Eveil Et Maturite (3) - Les Deux Garçons

EVEIL ET MATURITE (3)

CHAPITRE 3 - LES DEUX GARCONS

J’étais au terme d’une nouvelle année d’étude. Pour les vacances j'avais envie de changer d'air. Mes examens d’unif s’étaient bien passés dès la première session. Je fis le projet de partir seul vers le sud de la France, mais je manquais de sous comme tout garçon de mon âge. Il me fallait donc trouver un moyen d'en gagner rapidement ou d’en gagner durant les vacances.

Par une annonce j'entrai en contact avec des gens qui partaient deux mois dans le midi. Ils avaient un fils et lui permettaient d'inviter un de ses amis. Sortant beaucoup eux-mêmes, ils craignaient toutefois de laisser ces deux jeunes de 18 ans entièrement seuls derrière eux dans la campagne Varoise. A cet âge ils se croient capables de tout et c’est alors que se produisent des accidents d’escalade ou de mauvaise évaluation des risques. Ils cherchaient donc un garçon plus âgé pour les encadrer quand même un peu. C'était inespéré et quand même bien payé. J'acceptai donc pour le mois de juillet, décidant de voyager seul en août.

Je me retrouvai chargé de la surveillance de leur fils Albert et de son copain Benoît dans un ravissant petit mas, perdu loin de tout, dans la garrigue de Haute Provence. Les parents partaient sans cesse et nous laissaient seuls. Les deux jeunes me considéraient un peu comme un surveillant et nos contacts étaient limités à l’indispensable. Je m'ennuyais bien évidemment beaucoup. J'étais vissé chez eux et, sur le plan affectif ou sexuel, ma seule détente était de me masturber en repensant à mes amis et à leur lit. Pas une fille à l'horizon, et les jeux de carte et de monopoly avec les deux jeunes me cassaient finalement les pieds.

Une après-midi j’eu envie d’isolement et je partis me promener dans la garrigue sans trop m’éloigner malgré tout. Elle sentait bon la lavande et bruissait de chants de grillons. Je trouvai un rocher abrité des regards et offrant une surface plane, m'y couchai et enlevai mon maillot pour m'offrir nu au soleil.

Mon corps vibrait de désirs insatisfaits. La pierre était chaude, presque brûlante. La vie était belle !

Une demi-heure plus tard je me relevai, me rappelant subitement ma responsabilité envers les deux jeunes et me demandant tout à coup ce qu’ils pouvaient bien faire. S’ils avaient crié je les aurais entendus de là où j’étais mais je me dis que j’avais des engagements à l’égard des parents. Je remis mon maillot et rentrai vers la maison.

La porte était grande ouverte. J'enlevai mes sandales pour ne pas amener de poussière dans la maison et entrai sans bruit à pieds nus dans la salle de séjour. La fraîcheur du carrelage sous mes pieds était agréable. Je m'arrêtai net en entendant les garçons parlant à voix basse. J'entendis Albert dire à Benoît:

- Tu es beau !

J'avançai tout doucement dans le couloir jusqu'à une petite fenêtre sans carreaux percée dans le mur entre le couloir et le salon et dans laquelle on avait mis une plante verte. Je regardai entre ses feuilles et vis Benoît étendu sur le divan. Il était entièrement nu !

- C’est bon d’être tout nu ! Ah s'il n'y avait pas ce con de Pat pour nous surveiller tout le temps on serait tout nus chaque fois que tes parents seraient partis ! Heureusement qu’on l’a vu partir se promener. Au moins on a un peu la paix à nous deux.

Je n'en croyais pas mes yeux et mes oreilles ! Moi qui les croyais si sages ! Tout à coup je vis Benoît se lever.

- Où as tu mis les cigarettes ?

Il était beau ! Sa queue était toute détendue pendant sur ses couilles au bas de son ventre mais elle avait malgré tout une belle épaisseur. A ce moment Albert entra dans mon champ de vision offrant le paquet de cigarettes à son copain. Et lui aussi était nu ! Quel beau gosse Albert. Ils avaient de beaux sexes et de belles petites fesses tous les deux. De beaux corps jeunes et pas trop musclés, réellement harmonieux.

