Un Gîte Agité
Ce matin-là, nous avions décidé de profiter d'une bonne grasse matinée, bénéficiant du gîte pour nous tous seuls. La fatigue accumulée et la route pour rejoindre l'endroit nous avaient quelque peu anéantis.
Nous nous étions réveillés vers les 10h30 et avions pris le petit déjeuner sur la terrasse donnant accès au jardin. Le temps commençait à devenir chaud mais un léger vent rendait la température supportable.
Personne aux alentours, la quiétude totale. Après une bonne douche et avoir préparé le repas de midi, nous avions écrit quelques cartes postales. Prenant tout notre temps, nous ne vîmes pas l'heure passer.
Un petit repas et nous nous sommes mis dans le jardin, dans l'herbe pour digérer. Planqués sous un arbre, seuls au monde, nous avions quittés nos vêtements pour avoir au maximum l'air sur nos corps, la douceur agréable du vent.
Nous avions dû nous assoupir, car nous fûmes réveillés par une voix douce.
- Excusez-moi de vous déranger , je suis au gîte également. Je devais partir pour le week-end fêter entre amis un anniversaire, mais nous n'avons pas pu avoir la salle prévue . J'ai proposé de nous rabattre ici et je viens de rentrer. Je voulais vous prévenir qu'il y aurait un peu de bruit, ce soir.
Une femme , environ la quarantaine, les cheveux assez longs sur les omoplates, nous dévisageait. Prenant conscience que nous étions nus, nous avons eu des gestes de protection qui fît rire aux éclats cette femme.
Cela ne la choquait pas de nous voir ainsi car elle pratiquait le naturisme. Et alliant le geste à la parole, elle quitta la robe courte qu'elle portait.
C'était une noire aux formes agréables qui n'était plus revêtue à présent que de ses tongs.
Une fois la surprise passée, nous avions discuté avec elle, sympathisé. Elle était de La Rochelle ( le monde est petit ) et était vendeuse en parfumerie.
Plutôt que de supporter le bruit, de notre côté, elle nous invita à nous joindre à leur soirée.
Soirée cool en perspective et tenue vestimentaire à l'appréciation de chacun.
Vers les 19h30, notre nouvelle amie vint nous chercher, mais tu n'étais pas prête, ne sachant comment t'habiller. Elle me dit de me rassurer, qu'elle montait s'occuper de tout cela.
Quelques minutes plus tard, je vous vis redescendre et je fus un peu surpris. Tu avais emmené pour me faire plaisir quelques habits un peu moins décents que d'habitude et l'effet de surprise fut celui que tu escomptais, mais nous n' étions pas seuls.
Des cuissardes marron chaussaient tes pieds. Une jupe plus courte qu'à l'accoutumée laissait apparaître un morceau de tes jolies cuisses. Un top en tulle transparente ne cachait rien de tes seins, nus sous le tissu. Sous la jupe, le mini string rose que je t'avais offert et pour ce faire, tu avais taillé ton pubis, ne laissant que la place d'un ticket de métro.
Tu me regardais d'un air interrogateur, mais je ne pus y répondre, emmenés vers le lieu des festivités par la jeune femme.
Ses amis étaient déjà arrivés et nous fîmes connaissance. Les tenues étaient plus que légères chez les dames mais cela n'avait l'air de ne choquer personne. Des chemisiers noués sur des seins nus, des haut en maille ou résille laissant à jour de belles poitrines, des strings osés, un pantalon en cuir moulant, des bottes ou chaussures romaines à lacets montants, une robe complètement transparente et rien dessous...
C'étaient des gens un peu plus jeunes que nous, très sympas, très gais, prêts à faire la fête.
Le repas commença, les discussions étaient nombreuses et variées, chacun trouvant sa place pour prendre part à la conversation.
Le ton était badin et tout le monde s'amusait bien.
Les quelques verres bus rendaient nos esprits très libres et nous avions continué de débattre sur quelques notes de musique.
Nous nous mîmes à parler de nos couples petit à petit et de sexualité.
Emportés par l'ambiance, nous nous sommes pris au jeu. C'était une sorte de jeu de la vérité où les jokers étaient absents. Certaines questions étaient osées, mais bon&,8230, cela restait bon , malgré tout.
Vanessa, la jeune noire qui nous avait invités, demanda à l'assemblée si l'on voulait jouer à un jeu de société genre Trivial Pursuit.
Pourquoi pas, avions-nous répondu en choeur.
Un des amis de Vanessa proposa d'intéresser la partie. Un autre répliqua qu'il ne jouerait pas s'il était question d'argent. Ouf !
