Le Barbecul
Le barbecul
Depuis, oui il m'apprend, me prend sans ménagement, Fouad et Malik viennent aussi. Ces soirées sans fin me font perdre la tête. Oui je sais, j'ai des examens, des amis mais plus rien ne compte. Lorsque l'interphone sonne je suis folle. Armand m'achète des vêtements sexy oui, vulgaires non. Il a du goût. Armand sort avec moi, nous allons souvent faire les magasins. Il m'achète des vêtements de marques. Bien sûr ceux qu'il m'achète il les choisi. Une belle paire de bottes, quelques jupes
.
Armand me fait rencontrer ses amis dans des bars. Je le sais, je ne suis rien pour lui, lorsqu'ils sont là ils parlent de leurs exploits, drogue, sexe, tous y passe. Armand a de nombreux amis. Armand m'ordonne de lui obéir, de leur obéir. Armand en invite quelques uns à la maison.
Je lui obéi de plus en plus. Je transporte des paquets pour lui. Je l'héberge. Il m'aime bien habillée. Cependant il me préfère nue. Et plus encore à quatre pattes. La fessée, oui souvent j'y ai droit. Une simple claque ou plus.
Les beaux jours approchent. Lors des vacances de pâques, je passe quelques jours avec ma famille et rentre sur paris. Une ruse en fait, à peine arrivée à paris je reprends un train pour bordeaux. Armand m'a donné rendez vous là bas. Un week-end plage.
Après quatre heures de voyage, je le retrouve à la gare.
-"Tu es adorable Marie. "
-"Tu es beau toi aussi. "
-"Allez viens, j'ai loué une voiture. "
En route, Armand me parle du week-end. Des amis à lui ont une maison près de la plage. On les retrouve là bas pour un barbecue.
Après une heure de route, nous y voilà, les présentations sont rapides. Fouad est là. Une bise c'est tout. Armand me présente à François et marc. Deux jeunes plutôt arnar, la déco de la maison trahit leurs opinions. Un magnifique dau anarchiste dans le salon.
On discute, Armand, la main sur mes fesses propose de prendre un bière, la soirée commençant.
Les bières sont sorties du frigo, le maroco aussi. On m'en propose, j'accepte. Armand rapidement parle de moi. Oh, pas en bien.
-"Marc tu sais que Marie est ma soumise ?"
-"Non je ne savais pas que tu avais une blanche. Depuis longtemps? "
-"Oh trois mois ? Marie ?"
-"Euh, quatre. "
-"Et elle apprécie ta queue légendaire?"
-"Oh oui mais elle est encore trop rebelle ? Tu sais qu'on l'a dressée au début avec Fouad dans mon appart ?"
-"Humm, elle a dû prendre cher la salope."
-"Eh !! Non, j'essaye d'exprimer ma désapprobation"
-"Pourquoi ne pas accepter ce que tu es Marie, tu es une soumise, m'indique Armand."
-"Une bonne blanche qui aime la queue renchérit Fouad."
-"La chienne est donc mure pour un bon dressage, cherche à savoir Marc ?"
-"Oui bien sur, je compte sur vous les mecs. A la cave ?"
Ils se lèvent, je reste là médusée.
Armand me lève de ma chaise en me prenant par le bras. Je ne me débats pas.
Il m'entraîne vers une porte. Un escalier, une cave.
Ma surprise est grande, la cave n'est pas un débarras. Elle est presque vide. Un banc là, une chaise, un grand matelas, au centre une sorte de tapis, au mur des engins dont l'usage est sans équivoques.
Armand libère son étreinte au centre. Je me tourne, ils sont là, ils me regardent, les yeux sont brillants, pervers.
-"A poil, allez montre nous ton cul."
-"Montre nous ton cul, montre nous ton cul
Ils chantent
"
-"Obéi", ordonne armand.
Je me déshabille lentement, excitée un peu, beaucoup même. Je dois bien l'avouer. Rougissante de honte.
Mes vêtements forment un petit tas au milieu de cette cave. François a sorti son sexe et se masturbe ostensiblement.
Armand ordonne, allez remue bien, j'aime voir tes seins remuer.
-"Oh... Regards malicieux des mâles présents. Armand les chauffe. Vous allez voir comment on dresse une bonne chienne blanche. "
-"Marie, à quatre pattes !"
A peine ai-je posé les mains sur le tapis.
-"Sage, chienne, laisse toi aller à ta nature d'esclave. "
Clac clac, mes fesses rougissent. Je note avec peur le sourire vicieux d'Armand.
Il change de position et m'oblige à lécher le bout de la cravache. Il l'enfonce dans ma bouche. Allez Marie, avale. Cela dure. Fouad et François n'en sont plus à regarder. Ils me malaxent les seins, les fesses. Tout le monde est rapidement nu.
Un doigt, deux doigts le long de ma fente humide, une main me fouille. Je perd toute notion du temps. François, me roule une pelle bien baveuse, sa langue quitte la mienne. Il présente son sexe dressé au bout duquel luit une goutte d'excitation devant ma bouche.
Il me prend la bouche, ne me laissant pas le temps de respirer. Sa main douce mais ferme me maintient en position. Content du plaisir que je lui procure il se retire pour laisser place à Fouad. De nouveau, J'ouvre mes lèvres et suce avec application sa queue.
Armand, reprend les choses en main. Fouad se retire. D'un geste rapide, il me retourne. Ecarte les jambes, Marie ? Vous voyez, c'est comme ça que ça se dresse une blanche. Regardez comme sa chatte brille.
-"Maintenant la saillie, messieurs."
Armand, s'enfonce en moi et me montre son endurance en me pilonnant. Ils regardent. Marc, de la main, caresse lentement son gourdin. Armand me lime à grands coups de bite.
Il se retire, je suis là ouverte, en sueur. Marc une petite levrette ?
Pas de refus.
En moins de temps qu'il ne faut pour l'écrire. Il est là dans mon dos. Il me pénètre sans vergogne. En sueur, je râle. Cela les fait rire, je les entends.
Armand se penche vers moi, ma petite pute, tu aimes cela. Crie, ne te retiens pas. Je ne retiens rien, je jouie, pourquoi avoir honte.
Je sens son jus en moi, lui aussi ne retiens rien.
Armand dirige. Messieurs, on va la laisser se reprendre, un peu.
Oui elles sont sur la porte. Fouad et Marc me relèvent. Ils me traînent littéralement. Ils me déposent sur un lit. Armand me sourit, à demain Marie.
La porte claque, fermée.
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