Duel Sexuel Au Sommet Dans Les Pyrénées
1) Une fellation vraiment « nature »
Ayant une maison de campagne dans le Sud-Ouest, je pars régulièrement sur ma Harley parcourir le Pays basque, puis traverser les Pyrénées pour me balader sur les petits chemins de forêt côté espagnol, pour finalement atterrir dans le désert des Bardenas. Certes ce nest pas du tout un parcours pour une moto comme une Harley mais justement je trouve plus intéressant de se balader ainsi sur des petits chemins de terre et de cailloux que de le faire banalement avec une moto tout terrain.
Fin Juillet je suis parti par le col dErozate (un signe ?) au niveau des sources de la Nive, lui-même déjà difficile à atteindre, sur des petits chemins de crête qui longent toute la frontière entre la France et lEspagne, des anciens chemins de contrebandiers. Puis ayant repéré un endroit pour passer la frontière je suis arrivé au lac dIraty, côté espagnol. Ce lac est relié aux grandes routes descendant vers Pampelune par un petit chemin qui serpente à travers la forêt avec des paysages incroyable. On se croirait dans un film comme Le Seigneur des anneaux où on sattendrait à voir sortir un magicien du fin fond de la forêt (vous pouvez trouver quelques photos ici :
https://maps123.net/en/ES/selva-de-irati-iratiko-oihana-p431085
Quelques kilomètres après le lac, je vois, arrêté sur le chemin étroit, un SUV Toyota Rav4 rose, couleur vraiment inédite.
Une jolie femme blonde et pulpeuse était à côté et me faisait des grands signes, je me suis garé derrière la voiture et je suis descendu.
- Vous êtes en panne ?
(À première vue tout semblait normal, le capot nétait pas ouvert)
-Jai crevé un pneu ! me dit-elle en désignant son pneu avant gauche, que je ne voyais pas de là où jétais.
Effectivement, après avoir contourné la voiture je vis quil était non seulement complètement à plat mais même tordu sur lui-même.
-Eh bien dite donc, vous ny allez pas de main morte, je vois que vous avez roulé à plat !
-Oui jai crevé en tournant autour du lac, jai essayé de changer la roue mais les boulons étaient trop durement vissés.
Puis avec un regard implorant :
- Je suis sûre que vous allez pouvoir y arriver vous
- On va voir ça mais (avec un air un peu gêné de ce que jallais demander) jaimerais bien que ce soit dans le cadre dun « échange de services »
- Quoi, dit-elle, comprenant tout de suite, vous oseriez profiter de la situation ?
- Ben je vois plutôt ça comme un échange de services, vous savez ce genre de site où il y a « je répare ta télévision mais tu donnes des cours danglais à mes s »
eh bien je change votre pneu crevé et vous faites une fellation à un motard qui circule seul depuis déjà plusieurs jours
- Cest une honte ! comment osez-vous ? vous êtes tous pareils, vous les hommes. _
- Dautant plus que vous avez des lèvres magnifiques
- Pas de compliments, ça ne marche pas !
- Bien comme vous voulez, comme je suis en moto et que votre voiture ne bloque pas totalement la route pour moi, je vais repartir en espérant que la prochaine personne qui passera voudra bien vous dépanner (de toute façon si elle est en voiture elle sera obligée de le faire puisque la route est bloquée !)
- Ça fait cinq heures que jattends, il ny a personne dans ce fichu endroit !
- Oui justement cest pour avoir accès à la nature en solitaire que des gens comme nous viennent se balader ici, nest-ce pas ?
- Je faisais un photoreportage pour un site touristique mais peu importe.
- Bon et bien bon courage dis-je en remontant sur ma moto
- Attendez attendez, pas de problème, je vais le faire !
- Ravi de vous voir revenir à de bons sentiments ! Eh bien on le fait ici sur ma moto
- Quoi sur la moto ?
- Cest très simple vous allez voir.
Je me mis debout les jambes bien campées sur le sol, je mavançais au-dessus du réservoir, sorti mon sexe de mon pantalon de cuir pour le mettre au niveau du guidon et lui fit signe de sasseoir à califourchon sur le garde-boue de la roue, ainsi sa bouche était juste à la bonne hauteur.
Elle commença à sucer mon sexe
- Si je peux me permettre, vous avez intérêt à faire un bon travail, si vous faites semblant, je ne changerai pas votre roue !
