Eveil Et Maturite (9) - Tantine Comblée Et Cupidon Fait Mouche
EVEIL ET MATURITE (9)
CHAPITRE 9 TANTINE COMBLEE ET CUPIDON FAIT MOUCHE
Bertrand dansait sensuellement sur ma bite dressée en lui en gémissait de plaisir. Je savais que Tantine allait nous trouver en pleine action. Ca me plaisait de lui montrer comment on couchait entre garçons et j'étais certain que ça lui plairait très fort à elle. Elle mavait si souvent dit quelle rêvait de voir ça. Un léger bruit me fit tourner la tête vers la porte pensant la voir arriver.
Elle était déjà là, entièrement nue et se caressant les seins et entre les jambes. Elle regardait comme folle Bertrand danser sur moi et nos deux sexes mêlés l'un au dessus de l'autre entre nos cuisses. Elle semblait émerveillée de la sensualité de la scène et du plaisir de Bertrand. Elle vit mon visage tourné vers elle, me sourit et approcha doucement. Je me disais que Bertrand, tout à sa jouissance, devait fermer les yeux et quil ne la voyait pas.
Il me raconta plus tard qu'il l'avait vue avant moi mais avait immédiatement compris que c'était Tantine la tante de Clélia. Il faisait de lexhib vu que je lui avais offert de coucher avec elle et moi et lui avait dit quelle aimerait. De plus elle couchait avec Clélia. Bertrand était certain que ça exciterait follement cette femme de voir deux hommes coucher ensemble. Et cétait déjà trop tard de toute manière, elle nous regardait faire.
Il avait continué pour elle aussi. En la regardant se mettre nue et se caresser devant lui il avait compris avoir jugé juste. Il avait continué à danser doucement sur ma bite tout en se régalant les yeux du corps, des seins et des fesses de Tantine.
Tantine se pencha, glissa une main entre nos cuisses et caressa les deux sexes mâles. Puis elle ajouta d'une voix rauque :
- Les deux salauds ! Vous êtes tellement beaux accouplés à deux et jouissant ensemble ! Que vous êtes mâles à deux !
Elle se pencha vers le visage de Bertrand et lembrassa sur la bouche en le caressant.
- Ne jouissez pas encore ! Moi aussi j'ai envie !
Je pris la croupe de Bertrand et l'immobilisai des deux mains. Il comprit et se leva doucement. Tantine se baissa plus encore pour regarder son anus dégurgiter ma bite. Elle suça celle de Bertrand en masturbant la mienne, puis le poussa à descendre de moi.
Dès que la place fut libre elle m'enfourcha et frotta son con à ma bite. Je demandai à Bertrand de dresser ma queue et de la lui mettre. Il la prit, caressa les lèvres de son sexe et son clito avec mon gland, puis la glissa profondément dans son con. Elle se coucha sur moi et, à cheval sur moi, ouvrit tout son cul possédé sous les regards de Bertrand. Elle se tourna vers lui et lui dit en feulant:
- Je suis ici à poils avec deux mâles vicieux qui couchent ensemble ! Mais j'ai deux nids à bites dans mon cul de femme ! Ca te dirait de remplir l'autre ?
L'instant d'après Bertrand était dans son anus jusqu'aux couilles. Ce fut totalement divin ! Elle se déchaînait entre nous et nous sentions nos bites travailler de concert. Elle vécu plusieurs orgasmes d'affilée. Alors il eut lidée de glisser sa belle bite chaude le long de la mienne dans son con. Cette fois nous étions vraiment réunis ! Quel paradis cette bite chaude le long de la mienne en elle et ses couilles souples et chaudes se frottant aux miennes !
On s'entendait bien Bertrand et moi, et c'est ensemble qu'on gicla au fond de son ventre qui passait dorgasme en orgasme. Les trois corps se séparèrent alors et chacun reprit son souffle.