Je regardai Albert se glisser subitement derrière Benoît et, se collant nu à lui, l'enlacer.
Benoît s'arrêta net. Il laissa les mains d'Albert courir sur sa poitrine puis descendre le long de son ventre vers son sexe. Les doigts d'Albert prirent possession de la queue et des couilles de Benoît et se mirent à les malaxer doucement. Ils se frottaient maintenant lascivement nus l'un à l'autre. Que leurs deux corps étaient beaux ! La queue de Benoît grandissait vite dans les jolis doigts d'Albert et se dressait dans sa main. Répondant à la caresse, Benoît frottait langoureusement ses fesses nues à la bite grandissante d'Albert. Il était évident que ce n’était pas la première fois qu’ils vivaient ce genre de chose. Ils avaient certainement une habitude de jeux sensuels entre eux.

Tout à coup Albert lâcha Benoît, s’assis sur la table basse devant le divan et attira le corps de Benoît vers lui debout entre ses cuisses. Le sexe dressé de son ami était face à son visage. Ses lèvres approchèrent du gland nu et il commença à le sucer.

Je les regardai longtemps. Je vis toute la pine entrer lentement dans la bouche d'Albert, jusqu'aux jeunes couilles, puis en ressortir pour y rentrer lentement encore. Albert suçait divinement. Ma queue était maintenant tendue. J’abaissai mon maillot et me caressai doucement le gland en les regardant faire. Ce plaisir dans mon ventre était exquis. Celui des yeux l’était tout autant.

J’étais aussi absolument ravi de découvrir que ces deux jeunes aimaient la sensualité entre hommes. Cela ouvrait pour moi de merveilleuses perspectives durant ces vacances. Je sentais grandir mon désir de les rejoindre. Benoît avait posé les mains sur la tête d'Albert et regardait sa queue raide entrer et sortir de la bouche amie. Il dit à Albert :

- Ah c'est bon ce que tu fais ! ... Tu te souviens de mon envie hier soir dans ta chambre ?

Albert approuva sans lâcher la belle bite. Benoît continua :

- Tu me donnes terriblement envie de le faire maintenant !

Albert lâcha cette fois la bite, la regarda, puis regarda son ami dans les yeux.


- Tu crois qu’elle n’est pas trop grosse … qu’elle pourrait entrer dans mon cul ?

Benoît approuva et Albert reprit le gland en bouche, le suça encore quelques secondes, puis le lâcha et son visage se releva vers Benoît.

- Je veux bien que tu essayes ... Mais tu arrêtes immédiatement si je te le dis ?

Il se redressa. Benoît l'enlaça et lui répondit :

- Je te promets ! Mais je suis certain que tu vas adorer !

Il poussa Albert vers le divan sur lequel il le fit monter à genoux face au dossier. Albert comprit, écarta bien les genoux, lui offrit son cul et recula ses fesses vers la queue tendue de Benoît.

Je n'en croyais pas mes yeux ! Ils allaient s’enculer tous deux devant moi ! Enfin je retrouvais mes jeux sensuels et les deux jeunes étaient maintenant à ma merci !

Le cul d’Albert était superbe ! Il le montrait merveilleusement ainsi ! Jolies fesses douces entre lesquelles tentait de se cacher un nid rose. Et puis ces belles couilles et cette queue massive qui pendaient en dessous. Un beau cul mâle !

Je vis Benoît empoigner sa bite dure et la diriger vers l'étoile rose d'Albert et son gland se poser dessus. Puis je le vis commencer à pousser son gland pour l'entrer dedans. Ca n’irait jamais comme ça ! Ils avaient trop peu d’expérience !

Je ne pus me contenir plus longtemps. Il me fallait les surprendre et jouir nu avec eux. Ils avaient aussi besoin d’aide pour réussir ce qu’ils voulaient. J'enlevai complètement mon maillot et me glissai, sans bruit et entièrement nu, derrière Benoît jusqu'à être à un mètre de lui. Je voyais l'anus rose résister à la poussée du gland chaud. Ils étaient trop occupés l'un par l'autre pour me voir. Je caressais ma bite à pleine main et elle m’envoyait plein de plaisir dans le ventre.