- Vraiment tous les mêmes ces hommes, vous me rappeler mon père !
- Si je vous rappelle votre père, cest que cest grave
Elle avait sans doute vraiment envie dêtre dépannée, cest pourquoi quand ses lèvres pulpeuses se mirent en action et quand sa langue titilla mon gland sous toutes les coutures, je commençais à menvoler au paradis. Je navais jamais encore été sucé dans cette position, au milieu dune nature magnifique et presque inquiétante. Pour rajouter à lintérêt de la situation, je mis le contact et commença accélérer. Cela la surpris dabord, puis elle comprit que, comme la musique sur laquelle les chevaux dansent, jaccélérais et je réduisais les gaz de la moto en fonction du va-et-vient de sa bouche sur mon sexe : un coup de gaz quand elle descendait, une suppression des gaz quand elle remontait ; pareil quand sa langue touchait mon gland ou quand elle se retirait !
Nayant pas eu de compagne depuis déjà quelques temps, je ne tardais pas à sentir monter la sève, je sorti mon sexe de sa bouche, elle eue un mouvement de recul mais caressant sa tête avec une main (lautre étant sur la poignée de gaz) je bloquais sa tête avec cette main, et « jenvoyais la purée », si vous mexcuser cette expression vulgaire, pour une superbe éjaculation faciale qui lui en mis vraiment partout.
Elle se releva, retourna à sa voiture prendre son sac à main pour chercher des Kleenex en maugréant :
- Ah vous êtes vraiment « male gaze » jusquau bout, vous ! Vous men avez mis partout et ça colle !
- Ne vous plaignez pas vous avez été magnifique et vous avez gagné un changement de roue !
Certes les écrous étaient bien vissés et il est plus difficile, comme vous le savez de faire un effort physique juste après un acte sexuel. Mais à force de sauter sur la clé à pieds joints avec mon poids bien supérieur au sien, jai fini par tout dévisser.
Elle mapporta la roue de secours et je lui donnai la roue crevée. Elle lexamina un instant, puis sécria
- Mais quest-ce que cest que ce truc ?
Jai regardé, cétait un bout de métal tordu dans tous les sens
- Eh ben ce truc, cest ce qui a crevé votre pneu, justement !
- Oui, mais cest très bizarre
- Attendez, on va voir
Jai pris une pince dans le sac à outils de ma moto situé sous la selle et je me mis à extraire le morceau de métal en question du pneu
- Je pense que ça, cest signé !
- Que voulez-vous dire ?
- Eh bien, cest un bout de métal qui a été trafiqué : il y a une pointe acérée à chaque bout, mais il a été tordu en trois parties de façon à que lune des deux pointes soit toujours dirigée vers le haut quand on le jette par terre
- Vous voulez dire que cest quelque chose qui a été fait intentionnellement pour crever des pneus ?
- Oui absolument cest un crève pneu artisanal. Les armées ou la police en utilisent aussi, mais des mieux faits.
- Mais pourquoi faire cela ?
- Il ne vous aura sans doute pas échappé que vous êtes sur une route interdite à la circulation des véhicules à moteur, que vous et moi nous utilisons frauduleusement, ce qui vexe un certain nombre décolos de la région
qui sèment ce genre de clous tordus pour nous faire crever ! Cest pareil en France quand vous faites du tout-terrain dans la forêt : jai déjà crevé sur des choses de ce genre.
- Mais cest dégueulasse, moi qui adore la nature et qui suis ici pour faire un reportage sur elle !
- Dans ce cas la prochaine fois prenez peut-être un véhicule électrique, ce sera plus crédible pour affirmer cela !
Elle ne dit rien et séloigna pour ranger la roue crevée pendant que je faisais des efforts pour bien viser la roue de secours.
- Bon et bien voilà cest fait, je ne sais pas si vous me direz merci, mais en tout cas moi je vous remercie, cétait très bien fait, lui dis-je, avec un sourire entendu.
- Pas de problème, ce fut un plaisir pour moi aussi de vous rencontrer, je vous souhaite une bonne route, dit-elle avec un changement dattitude assez stupéfiant.
- Très bien, merci, bonne route également, lui-dis, un peu surpris.
