Les Confidences D'Un Couple Border Line
Depuis quelques temps, jécris dans une revue pour adultes, qui publie notamment les confessions érotiques de ses lecteurs.
Au début de lété, on ma demandé de prendre contact avec un couple libertin, Lucie et Simon, habitant non loin de chez moi, et qui avait une aventure peu ordinaire à raconter. Compte tenu des faits, mon rédacteur en chef voulait que je les écoute, et que je trouve matière à un article qui ferait laccroche du numéro de rentrée de la revue.
Il faisait chaud, en ce début juillet, quand je suis arrivée devant une belle villa entourée dun haut mur de clôture. Jai sonné, et un séduisant quadragénaire est venu mouvrir. Il était brun, avec quelques premiers cheveux blancs, grand et mince, habillé dans un style décontracté mais élégant.
Je me suis présentée, et il ma conduite sur une grande terrasse, où sa femme nous a rejoints.
Lucie était manifestement plus jeune que lui je lui donnais trente ans au grand maximum. Des cheveux auburn en bataille, une peau cuivrée, des yeux verts. Cétait un petit gabarit, fine, avec de longues jambes, une poitrine qui tendait à éclater un débardeur très décolleté, et une chute de reins affolante mise en valeur par un micro short.
Simon nous a apporté des rafraîchissements, et le couple ma raconté son histoire, vraiment peu ordinaire.
Ils mont permis denregistrer ce quils me confiaient, et jai tout de suite imaginé la manière dont je présenterai mon article : après une courte présentation, je les ferai parler lun après lautre, pour que chacun raconte, de son point de vue, ce qui sétait passé, et exprime son ressenti
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Jai dit en introduction que Lucie et Simon formaient un couple libertin, et ils mont avoué quils avaient fait de très nombreuses expériences, cherchant à dépasser presque tous les tabous à lexception de quelques pratiques quils trouvaient trop dangereuses ou dégradantes.
Lucie était dun tempérament volcanique en matière de sexe. Elle ne cachait pas son côté insatiable, sa capacité de jouir à répétition, et elle était toujours en quête de nouvelles expériences, de situations inédites. Un fantasme en particulier la hantait
Simon était aussi un véritable jouisseur, et il prenait un plaisir extraordinaire à admirer les exploits de sa femme. Loin de la freiner, il lencourageait, au contraire, à aller toujours plus loin. Aussi, après que Lucie lui ait fait part de son dernier fantasme, il a décidé de lui faire la surprise de le réaliser.
Mais je leur laisse la parole
LUCIE
Cétait à la mi-juin, en fin daprès-midi.
Il faisait très chaud, et Simon ma annoncé quil me réservait une surprise, dont je me souviendrai longtemps. Il ma aidée à choisir ma tenue, mais il na pas voulu men dire plus.
Il ma dabord donné des instructions très précises sur mon maquillage : mes yeux très fardés, un gloss brillant mettant en valeur mes lèvres, une crème légèrement teintée accentuant mon bronzage intégral.
Côté vêtements, je devais être sexy, à la limite de lindécence (jen ai déduit que nous allions dans un lieu public). Jai donc enfilé un bustier à fines bretelles, coupé dans un mince coton blanc, et qui laissait deviner les petites aréoles grenues de mes seins, libres. Un string minuscule, en dentelle rouge vif. Et une minijupe en lin, rouge également, cachant juste ma chatte et mes fesses.
Pour compléter le tout, Simon a choisi pour moi mes stilettos aux talons les plus hauts, retenus par une fine lanière autour de mes chevilles. Et il a insisté pour que je mette de lourds bijoux, clinquants, mais sans valeur.
Je me suis admirée dans la glace, et jai pensé que je risquais de me faire sauter dessus par le premier mâle que je croiserais. Mais si lhomme me plaisait, pourquoi pas
Au contraire, même !
SIMON
Moi aussi, jadmirais Lucie, incroyablement excitante dans cette tenue.
Nous avons rejoint ma voiture, et jai ouvert la portière à Lucie, pour quelle sinstalle. Sa minijupe est remontée sur ses cuisses et, même si je connais son corps par cur, jai senti mon sexe gonfler dans mon jean.
