Première Fois !
Le zip de la fermeture de la tente fit un léger crissement dans la nuit. Je me dis que tout le campement avait entendu, mais non, ils dormaient tous.
Javais attendu patiemment jusquà 2H00 du matin pour rejoindre Fréderic le mono dans sa tente. Les copines avaient parié : « tes pas cap daller la nuit dans sa tente. » « Pas cap ! ??? » me dire ça à moi.
Je sortais avec Fréderic depuis une semaine, quelques baisers volés, des mains baladeuses qui ségarent sur ma poitrine, une autre dans ma culotte sous ma jupe, nous en étions là Frédéric et moi ; je faisais « la grande. Il faut dire quavec mes 1,68 m, un 90 B , des hormones à revendre, je pouvais faire illusion dêtre presque une femme, presque
puis ce que jétais encore vierge et ne connaissais rien au sexe.
Je refermais derrière moi, Fréderic alluma le petit néon électrique et ouvrit un il, à peine surpris de me voir, je mapprochais de lui, ronronnant comme une chatte, sure de moi et de ma séduction. Jallais gagner mon pari ; alors que mon cur battait fort et que je nen menais pas large.
Il entrouvrit son duvet, je me faufilais à lintérieur, malgré lété les nuits étaient fraîches, ma nuisette se souleva légèrement lui faisant voir mes cuisses nues mais aussi que je ne portais rien dautre
« Charmant tableau » dit-il en souriant, me claquant les fesses dune petite tape et membrassant sur les lèvres dans la foulée. Jaimais sa façon de membrasser, rien à voir avec les garçons de mon âge avec qui javais échangé quelques « galoches » et qui me bavaient dans la bouche. Non ! Lui ses baisers étaient : doux, polissons, fébriles, fougueux
bref ! Il embrassait bien !
Il attaqua aussitôt ! Sa bouche membrassant goulûment pendant que ses mains parcouraient mon corps, je sentais sa respiration saccélérer, ses mains me tripotaient partout et jaimais ça. Sa main se posa sur mon bas ventre, mes cuisses sentrouvrirent, mes mains aussi courraient sur son corps musclé, lisse et chaud, il glissa une jambe entre les mienne, il était nu, il prit ma
main et la dirigea doucement vers son sexe, et je vis très vite que je lui faisais de l'effet.
Javais déjà touché le « kiki » des garçons à travers leur pantalon quand ils me pelotaient dans les cages descalier, mais jamais je nen avais eu un dans la main. La sensation de ce membre viril, épais et droit me fit chaud dans le ventre, je sentis des picotements. Ce qui eut pour effet de lamuser car apparemment cela produisait un autre effet non contrôlé dans mon sexe ou il avait glissé un doigt sans que je men rende compte, trop occupée parce que je tenais dans la main. Quand je dirais ça aux copines, elles seront vertes pensais je ; ne sachant pas encore que la suite ne les rendraient non plus vertes, mais malades
« Caresse-le » me souffla-t-il, ce que je fis, jétais impressionnée, je touchais et jouais avec le sexe dun garçon, enfin
Javais surpris des conversations de filles plus grandes au lycée qui parlaient de : « queues et de bites » certaines avaient couché déjà ; je rejoignais donc « les grandes » javais un sexe de garçon dans ma main et je le « branlais » Curieuse, jexplorais et caressais tout, palpant les boules qui se trouvaient dessous, les pressant dans ma paume, ce qui fit dire à Fréderic : « doucement ptite coquine »
jétais devenue une coquine, moi la petite lycéenne du lycée privée Jeanne dArc. Je branlais avidement, toute à ma tâche, les mains de Fréderic mauscultaient, son doigt fouillait mon vagin. Je sentais un liquide poisseux couler de mon sexe, jétais brulante. Je ne lembrassais plus, je dévorais sa bouche et suçait sa langue.
« Mmmmm !!!! » tu aimes sucer on dirait » me dit-il ; « Oh oui !! » répondis-je innocemment, pensant aux « mister freeze » que je suçais lété quand il faisait chaud et dont je buvais le jus sucré avec délice. « Alors viens », il prit ma tête avec sa main et doucement mais fermement la dirigea vers son sexe en érection. Mon visage sapprocha de « la bête », je dis la bête parce que jai cru quelle était vivante, indépendante du garçon. Elle frémissait, bougeait, vibrait sans volonté de sa part.
Quoi ? me dis-je, il veut que je prenne son sexe dans la bouche !!!, il plaisante là ? Je ne métais pas préparer à ça ! Quil me tripote : oui !