Je rejoins ma moto située derrière sa voiture, remontais dessus, fis rugir le moteur et continuais ma route satisfait de cette rencontre originale.
2) La revanche dune Blonde
Je chantonais en roulant à travers la forêt profonde, encore sous leffet des hormones libérées par mon éjaculation, aussi il me fallut du temps pour comprendre que quelque chose de bizarre se produisait. Ma moto commençait à tanguer de gauche à droite, larrière dérapait comme si jétais sur une route verglacée ou extrêmement boueuse, ce qui nétait pas le cas, car la route était sèche.
Bientôt un ploc, ploc, ploc se fit entendre. Je connaissais ce bruit mais nen cru pas mes oreilles
et ensuite je nen cru pas mes yeux : après mêtre arrêté et avoir constaté que la roue avant navait rien, puis mêtre penché avec difficulté vers la roue arrière (celle-ci est peu visible depuis le siège dune Harley même du côté où il ny a pas les deux pots déchappement) jai constaté que mon pneu arrière était complétement à plat !!
- Merde, ce nest pas possible une chose pareille !
Je descendis inspecter le pneu et la première chose que je vis fut le même bout de métal torsadée planté au beau milieu de celui-ci et me regardant comme sil me narguait !
Il ny avait que deux explications : soit jétais également une victime des écologistes mais il était peu probable que les écologistes ai mis des clous sur la même route à 10 km de distance, jaurais dû donc crever en même temps quelle, si je devais crever sur des clous déposés par les écologistes.
Ou alors cest elle, à qui javais imprudemment remis le morceau de métal en question après avoir extrait de son pneu, qui lavait subrepticement posé sous ma moto devant le pneu arrière pendant quelle était allé ranger la roue crevée, et que je revissais la roue de secours.
Cette hypothèse fut confirmée quelques instants après par larrivée de la Toyota rose.
La conductrice sortie après sêtre arrêté derrière moi.
- Oh mais que voilà ? On dirait que notre « mâle dominant » a à son tour des problèmes ? La galère de la crevaison ne serait donc pas réservée quaux faibles femmes ?
Puis constatant les dégâts :
- Votre pneu est vraiment bien à plat, je me demande comment vous allez-vous en tirer vu quil ny a pas de roue de secours sur une moto ? dit-elle dun ton narquois.
Je pris de nouveau la pince, extrait le clou du pneu et sans rien lui dire, pris, toujours sous la selle, une bombe anti crevaison. Son sourire disparu, preuve que cétait bien elle qui avait provoqué cette crevaison en déposant le clou devant mon pneu arrière. Jinjectais toute la bombe, remis le bouchon de valve, le pneu semblait regonflé à bloc et je poussais un « ouf « de soulagement. Je remontais sur ma moto, fit rugir le moteur et ne pus résister à mettre un doigt dhonneur sous son nez, ce que je regretterais bientôt
Je roulais à petite vitesse sur cette route ravinée pleine de cailloux et de crevasses creusées par la pluie, en espérant que la réparation tiendrait assez longtemps pour que je puisse arriver dans un endroit où il y aurait du signal pour appeler un dépanneur. Malheureusement mes pires craintes allaient se réaliser très vite. Contrairement aux pneus de voiture où le clou qui y rentre bouche le trou quil a lui-même creusé, ce qui induit un dégonflement plus long, les pneus « à rayon » ont des chambres à air. On peut certes choir une moto avec des roues sans rayons comme limmense majorité des motos (sauf les Harley) et donc sans chambres à air, mais cest tellement moins beau ! Jai toujours préféré être de lancienne école et rouler avec des roues à rayons chromés et des chambres à air, mais là jallais en payer le prix.
À peine plus dun kilomètre après mon départ, je commençais à ressentir un léger glissement de larrière de la moto. Je nai pu mempêcher de pousser un soupir de désespoir. Jétais pris entre la volonté de rouler le plus vite possible pour essayer de trouver un endroit avec du réseau et la nécessité dêtre le plus prudent possible car rouler en Harley avec un pneu à plat est très difficile.
Je dus bientôt réduire ma vitesse a 40 à lheure, puis à 30, puis à 20. Je voyais dans mon rétroviseur la Toyota rose et je me doutais que à son volant la blonde ne perdait pas une miette de ce spectacle.
Finalement, après un dernier dérapage dangereux, je fus obligé de marrêter. Je me lèvais pour inspecter les dégâts : le pneu arrière était de nouveau complètement à plat.
