Aprentissage D'Une Quarantenaire

Il y a quelques jours je finissais un chantier chez des clients tres BCBG. Le dernier jour nous avons finit en début d'après-midi.
Après avoir tout vérifier la femme tatillonne comme pas deux nous dit
- Et bien tout va bien nous vous ferons parvenir votre chèque par la poste.
- excusez-moi mais ce n’est pas ce qui a été convenu, je devais avoir le chèque à la fin des travaux.
- je sais mais c’est mon mari qui a le chéquier.
- écoutez il va falloir trouver une solution mais je ne suis pas sûr qu’elle vous convienne.
Elle : environ 45 ans blonde avec de jolie attributs. Ce genre de femme qui n’a pas d’autre préoccupation que sa coiffure ou se qu’elle va porter. En l’occurrence une jupe à volant à fleurs sur des collants ou bas blanc et un chemisier blanc brodé de fleurs.
- dites toujours on verra bien
- pour patienter jusqu'à ce soir nous pourrions passer un moment agréable.
- vous n’y penser pas, vous êtes complètement fou.
Se faisant je l’attirais contre moi d’une main pendant que l’autre passait sous sa jupe caressant ses fesses.
- allez laisse toi faire c’est tellement plus agréable.
Ma main avait attrapé sa culotte que je tirais vers le bas. Très vite sa culotte se retrouva sur ses pieds.
- mais enfin que faites vous ?
- je m’apprête a baiser une jolie femme. Ne me dis pas que tu ne sais pas ce que c’est ?
Tout en remontant sa jupe laissant apparaître ses fesses et son joli minou avec sa touffe très soigneusement taillée.
- je sais très bien ce que c’est mais je n’ai pas l’habitude de le faire de cette façon.
- il y a un début à tout.
Tout en l’embrassant je dégrafais son chemisier laissant apparaître un soutient gorge avec agrafe devant qui fut d’ailleurs enlevé très vite.
- mais enfin je ne suis pas ce genre de femme. Je ne veux pas, dit elle en soupirant.
Je la poussais dans le canapé. Elle se retrouva allongée les seins à l’air, sa jupe été retombée sur ses cuisses.

Pendant que je me déshabillais je lui dis.
- relève cette jupe qui cache ta chatte (elle s’exécuta) maintenant écarte bien ces jolis jambes (timidement elle obéissait) avec tes mains écarte bien les lèvres de ta chatte (maladroitement elle le fit)
Je me mis donc à lui lécher la chatte avec vigueur, elle gémissait de toutes ses forces. Puis je mordillais son clito, lui enfilant un doigt puis deux. Elle émettait de petits cris avec retenue.
- laisse toi aller, cris si tu en as envie.
- ho oui c’est bon je joui
Tout en continuant à la masturber je mordillais et léchais son sexe avec force. N'y tenant plus elle criait tout en jouissant.
- bon à moi maintenant
Lui présentant mon sexe
- que dois je faire ?
- tu n’as jamais sucé une queue ?
- non jamais.
- prend dans ta bouche entre tes lèvres puis tu fais des va et viens comme si tu suçais un esquimau.
Elle s’exécuta
- Prend mes couilles dans ta main et pompe… tu es douée pour une première pipe.
Je pris sa tête entre mes mains et lui donnant le rythme je dis
- tu suces bien ma salope quelle bonne bouche et en plus je suis sûr que cela te fait mouiller.
Je touchais son sexe et effectivement elle était trempe.
- maintenant je vais te fourrer la chatte.
Je la basculais dans le canapé lui faisant tenir ses cuisses avec ses mains, je me laissais tomber sur elle. Elle gémissait déjà comme si je la fourrais depuis quelques minutes.
- ho oui encore c’est bon ho lala jamais je n’ai sentit tout ça.
- jusqu'à ce jour tu n’as été qu’une mal baisée mais je te promets de changer tout ça et faire de toi une femme qui aime la bite une vrais suceuse de glands, une accro de la braguette.
- ho oui soit cochon fait moi encore des choses c’est bon
Elle se mit à jouir encore plus fort que la première fois. Je décidais de sucer à nouveau sa fente trempée étalant par là même son foutre entre ses fesses. Puis mon doigt s’égara sur son anus, le titillant puis il glissa à l’intérieur elle saisit ma tête et l’écrasa sur son sexe pendant que mon doigt allait et venait dans son cul.
Puis ma langue insista longuement sur son anus, alternant ma langue et mon doigt je l’entendais gémir et dire.
- ho oui que c’est bon ho oui encore.
- je pense que tu es prête, retourne toi, à quatre pattes.
Elle s’exécutât sans discuter.
- écarte tes fesses
Ses mains attrapèrent ses fesses et elle les écarta, je posais mon gland sur son cul et je commençais à exercer une pression sur son anus. Mon gland disparu entre ses fesses.
- HO ça fait mal.
- Mais non laisse moi faire
Je ressorti mon gland et aspergeai son cul de salive. Puis je recommençais, m’enfonçant un peu plus.
- HO c’est gros ça brûle.
Pour ne pas la laisser se retirer je la saisi par les hanches et continuais de m’enfoncer en elle.
- ho c’est trop gros
- mais non laisse toi faire.
Je continuais délicatement à m’enfoncer puis j’entrepris un va et viens
- ho c’est mieux
- tu vois c’est juste le début qui brûle un peu.
- tu sais je suis vierge par là
- plus maintenant y faut bien dire que t’es étroite du cul, toutes ses années assise sur ton cul sans savoir quel bien ça fait, quel gâchis.
Mon rythme s’était accéléré. Bientôt se fut de grands coup de queues que je lui mettais dans le cul.
- tu sens comment c’est bon
- ho oui c’est bon, encore
- petite femme modèle à midi et super salope à 17 heures. C’est ton mari qui va être heureux du changement.
Elle jouit encore, je l'imitais. Puis je sorti d’elle, son anus écarté laissait collé mon foutre. Elle se retourna.
- prend moi dans ta bouche et léche bien tout.
Docile, elle prit soins de ne rien laisser tant et si bien que je bandais de nouveau. Je la levai et l’appuyai contre la porte de l’entrée et la prit en levrette sans ménagement.
- tu vois c’est pas dur d’être une salope.
- ça m’excite quand tu me dis des choses.
- ça ne m’étonne pas, frustrée du cul
- ho oui
- quelle belle salope
- encore oui
- tu aimes la bite
- ho oui
- t’es une vraie cochonne
- ho oui alors
- sac à foutre
- hummm je vais jouir
- moi aussi vide couille.

Je défonçais sa chatte comme certainement elle ne l’avait jamais été.
Nous nous rhabillions.
Le visage baissé elle dit
- j’ai honte de mon comportement
- pourquoi tu n’as pas aimé ça ?
- si justement je me sens sale comme une traînée.
- n’es pas honte d’avoir pris ton pied mais plutôt de ne pas avoir commencé avant.
- jamais je n’avais ressenti ça avant tu sais dans mon milieu on ne fait pas ça comme ça.
- si tu trouves une excuse pour que je revienne. Je viendrais te fourrer chaque après-midi, lui dis-je en l’embrassant et en saisissant son cul à pleines mains

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