Je savais que je courais le risque d’être rejeté par eux, ou même rossé par eux deux. A 24 ans je n’avais aucune chance contre ces deux jeunes de 18.
Mais je savais aussi que, connaissant maintenant leurs jeux sexuels, j’avais de bonnes chances de me faire accepter dans leurs secrets.

C’est alors qu’Albert se retourna subitement pour tenter de voir la queue de Benoît pointer entre ses fesses. Il me vit, ses yeux bleus s’ouvrirent tout grand et il poussa un cri. Benoît se retourna à son tour puis, de peur, sauta loin d'Albert qui, lui, tomba assis dans le divan face à moi, essayant de couvrir sa queue dressée et ses couilles de ses mains comme il le pouvait. Elle en sortait cependant très belle.

Je regardais la bite d'Albert tout en continuant à me caresser. J’aimais maintenant m’exhiber à eux. Lui n'avait d'yeux que pour ma queue et mes couilles à hauteur de ses yeux. Puis je tournai le regard vers Benoît. Il était debout à deux mètres. Lui ne cachait pas sa queue dressée sur son ventre et il regardait aussi fixement la mienne.

Je me retournai vers Albert et, tout en continuant à me masturber devant lui, je lui demandai doucement de retirer ses mains. Albert rougit, hésita, puis ses mains s'éloignèrent de son sexe dressé et glissèrent sur ses cuisses nues. Quel beau sexe ! Je lui dis mon émerveillement puis me tournai vers Benoît et, regardant sa queue, lui dis mon admiration pour la sienne aussi. Leurs deux glands étaient dégagés. Ils étaient beaux. Le regard d'Albert alla de la queue de Benoît à la mienne. Il me dit:

- Toi aussi tu es beau ! ... Je peux te toucher ?

J'approuvai et approchai de lui jusqu'à ce que mes jambes touchent le divan entre les siennes. Les mains d'Albert montèrent le long de mes cuisses vers mes couilles. Elles étaient douces et adroites. Son visage approcha. L'instant d'après, les couilles installées dans ses mains savantes, ses lèvres s’arrondirent autour de mon gland. Je gémis de bonheur.

Il me suçait divinement. Benoît s'était rapproché. Ma main s’enroula autour de sa queue et la malaxa doucement. Sa queue était dure et chaude. Benoît tomba alors à genoux près d'Albert qui, maintenant se masturbait sans gène en me suçant. Albert lâcha ma queue et il regarda Benoît dans les yeux. Puis il orienta ma bite vers les lèvres de son ami qui s'en saisirent goulûment.

C’était divin! Nous étions nus, ma queue passait d'une bouche à l'autre et mes deux jeunes diables me dévoraient le sexe en se masturbant. Ils avaient de belles queues. Je n’étais plus seul. Ils m’avaient accepté au cœur de leur intimité sexuelle.

Quand je me sentis près d'exploser sur leurs langues, je leur retirai ma bite et tombai à genoux devant Albert, entre ses cuisses. Il tremblait. Mes deux mains glissèrent sur ses cuisses et remontèrent vers son sexe. Quand je pris sa queue dans mes doigts il sursauta. Je lui souris et me penchai vers elle.

Je passai la langue sur son gland doux et chaud et l'instant d'après toute sa queue disparaissait dans ma bouche et mes doigts jouaient avec ses jeunes couilles. Je le suçai tout un temps. Je sentais les doigts agiles de Benoît jouer sous mon ventre avec ma queue.

Puis ma bouche lâcha la queue d'Albert qui n'était plus loin de la jouissance. Je pris ses deux cuisses et les relevai complètement contre son ventre. Ainsi il m'offrait tout son cul. C’était beau ! Je sentais dans son regard toute sa surprise de se trouver offert ainsi, tellement nu, à mes désirs. Il semblait aimer son exhibition et l’excitation qu’il sentait m’apporter ainsi. Mes lèvres se posèrent sur ses couilles que je léchai un moment, puis elles descendirent vers cette petite étoile rose qui m'attirait si follement depuis que je l'avais vue sur le point d'avaler le beau gland de Benoît. Elle était là, offerte comme une fleur. Ma bouche s'y posa. Ma langue tourna dessus puis plongea immédiatement dedans. Albert poussa un long gémissement et Benoît se pencha pour voir ce qui se passait. Benoît dit :

- Oh Albert ! Il est vicieux !