Je vis alors que la bite de Bertrand n'avait pas beaucoup perdu de sa vigueur. Je le fis monter sur Tantine, pris sa bite et la glissai dans son con. Quand je sentis du bout des doigts qu'il était entièrement en elle je leur dis :
- Bertrand, je te présente Tantine, Celle avec laquelle Clélia se gouine sans limites. Ta bite est dans un con que Clélia a léché follement pendant des heures ! Tantine, je te présentes Bertrand qui a si bien joui dans Clélia sur la plage le soir où on s'est connu.
Elle se retourna vers lui, le regarda vicieusement dans les yeux et ajouta :
- Oh ! Cest merveilleux de baiser avec un autre ami de ma Clélia. Cest merveilleux que vous vous aimiez aussi entre hommes et que jaie pu vous voir. Jai adoré !
Bertrand rougit et approuva. Je le rassurai :
- T'en fais pas Bertrand ! Elle t'aime déjà ! Le soir même elle a obtenu de Clélia de tout lui raconter en détails de son union avec toi puis avec moi puis elle est allée boire ton sperme et le mien à son joli con ... Qui en était plein il faut reconnaître ! Quant au fait qu'on couche entre hommes t'en fais pas non plus ! Elle nest pas prête den être dégoûtée ! Pas vrai Tantine ?
- Oh oui alors ! Il faudra continuer devant moi ! J'adore les hommes vicieux ! Et jadore être unie à eux !
Et ils se mirent à coucher à deux comme des bêtes. On sentait qu'ils se trouvaient et que Clélia et ses vices était présente entre eux. Le plaisir les submergea tous deux ensemble et ils feulèrent comme deux lions accouplés. Puis leurs corps se séparèrent et Bertrand roula en bas de Tantine.
Après un peu de repos on parla tranquillement à trois et Bertrand nous apprit que, comme moi, il était seul en vacances à 18 ans dans un minable petit hôtel. Le résultat fut que Tantine l'invita à rester mais à une condition formelle.
- Tu dois respecter la règle que dans l'appartement on est tous toujours à poils, toi comme les autres. On fait aussi tous librement l'amour devant les autres quand ça nous plaît. Vous serez deux hommes pour deux femmes. Et encore une chose !... Pas question de vous isoler pour faire l'amour entre hommes ! Vous devez le faire devant les filles au gré de vos désirs ! On ne veut pas rater ça ! D'ailleurs Pat te dira que les filles ne se gênent pas non plus quand l'envie leur prend de jouer entre elles ! Tu es d'accord sur tout ?
- Oui !
- Même pour l'amour entre hommes ?
- Oui ! Tant mieux si ça vous plaît ! J'adore faire l'amour avec Pat et encore plus si des filles aiment regarder ! J'aime aussi être vicieux devant des filles !
- Tu l'avais déjà fait avant ?
- Non ! Pat m'a tout fait découvrir !.
- Jeune et beau comme tu es tu n'auras aucun problème pour en trouver ! Cherche les hommes d'âge mûr ! Ils sont beaucoup plus vicieux et avec eux tu jouiras beaucoup plus ! Il ny a pas beaucoup de jeunes comme Pat.
- Tu crois aussi Pat ?
- Si tu te sens attiré par eux, oui bien sûr !... Le mieux ce sont les couples qui s'entendent bien ! Ceux là sont vraiment vicieux !
Le lendemain matin très tôt on parti à trois pour Toulon pour rechercher Clélia. Tantine nous déposa dans la rue à 500 mètres de là pour ne pas effrayer le père et nous reprit après.
J'étais ravi et heureux de la retrouver. Elle m'avait tant manqué ! Et elle semblait tout aussi ravie ! Je la pris contre moi à l'arrière de la voiture et la serrai dans mon bras. Elle s'y blottit et m'embrassa sur les lèvres. J'étais certain que nous nous aimions. Sur l'autoroute je lui racontai comment j'avais retrouvé Bertrand et Tantine compléta par le récit de la fête qu'on lui avait faite à elle.
De retour sur la côte et dans l'appartement on appliqua immédiatement la règle admise : tout le monde à poils ! Tantine entraîna Clélia au lit et les hommes suivirent.