Une des deux blondes suggéra un genre de strip et les autres filles se sont mis à acquiescer en gloussant de plaisir.
Tu m'as regardé, je t'ai regardé. Nos yeux disaient : dans quoi s'est-on embarqués ? Il était un peu tard pour faire machine arrière, ne voulant pas passer pour de vieux culs coincés.
Une fois établi que chacun portait le même nombre de vêtements, il fût décidé que celui ou celle qui se retrouverait à ne pas répondre alors qu'il ou elle serait sans vêtements, un gage serait tiré au sort, sans possibilité de le refuser.
Des gages furent écrits sur des petits morceaux de papier et mis dans une corbeille, au cas où.
Après quelques parties, nombre d'entre nous étaient fort dévêtus Certaines filles n'avaient plus que leur string, les autres étaient nues. Quant aux hommes, ils étaient dans la même situation. Il me restait mon string et toi, ton top en plus.
La blonde qui avait suggéré le strip vint à perdre. Elle dût tirer un gage.
Elle devait faire une fellation au garçon qui lui serait attribué par les autres. Elle avait de gros seins, les plus gros de toutes les filles présentes. Elle était assez attirante mais je me sentais assez mal . Je commençais à glisser de ma chaise, tu me regardais
Un peu interloquée. Mais je ne fus pas choisi et je repris mon souffle.
L'ambiance devenait de plus en plus chaude et petit à petit, nous sommes rentés aussi dans le jeu.
Les derniers vêtements portés disparurent et nous sommes tous retrouvés nus. Les gages pleuvaient de toutes parts.
Un des garçons dut mettre son sexe entre les seins de Vanessa, se frotter jusqu'à éjaculer. Les deux brunes se sont caressées.
Tu as eu , toi aussi, ton gage. Tu devais faire un 69 avec la fille qui te serait désignée. Tu m'as regardé en voulant reculer, un peu affolée, ne sachant pas ce que j'allais en penser. D'autant que ce n'était pas dans tes habitudes de toucher de cette manière les femmes.
Je te fis comprendre que je ne t'en voudrais pas, que c'était un jeu, seulement un jeu. Que çà ne prêtait pas à conséquence.
Un peu timorée mais guidée par la petite rousse, tu entrepris d'exécuter ton gage. Elle portait un bijou figurant un sexe masculin, tenant avec des ficelles comme un string et enfoncé dans sa chatte. Elle le quitta.
Vos langues léchaient à plein vos sexes, vos pubis s'humidifiaient et vos lèvres se mouillaient fortement.
Ses mains prirent tes tétons et les tournèrent, les pincèrent pendant qu'elle introduisait sa langue dans ta chatte. Tu gémis et ton corps se banda, ayant un plaisir nouveau que tu trouvais délicieux. Vos cris s'envolèrent ensemble dans la nuit.
Mes yeux te rassurèrent.
Je dus, à mon tour, tirer un papier. On me désigna Vanessa comme partenaire de gage. Je lus le papier et me trouvai embarrassé.
Je devais pénétrer ma complice de la manière qu'elle le souhaiterait, jusqu'à ce que je rende les armes.
J'étais mal parce que je savais que tu me voulais pour toi toute seule, que tu ne supporterais pas qu'une autre me touche. De plus, je n'avais jamais fait l'amour avec une black.
De la même manière que je t'avais apaisée, de même ton regard conciliant me donna juste le courage de faire le gage.
Elle décida de se faire prendre par derrière.
Elle cambra les reins au maximum, prit mon bâton et le posa à l'entrée de son postérieur. Elle écarta ses demi-lunes, dévoilant son anus et me dit : Encule-moi fort et profond.
Je t'ai regardé et tu as hoché la tête.
J'ai enfoncé rapidement ma queue dans ses fesses et poussé mon bassin le plus loin possible. Elle cria fort, sentant ma bite au fond d'elle, sans ménagement, comme elle le désirait.
J'entrepris des mouvements de va et vient. Je me surprenais à regarder ma queue entrer dans ce cul noir. Cà n'avait pas été un fantasme particulier jusqu'alors, mais c'était arrivé.
Mes mais sur ses fesses, mes pieds bien à plat et mes genoux repliés, mon bassin balançait mon sexe dans ses fesses qui remuaient de plus en plus, à la rencontre de mon membre.
Bientôt, la sève monta jusqu'à mon gland. J'eus à peine le temps d'ôter le préservatif que j'éjaculais sur son petit trou béant. Mon sperme coulait à l'intérieur.
Vanessa me remercia et suça mon jus pour me nettoyer.
Une dernière partie fut décidée et tu la perdis. Le dernier gage était pour toi. Plus de choix, il n'en restait qu'un de toutes façons.
Tu as lu le papier à haute voix et celle-ci s'étouffa.
Tu devais faire l'amour avec tous les garçons en état.
Tu avais donc cinq hommes à satisfaire. Vu que je venais de donner mon obole, j'étais hors course.
Les garçons s'approchèrent de toi, te caressant pour te dé-stresser. Car tu leur avais dit n'avoir jamais fait çà.
Toutes les parties de ton corps furent touchées par leurs doigts. Ils passèrent leurs mains dans tes cheveux. Puis tu les as caressés à ton tour.
L'un d'entre eux se coucha et on te fit glisser sur son sexe encapuchonné. Son bassin claqua contre ton périnée et tu sentis son sexe au fond de toi.
Un autre se mit devant toi, te proposa son instrument et tu le pris dans ta bouche. Tu commenças à le sucer énergiquement. Deux autres se postèrent de part et d'autre du groupe que vous formiez.
Ils se masturbaient en même temps et quand leurs sexes furent durs, ils les mirent dans tes mains pour que tu continues à les branler.
Je commençais à reprendre de la vigueur à la vue du spectacle. Toi, couchée sur un homme, prise dans ta chatte, tenant dans chacune de tes mains un sexe et en en suçant un autre dans ta bouche.
Tu gémissais tous les cris de ton corps, pris de toutes parts ou presque.
Le dernier ami de Vanessa vint se positionner au seul endroit restant disponible.
Il enfila son dard au fond de tes fesses, ce qui te fit cambrer un peu les reins.
Tu étais comblée. Cinq hommes te faisaient l'amour et tu ne tardas pas à jouir avec une force que tu n'avais jamais éprouvée.
Ton corps ressentait toutes les convulsions d'un orgasme exceptionnel.
J'étais heureux pour toi.
Les cinq filles se mirent en demeure de s'occuper de mon sexe qui avait repris force. Deux me léchèrent le gland, la hampe, les bourses. Deux autres s'occupèrent de mes seins, de mes tétons. Leur faisant passer un drôle de moment.
Le plaisir m'envahit. Ce sentiment de bien-être qui vous prend aux tripes. Elles se dégagèrent de moi sauf une qui se coucha par terre. Les autres me firent aller sur elle à l'envers.
Je pouvais lui lécher le sexe pendant qu'elle s'occupait du mien.
Je sentis deux mains qui me claquaient les fesses, délicatement puis plus fermement.
Je reconnus tout de suite les tiennes. Sans me retourner, je sus que c'était toi.
Une vague de bonheur me remplit.
Puis ta langue fouilla mon postérieur, tes mains dégageant mes fesses et laissant mon petit trou à la merci de ton appendice buccal.
Elle le lécha amoureusement, le mouilla abondamment puis tes doigts se firent un passage dans mon anus.
Que c'était bon de te savoir là !
Pendant ce temps, la fille s'activait sérieusement sur mon bout.
Tu me quittas quelques secondes et quand je sentis à nouveau tes mains sur mes fesses, quelque chose de froid était placé sur mon oeillet brun.
Pas le temps de te demander ce que c'était, tu enfonçais un gode-ceinture dans mon cul. Profondément.
Surpris et pénétré plus que je ne le pensais, je me mis à pousser un gémissement plus fort que les autres.
Je haletais sous tes coups de rein. Les filles t 'encourageaient à me défoncer la rondelle, disant que je saurais ce que çà leur faisait quand un mec les prenait par-là.
Ton bassin allait rapidement et le plaisir monta dans mes fesses et dans ma queue au bord de l'explosion.
Un dernier coup de rein eut raison de ma résistance , je jouis et ma queue libéra son foutre dans la bouche de celle qui me suçait.
Mon corps trembla et pendant un temps que je ne sus calculer, je n'habitais plus sur terre.
Deux femmes venaient de me faire l'amour ensemble. Ma partenaire se releva et vint nous embrasser tous les deux tour à tour, laissant sur nos langues et dans notre bouche, une partie de ma semence.
La soirée s'achevait, nous étions tous sereins et satisfaits.
Nous nous sommes dits au revoir et nous partîmes nous coucher tous les deux, rien que nous deux.
Vanessa nous remercia d'être venus et nous laissa son adresse à La Rochelle.
Au cas où !
Le temps déciderait pour nous mais nous planions trop pour promettre quoi que ce soit.
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