- Oui ! Mais que c'est bon ! On devra le faire à nous deux aussi.

Je continuais mon baiser et Albert s'y donnait complètement. Visiblement il découvrait quantité de plaisirs. Il n’avait pas du vivre déjà beaucoup de choses avec Benoît. J’allais pouvoir leur apprendre beaucoup et me délecter de leur plaisir de tout découvrir.

Il tenait ses cuisses relevées et ses jeunes mains écartaient maintenant ses fesses pour donner totalement son anus à mes lèvres. Tout indiquait qu’il adorait le travail de ma langue. Les mains de Benoît, glissées sous mon ventre, me masturbaient exquisément. Je sentais ma queue gonflée et raide dans ses doigts. Elle semblait leur plaire beaucoup car ils s’enroulaient amoureusement autour d’elle.

Alors je me relevai, pris ma bite dressée dans ma main et frottai mon gland chaud sur ce joli anus mouillé. Je dis à Albert :

- Albert, j’ai envie de toi... Je veux te la mettre... Je peux ? Je ferai très doucement je te promets.

Il me regarda dans les yeux, gémit sensuellement, et approuva. Je me tournai vers Benoît et lui demandai :

- Benoît... Ca ne te choque pas ?

- Oui prends le ! Je veux vous voir ! C’est beau votre désir l’un pour l’autre.

Albert gardait ses cuisses en l'air. Tout son cul m'était offert et je voyais son anus rose, tout mouillé de salive, palpiter doucement. Tous les trois on regarda l'anus d'Albert s'ouvrir sous la poussée de mon gland et l’avaler doucement.

- Oh tu es gros ! … Attends un peu… Ahhhhh !

Benoît se masturbait doucement en regardant cet anus rose contenant un gland.

- Vas y ! Enfonces toi plus maintenant !

Très lentement je glissai toute ma bite en lui jusqu'aux couilles.

- Oh tu es gros ! Tu vas loin ! Comme tu me tiens par le cul !

Albert gémit longuement. Je me couchai sur lui, l'enlaçai et l'embrassai au coin des lèvres. L'instant d'après ses lèvres glissaient sans gène sous les miennes. Il voulait le baiser. Nos lèvres s’unirent intimement et nos langues s'enroulèrent l'une à l'autre avec passion. Ce gamin aimait faire l’amour. Il aimait le plaisir qu’il découvrait ! Il adorait toutes les sensations de notre union et de cette queue en lui. Il se découvrait un amour pour son amant et avait envie de me le déclarer. Mais son corps et ses lèvres me parlaient pour lui.

Je sentis alors Benoît plonger derrière moi. Ses mains écartèrent mes fesses et sa bouche se posa sur mon anus. Je compris son désir. Je les avais surpris quand il essayait d'enculer Albert. La surprise et la peur de mon jugement l'avait coupé net. Mais la vue de ma bite dans l'anus d'Albert faisait subitement renaître ce désir en lui bien plus violemment encore. Et puisque j'enculais son ami il se sentait certain que je ne lui refuserais pas ses droits à la jouissance. A la limite il me sentait plus vicieux encore qu'Albert et écarter mes fesses pour plonger dedans lui plaisait quelque part plus encore.

Je m'immobilisai planté jusqu'aux couilles dans le cul d'Albert qui me demanda d'une voix sourde:

- Il t'embrasse comme tu m'as embrassé... avec sa langue ?

- Oui ! C'est exquis ! Il le fait bien !

- Oh vous êtes vicieux tous les deux ! Vas profondément Benoît ! C’est si bon une langue ! Tu devrais sentir comme il bande en moi !

La langue de Benoît enchantait mon cul. Je restais plongé loin dans l'anus d'Albert et nous nous embrassions follement sur les lèvres. Je sentais ses couilles et sa queue rouler entre nos ventres. Son anus serrait convulsivement ma bite comme s’il voulait lui dire toute sa passion. Sa langue glissait coquine entre mes lèvres pour agacer mes sens. Il cherchait visiblement à me séduire et à m’exciter plus encore. Il devenait totalement complice de notre union et de nos plaisirs.

