Elle Était Enfin À Moi

Ce soir là je lui avait demandé de me rejoindre à notre hotel où nous nous retrouvions souvent et de m'y attendre nue et yeux bandés. J'arrivais pile à l'heure. Elle était allongée, nue, yeux bandés comme je lui avais demandé, ses mains sur son sexe épilé comme pour le cacher. Je lui annonçais que s'était moi qui arrivait afin d'éviter qu'elle croit autre chose. j'entrepris de lui lier les mains au pied du lit en la laissant allongée et idem avec les pieds, jambe bien écartées afin de voir son sexe ainsi offert. Elle ne disait rien, se laissait faire comme une parfaite soumise. Je commençais à sortir une dizaine de pinces à linge d'un sac et commençai par lui en mettre deux sur chaque tétons. Chaque pincement de la pince provoquait une grimace mais elle n'osait protester. Les autres étaient réservées pour son sexe : deux sur chaque levres et enfin deux sur le clito, ce qui provoqua des gemissements de douleur qu'elle ne pu contrôler. Au bout de quelques instants, la douleur était trés forte et elle gémissait de plus en plus. Je sorti une bougie, l'alluma et laissa couler la cire sur ses seins. Chaque goutte la faisait se tordre de douleur et, plus je descendais vers son sexe, plus je la sentais trembler de peur. La premiére goute sur son clito arracha un cri à peine contenu. Je pris la décision de la baillonner. Je recouvri son sexe (levres et clito ) de cire. Elle ralait à travers son baillon. En plus, les pinces la faisaient soufrir. Je les retirais une à une , dernière douleur de la peau qui respire à nouveau avant la délivrance. Je lui détachait les jambes et les remontais plus haut et entrepris de lui faire goûter au vibro. A peine en elle, l'engin déclancha un plaisir brutal en elle. Ses mains bougeaient comme si elle voulait se liberer. Je commençai un lent va et vient que j'accelerais de plus en plus jusqu'à l'orgasme. Je la détachais totalement, la fis mettre à genoux par terre. Elle compris que si elle en voulais plus il fallait qu'elle se montre docile.

Ce qu'elle fit. Je la mis ensuite à quatre pattes sur le lit et lui dis qu'une punition s'imposait suite à mon obligation de la baillonner. Une fessée (20 claques) l'attendait. Elle reçu les 10 premières avec quelques rales. J'accentuai la force des 10 suivantes, elle gemissait de douleur et de plaisir. La punition achevée, je lui ôtait son bandeau, la lumiére la fit cligner des yeux, elle se mit sur le dos, je la penetrai. Elle a joui à nouveau très rapidement. Quelques instant aprés, je jouis à mon tour en elle. Elle semblait si calme et détendue à la fin de cette séance. Elle me remercia et me dit qu'elle espérait de mes nouvelles.