Nous avons traversé la ville. Le jour baissait, et nous sommes arrivés dans une forêt touffue, que les habitants de la région considérait comme peu fréquentable, à partir de la tombée de la nuit. Mais Lucie ne savait rien de cette réputation
Jai engagé la voiture dans un chemin de terre, et je suis descendu au bout dune centaine de mètres. Jai alors demandé à ma femme de prendre le volant, de garer la voiture un peu plus loin à lentrée dun autre chemin sur la droite, et de descendre pour mattendre. En lui précisant que je ne la rejoindrai pas tout de suite
Jai suivi la voiture des yeux, pour vérifier que Lucie respectait bien mes instructions. Je me suis enfoncé dans les buissons, et je lai vue descendre, là où je le lui avais dit.
LUCIE
Je me demandais vraiment ce que Simon mijotait. Mais il est resté sourd à mes questions !
Jai garé la voiture, je suis descendue, et jai commencé à marcher sur le chemin. Heureusement, il navait pas plu depuis plusieurs semaines, car sinon jaurais été incapable de rester debout sur mes talons aiguilles.
Jai fait quelques pas sur le chemin.
Le temps était chaud et lourd, orageux. Tout semblait désert autour de moi.
Je me rappelle avoir pensé quil valait mieux que je ne sois pas peureuse, pour me retrouver seule dans cette forêt, alors quil faisait bientôt nuit.
Cest à ce moment là que jai entendu du bruit dans les fourrés, et que jai cru apercevoir des silhouettes.
SIMON
Javais trouvé le poste dobservation idéal. Au pied dune cépée de bouleaux, entourée de buissons de ronces qui me dissimulaient aux yeux de Lucie.
Je ne pouvais pas mempêcher dadmirer sa plastique. Et quand je pensais à ce qui lattendait, je me mettais à bander comme un taureau.
Jai sorti une petite caméra, pour immortaliser en vidéo ce qui allait se passer.
Mais pendant plusieurs minutes, rien ne bougea. Je commençais à craindre davoir raté mon coup.
Et puis enfin, je distinguai des silhouettes qui se déplaçaient en essayant de se cacher, sur le côté du chemin. Elles marquèrent un temps darrêt, et deux dentre elles se rapprochèrent. Je réussis alors à voir deux hommes, grands, qui sortaient des buissons et se dirigeaient vers Lucie.
LUCIE
Les bruits dans les fourrés sétaient rapprochés. Javais dabord craint quil sagisse dune bête sauvage, et je frissonnais à lidée de me retrouver nez à nez avec un sanglier. Quelle idée avait eue Simon, en me laissant seule à cet endroit !
Puis jai fini par distinguer deux silhouettes. Deux hommes
Ils étaient grands. Lun était jeune, brun, plutôt baraqué. Lautre était beaucoup plus vieux, avec des cheveux blancs.
Ils sont sortis des buissons, et se sont dirigés vers moi, lair goguenard.
- Alors, ma belle, ma demandé le plus vieux, tas pas peur de te promener toute seule ici ?
Jétais paralysée par le regard vicieux de cet homme, oubliant ma témérité habituelle.
- Ça ma tout lair dune pute, a ajouté le second avec un fort accent, ou dune salope qui a envie de se faire baiser.
Quest ce qui allait se passer ? Les images se bousculaient dans ma tête.
Je repensais à ces vidéos que javais regardées avec Simon. Des filles, en quête dexpériences extrêmes, qui voulaient être livrées à des groupes de mâles en rut, pour connaître les frissons de la peur, et la sensation de devenir des objets sexuels, totalement soumises à des hommes.
Javais dit à Simon que je fantasmais sur ce genre dexpériences, lune des seules si ce nest la seule que je navais jamais tentées.
Instinctivement, jai fait quelques pas en arrière, mais les deux hommes me serraient maintenant de près, et leurs mains se sont posées sur mes seins et mes fesses.
- Elle a même pas de soutif ! sexclama le plus jeune.
SIMON
Je navais pas pu entendre distinctement ce que les deux hommes disaient à Lucie, mais je devinais de quoi il sagissait.
Jai commencé à filmer la scène.
Javoue que je nen menais pas large non plus. Jamais Lucie ne sétait mise en danger à ce point, et je me sentais responsable de tout ce qui pourrait lui arriver de grave, car je la mettais dans cette situation à son insu.
Ils nétaient que deux
pour linstant, car je me doutais que dautres hommes les rejoindraient. Surtout avec une proie de choix, comme ma Lucie !
Je les ai vus se rapprocher delle, commencer à la caresser à travers ses vêtements
. Les choses "sérieuses" allaient commencer.
LUCIE
Jai eu moment de panique, lorsque les mains des deux hommes se sont posées sur moi. Le plus jeune malaxait mes seins, et malgré ma peur, les pointes se sont dressées, bien visibles à travers mon bustier. Le vieux touchait mes fesses, et il a soulevé ma jupe.