Par le trou percé par le clou séchappait un véritable geyser de mousse blanche qui sarrêta bientôt car toute la bombe anti crevaison était sortie. La blonde qui était descendue de sa voiture explosa de rire
- Eh bien votre pneu aussi est capable de faire de belles éjaculations, on dirait ! Lui aussi peut en mettre partout, dit-elle, en désignant larrière de ma moto souillé par la mousse blanche qui se transformait rapidement en une saleté noire et collante après avoir séché.
Sans grand espoir jai demandé timidement
- Vous pourriez mamener quelques kilomètres plus bas pour que je puisse appeler un dépanneur ?
Elle me regarda et, avec un sourire narquois, dit :
- Ce nest pas vous qui mavez fait un doigt dhonneur, il y a quelques instants ?
- Oui, je mexcuse
- Les excuses ne suffiront pas !
- Et alors il vous faut quoi ?
- Bien jouir, tout simplement !
Je nen croyais pas mes oreilles
- Oui, vous avez bien entendu si vous me faites jouir suffisamment fort, je vous amène dans la vallée pour passer votre coup de fil, mais cette fois-ci ce sera selon mes règles !
- Mais tout ce que vous voulez ma chère ! lui répondis-je, trop heureux
- Bon alors installez la moto de façon bien stable ; il ne sagirait pas que lon tombe en pleine action ! Mettez vos pieds sur les cale-pieds avant, allongez-vous sur la selle sur le dos et mettez votre tête contre le dos de la selle pour le passager.
Une fois que jeu pris cette position elle a déboutonné mon zip, sorti mon sexe et neut pas à faire de grands efforts pour que celui-ci se tende au maximum. Elle enfourcha la moto et moi-même en me tournant le dos, la tête vers le guidon dans la position dite « Andromaque inversée » qui est effectivement celle qui est censé faire le plus deffet pour les femmes, et elle, les pieds au sol alors que jétais allongé sur ma moto, se mis à sauter, sauter, sauter sur ma verge, puis prise une idée soudaine, elle tourna les clés (j avais laissé les clés sur le contact, la moto étant au point mort) et commença à accélérer en cadence, accélérant chaque fois quelle senfonçait tout en poussant des cris de jouissance et décélérant quand elle remontait. Nous étions dans la fumée des pots déchappement que le vent renvoyait sur nous, avec en fond sonore ses hurlements de jouissance et les hurlements du moteur. Elle sécrira, sautant de plus en plus fort sur mon sexe et moi : « Çà cest du female gaze !! »
Cette position nest pas sans faire défi pour le sexe de lhomme, il y a même eu des cas de fracture du pénis, autant dire que jétais un peu inquiet de voir énergie quelle mettait dans ses mouvements, cest pourquoi je ne retiens pas ma deuxième éjaculation en une demi-heure, accompagnée à mon tour dun grand hurlement de jouissance.
Elle coupa le contact, se leva, remis son slip, puis son pantalon sans rien dire, retourna à sa voiture. Je descendis de la moto, ramassais mes affaires et mapprêtais à monter dans la voiture, mais elle mavait devancé et étant au volant, actionna la fermeture des portes tout en descendant la vitre passager.
- Ah non, vous, vous restez ici, bien sûr !
- Quoi ? on avait un accord !
- Oui, parfaitement, je vous avais dit que si vous me faisiez jouir suffisamment, je vous amenais dans la vallée, mais vous ne mavez pas fait jouir suffisamment : vous avez tenu seulement quatre minutes montre en main, jai chronométré !
- Mais enfin vous avez hurlé de jouissance à faire bouger les pierres de ces montagnes autour de nous !
- Oui, mais quand je jouis vraiment, cest 10 fois plus fort, vous naurez pas loccasion de lentendre, mais vous pouvez me croire sur parole !
- Mais cest une honte !
- Navez-vous pas dit vous-même que, si ma fellation nétait pas assez réussie, vous ne changeriez pas ma roue ?
- Mais je lai changé justement !
- Cest que vous avez estimé que cétait réussi ! Moi, jestime que votre performance est insuffisante, désolée et bonne marche à pied !
- Mais vous êtes une vraie salope !!
- Pas de compliments ! Je vous lai déjà dit : ça ne marche pas avec moi !
