Eveil Et Maturite (6) - Les Secrets De Clélia

EVEIL ET MATURITE (6)

CHAPITRE 6 - LES SECRETS DE CLELIA

Le récit que me fit Clélia de la manière dont Tantine l'attira dans son lit fut tellement vivant que je le reprends ici tel qu'elle me le raconta. Je me blottis entre leurs deux corps nus et chauds et écoutai Clélia me raconter en me masturbant doucement.

*

* *

Depuis quatre ans Tantine m'invite toujours au mois d'août. Les premières années elle m’invitait pour quinze jours et l’année dernière c’est devenu un mois. Elle est la petite soeur de ma mère. Elle est divorcée et vit ici dans le Midi. Je passais chaque année des vacances merveilleuses grâce à elle. Et cette année elle voulut me faire un plus grand plaisir et elle m'invita dès le 1er juillet pour deux mois.

J'avais beaucoup changé depuis l'an dernier. J’avais 18 ans, mon corps était encore plus joli et je me sentais pleine de désirs confus. Je commençais à courir les garçons et n'étais plus vierge. Dès que je suis arrivée j'ai senti qu'elle me trouvait jolie. On a parlé toute la soirée et ma première nuit ici j'ai dormi comme un loir. Le petit déjeuner du lendemain fut tardif mais exquis. Puis je me suis fait rôtir avec elle au soleil sur la terrasse toute la matinée, avant un déjeuner frugal. En se levant de table Tantine m'a dit:

- Clélia, tu n'as pas un bon maillot ! Il va te faire de grosses marques blanches partout ! Je vais te prêter un des miens !

- Mais ça n'ira pas Tantine ! Tu as une poitrine plus grosse que la mienne!

- Plus grosse ?... Je n'en suis pas certaine !

Elle regardait mes seins et ça me faisait tout drôle. Elle décida que ça irait probablement mais qu'il fallait essayer. Elle m'entraîna vers sa chambre, ouvrit son armoire, et me fit choisir un maillot. Il n'y avait que des bikinis ultra petits. J'en choisis un et l'essayai. Tantine me regardait pendant que je changeais de maillot et j'avais l'impression qu'elle adorait me voir nue.



Elle essaya de me l'ajuster, n'en fut pas satisfaite, et m'en fit essayer plusieurs d'affilée. Chaque fois elle me l'ajustait bien sur le corps de ses doigts légers et adroits. Je me sentais parée par une aînée, et dans ses propres vêtements. C'était bon et ses mains qui papillonnaient chaque fois autour de mes seins et de mes fesses me faisaient tout drôle. Deux ou trois fois je sentis ses doigts effleurer par accident mon bas ventre et j'avais envie qu'elle recommence.

- Celui-ci n'est pas bon non plus ! Les bretelles vont te faire de grosses marques sur les épaules. Tu vas essayer le mien ! Enlèves celui-là !

- Comment le tien ?... Celui que tu portes maintenant ?

- Oui !... Mais peut-être préfèrerais tu que je lave le slip avant que tu ne l'essayes ?

- Oh non Tantine !... Pas si c'est toi !

Une fois de plus j'enlevai mon maillot. Derrière moi j'entendais Tantine se dénuder. Pour la première fois j'allais la voir toute nue. Ca arrive souvent entre filles, mais avec Tantine, je ne savais pas pourquoi, ça me plaisait beaucoup plus fort.

Quand je me retournai, je la vis me faire face, complètement nue. Elle me tendait son bikini. Elle avait un corps ravissant de femme adulte, de très beaux seins avec les grandes aréoles roses que tu lui as vues et un sexe qui me semblait beaucoup plus gros et plus ouvert que le mien. On y voyait des tas de plis tout roses à l’intérieur. C’était beau !

- Oh mais Tantine ! Tu n'as aucune marque de maillot !... Tu fais de l'intégral ?

- Oui !... Au fond, pourquoi ne le ferais tu pas aussi ? Seuls les oiseaux peuvent nous voir sur ma terrasse ! Tu as un tellement joli corps ! Ce serait dommage d'y faire d'horribles marques !

- Toute nue ?

- Oui! C'est tellement bon d'être nue au soleil et au vent ! Gardes ce maillot pour aller nager à la plage ! Ici tu n'en auras pas besoin ! On vivra toutes nues toutes les deux !