- Putain ! Tas vu ce cul ? Et cest pas son string qui cache quelque chose !
Ma peur a redoublé en apercevant une nouvelle silhouette sortir des buissons.
Jai voulu fuir, mais déjà le troisième homme me barrait le chemin.
Les deux premiers mont rattrapée et immobilisée. Le jeune a voulu dégager mes seins du bustier, et en me défendant, le seul résultat que jai obtenu a été de déchirer une bretelle. Je me suis retrouvée la poitrine à lair, avec un morceau de tissu accroché à mon épaule.
Le plus vieux, lui, semblait plus intéressé par ma chatte et mes fesses. Il a retroussé ma minijupe, la roulant autour de ma taille.
Jai senti ses doigts se glisser dans le minuscule triangle de mon string, et lécarter tout en caressant mon mont de Vénus.
- Et en plus, elle est toute lisse, la salope. Elle a envie de nous montrer sa fente !
Jenrageais dêtre traitée de cette façon par deux gros ploucs. Jai voulu me débattre, mais mon string na pas résisté, et le vieux la montré aux deux autres, comme un trophée.
SIMON
Jétais hypnotisé par ce que javais sous les yeux
Lucie cherchait à résister, elle se débattait. Mais elle nen paraissait que plus désirable. Surtout lorsquelle se retrouva seins nus, et quand le vieux a retroussé sa jupe.
Et quand le string sest déchiré ! Sa chatte et ses fesses découvertes
Je filmais tout ce qui se passait, réussissant à faire quelques zooms qui seraient sans doute excitants à regarder !
Le troisième homme sest déplacé, pour écarter les cuisses de ma jolie femme, et admirer son minou glabre et ses grandes lèvres, et jai entendu son commentaire.
- La vache ! Elle coule vachement, elle en a sur les cuisses.
- Ça métonne pas, a renchéri le vieux, ça se voit que ça lexcite de sexhiber. Et je suis sur quelle a envie dautre chose encore. Tu aimes sucer, hein, salope ? Tu vas être servie !
LUCIE
Les deux autres me tenaient par les poignets, minterdisant toute fuite.
Je ne pouvais pas détacher mon regard du pantalon gonflé du vieux. Tout en me fixant avec un air pervers, il a dégrafé sa ceinture, ouvert sa braguette, et baissé dun seul geste son pantalon et son slip.
Il ma empoignée par les cheveux, et il ma obligée à magenouiller devant lui. Jétais toujours maintenue par les deux hommes, et le sol caillouteux du chemin blessait mes genoux.
Je regardais le sexe dressé devant moi, et javais peine à imaginer que cétait celui dun homme âgé. Il me semblait énorme, avec une longue tige parcourue de veines apparentes, un gland turgescent et, en dessous, de grosses bourses velues.
Je neus pas le loisir de lobserver davantage, car lhomme a guidé son dard vers ma bouche, en me criant :
- Allez, suce, espèce de pute !
Il ne ma pas laissé le choix. Il tenait ma tête fermement entre ses mains calleuses, et jai bien été obligée décarter les lèvres au maximum, tant son gland était gros. Il sest enfoncé, jusquau fond de ma gorge, et javais du mal à respirer.
Il sest mis à aller et venir dans ma bouche, brutalement, comme sil me baisait. Je narrivais pas à reprendre mon souffle, je hoquetais, mais il nen avait cure. Seule la poursuite de son plaisir lui importait.
Je sentais des mains pétrir mes seins, mes fesses, fouiller ma chatte, et jentendais des commentaires.
- Mais cest quelle aime ça ! Elle est trempée !
- Ouais ! Et tas vu comment ses nibards pointent ?
SIMON
Resté à lécart, caché, était un vrai supplice pour moi. Je bandais comme un taureau. Heureusement, mon rôle de vidéaste moccupait.
Je me demandais ce que ressentait Lucie.
Je lavais déjà vue, dans des partouzes, prise brutalement par les mecs quelle avait excités à mort. Mais là, être obligée de sucer un homme qui lui était totalement inconnu, devant ces voyeurs
Cétait bien le contexte sur lequel elle fantasmait, et jétais sure quelle allait finir par rentrer dans le jeu, tout en jouant à merveille la victime effarouchée dune agression.
LUCIE
Malgré ma peur, je narrivais pas à réprimer mon excitation.
Jétais lobjet du désir de ces hommes. Qui plus est, je lavais porté à son paroxysme, avec ma tenue.
