Collection Dominant Domine. Le Choix De Mon Épouse (2/3)

• Bonjour, Jean-François, c’est Anita, ta belle-mère.
• Oui, belle-maman j’avais reconnu votre voix, je pense savoir pourquoi vous m’appelez, Victoria !
• Je viens de l’avoir au téléphone, vous auriez pu me dire que vous étiez sans nouvelle d’elle.
• Je suis allée à la police dès que je m’en suis aperçu, et je devais y retourner tout à l’heure, pour eux elle est majeure et à des chances de réapparaître.
• C’est le cas, elle vient de nous téléphoner.
• Que vous a-t-elle dit ?
• Elle te quitte, tu lui as manqué de respect.
Elle a eu une proposition de travail à l’étranger qu’elle devait rejoindre sans attendre.
Elle en a profité pour te quitter, sans avoir le temps de nous prévenir.
Tu vas recevoir les papiers de votre divorce.
Adieu, tu sais ce que je pensais de toi.

C’est fait, maître Yo et ces équipes ont agi, semblent-ils efficacement.
Ils sont très forts.
Sous contrainte certainement, ils ont même pensé à la faire téléphoner à ses parents.
Il savait que sa vieille salope de mère ferait le nécessaire pour m’annoncer son départ définitif avec la pointe d’ironie qu’elle avait au bout du fil.
Grâce à ce coup de téléphone, je suis blanchi pour la police, mais par sécurité je retourne au commissariat.

• Voyez ma collègue vous l’avait dit, on les retrouve toujours, il suffit d’être patient.
• Merci, même si elle divorce, je saurais qu’elle vit une vie heureuse, mon cœur saigne.
• Je suis mariée, mon mari est aussi policier, je vous aurais consolé, mais tout va bien avec mon mari.

Si au mari, je lui donne le numéro de maître Yo, sera-t-elle aussi satisfaite.
Il est vrai au prix ou la récupération d’une femme plus conforme à nos envies coûte, son policier de mari aurait du mal à payer le changement.

• C’est maître Yo, rendez-vous dans la vallée de Chevreuse.
Cinq femmes vous seront présentées.



J’arrive devant une demeure ancienne dans un parc.
Je sonne à la porte en fer forgé qui s’ouvre.
Une femme en robe longue blanche montrant qu’elle est nu dessous, c’est du moins ce que je constate en remontant l’allée légèrement derrière elle jusqu’au perron que nous franchisons.

• Monsieur Jean François, voyez cette porte, vous la franchissez.
Devant vous cinq salles ou évolueront les femmes que notre maître a choisies pour vous.
Sans qu’il vous soit possible de le voir, maître Yo vous donnera quelques renseignements et répondra à toutes vos questions dans la mesure du respect d’un certain anonymat.
• Inutile d’aller plus loin, dite à maître Yo que c’est vous que je veux comme prochaine épouse !

Sans un mot, la femme me tourne le dos sur ses talons soulignant sa chute de rein et le galbe de sa jambe infiniment fine et longue lorsqu’elle sort de la fente de sa robe.
Je franchis la porte.

• Bonjour Jean-François, j’espère que vous trouverez chaussures à vos pieds parmi les cinq femmes que je vais vous présenter.
Je vous aurais bien cédé ma première assistance, mais son mari m’aurait coupé les couilles tout maître des lieux que je suis.
• Bonjour maître Yo, je vois que vous savez choisir vos assistantes.
C’est nouveau pour moi de parler à une glace, je suppose que vous êtes derrière à me regarder.
• Assez parlé, le temps c’est de l’argent.
J’espère que vous avez été satisfaite de l’enlèvement de votre ex-femme.
Il a fallu que je lui fasse comprendre que c’était fini de jouer pour qu’elle téléphone à sa mère pour la rassurer.
• Merci.
• Je suis pressé, j’ai une nouvelle arrivée à recevoir.
J’ai repensé à votre belle-mère, je vais creuser le sujet et voir ce que je pourrais faire.
Avancez jusqu’à la glace suivante, première femme que je vous présente.

Je la vois sans qu’elle me voie.

• Un peu forte, je les aime plus longilignes.