J'hésitai, mais elle approcha nue de moi et me prit par les épaules.
Qu’elles étaient douces ses mains sur mes épaules ! Puis elle ajouta :

- A moins que ça ne te dérange de me voir toute nue ?

- Oh non Tantine ! Je te trouve ravissante !

- Alors toi aussi tu seras pour moi un constant plaisir de l'œil ! Tu as un corps ravissant !

Elle se tût et se mit, sans gène, à laisser traîner longuement ses regards sur tout mon corps. Je le vis descendre lentement le long de mes seins en se suspendant à leurs pointes. Puis il glissa le long de mon ventre jusqu'à mon buisson moussu où il plongea un long moment. C'était tellement sensuel ce regard ! J'avais envie de me jeter dans ses bras nus et en même temps de m'enfuir. Mais elle me tenait par les épaules et son regard se promenant sur mon corps nu m'affolait. Je ne pouvais m'empêcher de regarder son corps à elle, et même son gros buisson de poils.

Subitement son regard croisa le mien et je rougis fort, certaine qu'elle voyait mon trouble. A ce moment elle m'attira toute nue contre son corps nu et hâlé. Mon coeur se mit à battre la chamade quand je sentis mon ventre et mes seins nus contre les siens. Elle m'enlaça très doucement et tendrement et me dit :

- Ma petite Clélia ! Que tu as changé ! Tu es une femme maintenant ! Tu as une merveilleuse poitrine, aussi grosse que la mienne !... Et un ventre de femme doux comme le mien ! Tu sens comme ton ventre est doux contre le mien ?

Elle se frottait lascivement contre moi.

Sens comme nos ventres sont doux l'un contre l'autre !... Tu sens ?... Et nos seins ?... Comme c'est bon de frotter les tiens aux miens !... Tu sens comme c'est doux mes seins nus contre ta poitrine ?

J'approuvai en haletant. Alors je la sentis subitement pousser son con moussu contre le mien. Elle ajouta :

Tu sens comme nos corps se ressemblent, même... même là en bas de nos ventres !... Tu sens comme nos deux sexes sont doux et comme ils sont heureux ensemble ?

A chacun des mouvements de son con contre le mien elle écrasait mon clitoris et lançait des vagues troubles dans tout mon corps.
Elle me regardait toujours dans les yeux et je savais qu'elle y lisait tout mon trouble et s’en délectait.

Subitement elle s'écarta de moi et je faillis crier de dépit de perdre le contact de son con. Mais elle empoigna immédiatement mes deux seins et se mit à les masser délicatement.

- Oh Tantine ! Qu'est ce que tu fais ?

- Quels beaux seins tu as ma Clélia ! Qu'ils sont gros et fermes ! Et comme ils sont sensibles à mes caresses !

- Oh Tantine !

- Tes seins sont faits pour être caressés comme cela ! Donnes moi tes deux seins !... Prends les miens en échange !

- Mais Tantine …?

- Chuuût!... Laisses tes beaux seins nus dans mes mains !... Caresses les miens !

Mes mains lui obéirent et entourèrent les seins nus de Tantine. Ses mains expertes autour de mes seins provoquaient du plaisir jusque dans mon ventre. Par moments c’était comme s’il était plein de papillons en vol. Alors je me mis à pétrir doucement ses seins lourds et nus. On se caressa un long moment ainsi. Le désir montait en moi. Je ne me reconnaissais plus. J'avais une immense envie de jouer toute nue avec elle.

Puis elle me lâcha, s'écarta de moi et tomba à genoux. Elle ramassa ses deux seins dans ses mains comme pour me les présenter et, en riant, me dit :

- Deux seins nus à pétrir ! Qui veut deux beaux seins ? Profitez de l'offre exceptionnelle ! Ils sont offerts nus à vos caresses et je ne dirai jamais à personne que vous les avez caressés ! Deux beaux seins nus pour vous amuser ! Qui veut les prendre ?

Tremblante, je la regardai accroupie, nue devant moi. Entre ses cuisses ouvertes sa vulve était béante. Je savais que si je bougeais j'étais perdue. Elle me regarda en riant.