Je me tenais là comme un idiot, à côté de la porte passager fermée, pendant quelle remontait la vitre et faisait rugir son moteur. Elle prit tout son temps pour démarrer, histoire de bien faire durer mon supplice et de menvoyer un dernier sourire narquois.
3) Le retour du « Male dominant »
Je mis ma main dans la poche pour prendre mon portable au cas où un peu de réseau serait disponible et je senti soudain quelque chose de pointu piquer ma main : cétait le fameux clou tordu que javais mis par réflexe dans ma poche.
Une idée aussi tordue que le clou me vint en un éclair : si je ne pouvais rien faire dautre pour moi, au moins une vengeance était possible ! Alors que la voiture commençait à bouger et que la conductrice avait reporté son regard sur la route, je sorti de ma poche le clou tordu en trois et je le jetais sous sa voiture nhésitant pas à le pousser rapidement du pied pour quil soit bien situé devant la roue arrière droite. Je vis avec satisfaction
celle-ci rouler dessus et emporter le clou avec elle ! Elle ne pouvait guère y échapper puisquune pointe était toujours vers le haut, quelle que soit la façon dont il tombe. Même si un pneu de voiture met beaucoup plus de temps à se dégonfler quun pneu de moto, elle risquait fort de ne pas arriver à sa destination ce soir, dautant plus quelle navait plus de roue de secours.
Cette petite vengeance mayant donné quelques forces, je me mis à pousser la moto sur cette route toujours aussi caillouteuse et défoncée. Même avec laide du moteur (je marchais à côté de la moto en donnant des petits coups daccélérateur), cétait un exercice terriblement difficile, la moto pesant plus de 260 kilos. En sueur, je finis par remonter sur la moto et, à deux à lheure, roulant sur le pneu crevé, en évitant plusieurs fois la chute, je fins par arriver à un camping, et qui dit camping dit réseau ! Jappelais immédiatement mon assistance française, qui me mis en contact avec une assistance espagnole à laquelle je pu arriver à expliquer ma position et qui me dit venir depuis Pampelune dans 1h30. En lattendant, je repensais à cette rencontre improbable avec cette blonde, tout en regrettant de ne pas savoir la fin de lhistoire de son côté
Il y avait également le regret de ne plus avoir loccasion de la revoir, car sexuellement elle était vraiment volcanique et je sentais bien que, un peu par ma faute, je navais pu gouter quà une partie de ses talents.
Après avoir chargé ma moto tout au fond du plateau de son camion, le chauffeur mexpliqua en espagnol quil devait faire un stop pour prendre un autre client. Quelle ne fut pas ma stupéfaction de voir à une vingtaine de kilomètres de Pampelune, sur la bande darrêt durgence de la nationale où nous étions
une Toyota RAV4 rose !
Mon espagnol étant vraiment très rudimentaire, il me fut impossible dexpliquer au chauffeur la raison du fou rire inextinguible que jai eu en découvrant lair dépité et furieux de notre blonde ! Elle avait roulé jusquà lextrême limite et avait bousillé son pneu arrière droit comme elle avait bousillé lavant gauche avant que je ne le change.
- Cest vous ! hurla-t-elle, furieuse, cest à cause de vous que jai encore crevé ! Vous avez remis ce foutu clou devant mes pneus au moment où je suis partie !
- Oui, lui répondis-je avec le plus grand calme, histoire de lénerver encore plus, mais cela fait un partout : vous avez fait la même chose avec ma moto pendant que je revissais votre roue !
- Mais cest vous qui avez commencé en profitant de la situation pour exiger une fellation ! Je voulais vous la faire payer au juste prix cette fellation ! Vous faire tomber en panne à votre tour, cétait normal !
- Bon, on ne va pas continuer comme en cours de récréation ! Disons que cela fait un par tout, match nul.
On néchangea pas un mot pendant toute lapproche vers Pampelune, puis après avoir déposé ma moto devant une concession Harley et sa Toyota devant une concession Toyota, il nous fallut chercher une chambre dhôtel. Nous étions le dimanche soir et il fallait bien entendu attendre lendemain pour faire réparer nos véhicules.
Le chauffeur nous débarqua devant un hôtel où, daprès les informations sur Internet, il restait des chambres, mais le patron en nous voyant arriver et nous prenons pour un couple nous dit :
- Vous avez de la chance, il me reste une seule chambre et avec un grand lit en plus !
