Ma Femme Se Fait Chienne
Il fait chaud dans la maison. Il fait même très chaud. On sue presqu'à grosse goûte.
Je suis couché dans le lit, et je ne dors pas. Jai loreille attentive. La porte de la pièce voisine sest ouverte, des gens entrent.
Jentend des talons. C'est elle, sans aucun doute. Et elle nest pas seule. Une voix masculine accompagne ses douces parôles mélodieuses. Je ne peux déterminer lâge de lhomme, mais sa voix laisse paraître quil nest pas jeune.
Je les entend sasseoir dans le fauteuil. Ils semblent éloignés. Ils discutent à vive voix. Il ne savent pas que je suis là. Ils font des blagues, elle rit. Il mentionne quelle est saoule. Elle répond quelle est surtout gelée. Ils se remercient de leur soirée. Puis, subtilement, il la complimente. Il lui dit quelle est belle. Elle répond par un merci gêné. Il a raison. Même si elle est un peu grassouillette, elle est un charme. Son visage a les traits fins dune jeune fille de son âge. Elle a de beaux grands yeux bleu qui portent toujours un regard aguichant. Elle a les cheveux courts, noirs, qui fait encore plus ressortir ses multiples anneaux dans les oreilles ou le perçage sur sa langue. Son corps aux courbes généreuses a de grandes hanches et des fesses pulpeuses et bombées. Sa poitrine est généreuse.
Je lai vue se vêtir pour la soirée quelle vient de passer. Des jarretelles avec des bas filet noir. Une jupe en cuir noire moulante, très courte. Un corset lacé aux motifs gothiques de couleur pourpe, qui faisait remonter sa poitrine en un appétissant décolleté.
Pour se chausser, elle avait mit ses bottes à talons pointus en cuir qui remontent le long de sa jambe. Dernière touche à son accoutrement, un collier en cuir très large, avec plusieurs anneaux. Ne lui manquais plus quune petite culotte. Mais elle nen avait pas besoin. Elle sortait pour rencontrer. Après quelques vaporisations de parfum, elle parti. Elle ne se doutait point que jallais encore être là à son retour.
Le ton a baissé. Il lui parle tout doucement, très bas. Jai du mal à entendre, mais elle répond dautres mercis et quelques réponses affirmatives à des questions que jentends mal. Jentend le cuir du sofa se contracter. Elle commence à bouger lentement du sofa. Le male ne parle plus. Je lentends sasseoir à coté delle. Lintensité du froissement du fauteuil lorsquil sest assis laisse présumer que c'est un individu lourd? Est-il gros ou musclé? Quel âge a-t-il? Que fait-il?
Un baiser. Jai entendu un court baiser. Et puis là? Un bruit humide. Il lembrasse. Leur langues se collent et dansent. Jentends les salives qui sentremelent. Jentends leur soupir qui est devenu lent et chaud. Je suis perplexe. Je commence à avoir une érection. Mon pénis se dresse de toute sa taille sous les couvertures, faisant une bosse. Je le caresse doucement et je tends loreille. Leurs bouches sentre-lichent pendant un temps qui paraît énorme. Jentends ses mains qui caressent son corps sur ses vêtements. Jentends le sofa qui se froisse. Ils doivent se coller et sembrasser à pleine bouche. Je les entends à peine se chuchoter dans loreille des obscénités suivies dacquiescements. Ca y est. Elle est allumée et incontrôlable.
Tout objection est futile à partir de ce point. Cette homme a réussi à la séduire, et ce soir, il va la posséder.
Elle gémit doucement de bonheur et de plaisir. Elle rit doucement. Jentend un bruit de succion. Il lui suce un mamelon! Il a déjà découvert ses seins. Elle doit être dépoitraillée comme une pute, ses deux immenses mamelles se faisant palper par ses mains. Je lentends lui lécher la poitrine. De temps à autres, il la complimente sur sa beauté et lénormité de ses seins. Il doit laisser de longues traînées de bave? Pour ma part, je suis passé de la caresse à la masturbation. Mon membre a atteint sa taille maximale, 7 pouces. Mon gland est gonflé de sang et rouge de honte. Je lentends commencer à respirer fort. Elle aime décidément ce quil lui fait.
« Entre un doigt ».
Cest aussitôt suivit dun bruit de sa chatte dégoulinante qui se fait pénétrer. Elle laisse pousser un gémissement. Cest suivit de plusieurs petits gémissements de jouissance rapide. Il la doigte. Sa respiration nenterre pas le bruit produit par les va et viens dans lhumidité de son con.
Jentends une fermeture éclair descendre. Puis des bruits de vêtement quon redescend. Elle le complimente sur la grosseur. Il ne répond rien mais jentends un nouveau bruit de succion. Il respire fort à son tour. Les sons sont presque en harmonie. Elle sétouffe. Il doit être énorme. Je lentends cracher puis reprendre son va et viens de bouche. Elle sonne comme un tuyau bien bouché. De temps en temps elle gémit.
Sa chatte doit être en feu. Voilà un bon moment quil la doigte. Elle ne dit pas un mot, sa bouche est occupée. Lui commence à linjurier. Il dit qu'elle suce comme une vraie salope et quelle aime cela. Il lui demande si elle était en manque. Elle répond par laffirmative et ajoute quelle avait besoin dêtre dominée par quelquun de son genre. Dun air surpris, il lui demande si elle veut vraiment être dominée. Elle ne répond rien car elle continue sa besogne, mais le « daccord » dit par le male prouve quelle lui a répondu des yeux. Il lui demande daller chercher son sac. Jentends le bruit qui confirme qu'elle vient de quitter sa queue, et ses talons résonnent dans le corridor. Que va elle chercher? Le sac.
« Celui qui contient mes instruments. » dit-il. .
A ce point, je me masturbe furieusement.
Jentends le sac souvrir. Jentends un click métallique.
« Une laisse ..» dit-elle avec un aire gêné .
Il lui ordonne de se retourner et de se bander les yeux. Jentends sa main aggriper son bras. Elle pousse un cri de surprise. Il a sortie quelque chose du sac. Ca sonne comme de la corde. Elle confirme.
« Ta corde est rugueuse !» lui dit-elle.
Il répond que c'est parfait pour les chiennes dans son genre. Je lentends fixer la corde sur les barreaux descalier. Il l'a sûrement ficelée debout, je ne lai pas entendu sasseoir. Je lentends tirer sur la chaîne. Il lui dit,
«
maintenant, tu mobéis. Tu est devenue ma propriété, et je fais ce que je veux de toi . Maintenant, lève tes bras au-dessus de ta tête que je te fixe les mains a ce crochet».
Mais que va t-il lui faire? Je lentends sortir les instruments du sac. Comme moi, elle ne les voit pas, à cause du bandage sur ses yeux. Elle marmonne quelque chose. Il lui a mit quelque chose dans la bouche. Sûrement pour le son. Je discerne des objets métalliques, dont certains qui semblent lourds, dautre très légers. Un claquement se fait entendre, puis un petit cri de douleur sec et surpris. Une petite palette de bois sûrement. Ou même sa main. Il lui infflige des claques à répétition sur plusieurs endroits. Des petits coups rapides. Elle échappe un léger cri chaque fois.
« Cest pour te préparer à ce qui sen vient » lui dit-il.
Jentends un briquet quon allume. Les claques continuent. Des chandelles sûrement. Elle crie différemment maintenant. Elle se plain que sa brûle ses seins. Il lui coule de la cire sur sa poitrine. Il y a une pause. Lui ricane, et elle reprend son souffle.
« Tu est une vraie cochonne dêtre aussi facile. Tu mérites une sévère correction » lui lance-t-il.
Cette fois-ci c'est un claquement vif comme léclair. Un hurlement séchappe de sa bouche. Il rit. Elle pleure. Cétait un fouet. Il déchire lair dun autre coup, puis dun autre et dun autre. Elle répond dun cri chaque fois. Ses coups claquent avec assurance sur sa peau. Il ne rate jamais son coup. Jentends quil se déplace autour. Il la couvre de coups. Les seins, les fesses, les cuisses, le dos, rien ne doit échapper à ses coups tellement il y en a. Et ça continue. Ses cris se sont transformés en une longue plainte gémissante qui tressaute à chaque coup.
Effectivement, les coups continuent à pleuvoir de façon brutale. Le fouet claque contre sa peau. Elle doit être rouge. Il y a sûrement des plaies à certains endroits. Rien ne larrête. Il est constant dans ses coups. Soudain, il halète dessoufflement. Il doit y aller fort. Il commence à se fatiguer. Le bruit du fouet cesse, ne laissant que les lamentations sourdes après un brutal assaut. Il a enlevé son bâillon puisquelle répond à ses questions quil lui chuchote dans loreille. Jentend ses pleurs. Jentends aussi quil la couche sur le fauteuil.
« Ouvre ta bouche saloppe, que je la défonce comme une sale plotte » .
Jentends sa gorge profonde qui souvre, et les ressorts du fauteuil qui grince. Il lui pénètre la bouche et fait de grand va et viens. Parfois une claque brise la monotonie. J'entends quelle sétouffe. Jentends aussi qu'elle se masturbe. Je lentends avoir des hauts le cur. Puis soudain, jentends le male jouir. Cest presque un grognement bestial. Jentend la belle, réceptacle phallique, s puis vomir. Elle constate quil éjacule abondamment. Lui nen a cure.
Je lentends quil la revire. Elle recommence à jouir, mais rien nétouffe sa bouche. Il la pénètre, lui fait part de létroitesse de son vagin. Jentend les ressort du sofa qui grincent. Ses couilles frappent sur ses grosses fesses. Parfois une claque. Il accélère la cadence, il la défonce. Il la traite de saloppe, de pute, de chienne. Elle, elle hurle de jouissance, elle le supplie de la défoncer plus fort. La scène que jentends est bestiale. Il crache sur elle, la tire par les cheveux. Il y a une pause. Il manipule ce qui semble être un bouchon.
« On va voir comment est ton cul » lui-dit il.
Je lentend qui crie de jouissance et de douleur à nouveau. Le male continue ses va et viens, mais dans un autre trou. Il la pénètre fort. Vigoureusement. Elle halète comme une chienne. Ils doivent suer à grosses goûtes à cause de la chaleur. Jentends lhomme jouir une seconde fois.
Je lentends se relever et lui dire
« Maintenant, cest à ton tour de jouir. Masturbe-toi comme la chienne que tu es. Mais tu ne mérites pas de jouir en paix. Tu va avoir mal pendant que tu jouie. »
Je lentends soudain crier. Il y a aussi un bruit de liquide qui coule abondamment en flot continu.
« Tu est une truie, une sale truie, avale ma pisse! » lui-ordonne t-il.
Lurine doit faire atrocement mal sur ses plaies, cest pourquoi je lentends avaler la douche dorée afin dépargner sa peau. Elle est aussi en train de se masturber intensément. Jentends la main du maître qui entre dans son vagin et doigte son cul pendant quelle roule son clitoris. Cest dans un éclair de jouissance et de douleur extrême entre-mélées quelle pousse son ultime cri dorgasme en même temps que jasperge mes couvertures.
A suivre
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