Ma Premiere Pipe

Je me prénomme Florence. J'ai 21 ans et je suis coiffeuse. Blonde, les yeux noisette, j'ai des seins plutôt mignons et un joli petit cul qui fait bander les mecs. Mais ce que les garçons adorent le plus chez moi, c'est ma manière de faire les pipes. En fait, je crois qu'ils apprécient surtout mon dévouement car je ne refuse jamais cette gâterie à ceux qui me courtisent. Chaque fois que je découvre une nouvelle bite, c'est pour moi un enchantement. Je les aime toutes : petites ou grandes, grosses ou fines, circoncises ou non, blanches ou noires. Cette passion est née il y a trois ans, le jour où Je me suis faite dépuceler par Pierre Edouard, le père de ma meilleure copine. Je passais le week-end chez elle. Me croyant seule car elle devait partir très tôt pour faire du jogging avec son père, je suis entrée nue dans la salle de bains, ma serviette sous le bras. Il était là, tout nu lui aussi, en train de se sécher les cheveux. Surprise, je suis restée les bras ballants, ne sachant trop quoi faire. Il s'est approché et il a dirigé le sèche-cheveux sur mon corps. Je me suis laissé faire sans broncher car c'était assez agréable. D'une voix étranglée, il m'a demandé de branler sa queue. Jamais je n'oublierai ce moment. Une fois la stupeur disparue, une impression de puissance et de chaleur s'est dégagée de mon corps. J'étais comme envoûtée. Mes mains se sont activées toutes seules sur sa colonne de chair. Elle était grosse et bien dure. La peau de sa queue remontait sur son gland rouge d'excitation. Il m'a attrapée par les cheveux et m'a e à la prendre entre mes lèvres. J'en avais des frissons dans le dos.
Aujourd'hui encore, malgré toutes les queues que j'ai pu sucer, j'ai encore en mémoire cette sensation étrange, ce double plaisir d'être à la fois soumise et maîtresse du moment exacte de leur jouissance. Les hommes veulent toujours rester les maîtres en nous traitant de vicieuses, salopes ou même putains, mais c'est quand même nous qui décidons du moment où ils éjaculeront.

Et pour la première fois de ma vie, j'avais donc une queue dans la bouche, mais je n'ai pas eu le loisir d'en profiter beaucoup car il a craché assez vite sa semence chaude et épaisse. Ne sachant quoi en faire, j'ai tout avalé. Je suis restée un long moment avec ce goût à la fois amer, sucré et salé dans la bouche. Mais j'ignorais que la séance ne faisait que commencer. Il a poursuivi ses caresses sur mes seins et mes fesses. Bientôt, l'un de ses doigts s'est immiscé entre mes cuisses pour fouiller mon intimité. Voyant que je n'osais toujours pas protester, il m'a retournée d'un coup contre le lavabo. Pendant un moment, j'ai senti ses caresses sur mes fesses puis quelque chose de chaud et dur à l'entrée de mon minou. En me tenant par les hanches, il a poussé d'un coup et s'est introduit complètement en moi. C'est ainsi que j'ai été dépucelée en levrette. Sa queue épaisse me pilonnait sans ménagement. J'avais du mal à savoir si cela me faisait du bien ou du mal. À chacun de ses mouvements, mes fesses claquaient contre son ventre et mes seins tressautaient. Je subissais ses assauts, tantôt très doux, tantôt très violents. Sa queue sortait presque entièrement de ma chatte avant d'y revenir à fond. Cela me secouait tout le corps. Il m'a baisée dans cette position un bon quart d'heure puis il m'a retournée de nouveau, me faisant asseoir sur le rebord du lavabo. Là, face à moi, il a enfoncé sa grosse pine dans ma chatte. Les bras en arrière pour prendre appui, je lui offrais mes seins tendus. Il les pétrissait vigoureusement tout en s'activant comme un fou entre mes cuisses. Finalement, il est sorti de ma chatte et m'a fait mettre à genoux devant lui pour que je le suce encore une fois. C'est lui qui imprimait le rythme. En fait, il se branlait dans ma bouche. Son gland était entre mes lèvres, prêt à exploser. Au moment d'éjaculer, il a reculé un peu et m'a envoyé tout son sperme chaud et gluant sur le visage. Il a étalé sa semence sur mes joues en frottant avec son champignon.
Je l'ai sucé encore un petit moment et c'est là que j'ai véritablement compris ce qu'était une bonne pipe. Mes mains pleines de sperme branlaient sa bite tandis que ma langue s'enroulait autour de son gland. Son jus coulait sur mon menton et à la commissure de mes lèvres avant de tomber sur mes seins.
Enfin, if s'est rhabillé et m'a laissée seule dans la pièce pour faire ma toilette. C'est en me regardant dans la glace, encore couverte de sperme, que j'ai vraiment saisi ce qui l'avait excité. Moi, Florence, 18 ans, la copine de sa fille, je venais de lui faire une pipe et il avait joui sur moi. En plus, il avait pris mon pucelage et je n'avais rien fait pour l'en empêcher. Nue, le visage souillé de sperme, j'ai réalisé qu'il m'avait prise pour une petite salope, une fille facile à qui l'on peut tout faire. Ce jour-là, j'ai vraiment compris que j'aimais le sexe et une nouvelle vie a commencé pour moi. Par la suite, Pierre Edouard est devenu mon amant et il me demandait souvent de le sucer lorsque nous étions seuls chez lui ou quand il me ramenait chez moi. Il aimait que je le suce dans la voiture. Il trouvait que je ressemblais alors à une pute qui tapine. Dans ces moments-là, il était assez long à jouir, ce qui me permettait de l'avoir plus longtemps dans ma bouche. Grâce à lui, j'ai ainsi acquis beaucoup d'expérience. Aujourd'hui, je fréquente un sauna tenu par des amis. J'y rencontre souvent des couples et des hommes seuls. Dans la nuit, il m'arrive de me faire sauter par quatre ou cinq mecs. Je suis la proie idéale pour tous ces hommes en quête de chair fraîche. Toujours disponible, je ne refuse jamais de faire l'amour, même si le type n'est pas très beau. Avec moi, tout le monde peut tirer son coup! Toujours habillée sexy, robe fendue sur le haut des cuisses, décolletée au maximum, sans culotte, j'attire les regards. Lorsque je suis en train de me faire culbuter, certains hommes entrent ,,. pour me voir en pleine action. Bien souvent, ils approchent leurs bites bien dures pour que je les prenne en bouche.
Comme je ne suis pas farouche, j'accepte qu'ils me la fourrent entre les lèvres. Certains soirs, ils sont même plusieurs à honorer ma bouche, ma chatte et même mon cul. Dans tous les trous, ils se régalent à m'enfiler leurs queues bien raides et prêtes à cracher leur semence comme pour me récompenser du plaisir que je leur donne. Il arrive parfois que je sois même complètement recouverte de foutre.

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