Une Copine Étudiante

Au cours du soir, il y a une fille qui me plaît à fond. Elle s'appelle Alex. Elle a 19 ans et elle est belle à mourir. On parle souvent ensemble et on va boire un verre avant ou après les cours. On parle entre nanas de nos préocuppations et de la vie de tous les jours. Elle n'a personne dans sa vie et pour elle je brûle de désir. Elle habite seule près de l'université et j'aimerais rentrer un soir chez elle pour passer la nuit dans son lit. Elle a les cheveux bruns courts et sa peau est bronzée. J'aimerais un jour la déshabiller devant son lit et que nous nous y mélangions sans pudeur. Elle est timide et me sourit du coin de l'oeil. Si elle savait comme j'aimerais la lécher et la renifler. Je me masturbe souvent en pensant à elle et j'ai des orgasmes violents. Je nous imagine chez elle lorsqu'elle me propose d'aller dans sa chambre pour y faire connaissance. Là, elle va se donner à moi et à mes désirs secrets. Au bord du lit nous nous faisons face et nous nous rapprochons jusqu'à ce que nos corps se touchent. A l'oreille elle me dit "j'ai envie d'une femme cette nuit". Et nous nous embrassons longuement sur la bouche. Alors nos mains trouvent nos corps et nous nous déshabillons lentement en nous embrassant. Nous sommes alors en culotte et chacune plonge sa main dans la culotte de l'autre pour y découvrir une délicieuse touffe de poils humides. On bascule sur le lit et l'une sur l'autre nous nous embrassons encore plus. Puis elle me dit qu'elle a envie de baiser et je me lache. Je me jette entre ses petits seins dressés pour lécher encore et encore. J'explore son corps et je lèche ses aisselles puis sa nuque et je descends vers son entre-cuisses. Là je lèche doucement autour de son sexe duquel émane une douce odeur de fille. Elle me dit de ne surtout pas arrêter et qu'elle veut aller jusqu'au bout et voir de quoi je suis capable. Alors je lui relève les cuisses et je plonge ma bouche dans son entre-cuisses que je nettoie en me doigtant.

Je titille son anus et elle se tord sous moi. Après plusieurs minutes de léchages et de reniflements de ses cuisses, elle me dit qu'elle veut un 69 un peu spécial. Je lui demande ce qu'elle entend par spécial. A l'oreille elle me murmure qu'elle veut un rapport pisseux. J'en rêvais comme une dingue. Nous nous placons en 69 et nous nous encastrons nos têtes entre nos cuisses. Là sans retenue nous nous faisons longuement l'amour. Nous léchons les cuisses et nous nous caressons les fesses. Nos bouches embrassent nos sexes et nos anus comme on embrasse une bouche quand on est amoureuses folles. Nous sommes couvertes de sueur et nos membres sont emboités. Plus rien ne nous retient. Cela doit durer des heures. Nos deux corps n'en font plus qu'un seul tellement nous baisons sans retenue. Nous devenons vulgaires dans notre vocabulaire. Elle me supplie de baiser son cul ce que je fais avec ma bouche, ma langue et mes doits. Au-dessus de moi j'admire le rythme de ses cuisses de pouliche tandis que j'obéis à son désir. Elle pour sa part s'ennivre de mon odeur et de mes poils de cul. Je renifle ses cuisses, je les mordille et elle gémit. Nous sommes folles l'une de l'autre et sans aucune pudeur, folles d'envie, nous laissons à son signal perler quelques gouttes de pisse. Nos bouches dégustent les gouttes tandis que nos mains s'activent sur nos cuisses nos reins nos dos trempés de sueur. Nous nous promettons un orgasme. Celui-ci doit arriver simultanément. Alors nous collons chacune notre bouche au sexe dilaté. Nous léchons et titillons de plus en plus vite. Pendant ce temps, nous nous relachons chacune afin de laisser s'écouler d'abord lentement nos pisses. Au fur et à mesure que nous perdons chacune le contrôle les jets se font plus pressants et comme deux prostituées accouplées nous prenons notre orgasme tandis que nous arrosons l'autre de flots de pisse ininterrompus. Elle prend son pied et je prends le mien à fond tandis que ma gorge se remplit de son liquide chaud. Ne pouvant plus tenir et en feu d'artifice nous sentons l'orgasme nous envahir tandis que devenues incontrôlables nos gorges avalent les litres de pisse de notre amour. Ce fantasme je compte bien le réaliser une de ces prochaines nuits car ce récit m'a mise dans un état pas possible. Je me rends compte que rien ne pourra m'empêcher de l'aimer physiquement prochainement. Je vous raconterai la suite en détails.