La bouche de Benoît disparut subitement et fut remplacée par un autre contact que je reconnus immédiatement. Je gémis pendant qu'il se poussait en moi. Puis il se coucha nu sur mon dos. Albert vit apparaître le visage de Benoît à côté du mien.

- Oh Benoît ! Tu... Tu es dans son cul ?

- Oui ! Et quel cul merveilleux !

- Ooohh !... A trois !... On est unis à trois !... Oooohhh ! C’est boooon ! Si j'avais su que c'était si bon je l'aurais fait depuis longtemps ! Oh Pat ! Comme tu es gros en moi ! Comme tu me remplis ! Comme tu me tiens par tout le cul ! J’ai l’impression que je ne pourrai plus jamais m’échapper à ton emprise.

Et nos trois corps commencèrent alors à bouger ensemble, attachés l'un à l'autre. Les mains et les lèvres couraient sur la peau nue. La jouissance monta lentement en nous, fut folle et nous emporta à trois. Les deux culs envahis reçurent avec délices leurs chaudes giclées et Albert gicla follement son sperme entre nos ventres nus les mouillants et les rendant glissants l'un sur l'autre. Puis nos queues dégonflèrent et nos corps se séparèrent. Je sentis la queue de Benoît sortir molle de moi et la mienne glissa hors du cul d'Albert. Je me penchai vers lui, l'embrassai puis mes lèvres descendirent encore et j’allai lécher son sperme sur sa queue et son ventre. Puis je me redressai et lui demandai :

- Tu as aimé ?

Il me répondit:

- Pas aimé ! Adoré ! Tu me prendras encore ? J’adore coucher comme ça avec toi !

Je me tournai vers Benoît et lui caressai les couilles en lui demandant :

- Je t’ai bien senti gicler en moi. Je sentais tous tes jets. Tu avais l’air de jouir beaucoup.

- Oh oui alors ! Qu'est ce que j'ai joui ! Excuses moi ! Ton cul est plein de mon jus !

Je ris et répondis :

- J'adore ça ! Les jus d’amour d’un beau petit mâle !

Albert rit et ajouta :

- Mon cul aussi est tout plein de jus de tes couilles. Moi aussi je sentais tous tes jets. Aaahh j’adore !

Je me relevai et tendis les deux mains à Albert pour l’aider à se redresser. Debout je les serrai tous deux, nus l'un contre l'autre, dans mes bras et leur dis :

- Alors ? Pat est finalement moins con que vous ne le pensiez ? Faites très attention tous les deux que les parents d'Albert ne remarquent rien ! Moi je continuerai à veiller sur vous... mais en m'assurant que dès qu'ils sont partis vous soyez nus tous les deux. Maintenant vous pourrez jouir tout votre soul à vous deux devant moi. Et si vous le souhaitez j’aimerais vous donner des cours très particuliers ! … Théoriques et pratiques… Ca vous va ?

Ils se serrèrent contre moi et Albert répondit :

D'accord à condition que toi aussi tu te mettes à poils dès qu'ils sont partis et que tu laisses parler tes désirs avec nous ! Je veux encore sentir tes désirs et ton plaisir loin en moi. J’ai adoré ça ! Ce désir et ce plaisir mâle en moi. Il faut que Benoît le vive aussi.

Contre nos ventres la queue de Benoît gonflait à nouveau et se redressait. On la regarda à trois et je dis à Albert :

Regarde Albert ! Il a encore envie ! Embrasses le ! Tu vas le faire bander bien plus fort.

Albert rit et interrogea Benoît du regard. Ils n’avaient visiblement jamais fait ça. Mais l’accord entre eux était presque palpable. Leurs lèvres se joignirent et Albert glissa même la langue entre les lèvres de son ami. Leurs deux corps qui s’aimaient nus contre le mien me plaisaient. Leur baiser dans mes bras se fit sensuel et passionné. Quand le baiser se termina on regarda tous trois le sexe complètement érigé de Benoît caressant le ventre d’Albert. C’est vrai que ce baiser l’avait fortement excité.