Quil me déshabille : oui ! quil touche mon sexe : Oui ! Je mattendais à ce quil veuille faire lamour et avais préparé toutes les excuses que je pourrais dire pour len dissuader, mais prendre son sexe dans la bouche : non ! Javais entendu des garçons et des filles plus âgés parler de « faire lamour » ou de « baiser » et savais comment on faisait, vu quelques photos dans les magazines qui traînaient parfois dans les chambres des garçons avec qui jétais « sortie » et qui my invitaient pour me peloter. Mais pas de sucer un « kiki » Non ! je ne connaissais pas ! Sa main attrapa son sexe et le posa sur mes lèvres, de lautre il me tenait la tête, je la levais et vis son regard si doux qui mimplorait, cest ce qui mavait fait craquer pour lui, lorsque le premier jour il mavait dragué maladroitement ! Il était si beau ! Et je me suis dit que cela ne devait peut-être pas être si sale que ça après tout
Jentrouvris la bouche timidement et il plongea dedans. Au début je ne sus que faire et restait sans bouger le membre planté dans la bouche, puis je me souvins de ses mots : « tu vas me faire ce que tu aimes faire », et je me mis à le sucer comme un « mister freeze ». La sensation de son gland dans ma bouche me fut agréable, contrairement à ce que jaurais pu croire. Cétait doux, lisse, chaud et ferme. Ma langue en faisait le tour, passait dans le petit trou, sinsinuait dans le petit ourlet de la base du prépuce. Cela ne me répugnait pas, je men délectais. Je découvrais alors ce qui allait devenir ma passion : la fellation, la pipe, la gâterie, la plume
que de noms pour designer cet acte et autant de façon de le faire.
Je me mis à gober le gland, donnant des petits coups de langue, de la main je faisais de lents va et viens. Je sus plus tard que sans avoir eu de leçon ni dapprentissage, les gestes métaient venus naturellement. Je descendais ma bouche le long de la tige, remontais et recommençais ; je mamusais à voir jusquoù je pouvais aller ; jallais loin de plus en plus loin, si bien quun peu de salive coula sur sa queue et ce fut encore plus facile. Je lavalais presque en entier, si bien que Fréderic surpris par tant de technique me dit ce que je pris pour un compliment : « tu es une sacrée suceuse ptite cochonne » sil avait su que cétait la première fois il maurait traité de : « petite salope » je redoublais dardeur pour mériter ce titre. Je suçais une « bite » et jaimais ça, je me régalais même, je pompais littéralement, léchant les testicules une par une, ma langue passant sous ses couilles jusquà lanus. Là je sentis mon pouvoir, ses mains prirent ma tête, pressant celle-ci sur son sexe dressé, forçant mes lèvres à souvrirent et à lemboucher. Il se mit assis, moi à genoux penchée en avant, bouche grande ouverte entre ses cuisses, le membre au fond de la gorge, je métouffais. Il arracha ma nuisette, jétais nue dans le lit dun garçon plus âgé que moi et je suçais son sexe
limage mexcitait ! Je pensais à ma mère qui avait été rassurée de mavoir placé dans une colo catho
la pauvre si elle mavait vu dans cette posture
Jécoutais les gémissements de Fréderic qui avait lâché sa prise, voyant bien que je ne chercherais pas à fuir, bien au contraire. Il me palpait, triturait, malmenait mes seins dont les pointes durcies me faisaient mal. Son membre était si gonflé que je sentais sa grosse veine bleue gorgée de sang sur mes lèvres. Je bavais sur sa bite, sa tête allait de droite à gauche ! Sa bouche laissait échapper de petits cris.
Fréderic, gémissait de plus en plus fort ; il allait réveiller le campement sil continuait, mais jétais fière d'être à lorigine de cela. Je me régalais, de mon sexe séchappait un liquide que je ne connaissais pas.
Lodeur de ce membre en rut menivrait, une petite goutte de liquide séchappa, je lavalais, le gout était curieux, salé, presque insipide.
Soudain, je ne compris rien, ses mains bloquèrent ma tête il poussa un râle comme celui dun ours. De longs jets chauds, épais et abondants jaillirent de son sexe et remplirent ma bouche. Surprise jessayais de reculer, mais ses mains men empêchaient, javais la bouche remplie de ce liquide sans gout, et il en jaillissait encore. Me relâchant, je recrachais tout, le liquide et le membre en tirant au cur, puis le regardant je lui dis en chuchotant mais avec une envie folle de crier : « cest quoi ça ? tu mas pissé dans la bouche ? Cest dégueu !
A ces mots je vis son visage séclairer et rire : « tu ne sais pas ce que cest ? » me dit-il « cest la première fois que tu vois ça ? » « Cétait ta première pipe ptite cochonne ? À ma mine déconfite il sut la réponse. Waow !! Alors là je suis bluffé ! Tu as des dispositions ma chérie »
Lorsque jai dit ça aux copines ! Jai cru quelles allaient vomir ! Mais dans leurs yeux brillants j'ai vu quelles menviaient. Le goût du sperme était encore présent sur ma langue, ni bon, ni mauvais, Fréderic membrassa à pleine bouche, disant vouloir partager avec moi ce quil mavait donné. Le gout de ce baiser fut si bon, que je lui pardonnais tout.
Allongée sur le côté, je me collais à lui, la tête nichée dans son cou, une main sur son épaule, lautre autour de son sexe repu, jouant avec, satisfaite et encore gourmande de ce que je venais de faire. Il me caressait la joue, me mis un doigt dans la bouche que je suçotais doucement, faisant ma coquine, jétais bien. Moins dun ¼ dheure après, Fréderic retrouva la forme, cette nuit-là je perdais le dernier rempart qui me séparait de létat de jeune fille à celui de jeune femme, mes bonnes résolutions sétaient envolées, lesquelles pouvais je lui opposer après ce que je venais de lui faire
et il était si beau ! LOL !
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