- Ah non, répondit la blonde en français, je ne vais pas en plus passer la nuit avec ce type !
- Si cela ne vous convient pas, vous aurez du mal à en trouver une autre car tous les hôtels de la ville sont plein ce soir : cest la première corrida post COVID-19 alors les gens sont venus de toute lEspagne.
- OK on va la prendre dis-je
Dans le couloir la blonde me dit :
- Jaccepte à une seule condition : cest que votre performance soit meilleure que tout à lheure ! Sinon je vous préviens je vous mets à la porte à coups de pied au cul et vous dormirez dans le couloir !
- Pas de problème ! Vous pourrez chronométrer !
Après nous être un peu reposé, nous reprîmes nos débats, ou plutôt nos ébats, là où nous les avions arrêtés, cest-à-dire en position Andromaque inversée. Cette fois-ci elle pouvait sauter, sauter, sauter encore sur ma verge, celle-ci restait dune dureté inébranlable sans la moindre éjaculation. Il faut dire que dabord javais déjà éjaculé deux fois il ny avait pas trop longtemps, et quensuite je me retenais au maximum, voulant cette fois-ci « marquer le point ».
Et cest ce qui arriva quand, après moult hurlements de jouissance, elle finit par sallonger à côté de moi. Mais je ne lentendais pas de cette oreille ! A mon tour de me précipiter sur elle. Je la mit en position de levrette au bord du lit pour pratiquer la levrette double : Debout alors quelle était agenouillée sur le lit, les fesses vers le haut, je rentre dans le vagin, je sors, je rentre dans lanus, je sors, je rentre dans le vagin, je sors, je rentre dans lanus, je sors, et cela de plus en plus vite.
Épuisée, elle navait même plus la force dexprimer sa jouissance, et jai fini par produire une belle éjaculation à intérieur de son anus en hurlant « Gooooal » comme les commentateurs brésiliens de football !
Linstant daprès, alors que nous étions enfin en silence, reprenant notre respiration couchés lun à côté de lautre, lhôtel explosa de bruits en haut, en bas, à droite et à gauche de notre chambre. Nous entendîmes les gens taper et hurler « ça suffit », « cest une honte », « arrêtez immédiatement », « cest un scandale », « appelez la police pour tapage nocturne » etc.
4) Égalité des sexes
et du sexe
Ils neurent pas à crier longtemps car nous nous endormirent rapidement comme des bienheureux.
Je fus réveillé par des caresses sur mon sexe.
- Si vous en avez encore la capacité, jaimerais bien finir par un peu de « female gaze » me dit-elle.
- Mais les voisins ?
- Il est déjà 8h30 et la plupart sont au petit déjeuner, nous avions dormi dune traite (ce qui était relativement normal après nos aventures sexuelles et autres de la veille).
Je ne tardais donc pas de me retrouver en position de lAndromaque inversée, mais cette fois-ci elle se déchaîna comme elle ne lavait encore jamais fait lors des deux premières fois ! Elle se mit à tourner véritablement à 90° à gauche et à droite autour de mon sexe ! Son vagin tournait autour de mon sexe comme si cétait une fellation puis se trémoussait davant en arrière et de gauche à droite en pliant mon sexe dans tous les sens. Bien sûr ses cris de jouissance redevinrent gigantesques, mais elle avait raison : cette fois-ci personne ne protesta.
Javais vraiment limpression dêtre au maximum de ce quun homme peut supporter et ma bite et moi, si je peux ainsi parler de nous au pluriel, durent rapidement reconnaître nos limites !
- Eh bien voilà, là je marque un point ! dit-elle après mon éjaculation.
Après un bref repos elle se leva pour faire sa toilette, mais je lai rattrapé par le bras.
- Non, vous nallez pas vous en tirer comme ça ! Cest à mon tour maintenant !
Je la ramenais un peu brutalement sur le lit. Mais malheureusement, après quatre éjaculation particulièrement fortes et belles en moins de 12 heures dont la dernière quelques instants auparavant, ma verge était aux abonnés absents. Quel que soit les masturbations que jeffectuais devant le regard moqueur de ma partenaire du jour, elle restait plate et molle
la honte !
Elle finit par éclater de rire.