Même si, dans ma tête, je continuais dappeler Simon à laide, je commençais à trouver du plaisir à être soumise, traitée en objet sexuel.
Le vieux continuait à pilonner ma bouche, mais jarrivais maintenant à le sucer vraiment, à lécher son gland, à mordiller sa tige, à sa grande surprise.
- Oh putain ! La salope !
Quest ce quelle suce bien !
Elle aime çà, dit-il dune voix hachée par les grognements de satisfaction.
Et bientôt, un jet de sperme, épais et chaud, inonda ma bouche.
La pression des mains de lhomme sur mes tempes se relâcha, et il se retira en laissant un filet de semence sur mon menton.
Mais je savais dinstinct que ces types nen avaient pas fini avec moi. Au contraire
SIMON
Je continuais de filmer, mais je navais pas pu résister au besoin de me caresser à travers mon jean, tant jétais excité de voir Lucie dans cette position.
Javais entendu les commentaires du vieux, qui me confirmaient quelle commençait à prendre du plaisir, et je me suis dit que mon plan était en train de réussir.
Au moment où il libérait la bouche de Lucie, jai aperçu deux autres hommes, qui sortaient à leur tour du bois. Ma petite femme allait être comblée !
LUCIE
Je peinais à reprendre ma respiration.
Jétais encore agenouillée, et je vis deux hommes en plus autour de moi. Ils étaient maintenant cinq, en tout. Oh putain ! Est ce que jallais devoir les satisfaire tous ? Jen tremblais davance, autant de crainte que dexcitation.
Mais, dans limmédiat, cétait le plus jeune des deux hommes qui mavaient abordée qui voulait soccuper de moi. Contrairement à son copain plus âgé, ce nétait pas ma bouche qui lintéressait. Il navait pas lintention de se contenter dune pipe !
Heureusement, je ne sais pas doù elle sortait, mais quelquun avait apporté une couverture. Une vieille couverture e, à la propreté incertaine, quon étala sur les herbes folles, au bord du chemin. Elle avait au moins lavantage de méviter le contact des cailloux.
Mon nouveau "partenaire" avait décidé de me baiser. En levrette.
Je me surpris à protester, affolée :
- Quest ce que vous voulez me faire ?
Non ! Je ne veux pas !
Mais je ne fis que provoquer des ricanements gras.
Aidé dun autre homme, il mempoigna par les bras pour me faire magenouiller, et me cambrer. Je savais que, dans cette position, joffrais ma vulve toute lisse, et je sentais ma cyprine sourdre entre mes petites lèvres.
Prestement, il baissa son pantalon et son slip. En jetant un coup dil en arrière, je découvris un énorme sexe dressé, et il bloqua mes hanches pour enfoncer son gland dans mon minou.
Jai poussé un long cri rauque, pendant tout le temps où il ma pénétrée. Javais limpression que son dard était dune longueur anormale, et il ne me fit pas grâce dun seul centimètre.
SIMON
Lucie était en train de se faire prendre comme une chienne, et le cri quelle a poussé au moment où le mec la pénétrait ma attendri et excité.
Autour delle, un attroupement sétait formé, et jai pensé que ça devait combler son besoin de sexhiber. Plusieurs spectateurs ne se cachaient pas pour se branler. Mais tous ces hommes me gênaient pour la filmer, et jai été obligé de me déplacer, en faisant attention de ne pas me faire repérer.
Jarrivais quand même à cadrer Lucie dans limage, et jétais sur que le son restiait ses vocalises, car ma petite femme manifestait bruyamment les sensations que lui procurait la superbe bite qui coulissait dans sa fente.
LUCIE
Mon assaillant était vigoureux et endurant, et je ne pouvais pas cacher quil me donnait du plaisir. Surtout quand je regardais le groupe dhommes qui me matait.
Je bougeais moi-même mon bassin, pour varier mes sensations, et je contractais ma chatte spasmodiquement du pieu qui me perforait, pour exciter le type.
- Putain ! Quest ce quelle est bonne !, clama-t-il. Vous allez vous régaler !
Jétais trop occupée à savourer mon plaisir pour relever ces mots sur le moment, mais jai vite réalisé ce qui mattendait
Un orgasme ma submergée brutalement, sans que jarrive à le réprimer, et mes cris se sont transformés en hurlements. Ce qui a eu pour effet de faire jouir aussitôt mon "violeur".
Jai senti un premier jet de sperme gicler dans ma chatte. Il sest retiré tout en continuant à déverser son foutre sur mes fesses.
