Le Plaisir

Le plaisir

La chambre à coucher sentait un parfum délicat aphrodisiaque, des chandelles l’éclairaient et une musique lascive jouait en sourdine ce qui donnait au lieu une ambiance sensuelle et à une soirée invitante aux jeux de l’amour, de la séduction et du plaisir.
Mais qui sait ce que la soirée réservait… douceur, volupté, caresses, plaisir, désir, jouissance?
Brume s’était habillée de façon provocante et avait mit un mot sur la table de la cuisine pour son mari, puis sortit de la maison le temps que son mari entre et puisse lire le mot sur la table.

Quand son mari entra dans la maison, il sentait le parfum qui se dégageait de la chambre et entendait la musique en sourdine, il se demandait bien pourquoi la maison était aussi calme. Il venait de voir le mot sur la table que Brume lui avait laissé.
Il n’hésitait pas un instant et sautait dans la douche, à la pensée de Brume il sentait son sexe se durcir, le mot de sa femme lui disait simplement, douche toi et va dans le lit. Une fois dans le lit, il était impatient que Brume revienne.

Brume entrait dans la maison sans faire de bruit et se dirigeait vers la chambre, son mari était là couché et il caressait déjà son membre dur, elle enlevait son manteau sans arrêter de le regarder se caresser. Il la regardait, elle avait mit un short noir en cuir, un soutien-gorge assorti et de paire de cuissardes talons-hauts. Brume s’approchait du lit, puis mit un pied sur le torse de son mari en lui disant d’arrêter de se toucher.
Elle se mit debout sur le lit et avec son pied elle commençait à frôler le sexe dur de son mari, elle sentait sa queue se redresser pour que son pied le touche encore plus. Brume n’était pas pressée de le caresser.
Puis tout d’un coup elle se mit à le pousser de grands coups de talons pour le faire tomber du lit, son mari se retrouvait par terre sans avoir été ménagé, il était couché sur le dos, Brume descendait du lit en se servant de lui comme escalier.

Elle lui dit, met toi à genoux et embrasse et lèche mes pieds, il s’exécutait sans rien dire. Brume était déjà toute humide entre les cuisses, cela l’excitait de se faire embrasser les pieds ainsi et de pourvoir dominer son mari pour qu’il lui donne du plaisir comme elle en avait envie.

Brume mettait un pied sur son épaule et lui prenait les cheveux à deux mains pour le forcer à relever la tête, en gardant son pied sur son épaule et en mettant du poids de son talon, elle se caressait, lui voulait aller mettre sa langue pour la goûter, Brume mit un peu plus de pression avec son talon sur son épaule en lui disant je t’aie pas dit de venir mettre la langue. Tu mettras ta langue seulement quand je le déciderais, toi tu te tais et tu fais ce que je te demande.
Elle enfonçait en elle deux doigts, ils étaient inondés quand elle les ressortit d’elle, puis les enfonçait dans la bouche de son homme en lui disant lèche les, il le fit sans se faire prier, il prenait plaisir à lui lécher les doigts, mais son envie était d’aller foutre sa langue entre ses cuisses pour la faire jouir.

Le pied de Brume entrait dans le creux de sa clavicule de son mari pour le contraindre à se s’étaler sur le dos, puis elle montait sur lui sans retenue pour lui marcher dessus en appuyant très fort sur les endroits les plus douloureux, puis elle se mit à piétiner son membre excité et très dur.
Elle plantait son talon sur le bout de son sexe et son autre pied lui écrasait le membre, il bandait un peu plus sous ses pieds, elle était excité et elle se caressait en même temps. Mais elle avait envie qu’il lui embrasse les pieds, fouler son visage en lui présentant ses talons, elle n’hésitait pas à le faire, quand Brume en eu assez elle se mit en position de lui faire un 69, elle le prit dans sa bouche sans mettre aucune pression, jusque qu’il sente la chaleur de sa bouche, son mari n’avait pas attendu pour mettre sa langue sur son sexe, puis là Brume se relevait pour s’asseoir sur son visage en pressant sa tête avec ses jambes, elle sentait sa langue explorer son sexe, s’attardant sur les endroits plus sensibles de lui procurer du plaisir, Brume voulait retarder le moment de jouir.
Son mari ne voulait pas qu’elle retire son sexe, il voulait continuer à le goûter. Brume elle avait envie de lui écraser le visage sous ses pieds, en se levant elle le poussait de coups de pieds pour qu’il soit couché sur le ventre, puis elle changeait de souliers, elle mettait des souliers avec des talons plus carrés, son mari toujours couché sur le ventre sentait maintenant le poids de Brume se mettre à marcher sur son dos, elle ne le ménageait pas et elle allait mettre tout son poids sur sa tête pour lui écraser le visage, son mari se mettait à lui embrasser le pieds et s’en se douter une seconde de se qu’il allait faire, Brume sentit ses dents se serrer sur son pieds, elle lui mit un coups de pieds de toute ses forces dans les cotés pour qu’il lui lâche le pieds. Elle était tellement surprise qu’elle n’a pas eu le temps de rien faire et elle s’est retrouvée attaché au lit.
Il avait décidé que ça serait elle qui serait soumise, il voyait de la colère dans ses yeux, mais il s’en foutait, il savait qu’elle serait encore plus en colère une fois qu’il l’aurait fait jouir.

Le mari de Brume lui ouvrait les jambes, elle ne pouvait rien faire, il enfouit sa tête entre ses cuisses et prit son sexe de sa langue, Brume était partagée entre la colère de s’être fait dominée ainsi et de se laisser aller sous cette langue qui savait lui procurer un tel plaisir.
Puis il en rajoutait en allant porter sa queue à la bouche de Brume, même si elle refusait, elle savait qu’il l’obligerait à le prendre, alors elle le prit sans se faire prier, l’envie de le mordre le sexe était forte en elle, mais elle savait aussi qu’il ne se laisserait pas faire sans lui faire mal à son tour, mais elle s’en foutait et elle le mordait quand même.
À sa surprise il ne fit rien, il se retirait simplement de sa bouche et continuait de sa langue à lui donner du plaisir, elle lui en voulait d’arriver si bien à la faire jouir autant.
Après quoi il vient se placer à genoux sur chacun des ses bras, lui agrippait les cheveux et il lui mit son sexe à porter de sa bouche en lui disant, je suis sur que tu en as envie, mais cela attendra et il sortait de la chambre.
Brume était en furie, elle lui aurait arraché les yeux sur le champs si elle avait pu.

Plus tard, il revenait dans la chambre et se mit de nouveau à genoux sur Brume et il commençait à se caresser devant elle, elle en avait tellement envie et il le savait, elle ouvrait sa bouche pour lui dire qu’elle voulait le prendre.
Mais au lieu d’aller porter son sexe dans sa bouche, il allait lui prendre les jambes et les mettre sur ses épaules, puis il entrait en elle, tout au fond d’elle et il recommençait ainsi encore jusqu’il sente qu’elle en voulait encore, alors il se retirait d’elle et entrait en elle de nouveau, juste assez pour lui faire sentir sa queue en elle, elle n’en pouvait plus, Brume le voulait au fond de son ventre, elle le voulait tout en elle.

Il se retirait complètement d’elle et vint lui remettre son sexe au bord de sa bouche, Brume le prit avec avidité et douceur, elle sentait que son sexe gonflait de plus en plus sous les va et vient de sa bouche, elle m’arrêtait pas et enfin elle sentait couler dans sa bouche la jouissance de son mari.

Lui il savait que la nuit était loin d’être finie, Brume ne laisserait pas passer de s’être fait dominer ainsi.