• Pourtant, c’est un modèle qui plait, les hommes bien souvent, aime les femmes où ils en ont sous la main.
Mais si vous aimez les longilignes, je suis sûr que ce soir votre nouvelle femme repartira avec vous à votre bras.
Votre femme m’a dit que le sexe et elle s’était secondaire, celle-ci derrière cette deuxième glace est d’un tout autre genre.
Féline, faite attention à vos bijoux de famille si vous la choisissez, son mari était dompteur de fauves et elle a voulu devenir la dompteuse.
Il était impossible qu’il y ait deux dominants dans leur couple et il nous l’a vendu.

Derrière la deuxième glace, une femme élancée entièrement recouverte de cuir comme une seconde peau.
On dirait Catwoman, avec sa cravache.
J’aurais aimé dominer Victoria, mais comme le dompteur, j’aurai eu peur qu’elle prenne le pas sur moi.

• Voyons la troisième.

Si je m’attendais, une jolie blonde entièrement nue sauf un tablier blanc de soubrette un plumeau en main époussette les quelques meubles d’époque formant le décor de la pièce.
Elle est de dos quand j’arrive devant la glace.
Un véritable cout de foudre pour son cul.
J’ignore pour combien le maître veut me la céder.

• Je peux revoir la première, s’il vous plait ?
• Sans problème, il leur est impossible de s’échapper.

Je passe rapidement devant la tigresse, elle a dû comprendre que la glace dans sa pièce était une glace sans tain, car elle est collée à la vitre me montrant ses dents comme si elle voulait me bouffer.
Sa voisine est nonchalamment vautrée sur son canapé me cachant son cul.

• Celle-là, à combien vous me la céder, elle me plait bien.
• Un million, vous verrez, vous serez satisfait, elle semble amorphe comme ça.
Je l’ai eu en pension quelques jours.
Je vous aime bien, je vais vous faire une confidence, je les prends à demeure quelques jours tout au long de l’évolution de leur éducation, elle est prête à vous satisfaire.

• J’hésite, et la troisième celle qui époussette nue sous son tablier ?
• 1,5, Valériane était la femme d’un médecin de la côte méditerranéenne, son plaisir, c’est de faire reluire et votre intérieur et votre costume trois-pièces.
On se comprend !
• Oui, Valériane est plus chère, mais elle me plait bien.
• Plus chère, mais vous verrez, elle fait des fellations comme nulle autre.
Dans sa formation lesbienne elle a aussi montré de bonnes dispositions.
• Vous m’avez convaincu, c’est elle que je choisis pour devenir ma nouvelle compagne.
• Je vous ai dit que je vous aimais bien, Jean-François, je vais vous le prouver.
Si dans les mois prochains, vous voulez changer votre choix conformément à nos contrats, au lieu du quart du prix de sa vente, je vous la rependrais à la moitié.
• C’est sympa, pourquoi cette remise ?
• Soyons franc, j’ai présenté Valériane à de nombreux clients.
Je m’attendais qu’elle parte rapidement et j’avais tort contre toute attente.
Si ce soir, Jean-François, vous en aviez choisi une autre, demain elle prenait un charter pour Dakar pour nettoyer avec son plumeau des centaines de bites africaines.
Cette remise, c’est pour vous remercier de lui avoir sauvé les miches, ça m’aurait fait de la peine de la voir prendre l’avion.
Revenez à la porte que vous avez franchie pour venir dans ma galerie des glaces, ma collaboratrice va vous conduire vers notre notaire, vous règlerez avec lui les formalités administratives.
Avec l’espoir de vous avoir vendu le meilleur produit possible sur le marché.
Attention, je vous rappelle que ma collaboratrice est mariée et que son mari aime émasculer de jeunes poulets pour en faire des chapons pour Noël.
On regarde sans toucher.

Lorsque je sors, de la galerie, elle est là.
Vraiment dommage qu’elle soit déjà en main, j’aurais bien mis cinq cent mille de plus pour caresser sa jolie chute de reins, surtout dans sa nouvelle robe longue noire qu’elle a passée.

Le notaire est là, je sors l’un des trois chèques de banque certifiés.
Celui de un million deux cent mille euros.
Un cinq du prix de vente de Valériane, moins les trois cent mille de la vente de Victoria.
La beauté me reconduit à ma voiture, ma nouvelle compagne est près d’elle avec une valise mais aussi un tailleur qui lui va à ravir.
Je prends le chemin de la maison, j’ai hâte à essayer les prouesses sexuelles de ma nouvelle femme...

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