Jespérais un moment de répit, mais je me suis rendue compte que je me faisais des illusions ! A peine sétait il relevé que plusieurs mecs se jetaient sur moi, la queue à lair. Affolée, je me suis debout, et jai voulu menfuir.
SIMON
Jai bien vu le mouvement de panique de Lucie, et sa tentative de séchapper. Mais je savais quelle ne ferait quexacerber le désir de ses assaillants et des voyeurs.
Elle navait pas parcouru dix mètres, quelle était déjà arrêtée,entourée, immobilisée.
Elle sest débattue comme une forcenée, cherchant à repousser les mains qui cherchaient à lempoigner, frappant les plus entreprenants, essayant déviter dêtre davantage dévêtue.
Peine perdue ! Ils étaient trop nombreux. Je filmais toujours la scène, et jentendis un craquement sec, celui du bustier qui se déchirait complètement.
Topless, Lucie continuait de se battre. En vain. Un craquement encore plus sinistre mindiqua que les coutures de sa jupe navaient pas résisté.
Maintenant nue, Lucie a paru savouer vaincue. Elle ne cherchait plus à se dégager de lemprise de tous ces hommes que très mollement.
LUCIE
Lorsque tous ces types mont rattrapée et ont commencé à arracher mes vêtements, jai su ce qui allait marriver.
Ce que javais vu dans ces vidéos, mon ultime fantasme était en train de devenir réalité. Jétais vraiment dans la peau dune fille qui va se faire prendre en tournante, et javais peur. Et jétais encore plus effrayée, en ressentant lexcitation qui montait en moi, malgré cette peur.
Je me suis battue avec lénergie du désespoir, pendant que mon bustier et ma jupe partait en lambeaux, mais cette exhibition contrainte faisait darder mes tétons, et couler ma chatte.
Et puis, jai fini par renoncer à me battre. Même si jessayais encore un peu de les repousser, javais envie dêtre le jouet de cette horde de mecs en rut.
En regardant autour de moi, jai découvert une série de queues en érection. Certains avaient juste ouvert leurs braguettes, mais dautre enlevaient carrément leurs vêtements.
Deux hommes me tenaient par les épaules, et un de ceux qui étaient nus a empoigné mes cuisses, ma soulevé, et sans aucun préliminaire, il a enfoncé sa bite longue et dure dans mon abricot offert, en grognant.
Je me suis encore débattue mais il sest mis à aller et venir en moi, comme une brute. Mes plaintes se sont transformées en gémissements de plaisir, tant cette situation mexcitait maintenant.
SIMON
Voir Lucie, nue comme un ver, se faire prendre de force sous mes yeux ma excité aussi à un point que je nimaginais pas. Jai enlevé, moi aussi, mon jean et mon polo, et jai baissé mon boxer, tant javais besoin de me branler.
Je continuais à filmer malgré tout.
Lucie ressemblait à une poupée, tant son corps menu semblait minuscule entre ceux des malabars qui la pistonnaient.
Elle gémissait, elle criait, mais ses assaillants avaient compris quelle nallait pas tarder à jouir, et cette perspective les galvanisait. Un peu trop peut-être, car celui qui la baisait na pu se contrôler, et il a éjaculé, avant quun autre homme le remplace instantanément.
LUCIE
Je ne jouais plus la comédie de la jeune fille effarouchée. Cétait trop bon.
Si je me démenais maintenant, cétait pour exciter ces mecs et exacerber mon plaisir, et non pour tenter de me dégager.
Je sentais lénorme gland distendre les parois de mon fourreau inondé de mouille, dans un clapotis révélateur qui mettait les voyeurs en joie.
Je poussais des cris rauques, emportée par ce coït sauvage, et lhomme qui me possédait a joui soudain. Jai senti un torrent de sperme inonder ma chatte. Il sest retiré aussitôt, en continuant à arroser mon ventre et mes cuisses dun foutre épais.
Un autre type, le pantalon baissé sest rué sur moi, bousculant son comparse, quil a remplacé dans ma fente, avec la même furie.
Cette fois, cest moi qui nai pas pu me retenir davantage, et jai joui en hurlant. Mais, à ma grande déception, le second mâle a éjaculé trop vite. Jaurais voulu quil continue ainsi, sauf que les autres qui attendaient leur tour en ont décidé autrement.
SIMON
Jétais hypnotisé par le corps nu de Lucie, ballotté tel un fétu de paille entre ces hommes. Ses cris, ses hurlements
Après que le deuxième homme ait joui, je lai vu fugitivement, debout mais encore immobilisée, le ventre et les cuisses maculées de sperme.