Je les entraînai alors à l'étage, sur le lit d'Albert, qui était le seul lit double en dehors de celui des parents. On s'y jeta nus à trois, on s'enlaça, s'embrassa et je les fis coucher l'un avec l'autre, d'abord Benoît dans le cul d'Albert pour qu’il l’ait enfin, puis Albert dans le cul de Benoît. Ils adorèrent ça ! Mais leurs amours m’excitèrent fameusement. Je les pris alors à mon tour l'un après l'autre dans les bras, plongeant ma bite dans leurs anus glissants du sperme tout frais de l'autre. Je jouis follement dans chacun de leurs deux culs.

Après une bonne sieste très tendre et réparatrice, enlacés nus à trois sur le lit, on papota de sexe et de plaisir. Je me mis à les masturber tous les deux et, oh surprise, leurs deux queues se dressèrent à nouveau sous mes doigts. Ils avaient bien dormi et en voulaient encore ! Mais cette fois c’était moi qu’ils voulaient tous deux. Albert se mit à me sucer avec passion la bite. Benoît nous regardait en se caressant. Il vint tout près de moi et se mit à m’embrasser sur la bouche et à sucer mes tétons. C’était délicieux !

Puis ils se glissèrent tous deux contre moi laissant leurs mains courir partout sur mon corps. Leurs deux visages se rejoignirent au dessus de mon sexe tendu qu’ils se mirent à dévorer ensemble. Leurs deux bouches enchantaient ma bite. Nos trois corps roulaient ensemble se rejoignant sans cesse autrement. Mes mains glissaient sur leurs dos et leurs fesses, sur leurs sexes et leurs couilles aussi. Je glissai un doigt dans l’anus d’Albert qui gémit sensuellement.

Alors ils me demandèrent de me mettre à quatre pattes. Albert glissa tête-bêche sous moi et, le visage sous ma queue, vint tenir la bite de Benoît pendant qu’elle se poussait en moi. J’étais devenu leur jouet sexuel à tous deux. J’écartai bien les cuisses, et leur donnai ce qu'ils désiraient, tout mon cul et mon sexe !

Je connus là un plaisir inouï que je n'avais jamais connu jusqu'alors. Je n'avais jamais été possédé que par un seul homme. Avec eux c'était de la frénésie. Ils me poussèrent sur le ventre le cul bien en l’air. Ils me possédaient en s'entendant bien entre eux pour s'échanger sans cesse la place dès qu'ils arrivaient au bord du plaisir. Je ne savais plus pour finir qui était en moi et qui je suçais. Ayant déjà déchargé avant, ils étaient plus lents à la détente et ce fut un long et lent accouplement avec eux deux.

Ils finirent par jouir l'un et l'autre longuement en moi et quand je me relevai leurs spermes mêlés coulaient de mon anus le long de mes cuisses. Ils s'amusèrent alors à le lécher en remontant la piste jusqu'à mon anus. On se précipita à la salle de bains où on se lava mutuellement, nus à trois dans le bain.

Puis on remit nos maillots et on alla faire une promenade émaillée d'enlacements et de baisers, nos mains descendant souvent le long des ventres dans les slips des autres.

Quand les parents rentrèrent ils trouvèrent trois garçons bien fatigués par une longue promenade et qui semblaient mieux s’entendre. S'ils avaient su que nous nous étions surtout promenés dans le paysage de nos trois anatomies et de nos sensualités !

On s'endormit comme des masses ce soir là et on dormit tard le lendemain. Mais dès que les parents d'Albert furent à nouveau partis, les maillots volèrent et on se retrouva nus à trois dans son lit tout heureux de nous retrouver.

Ah la douceur de la peau des autres, leurs beaux sexes mâles dans tous leurs états de la beauté calme à la tension de l’érection et puis cette commune passion sexuelle intense et intime ! Nous étions si bien et si libres à trois. Entre nous trois le plaisir semblait couler d’un corps à l’autre et tout envahir. Nous étions tous trois entièrement offerts aux deux autres.


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