- Toi la petite demoiselle ? Tu n'as pas soif ? Deux seins pleins de bon lait pour toi petite ! Viens boire à leurs bouts le bon lait du plaisir ! Je parie que tu n'as jamais sucé de beaux seins comme ça ! Profites en ! Viens arrondir tes jolies lèvres autour de leurs bouts pleins de vie !

Je ne pus résister, tombai nue à genoux devant elle, et fis ce qu'elle me demandait.


- Dieu petite! Que tu avais soif ! Que tu es affamée ! Tâtes les bien ! Profite de ta chance ! Jamais personne ne saura ce que tu as fait avec mes seins !

J'en profitais follement et sans plus aucune gêne. Puis elle m'écarta d'elle et son téton s'arracha de mes lèvres avec un "plof" sonore de chair douce qui me plût.

- Moi aussi j'ai soif petite ! Je vois que tu as de très beaux seins ! Je peux les téter à mon tour ?

Mon sang ne fit qu'un tour, répandant l'excitation partout dans mon corps. Je me redressai haletante et toute rouge de sa poitrine et portai machinalement mes mains sous mes seins pour les lui présenter. Je regardais ses lèvres approcher et entourer un bout, puis je ressentis du plaisir quand elle se mit à le téter. C’était comme si j’avais cette fois plein de papillons dans le bas ventre ! Quand elle passa à mon autre sein, je sentis ses doigts courir dans la mousse de mon bas ventre. Je sursautai et criai presque :

- Tantine ! Qu'est ce que tu fais ? Non !... Si !... Ooohh oui !... Tantine ! C'est bon !... C'est bon ta caresse !... Plus fort !... Tu fais ça bien !... Mes seins nus sont à toi !... Oh tes lèvres ! Ta langue ! Tes doigts !... Tantine !

Et un formidable plaisir envahit tout mon corps. Je tendis tout mon corps nu tendu comme un arc vers elle, puis m'écroulai sur mes talons, les yeux fermés, goûtant la fin de l'orgasme qui me retournait le ventre sous ses doigts savants. J'avais, pour la première fois de ma vie, joui sous les doigts d'une femme. Oh que j'avais joui ! Je sentis les bras nus de Tantine m'entourer le cou et j'ouvris les yeux. Tantine me souriait tendrement.

- C'était bon hein ?... Tu as aimé ?

Je ne pus lui répondre. Alors, d'un air gamin, elle approcha son visage, lécha rapidement mes lèvres, et s'écarta en souriant. Puis elle recommença. A la troisième fois j'écartai mes lèvres et ma langue rencontra la sienne. Alors sa bouche ne me quitta plus. Nos langues se cherchèrent et s'enlacèrent l'une à l'autre. Faire ça avec Tantine toute nue ! Je n'en revenais pas ! J'en profitai longuement avant qu'elle ne s'écarte.

- Maintenant on va offrir ton joli corps nu au soleil !

Elle s'écarta de moi à quatre pattes. Je la rattrapai et me blottis nue contre son dos et son derrière. C'était bon sa peau nue et ses fesses contre mon ventre ! Elle se tourna vers moi et dit :

- Petite polissonne !

Pour toute réponse j'embrassai furtivement ses lèvres et sentis son derrière frétiller contre mon ventre.

- Oh Tantine ! Joues encore avec moi !

- Non non ! Au soleil maintenant !

- Caresses au moins encore un peu mes seins !

Elle sourit et ajouta :

- Tu es une vraie polissonne !... Assieds toi là dans le fauteuil !

Je m'assis. Elle vint derrière moi. Je fermai les yeux et sentis ses mains glisser sur mes seins. Elle se mit à les pétrir doucement. Je me laissais faire totalement. Des frissons de plaisir et d'envies couraient dans mes veines. Elle me demanda:

- C'est bon hein ma Clélia ? Ca te donne du plaisir dans le ventre ?

J'approuvai doucement. Alors Tantine glissa accroupie à côté de moi, posa ses lèvres sur mon sein et sa main glissa sur mon ventre nu et pénétra la mousse. Machinalement mes jambes s'écartèrent. Elle me caressa un moment en suçant mes bouts de seins, puis m'abandonna quand le plaisir montait en moi.

- Maintenant tu vas au soleil toute nue ! Moi je vais faire une sieste !

