Delphine, Antonia & Moi : Week-End À Trois (3)
Le souper terminé, mes 2 complices sétaient éclipsées dans notre chambre, en me demandant de ne pas les rejoindre avant 20 minutes. Jen profitais pour discuter avec le directeur, et lui souffler quelques tuyaux boursiers.
Je gravis tranquillement le large escalier qui mène à létage, essayant de deviner les surprises que mavaient concoctées mes 2 démoniaques accompagnatrices.
Je frappe à la porte, qui sentrouvre doucement. La chambre est dans la pénombre, éclairée par quelques appliques murales. Delphine se présente devant moi, en nuisette transparente, nue dessous. Jen avale ma salive de travers. Elle me prend la main et mamène au milieu de la chambre, près dun lit immense.
47 ans, blonde naturelle, yeux bleus, cheveux longs, une petite poitrine, 1m65, Delphine doit peser environ 50 kg. Elle a un joli petit minois, et je lui trouve une vague ressemblance avec Isabelle Aubret. Elle est perchée sur des talons hauts qui réduisent notre différence de taille, et accentuent le galbe de ses belles jambes.
Elle passe ses bras autour de mon cou pour abaisser ma tête vers la sienne.
Elle membrasse avec amour et volupté, doucement, tendrement. Elle se frotte contre moi, et incruste son ventre contre le mien. Je la tiens par ses hanches étroites, comme pour un slow. Le tissu de sa nuisette est si fin que je peux apprécier la fermeté de ce corps gracile. Je caresse son dos, puis mes mains se déplacent sur ses fesses, et sinfiltrent entre nous. Je pose mes mains sur ses seins menus, à la chair élastique, puis descend vers son ventre plat. La nuisette sarrête à hauteur de son sexe. Je me mets à genoux, mes mains remontent un peu létoffe, et jappuie mon visage sur sa toison ambrée. Mon nez simprègne de son odeur intime. Comme je limaginais, elle na pas lavé sa chatte depuis nos batifolages de laprès-midi, et je retrouve donc ces effluves qui mavaient tant excité.
Jentends le bruit dun interrupteur dans la salle de bains voisine, et je vois Antonia qui se dirige vers nous en souriant.
44 ans, grande brune aux yeux verts, Antonia mesure environ 1m75. Son visage typé révèle ses origines italiennes, un joli nez à la Cléopâtre, et des lèvres pulpeuses qui suggèrent instantanément des images de stupre. Son corps est somptueux et charnu.
Je suis estomaqué par tant de sensualité, par cet érotisme sulfureux. Rien à voir avec les tenues sexy « soft » du bureau. La tension monte dun cran.
Delphine passe derrière moi et môte mon veston, quelle va accrocher soigneusement dans la penderie. Antonia entreprend de desserrer ma cravate, puis le col de la chemise, avant de sattaquer aux boutons.
Jesquisse un geste vers son opulente poitrine, quelle réprime gentiment dun « Tss, Tss !», me ramenant fermement les bras le long du corps. Devant mon air faussement dépité, elle sourit et me plaque un baiser sur les lèvres, sa langue dardant dans ma bouche : « Cest tout ! Chut !».
Delphine est revenue derrière moi et sactive à défaire ma ceinture, et à descendre ma braguette. Ses gestes sont lents et calculés pour menlever mon pantalon, sarrêtant un instant sur la bosse naissante de mon slip, sassurant au passage de ma vigueur retrouvée.
Je laide à mextirper du pantalon, alors que dans le même temps Antonia môte la cravate et la chemise quelle envoie valdinguer sur le fauteuil le plus proche. Mes chaussettes suivent le même chemin, et me voila donc vêtu de mon seul slip. Delphine, derrière moi, écarte mes jambes à 45°, comme on le voit faire dans les films policiers pour une fouille. Elle sassoit sous moi, caresse mes jambes et remonte doucement, sarrête au slip et lèche mes couilles par-dessus le tissu.
Antonia se met à genoux devant moi, me tient les mains, empêchant tout mouvement. Elle entreprend une fellation à même le slip, sa bouche enserre ma queue dressée et la pompe par un lent mouvement de ses mâchoires. Elle glisse un doigt sous le slip et titille mon gland avec son ongle, alors que Delphine en fait de même avec mes boules. Cest un moment délicieux, que lon savoure tous trois, toujours dans un silence absolu.
Ainsi chauffé à blanc, je suis dans un état second, et la question de ma capacité à jouir continue de me tarauder. Mais je bande comme un âne, cest déjà çà !
Dune main chacune, et dans le même geste lent, elles font glisser le slip jusquau sol et men débarrassent prestement. Delphine vient se mettre à genoux à côté dAntonia, et toutes deux madministrent une fellation à deux bouches, se passant ma bite comme on se prête un jouet.
Cest vrai quelles ont des bouches à pipes, ces salopes !
Antonia termine en déposant un baiser sonore sur mon gland, se redresse et se dirige vers le bord du grand lit. Elle sy met à quatre pattes, la tête enfouie dans un oreiller, la croupe haute et les jambes bien écartées. Jai devant moi une femme offerte, ouverte puisque sa culotte est aussi fendue derrière, dénudant sa chatte velue et la rondelle rose de son cul.
Delphine extirpe ma queue de sa bouche, se redresse, et, ma bite dressée en main, mamène face à la croupe ouverte dAntonia. Avec des gestes dune grande précision, Delphine guide ma queue vers lanus dAntonia, déjà lubrifié. Tenant bien ma verge dune main, et de lautre imprimant une poussée sur mes fesses pour bien me positionner, elle dirige mon gland dans le cul de notre amie. Un léger mouvement dAntonia venant à ma rencontre lui permet dengloutir ma bite durcie. Encore une légère poussée, et me voilà au fond delle, mes couilles battant ses fesses charnues. Comprimant ses muscles, elle enserre ma queue. Cette emprise douce et humide déclenche en moi des instincts animaux, et je me mets à bourrer ce cul tant désiré ave frénésie.
Elle halète, geint, pleure
et rit en même temps ! Phénoménal !
Delphine, que javais perdue de vue, tant jétais concentré sur cette enculade, sapproche prestement de moi, retire ma queue du cul dAntonia et lenfonce un trou en dessous.
Elle me crie : « Ramone-la, à fond ! Bourre-la à mort ! Défonce lui la chatte !». Ce que je fais, menfonçant dans un vagin trempé pour de brusques allers-retours. Je suis en sueur, en apesanteur, épuisé, mais toujours dune vigueur incroyable.
Delphine interrompt ce manège, retire dautorité ma bite du ventre dAntonia, et la suce avec ardeur quelques instants, avant de se redresser et de membrasser à pleine bouche. Elle me bave sur la langue lélixir damour dAntonia, qui menivre et me rend fou.
Delphine se jette alors sur le lit, à côté de sa copine, dans la même position offerte, et crie avec autorité : »A moi, maintenant, prends-moi, viens menculer profond, viens me casser le cul, je veux que ta bite me transperce et ressorte par ma chatte ! Pousse fort, fais entrer tes couilles dans mon cul !».
Excité par des propos dune telle vulgarité, dune intensité insoupçonnée, je lagrippe aux hanches sans ménagement, menfonce dans son anus lubrifié lui aussi, et my incruste à grands coups de rein. Je ne me sens pas vouloir jouir, mais je reste toujours aussi bandé. Je la défonce sans douceur pendant des minutes qui me paraissent interminables, sans faiblir.
Enfin, