Delphine Et Antonia
Au ministère, Delphine et Antonia sont mes collègues de bureau, toutes deux la quarantaine épanouie. Des belles femmes, toujours bien habillées, souriantes, gaies. Et terriblement désirables. Parfois la jupe fendue très haut, ou le chemisier échancré, elles sont excitantes. Lair de rien, je vais les voir pour blaguer un peu, et je scrute leurs déplacements dans le bureau. Elles se penchent pour prendre un dossier, ou se dandinent devant la photocopieuse, en fredonnant une chanson à la mode. Debout, elles décrochent le téléphone et, penchées sur le bureau, notent une information sur un post-it. Je distingue lamorce dun sein, je devine un string sous un pantalon qui galbe un joli petit cul. Sous un chemisier blanc, un soutien-gorge en dentelle un peu trop serré, qui fait un peu déborder les seins.
Parfois, je fais un compliment un peu grivois, gentiment rabroué : « Non ! Il nest pas beau, mon petit cul, jai 3 kilos de trop ! Et si tu voyais mes nichons, tu téchapperais. Ils sont mous, ils se rident et ils tombent ! ». Mais moi, je les désire ainsi, je fantasme sur ses seins ! Jimagine une croupe bien cambrée, un petit cul bien galbé, moins ferme que celui dune minette bien sûr, mais je men fous. Les seins sont blancs et pendent un peu. Je les vois avec des gros bouts, et de larges auréoles. Imaginer mes mains les palpant, les caressant, titillant et pinçant doucement les pointes me procure un plaisir intense, et provoque un début dérection.
On va quelques fois au restaurant le midi, tous les trois. Jai une voiture 5 places, 2 portes. Je suis le premier assis au volant, et Delphine doit se courber pour passer à larrière. Jai toujours droit à une vision panoramique de son décolleté, le rebondi de ses seins, parfois aussi à un aperçu vertigineux dune jambe lorsquelle porte une jupe fendue. Elle sait que jai vu, et me tance dun regard rieur. Pas dupe, elle le fait chaque fois, la coquine !
A côté de moi, Antonia est en mini jupe, elle se cale bien au fond du siège baquet et allonge les jambes au maximum.
Souvent, la main sur le pommeau du levier de vitesses, je mimagine dér mon mouvement, et poser mes doigts sur ces longues jambes. Comment réagirait-elle ? Mystère..
Derrière, Delphine se refait une beauté, et râle quand je prends les virages un peu trop sportivement. Dans le rétroviseur, je la vois passer le rouge sur ses lèvres bien arrondies, dans une mimique sensuelle et provocante. Elle me voit, accentue le mouvement de ses lèvres, et me crie : « Oui, je sais, tu me la déjà dit ! Jai une bouche à pipes ! Gros dégueulasse ! ».
Bien sûr, ce nest faux quà moitié : je ne suis pas gros !
Sortis de la voiture, je marche courbé : « Petites garces, vous mavez fait bander ! ». "Hé ben, toi alors, il t'en faut pas beaucoup !".
On pouffe de rire, et dans la bonne humeur, on va manger en se racontant des histoires cochonnes.
Vous aimeriez une suite ? Aussi soft ? Plus Hard ?
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