Elle partit dans sa chambre. Seule, je pris une pomme dans la corbeille sur la table et la croquai. Machinalement mes doigts tâtèrent ma vulve et je la sentis gonflée, ouverte, et toute mouillée. Elle m'avait laissée quand le plaisir montait. J'avais une envie folle de jouir mais pas avec mes doigts. Il fallait que ce soit elle qui le fasse ! Je me sentais un peu perdue avec mes envies dans le ventre et j'allai sur la terrasse. Là je vis que la porte fenêtre de la chambre de Tantine était ouverte. Me voyait-elle de son lit ? A ce moment, je l'entendis m'appeler doucement. J'entrai dans la chambre et vis Tantine assise toute nue sur le lit, les cuisses toutes ouvertes vers moi. D’un doigt elle se caressait sensuellement le clitoris. Mes regards plongeaient dans son con béant. Les désirs rongeaient à nouveau mon ventre.

- Ma Clélia, peut-être préfères tu rester un peu près de moi ?... Tu aimes me voir comme ça hein ? Tes regards en disent long ! Viens !... Assieds toi au bord du lit !

Je m'assis en silence et toute tremblante. Elle prit ma main qu'elle posa sur son ventre. Il était d’une douceur surprenante.

- Que tu es belle ma Clélia avec ce feu qui brûle en toi !... Ce feu sensuel !

- Oh Tantine! Comment sais tu ?

- J'ai vu ton regard sur mon con ouvert quand tu es entrée !... Et quelle passion il disait !... Caresses toi un peu ma petiote !... Oui ! Là entre les cuisses !... Caresses toi doucement près de moi ! Ca te détendra !

Ma main glissa vers mon ventre et je me mis à me caresser près d'elle.

- Oh ma Tantine !

- Que voudrais tu ?

- Etre... être encore nue contre de toi !

Elle me sourit, se mit a genoux sur son lit et approcha de moi. Elle caressa un de mes seins, puis, d’un coup, se mit à en sucer le bout. Je pris mes seins et les présentai à ses lèvres. Elle suçait mes bouts avec passion. La passion avec laquelle je m’offrais subitement à elle n’était pas moindre.

Puis elle me demanda de me coucher près d'elle. J'eus un sursaut intérieur de bonheur et m'étendis nue contre elle. J'étais ravie ! Je sentis sa main glisser comme une plume sensuelle sur mon ventre et sur mes seins. Je me taisais et lui abandonnais tout mon corps. Et le miracle recommençait !

Ses paumes douces glissaient sur ma peau, s'arrondissaient sur mes seins nus et en chatouillaient les bouts. Elles glissaient, sensuelles, sur mon ventre jusqu'à mes genoux, puis remontaient, légères, entre mes cuisses, vers... oh vers mon nid de chair heureuse ! Oh combien je me sentais nue sous ces paumes chaudes ! Combien je me sentais fille sous ces doigts de femme ! Et contre moi ce corps nu de Tantine ! Quelle douceur ! Avec mes copains j’avais couché et beaucoup joui. Mais jamais je ne m’étais sentie dans un tel nuage de bonheur tendre et enflammé. Et l’incendie dans mon ventre faisait rage.

Le plaisir montait doucement en moi. Je me sentais envahie de sensualité. Ses paumes douces, courant sur ma peau nue, ramenèrent en foule des souvenirs qui couraient encore dans mes veines. Le souvenir de son ventre nu contre le mien, de ses gros seins nus qui roulaient sur les miens. Quel univers de douceur les seins de Tantine contre les miens ! Ma vulve, gonflée de désirs, se souvint tout à coup de s'être frottée à celle de Tantine. Comme ses poils étaient rêches contre mon clitoris ! Comme les lèvres de sa vulve étaient douces et molles quand elles se glissaient entre les lèvres de la mienne ! Et comme, après ces effusions, nos poils étaient mouillés de nos liqueurs mêlées !

A cette pensée un immense sentiment d'amour, d'abandon et de désir envahit mon ventre et mes seins nus. Je me tournai vers elle, écartai mes cuisses pour que mon sexe touche sa peau nue, passai une cuisse sur sa hanche douce, et me blottis dans ses bras. On resta un moment enlacées puis elle se releva. Craignant qu’elle ne s’en aille je m’assis et la retint.

- Oh Tantine!... Je voudrais...

Je ne pus finir ma phrase. Les lèvres de Tantine s'étaient posées sur les miennes et les dévoraient fougueusement. Sa langue se promenait dans ma bouche et s'enroulait follement à la mienne. Sa main, glissée entre mes jambes, possédait tout mon con et ses doigts glissaient dedans. Après un moment de surprise, je m'abandonnai totalement à ce baiser. Nous étions toutes deux comme folles. Je la sentais enfin possédée par un désir aussi puissant que le mien. La passion avec laquelle elle m'enlaçait nue et son baiser l'expliquait à tout mon corps. Puis elle lécha mes lèvres et nous laissa reprendre haleine.

- Tantine ! Tantine ! Quel baiser !... Tu m'as embrassée comme un garçon !... Pourtant on est deux filles ! C'est merveilleux comme tu es vicieuse ! Oh Tantine ! Fais-moi l'amour ! N'aies pas peur ! J'adore ce que tu fais !... Et je ne dirai jamais à personne ce que tu fais avec moi !

Elle m'enlaça plus fort et je sentis sa main glisser sur ma fesse vers ma fente et mon nid de chair tendre et mouillé.

- Petite vicieuse ! Je suis folle de toi ! Oh c'est exquis ton petit cul qui se soulève et qui cherche mes doigts !

C’était vrai ! Je sentais toujours ses doigts courir sans gêne dans tout mon con ouvert. Je gémissais de plaisir. J'étais comme folle ! Je me donnais à ses vices, cuisses grandes ouvertes. Elle me dit à l’oreille :

- Comme tu mouilles ma chérie !

Je sentis alors Tantine ressortir un doigt et le promener tout mouillé sur mon anus. Deux ou trois fois il recommença son manège. C'était drôle ! Mon anus en était maintenant tout mouillé !

- Oh ma Clélia ! Comme tu te donnes ! Et c'est vrai que je suis vicieuse !

- Oh oui Tantine !... Mais j’adore tes vices... Et je suis à toi !

Subitement je sentis une pression sur mon anus. C'était exquis et bizarre à la fois. La pression augmentait. Tout à coup je compris !

- Non Tantine ! Pas ça ! Non !

Mais c'était trop tard ! Tout son doigt mouillé de mes sucs glissait en moi dans mon anus. Je me sentais pénétrée irrésistiblement. Tout mon cul lui appartenait maintenant jusque dans ses coins les plus intimes, et elle me montrait combien elle l'aimait. Ses deux doigts commencèrent alors à se mouvoir en moi. Tout mon cul, con et anus, fondait et jouissait autour d'eux. Tantine posa les lèvres sur mon oreille :

- Petite pute jouisseuse ! Tu n'es plus vierge ! Tu as l'air d'une jeune fille toute pure, mais tu adores le plaisir ! Et tu t'en es déjà donné beaucoup ! Tu veux encore que je te lâche mon amour ? Je dois arrêter ?

- Oh non ! Non ! Tu peux tout faire ! J'ai envie ! On est deux filles et tu me fais ça ! C'est dégueulasse ! Je me sens vicieuse ! Mais toi tu l'es aussi et maintenant je le sais !...C'est bon tout ce que tu me fais ! Sois vicieuse avec moi Tantine ! J'adore quand tu l'es ! Ooohh ! C'est bon tes doigts !

Lentement elle posséda mes deux trous. J'avais les doigts d'une autre femme au coeur de l'endroit le plus intime de tout mon corps ! Que cette caresse était secrète et bonne !

- Tantine ! Je voudrais...

Elle me sourit, m'embrassa sur les lèvres, et dit :

- Fais tout ce que tu veux ! Moi aussi je suis à toi et tout mon corps attend tes caresses et tes baisers !... On va beaucoup jouir à nous deux !... Moi aussi j’ai follement envie de toi tu sais !

Mes doigts glissèrent le long de son ventre, plongèrent dans ses poils, puis dans l'ouverture mouillée de plaisir. Le ventre de Tantine fit un soubresaut de bonheur. Elle se mit à son tour à gémir contre moi. C'était extraordinaire de tenir cette femme adulte, nue, en mon pouvoir, par de petits mouvements de mes doigts dans son ventre. Ses doigts à elle, dans mon con et mon anus, m'arrachaient de douces plaintes de plaisir.