Ceux qui la tenaient par les épaules réclamaient leur part de ce "gâteau" que représentait ma chérie, et il y eut une bousculade.
LUCIE
Tout un groupe dhommes se disputait maintenant, pour savoir lequel allait me prendre. Mais les plus costauds ont intimidé les autres, et les choses se sont vite calmées. Enfin "calmées" nest pas le mot le plus approprié !
Jai été ramenée sans ménagement sur la couverture. Sans quon me demande mon avis, je me suis retrouvée à genoux, et un des deux hommes qui me tenait juste avant ma prise par ma chevelure, et a présenté sa verge dressée entre mes lèvres.
A peine lavais je prise dans ma bouche, que je sentis des mains puissantes écarter mes cuisses, empoigner mes hanches, et ce que je devinais être une queue dure et grosse forcer sans ménagement lentrée de ma grotte. Mais cétait facile, avec le flot de mouille et de foutre qui linondait.
Lhomme avait décidé de me défoncer, comme sil voulait faire exploser mon minou, et je semblais minuscule et fragile, en comparaison du gabarit de mes assaillants et de leurs bites. Si celui que je suçais ne mavait pas maintenue par les épaules, jaurais été éjectée hors de la couverture.
Mais là, jétais bloquée, et les deux types me pénétraient de toutes leurs forces. Ma bouche et ma chatte, et en plus, ils étaient endurants !
Putain, jai honte de lavouer
. Mais quest ce que cétait bon.
Enfin, ils éjaculèrent lun après lautre, en grognant, après mavoir fait jouir encore.
Aussitôt, un autre type sinstalla entre mes jambes, pour investir mon con.
Il me pénétra avec plus de douceur, et se mit à aller et venir dans ma fente lentement, semblant savourer ce moment. Sauf que
javoue que cette douceur ne correspondait pas à mon état desprit du moment : jétais bien obligée dadmettre que javais plutôt envie dune bonne baise sauvage, brutale !
Heureusement, il a déchargé très vite, pour laisser sa place à un autre mec. Un black, plus que bien membré, qui simpatientait et qui empoigna mes fesses offertes.
SIMON
Je narrivais pas à détacher mes yeux de Lucie, prise sans discontinuer depuis près dune heure, par cette horde de mecs en rut.
A ses cris, à ses réactions, je savais quelle nétait pas rassasiée
Jai joui aussi, presque sans me masturber, tant le spectacle quelle offrait mexcitait aussi. Un long jet de foutre, épais, jaillit de mon gland turgescent, pour aller se perdre dans le fourré.
Lorsque jai aperçu le grand black qui lempoignait, je pressentais quelle allait se régaler. Mais je ne savais pas encore à quel point !
LUCIE
Ma bouche était libre pour linstant et jappréciais de pouvoir reprendre ma respiration. Ou exprimer bien fort ma jouissance.
Et avec ce que je venais de voir de ce black, surtout son monstrueux vit, je me disais que ça allait être ma fête ! Je les aime longues, bien grosses, mais là
Il a commencé par écarter mes fesses, avec une telle force que jai cru un instant que mon cul allait se déchirer, et presque aussitôt, jai senti la pression de son gland contre mes petites lèvres. Jai passé une main entre mes cuisses, pour ouvrir ma fente avec mes doigts. Il a poussé très fort
Et il a commencé à senfoncer en moi.
Cétait fabuleux.
Heureusement que jétais lubrifiée par ma mouille, et par tout le foutre qui sétait déversé dans mon minou, ça ma évité davoir mal. Car cétait un des plus gros pieux que jaie jamais reçu dans mon intimité !
Jai senti les parois de mon antre se distendre, au passage du gland gonflé. Le type sest mis à aller et venir doucement, pour me permettre de mhabi, me remplissant un peu plus profondément à chaque coup de reins. Et lorsquil entra en contact avec mon point g, ce fut un feu dartifice dans mon ventre.
Je me suis mise à hurler, ce qui a eu pour effet de lexciter encore plus. Et il sest déchaîné.
Il me baisait maintenant de toutes ses forces, en malaxant ma poitrine. Il utilisait mes seins pour me maintenir, car mes 48 kg étaient dérisoires par rapport à cette masse de muscle qui me soulevait à chaque pénétration.
Jai joui encore. Je navais pas compté mes orgasmes, et celui-ci était le plus violent.
