elle finisse par faire la pute en Amérique du sud.

• Maître Yo ?
• Sa secrétaire, je le joins, il vous rappelle.

Deux heures après.

• Excusez ce retard, j’étais dans un avion, je viens de régler une vente à un million cinq cent mille en équivalent euros.
J’espérais vendre cette femme au plafond de deux millions d’euros, mais je l’avais sur les bras à la limite d’envisager la solution qui vous a fait hésiter.
Vous voyez, je sais trouver mes intérêts en même temps que celui de vos femmes, je suis loin d’être un monstre.

J’ai votre dossier, la vôtre, une fois formée, retrouvera le circuit normal des femmes mariées sans les tabous que la religion a insinués dans sa tête.
Je sais d’où ça vient.
De votre belle-mère Anita d’origine portugaise, s’était-elle aussi une coincée du cul, bigote par-dessus le marché.
Voyez, nos dossiers sont bien faits !
Dommage pour votre beau-père, un homme charmant par ailleurs, par compte je suis certain qu’elle aurait fini pute à Dakar s’il nous l’avait vendu.
Je sais de quoi je parle, j’avais la même à la maison, ça a été la première à passer dans la structure que je venais de créer.
• Si je comprends bien vous revendez vos femmes, 1 million mini, 1,5 ou 2 millions d’euros.
Et la mienne, combien vous me la rachèteriez ?
• Trois cent mille euros, presque le tiers de ce que je pense pouvoir la revendre.
Plus cher, on risquerait rapidement à arriver à la dernière étape.
• Qu’elle soit obligée de faire la pute à Valparaiso.
• Ou à Tombouctou, voilà, c’est le risque.
À vous de le prendre, sinon je monte à cinq cent mille le rachat et à 1,5 million, pour la revendre, j’ai peur qu’elle nous reste sur les bras.
Ce sera vous qui l’aurez envoyé se faire des tonnes de bites noires.
• Va pour trois cent mille, je l’aimais bien, tout de même.
• Bien, je vous envoie le précontrat, une fois signé, dans les heures qui suivront on vous en débarrassera et huit jours, après, je vous donnerais le lieu de rendez-vous pour que vous choisissiez la nouvelle.
• Vous avez parlé de ma belle-mère, vous le vendre sans rachat de femme parfaite, je pourrais vous la confier quelque temps.
• Tiens, c’est une idée, vous méritez d’être connus.

Le soir, on regarde la télé, elle a mis ses bigoudis, comme sa mère.
Nous avons vécu chez mes beaux-parents avant que je gagne mon premier million et tous les soirs Charles mon beau-père et moi avions droit à ce tableau magnifique.

Pyjama en pilou avec bigoudis pour les frisettes.
C’est dans cette période après notre mariage où je l’ai dépucelé alors que ses parents étaient dans la chambre voisine, qu’elle a écarté les cuisses m’empêchant de m’exprimer de peur d’être entendu.

• Pardon, je voulais signaler la disparition de ma femme.
• Quel âge à la disparue, est-elle majeure ?
• Oui, elle l’est !
• Attendez quarante-huit heures, c’est la règle pour les majeurs, elle va certainement revenir, elle a pris un peu l’air...

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