Toutes heureuses de se retrouver et de fouetter la sensualité de leurs mâles les deux femelles firent sans gêne l'amour ensemble devant les hommes excités. Puis Clélia appela Bertrand dans ses cuisses.
Ce fut leur tour de faire la fête pendant que Tantine et moi les caressions et les léchions partout. Quand il ressortit delle Tantine se pencha et lécha sa bite mouillée et encore raide. Lui suçait encore un sein de Clélia qui sapaisait après le plaisir. Tout à coup Tantine me dit à loreille :
- Pat ! Prends le maintenant !
Je me coulai nu derrière lui, relevai sa cuisse et pointai ma bite vers son cul. Tantine se pencha, la prit et la maintint en me disant :
- Prends le ! Pousses toi en lui !
Bertrand feula en souvrant à ma bite et continua à sucer le sein de Clélia qui releva la tête pour voir ce qui se passait.
Je montai sur elle devant les autres. Sa peau, son visage, ses lèvres, tout sentait la femme en chaleur et le mâle en rut. Elle sentait lamour avec Bertrand. Elle glissa ses lèvres contre mon oreille et me dit tout bas :
- Enfin toi ! Je t'aime ! J'ai pris exprès Bertrand avant toi pour que ta bite glisse dans son jus ! Je me disais que ça te plairait. J'ai eu raison ?
- Oh oui ma vicieuse ! Et moi aussi je t'aime !... Comme un fou !
On fit longuement l'amour à deux et je giclai deux fois en elle. Les autres n'existaient plus ! Ce n'est qu'après le plaisir qu'on les vit faire l'amour à deux près de nous.
Après un repos bien mérité pour tous on déjeuna et on passa l'après-midi nus sur la terrasse. Après un bon petit dîner et un bout de soirée sur la terrasse le lit de Tantine retrouva nos quatre corps nus. Les deux filles se firent couvrir par les mâles qui se les échangèrent plusieurs fois. Un moment Clélia me vit me tourner vers Bertrand couché à côté de moi et qui suçait un bout de sein de Tantine. Clélia se releva pour me voir faire. Je pris une cuisse de Bertrand, La soulevai et la repassai au dessus de miennes, puis je pointai ma bite vers son anus. Clélia prit ma bite et la plaça bien en face. Je poussai et elle glissa dans le cul accueillant de Bertrand. Clélia dit :
- Oh Tantine !... Ils senculent !... Ils font comme nous !... Quelle chance on a dêtre à quatre... Tous aussi bis !...
- Oh oui ma chérie !... Quels plaisirs !... Quelle liberté !... Que de complicité entre nous quatre !
Je lenculai un peu puis sortis de lui. Clélia décréta tout à coup :
- On ne peut pas dormir ici à nous quatre ! C'est trop petit ! Viens dans l'autre chambre Pat !
Elle m'entraîna par la main vers son lit qu'elle n'avait pas défait bien souvent en vivant seule avec Tantine. Je l'enlaçai et notre amour s'exprima follement.
Dans la nuit je lui demandai de devenir ma femme. Elle en fût comme folle de bonheur, me reprit en elle et accepta. Puis elle me dit :
- Mais tu sais... je ne crois pas que je pourrai changer... J'aime trop le plaisir et le sexe maintenant ! Je crois que j'aurai toujours besoin d'autres bites et aussi... d'autres cons !
- Ne changes surtout pas ! Je tadore comme ça ! Je te les donnerai... Bites et cons !... Je suis comme toi ! Moi aussi j'aurai besoin d'autres cons que le tien... et de bites aussi ! On se les donnera l'un à l'autre ! Je ne te demande qu'une chose... c'est qu'on le fasse toujours ensemble ! Le monde est plein de coquins et de coquines. On sera à deux pour les attirer au creux de notre lit et pour jouir ensemble !
- Oh oui mon amour ! Jamais seuls ! Toi aussi ! Chaque fois qu'on prendra un homme ou une femme on le fera à trois ou pas du tout !
Après nous être encore tendrement caressés et enlacés tout un temps on s'endormit pour le restant de la nuit.