Mais mon assaillant ne faiblissait pas. Et jai paniqué, en entendant un des voyeurs lencourager à continuer :
- Vas-y ! Tas vu cette pute ? Elle nen a jamais assez. Encule la, je suis sur quelle aimera aussi !
Affolée, jai senti mes fesses écartées de nouveau par les mains puissantes du black. Heureusement, il était conscient du problème, et il ma préparée avant lassaut.
Il a craché plusieurs fois dans ma raie, il a enduit ma rosette de salive, et il y a introduit dabord un doigt, le faisant tourner pour dilater un peu mon petit trou. Je me suis mise à gémir malgré moi, et jai eu droit à un deuxième doigt. Puis un troisième.
Lorsque jai senti quil retirait sa main, jai deviné que jallais me faire enculer. Sauf que là, jétais prête. jen avais envie, même en craignant davoir mal.
Et mes craintes étaient fondées
Jai crié, de douleur cette fois, quand le gland ma pénétrée. Lhomme navait pas lintention de renoncer, mais il a fait preuve de douceur.
Il sest enfoncé doucement dans mon cul, en marquant des pauses. Sans me faire grâce dun seul centimètre de sa queue. Jusquà ce que ses couilles sappuient contre mes fesses.
Après quil ait marqué une nouvelle et longue pause, lexcitation ma submergée de nouveau, et cest moi qui aie commencé à bouger mon bassin pour mempaler.
Il a été patient, endurant. Il ma laissée venir, contrairement aux autres brutes, et je voulais lui rendre le plaisir quil me donnait. Je contractais mon anus autour de sa tige, jondulais des hanches. Il a attendu que je crie « je vais jouir » pour éjaculer.
Jai senti le foutre fouetter mes entrailles, ressortir par mon petit trou, pulsé par les derniers mouvements de ce pieu couleur débène. Et jai joui en même temps, inondant encore mes cuisses de mouille.
Il sest retiré, mais déjà dautres hommes voulaient prendre sa place, et investir ma rosette encore béante.
SIMON
Je continuais de filmer. Ou, plus exactement, jessayais de filmer. Heureusement que ma caméra était équipée dun stabilisateur, car je me branlais comme un fou, en matant Lucie.
Lorsque jai vu la taille de lengin du black, jai eu peur pour elle. Surtout que je la savais capable de toutes les folies !
Jai été un peu rassuré, en voyant dans un premier temps quil "se contentait" de la baiser. Et jai imaginé ce quelle ressentait quand je lai vue et surtout entendue jouir.
Jai compris ensuite quil ne se satisferait pas de ça : il voulait aussi enculer ma petite femme ! Jai flippé, craignant quil la déchire. Jétais prêt à intervenir pour la sauver des griffes de ce type.
Mais lorsquelle sest mise à gémir, pendant quil lui doigtait lanus, jai su que, dans son for intérieur, elle était consentante. Je me suis souvenue de son fantasme de gangbang, de son désir dêtre le jouet dun maximum dhommes, et de se faire défoncer par tous les trous.
Alors, je suis redevenu spectateur, voyeur, partageant le plaisir que donnait Lucie à tous ceux qui lentouraient.
Et jai assisté, médusé et excité, à toute la scène.
Jusquà ce que le black se retire, la couvre de sperme, et laisse sa place aux autres.
LUCIE
Jétais épuisée, mais je mettais un point dhonneur à faire jouir le maximum de mecs et battre tous mes records.
Un autre homme sest agenouillé derrière moi pour investir mon cul. Sa queue était dune belle taille, mais mon petit trou était tellement dilaté quil ma pénétrée à fond, au premier coup de reins.
De mavoir vue jouir avant, et de se retrouver dans cette position, lexcitait, et il sest mis à aller et venir dans ma rosette de toutes ses forces, à un rythme infernal.
Je me suis mise à gémir de nouveau, mais un autre voyeur ma bâillonnée, en menfonçant sa bite dans la bouche. Instinctivement, jai pris sa tige dans ma main, et je me suis mise à le branler, en le suçant.
Je narrivais plus à jouir, mais je ressentais un plaisir dune autre nature, plus cérébral, la fierté de moffrir à qui me voulait et de le faire éjaculer.
Jy réussis assez vite, et je reçus, dans ma gorge et entre mes fesses, à quelques secondes dintervalle, deux longs flots dun foutre épais et chaud.
Aussitôt, on me releva. Cest à peine si je tenais encore debout, et javais limpression dêtre un pantin entre les mains puissantes de tous ces mâles.
