Poulette, Sa Femme Y Prend Goût!
Au reveil, ma belle Severine encore dans les bras de morphée, je
me suis levé sans faire de bruit afin d'attaquer une bonne
journée de travail. Je suis commercial et à peine installé dans
ma voiture, le frottement du siége sur mes fesses m'a vite remis
en memoire la fessée de la veille et les evénements de la soirée.
Autant dire que j'ai eu du mal à me concentrer sur mon ouvrage,
car les scenes de notre soirée spéciale surgissaient souvent dans
mon esprit.
J'ai fini par faire le point sur ma situation, en me disant que :
c'est vrai la domination de ma femme et de Simon n'etait pas une
mauvaise experience, on s'est bien amusés, mais bon nous allions
gardé cela comme une bonne experience, voilà tout.
De retour à la maison en fin de journée, impossible de rentrer ma
clef dans ma porte !!. Soit la serrure est bloquée, ou alors ma
femme a laissée sa clef dedans. Entendant des voix à travers la
porte, j'ai rapidement penché pour la deuxième solution moins
problèmatique, et j'ai appuyé sur la sonette. Après plusieurs
secondes, personnes n'etant venu m'ouvrir, j'ai rappuyer une
deuxième fois.
Après un bon moment ma femme, qui etait visiblement dèja rentrée
de la fac, est venu entrouvrir la porte.
" Ah, te voilà enfin petite soubrette, dis le menage ne va pas se
faire tout seul, et en plus tu n'est pas encore en tenue, allez à
poil"
"Mais enfin cherie, on va pas jouer à cela encore ce soir, et
puis si les voisins passent dans le couloir j'aurai l'air de
quoi?"
"t'auras l'air d'un petit mari bien obeissant, et puis moi j'ai
encore envie de jouer avec toi, enfin si tu veux rester dehors,
pour moi c'est pas un problème, je m'occuperai avec Simon." Me
refermant la porte au nez elle a ajouté : "quand tu aura obei,
frappe deux fois à la porte".
Interloqué, je restai planté un moment dans le couloir de mon
immeuble et devant ma propre porte. Que faire allez faire un
tour, cela lui passera, pas sûr elle avait l'air decidée. Allez
chez mes parents, des copains, mais pour leur donner qu'elle
expliquation!.
N'ayant pas de meilleure solution je me suis deshabillé à toute
vitesse, et j'ai frappé deux coups à la porte.
Mon coeur battait à tout rompre, pourvu que mes co-locataires
n'ai pas l'idée de sortir. Vingt bonnes et longues secondes sont
passées avant qu'elle n'ouvre la porte. Je me suis précipité mais
la porte etait toujours bloquée par la chaine de securité.
Severine amusée par sa petite blague me dit "tout doux ma belle
bonniche, on est pressée, mais la tenue n'est pas reglementaire,
je vais arranger cela, tiend donne moi dejà tes fringues" et elle
a refermée la porte, me laissant comme un con tout nu dans le
couloir. La porte s'est à nouveau ouverte, et à travers
l'ouverture elle ma lançée des vetements " enfile ça et comme il
faut, sinon je te laisse dehors, tu connais le signal".
A mes pieds pelle-melle se trouvait une nuisette en satin rose,
des bas dim-up, une petite culotte en dentelle avec son soutien
gorge assorti, ainsi que les mulles de la veille.
N'aillant d'autres solutions, je me suis rhabillé au plus vite
mais trop anxieux à l'idée de me faire surprendre par les
voisins, il a fallu que je m'y reprenne à deux fois avant de
reussir à enfiler les bas. Affublé de ma tenue, j'ai frappé à
nouveaux les 2 coups, et s'est tranquilement qu'elle est à
nouveau apparue.
"Bonjour ma mignone... léve ta petite nuisette que je vois si
tout est en place". J'ai alors remonté ma nuisette jusqu'aux
epaules. "oh, mais tes petits seins ne sont pas maintenu, un
soutien-gorge ça s'attache, tu sera punie, allez ferme moi ça, et
vite"
Vite,vite c'est facile à dire, car ce n'est pas evident
d'agraffer les attaches dans le dos et cela amusai Severine
"t'inquiète pas t'a pas l'habitude, mais cela viendra".
Enfin, j'ai pu rentrer chez moi.
Severine glissant sa main dans ma culotte m'a dit : "Mais dit
donc, elle bande ma Poulette, c'est la dentelle qui t'excite, ou
de penser que les voisins auraient pu voir ta petite bite?" Elle
a alors plantée ses ongles dans mes petites couilles "dit je t'ai
posée une question" accentuant sa pression et me demandant de
mettre mes mains sur la tête, j'ai du lui avouer que c'etait la
douceur de sa petite culotte qui m'excitait.
"Soumis et travelo, et bien je te decouvre tous les jours mon
petit".
Quand elle a lachée mes couilles, je suis tombé de douleur à
quatre pattes, humilé, les larmes aux yeux, et sans aucune pitié
elle a laché "regarde moi cette petite chochote, elle pleurniche"
et me botant les fesses elle a ajoutée : "t'as trouvé la bonne
position, reste à quatre pattes et va saluer ton Maitre au
salon."
N'ayant pas envie de derouiller, je me suis presenté ainsi devant
Simon qui m'attendait asssis dans mon canapé.
"Ah mais voilà notre mignone petite lopette, tiend puisque tu est
à leurs hauteurs enlève donc les rangers de ton Maitre, ainsi que
mes chaussettes". Je me suis executé, et rapidement une forte
odeur de transpiration est montée à mes narines.
"oh la ça pue, j'ai beaucoup marché aujourd'hui, mais au lieu de
prendre cet air degouté, fait quelque chose, léche les avant que
ça n'importune ta femme."
Embrasser des petits petons feminins, ça un côté excitant mais
là, rien que l'odeur..."non s'ils vous plait pas ça" et Severine
qui etait à côté de moi a posée son escarpin sur ma nuque "allez
nettoye les pieds de ton maître.
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