A ce moment elle enleva ses doigts de mon ventre, se releva, pivota sur elle même et plongea son visage entre mes cuisses. Je sentis sa respiration sur mon con puis sentis ses lèvres se poser sur celles de mon ventre. Je bondis de jouissance. C'était sa langue ! J'étais certaine que c'était sa langue qui léchait mon clitoris et glissait en moi ! Ce baiser intime me rendait folle. Jamais personne ne me l'avait donné !

Je cherchai je ne sais quoi autour de moi et vis le derrière de Tantine près de mon visage. Je l'entourai de mes bras et l'attirai vers moi. Elle m'enfourcha le visage et je vis son con s'ouvrir devant mes lèvres, répandant un bouquet d'odeurs qui m'affolaient. Je compris son désir et posai ma bouche sur son sexe. Elle gémit à son tour. Alors, comme une folle je plongeai ma langue dedans, cherchant le clitoris et fouillant tous les replis chauds et trempés. Je découvrais avec surprise combien elle coulait dans ma bouche et je buvais à son con. Jamais je n'avais fait ça ! Je découvrais pour la première fois de ma vie le con d’une autre femme. J’adorais son goût ! Et que c’était bon aussi de la rendre comme folle de bonheur !

La jouissance nous emporta très très loin toutes les deux ensemble et nous laissa terrassées sur le lit, enlacées tête bêche, l'une à l'autre. Après avoir un peu repris nos esprits je recommençai doucement mes baisers au con merveilleux que j'aimais maintenant passionnément.

Une idée vicieuse me traversa tout à coup et ma langue explora la fente entre ses fesses jusqu'à son anus que je me mis à lécher. Puis je plongeai par surprise ma langue dedans. Je connaissais maintenant ses deux trous et en étais folle!

- Petite vicieuse ! C'est bon !...

Je continuai un moment puis lâchai son anus, y glissai un doigt mouillé, et repris le baiser de son con et de son clitoris. Elle fit de même à mon cul, et nous possédant follement l'une l'autre, le plaisir nous submergea encore une fois.

Alors elle se releva, fit le tour du lit, prit ma main et me fit lever et m’enlaça langoureusement. Sa bouche approcha de la mienne et s’y posa. Sa main caressa l’intérieur de ma cuisse, hésita, puis remonta jusqu’à mon sexe tout gonflé. Elle y glissa un doigt et se mit à jouer dans mon con. Sa langue s’enlaçait à la mienne. Elle me regarda en souriant et me dit doucement :

- Tu es bien plus experte et plus vicieuse que je ne le pensais !... Tu adores jouir et tu sais si bien me faire jouir ! Si tu veux tu jouiras beaucoup durant ces vacances et personne ne le saura jamais !... Je serai à toi chaque fois que tu en auras envie ! Tu pourras vivre avec moi dans le plaisir. Tout mon corps, mes seins, mes fesses, mon con seront à toi ! Et moi je t'apprendrai à jouir avec une femme ! Je te ferai jouir sans cesse !... Autant que tu voudras ! Tu me donneras tout ton corps, tout ton cul et tous tes vices, et je te donnerai tous les miens ! Tu dormiras nue dans mes bras,... dans mon lit... et tu vivras nue avec moi ici ! Tu en as envie ?

- Oh Tantine ! Oh oui ! J'accepte !...

Et mes lèvres reprirent les siennes. Ma main glissa vers son con et je glissai deux doigts dedans.

- Tu n'es plus vierge mon amour !... Depuis longtemps ?

- L'année dernière !

- Tu as été heureuse dès la première fois avec un homme ? Il t’a fait bien jouir ?

- Oui !

- Tu as de la chance ! Alors tu aimes aussi l'homme ? Tu aimes sentir une queue fourrager dans ton con ?

- Oh Oui ! J'adore !

Elle me considéra un long moment en me regardant dans les yeux, puis se traîna sur le lit jusqu'à sa table de nuit de l’autre côté dont elle ouvrit le tiroir. Je la suivis à genoux sur le lit pour voir ce qu’elle faisait. Elle en revint avec un objet qu'elle me mit en mains. C'était une queue d'homme en plastic d’un rose ridicule, mais je n’en avais jamais vue de pareille ! Cette queue avait un beau gland à chaque bout. Je te la montrerai Pat! C'était souple et raide à la fois. Je ne savais même pas que ça existait !