- On la pas prise en double, lança un des hommes. On essaie ?
- Oh oui ! Putain, bonne idée, répondit un autre.
Le premier sallongea sur la couverture, son pieu dressé à la verticale. Je nai opposé aucune résistance, pendant quon minstallait à califourchon sur lui et, sans réfléchir, jai écarté mes lèvres avec mes doigts pour venir mempaler sur son vit.
- Vous avez vu ? Ça lui plaît, a commenté celui qui venait derrière moi. Allez, salope, présente moi ton cul.
Jai écarté mes fesses, sous les commentaires salaces, et il sest enfoncé dans mon petit trou, lentement. Il a marqué un temps darrêt, avant de me dire :
- Maintenant, ça va être ta fête !
Il sest presque retiré, a attendu quelques secondes, avant de me pénétrer totalement dun seul coup de reins violent.
Ensuite, il sest déchaîné. Chacun de ses mouvements me soulevait, puis me laissait retomber lourdement sur la verge qui remplissait ma fente. Javais limpression que mes parois allaient se déchirer dans mon ventre mais cétait terriblement bon.
Ils savaient se contrôler tous les deux, et cette double pénétration me parut interminable. Je gémissais, je feulais, je hurlais. Et au bout de longues minutes, jai senti, incrédule, un nouvel orgasme qui montait.
Quand ils ont compris que je venais, ils ont libéré leur semence, et jai joui en mêlant ma sève à leur foutre.
Dès quils se sont retirés et mont laissée, je me suis écroulée sur la couverture, au bord de lévanouissement. Il ma semblé que dautres hommes sapprochaient encore, et jai crié, dune voix que je ne reconnaissais pas :
- Non ! Par pitié ! Jen peux plus, je suis morte.
SIMON
Javais regardé, incrédule, Lucie prise en sandwich, qui arrivait encore à jouir. Je me suis dit quelle avait réalisé son fantasme, sans doute au-delà de ses espérances.
Alors, quand je lai entendue supplier ses assaillants darrêter, je suis sorti de ma cachette.
Le groupe dhommes ma toisé quand je me suis approché. Mais quand ils se sont rendu compte que Lucie me connaissait, leur hostilité sest transformée en crainte, et ils ont battu en retraite.
Jai rejoint ma femme, et je lai aidée à se remettre debout.
Son visage était barbouillé de maquillage, sa chevelure en désordre, tout son corps était maculé de foutre, ses fesses et ses cuisses gluantes. Mais un sourire illumina son visage lorsquelle maperçut.
- Salaud !, me dit-elle. Tu as tout regardé, cétait un coup monté, nest ce pas ?
- Bien sur ! Cétait le dernier fantasme que tu navais pas réalisé ? Ca ta plu ?
- A ton avis
. Tas vu, jai assuré !, ma t-elle répondu, pleine de fierté.
LUCIE
Quand jai vu Simon sortir des fourrés, jai ressenti un vrai soulagement, car je crois que je naurais pas résisté encore longtemps.
jai compris aussi quil avait voulu me permettre de réaliser mon fantasme, comme il lavait déjà fait dans le passé. Et jai ressenti beaucoup damour et de reconnaissance, pour ce mari capable doffrir de tels moments de jouissance à sa femme, dans les bras dautres hommes.
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Jai arrêté mon magnétophone.
Ce récit mavait excitée dune manière indescriptible. Surtout Lucie, avec sa façon de raconter le plaisir quelle avait pris. Je sentais mon string trempé, mes seins durs et dardés.
Et, rétrospectivement, se remémorer ces instants avait mis Lucie dans le même état.
Simon ma proposé une flûte de champagne, pour arroser le passage de leur témoignage dans ma revue.
Pendant quil était parti chercher la bouteille, Lucie me proposa de me mettre à laise pour profiter du soleil. Sans attendre ma réponse, elle envoya voler sur la terrasse son débardeur et son short.
Nue, elle était magnifique, et javais envie delle. Je limitais aussitôt, pour me retrouver moi aussi en tenue dEve.
Quand il revint avec la bouteille et les flûtes, Simon me regarda avec un sourire gourmand.
- Bravo, Chloé. Je vois que vous ressemblez quelque part à Lucie. Je suis sur quelle aimerait vous découvrir davantage. Nest ce pas, chérie ?
- Oui, renchérit Lucie, et jaimerais surtout quon fasse plus ample connaissance tous les trois. Ça te tente, Chloé ?
- Beaucoup, répondis je en écartant mes cuisses sur ma petite chatte brillante de cyprine
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