On se réveilla enlacés nus l'un à l'autre. Tantine, nue au pied de notre lit, nous regardait. Elle nous dit que Bertrand dormait toujours. On l'attira entre nous dans le lit et je demandai à Clélia de lui dire notre secret. En la caressant elle lui raconta nos fiançailles, notre amour et le fait que nous voulions nous Tantiner. Tantine écouta sans bouger. Quand Clélia eut terminé Tantine dit pensivement :
- C'est merveilleux !... Souvent ces derniers jours quand je vous regardais coucher ensemble dans mes bras je me disais que vous étiez faits l'un pour l'autre... Quelle chance que vous vous soyez reconnus !... Mais vous allez beaucoup me manquer !...
Je me récriai que ça ne changeait rien et Clélia ajouta :
- Oh non Tantine ! Tu restes notre Tantine qui m'a épanouie et qui nous a tant fait jouir Pat et moi ! C'est grâce à toi qu'on s'est rencontrés. Nos deux corps restent à toi pour tes plaisirs ! On est tous les deux entièrement d'accord là-dessus ! On ne change rien à notre vie ensemble. Bertrand et toi vous continuerez à coucher avec Pat et moi comme avant ! Prends là Pat chéri !... Fouilles la bien !
Je montai sur elle et toute ma bite entra dans son con. Clélia lui suça un sein puis vint poser sa moule sur sa bouche. Le plaisir nous submergea tous les trois.
On alla préparer le petit déjeuner au soleil sur la terrasse puis réveiller Bertrand. Pendant le repas Clélia parla à Bertrand, lui dit notre amour et lui confirma à lui aussi qu'il nous gardait tous les deux. Elle ajouta :
- Quand on sera mariés on tattendra quand tu en auras envie. On se retrouvera comme on est aujourd'hui et personne ne pourra se douter de rien ! Tu logeras dans notre lit et personne ne pourra savoir que tu gicleras dans mon con ou dans le cul de Pat... ou que tu auras sa bite dans l'anus !
Le petit déjeuner terminé, Clélia se leva et prit Bertrand par la main. Elle nous appela à les suivre et alla avec Bertrand jusqu'au lit. Elle le fit se coucher sur le dos et le caressa et le suça devant nous. Puis elle monta à cheval sur lui et sempala sur sa bite. Je me glissai derrière elle et lui léchai longuement lanus. Il couchèrent ensemble plusieurs minutes avant qu'elle ne lui dise subitement :
- Quand on sera mariés et que tu viendras chez nous on jouira encore ensemble comme ça !... Mais je ne t'ai pas encore vraiment regardé faire lamour avec Pat !... Tu veux bien ? Je voudrais tant vous voir follement jouir ensemble... entre hommes !
Il approuva et sortit d'elle. Elle se releva du lit et je me glissai à sa place. J'enlaçai Bertrand et me mis à frotter mon corps nu au sien et à lembrasser sur la bouche. Puis on se mit en 69 et on se dégusta longuement lun lautre. Cétait exquis de se donner lun à lautre une belle verge érigée et de vivre ensemble des plaisirs communs. Je me glissai alors entre ses cuisses et lenculai profondément. Il adorait ça et ne le cachait pas. Clélia se glissa cuisses ouvertes vers Bertrand et lui offrit son con a sucer pendant quelle regardait nos corps dhommes accouplés.
Les filles s'enlaçaient aussi en nous regardant. Elles adoraient voir leurs mâles faire ça. Ca les excitait follement d'avoir deux mâles vicieux.
Nos vacances à quatre continuèrent leur cours. La seule différence fut que Clélia et moi vivions notre amour devant eux et dormions ensemble la nuit. A part cela nous couchions toujours régulièrement avec eux même si cétait plus rare qu'entre nous. Notre amour les réchauffait et les rendait plus amoureux l'un de l'autre et de nous. Nos coucheries n'en furent que plus intenses et plus communautaires. Nous n'avions aucune gêne non plus pour plonger ensemble dans l'amour homosexuel masculin comme féminin.
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