Furtivité
Cette histoire sera aussi courte que cette rencontre réelle qui s'est passée à la sortie d'une grande brasserie.
Pendant le déjeuner, j'avais échangé des regards avec une jolie femme d'une quarantaine d'années et tout naturellement à sa sortie de la brasserie je lui ai proposé d'aller boire un café dans un bar voisin. La discussion flirtait avec la limite d'une conversation assez osée mais notre intention de rester dans la suggestion contribua à une excitation mutuelle.
Après trois quart d'heure, je la raccompagnais à sa voiture quand elle me lança qu'elle attendait une proposition de ma part.
-Donne moi ton numéro de portable et attend dans ta voiture.
Elle monta dans sa voiture avec un mélange de sourire inquiet et de soumission.
Après un quart d'heure, je l'appelais de la chambre d'hotel que je venais d'investir en lui demandant de me rejoindre.
Une fois dans la chambre nous ne nous sommes plus adressés la parôle, les pulsions et les mots crus ont vite fait de remplacer les formules de dragues maintes fois utilisées.
Nos corps se sont rejoints furieusement, sa langue pénétrant profondemment dans ma bouche, je sentais dans ses baisers fougeux une envie refoulée remonter à la surface de son corps qui frémissait sous mes caresses qui se faisaient de plus en plus vicieuses.
Très vite, elle se retrouva à genoux devant ma braguette qu'elle arracha presque pour sortir mon sexe qui bandait totalement. Sans aucun préliminaire elle l'enfourna rageusement, se servant de mes couilles pour faire aller et venir mon bassin dans sa direction. C'était une pipe de goinfre, tout était frénesie, elle semblait folle en se pinant elle même la bouche. Surpris par tant d'appétit lubrique, je ne faisais qu'écouter les bruits de suscion et les s de sa gorge, regardant ma queue disparaitre totalement entre ses lèvres je commençais des encouragements très crus.
Cette pipe était violente, j'allais très loin dans sa gorge jusqu'à l' quelques secondes puis je la laissais reprendre sa respiration et recommençais mes va et vient profonds.
Encore essouflées de sa pipe, elle se positionna rapidement à quatre pattes et lança dans une plainte puissante:
- Encule moi !
La proposition ne pouvait pas se refuser, en tout cas pas demander si gentillement.
Pensant bien faire en posant ma langue et ma salive sur son anus luisant de foutre, je l'entendis crier rageusement un autre:
- ENCULE MOI tout de suite...
Je bandais si fort que mon sexe me faisait mal, ma queue dure et raide pénétra doucement cet anus qui souhaitait élargir ses connaissances. Elle se cambrait au maximum en lançant des encouragements d'abord discrets mais au fur et à mesure que j'augmentais les fréquences de mes pénétrations ses gemissements se firent de plus en plus bruyants.
Cette sodomie était dans la droite ligne de la pipe quelques minutes plus tôt, rageuse. Ma bite lui défonçait littéralement le cul, elle rallait si fort que machinalement j'ai basculé sa tête contre la traversin pour ses cris. Son anus était maintenant totalement dilaté et les pénétrations étaient d'une voilence rarement pratiquées, je me retenais le plus possible, car ses petites fesses et le bouts de ses seins qui se baladaient ne faisaient qu'augmenter l'éminence de l'éjaculation.
Mais cette femme était bien trop excitante, sa jouissance anale venait de faire trembler les fines parois de la chambre. Elle se cambra un peu plus et avec sa main droite vint prendre à pleine main mes couilles, la réaction ne se fit pas attendre: je ressentis une éjaculation puissante et abondante inonder son cul pendant qu'elle m'encourageait à me vider totalement.
Epuisé, je basculais à coté d'elle sur le lit. Elle se leva rapidement, se dirigea vers la salle de bains, en sortis quelques minutes plus tard, s'habilla et sortis sans m'adresser ni regard ni mot.
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