Elle me laissa la palper puis la reprit et m’enlaça, caressant mon con avec le gland d’un des bouts. Elle glissa entre mes jambes, mouilla le gland et le poussa lentement dans mon con. J’avais machinalement ouvert mes cuisses toutes grandes pour lui en faciliter l’accès. J’étais totalement à elle.

En regardant la bite entrer en moi je gémissais de plaisir sensuel. Elle l'entra en moi jusqu'au fond. Je gémissais, les yeux rivés à mon ventre et à sa main qui me violait avec cet objet mâle. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et elle se mit à m’embrasser à pleine bouche.

Au bas de mon ventre, jaillissant de mes poils se dressait une belle bite mâle ! Elle se baissa alors et mouilla l'autre gland en plastic, puis ouvrit grand les cuisses vers moi. Elle était si merveilleusement obscène ouvrant ainsi son con devant mes yeux et… Oh bon sang !... Elle mouilla l’autre gland de sa salive et … Oh mon Dieu !... Glissa l’autre gland dans son con ouvert qui avala sous mes yeux une bonne longueur de cette bite ! Je venais de me voir en mâle avec une grande bite érigée sur mon ventre et maintenant je regardais cette bite lui faire l’amour à elle ! Ma bite la prenait profondément ! Sa bite me prenait profondément !

C'était fou ! Totalement fou ! Et j'étais comme folle ! Nous étions réellement accouplées et étions toutes deux des femmes ! Et deux femmes jouissant profondément ensemble ! Sa bouche approcha de ma poitrine et elle se mit à sucer un de mes tétons comme une folle. Je la vis poser un doigt sur son clitoris et le faire tournoyer dessus. Je fis immédiatement de même sur le mien. Un immense plaisir monta en nous et nous remplit toutes deux ! C’était comme si son plaisir coulait dans mon con au travers de cet outil mâle, se mêlait au mien puis retournait profondément dans son con à elle ! Au moindre de ses mouvements elle semblait bouger en moi comme un homme ! On jouit toutes les deux comme des perdues.

C'est depuis lors que je dors dans le lit de Tantine... et que je vis entièrement nue la journée avec elle ici dans l’appartement ! Notre double ami nous réunit régulièrement. On se le fourre dedans à deux en s’embrassant sur la bouche ! Quand l’une danse dessus l’autre sent tout très loin à l’intérieur. On jouit beaucoup ensemble Pat !

Hier encore on a fait l’amour ensemble tout l’après-midi. On s’est beaucoup bourré le con à deux avec notre double copain. C’était merveilleux hein Tantine?

Oh oui Clélia !... J’adore coucher avec toi !

Mais après j’ai quand même eu fort envie d’une vraie bite. Alors j’ai dragué Bertrand. Mais c’était pas ça. Et puis toi tu es venu avec ta belle bite posée sur mon ventre et tout ton respect de moi. Alors je me suis vraiment donnée à toi.


*

* *

- Voilà l'histoire de Tantine ! Ca t'a plu ?

- Tu n'as rien inventé ?

- Non ! Hein ma Tantine ?

Tantine, toute excitée, s’étendit sur le corps de Clélia qui lui dit :

- J’adore ton joli corps de femme nu sur le mien ! Toi aussi ça t'a plu que je lui raconte hein Tantine ?... J'aime comme tu es vicieuse !...

- Si ta Maman savait que je suis couchée sur toi, qu'on est nues toutes les deux, et qu'on se frotte l'une à l'autre ! Si elle savait comme on jouit ensemble !

- Ce serait encore plus grave si elle savait qu'en plus nos deux cons dégoulinent du sperme du même homme, … et qu'il est tout nu contre nous, et... qu'il a une bite ENORME maintenant qu’il a écouté notre histoire !

On rit tous les trois. Je montai sur elles. Je leur dis de continuer à s'aimer et plongeai ma queue dans le con de Tantine. Je donnai quelques coups profonds puis la ressortis et la plongeai dans le con de Clelia juste en dessous. Ma bite continua ainsi à passer d'un con à l'autre pendant que les deux filles s'embrassaient éperdument sous moi. Finalement l'orgasme nous emporta tous les trois presque ensemble.

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