- Cest ça, foutez vous de moi en plus ! lui dis-je dun ton particulièrement vexé.
- Je ne me moque pas de vous, je rigole en pensant au parallèle : hier soir votre pneu éjaculait de la mousse blanche aussi bien que vous, et aujourdhui cest votre sexe qui est aussi plat que votre pneu !
Ces propos moqueurs, ses seins gonflés par la jouissance qui se balançaient sous mes yeux et mon désir de « marquer un point » à mon tour finirent par me faire le même effet quun aphrodisiaque puissant, et ma bite convenablement durcie, sans être au maximum, jai recommencé la levrette debout au bord du lit, avec son cul magnifique sous mes yeux. Puis petit à petit ma bite finit par se durcir pour atteindre le maximum possible et le rythme des entrées et sorties saccéléra. Elle commença par jouir faiblement puis sa jouissance monta dun cran au fur et à mesure des progrès de mon exploration de son vagin et de son anus que je navais pas encore terminé. Après avoir tourné mon sexe dans tous les sens dans son vagin, je finis par trouver son point G. Ou plutôt le point « C » comme « cataclysmique ». Car la stimulation de ce point précis déclencha un véritable cataclysme de hurlements à faire trembler les murs, qui finirent par se transformer en supplication : « NOOOOON, je nen peux plus, arrêtez, arrêtez, cest trop fort
Bon sang je vous dit darrrrrreeêtez. Contrairement à ce quelle pensait ce nest pas exprès que je faisais durer le plaisir mais simplement parce que cétait la cinquième éjaculation en à peine plus de 12 heures.
Je finis par faire un effort, de peur que lhôtelier ne fracasse la porte en pensant quun avait lieu dans la chambre ! Finalement cela se termina par une petite éjaculation dans son anus. Immédiatement elle sallongea en gémissant sur le lit pour reprendre son souffle, incapable daller faire sa toilette tandis que je lâchais tranquillement :
- Je crois que lon peut dire que jai marqué un point, moi aussi
Quand nous descendîmes après quelques repos bien mérité, il était beaucoup trop tard pour le petit déjeuner ; lhôtelier nous accueillit par un torrent de mots en français et en espagnol, où lon pouvait reconnaître : « liste noire », « plus jamais dans mon hôtel », « vous avez de la chance que je nai pas appelé la police », « cest une honte des gens comme vous », « foutez le camp ! ».
Bien évidemment je voulus payer la chambre, mais elle refusa absolument, insistant pour en payer la moitié en expliquant quelle ne voulait rien devoir à un mâle dominant misogyne et adepte du patriarcat !
Nous partîmes tous les deux rapidement pour nous occuper de la réparation de nos véhicules. Heureusement il y a un concessionnaire Harley compétent et bien équipé à Pampelune car les Harleys sont des motos aristocratiques : elles ne peuvent pas accepter nimporte quel pneu et surtout pas nimporte quelle chambre à air !! Un concessionnaire moto normal doit en général les commander et il peut y avoir plusieurs jours dattente, alors quil fallait changer non seulement ma chambre à air mais aussi mon pneu totalement massacré par mes tentatives de roulage à plat.
La dernière fois que jai vu la blonde, cest lorsque je me suis arrêté devant le concessionnaire Toyota, après la réparation de ma Harley, où sa voiture avait été mise sur le banc et où les quatre pneus étaient en train dêtre changé.
- Vous auriez pu me crever le pneu avant au lieu du pneu arrière droit me dit-elle avec rage, car avec les pneus avant gauche et arrière droit à changer je suis obligée de changer les quatre pneus !
- Et moi jai dû changer mon pneu arrière et je vous garantis quun pneu arrière de Harley ça vaut plusieurs pneus de voiture ! Comme quoi je crois que nous sommes à égalité, en cette période de jeux olympiques, aussi bien pour le sexe que pour les pneus !
Ce fut notre dernier échange. Nous navons échangé ni nos prénoms, ni nos e-mails, ni nos numéros de téléphone, cest pourquoi je ne retrouverais probablement jamais ma jolie blonde au caractère (et à lappétit sexuel) si explosif.
Mais si jamais vous voyez un jour une blonde pulpeuse conduisant une Toyota Rav 4 rose, dépêchez-vous de me laisser un message dans les réactions en dessous de cette histoire.
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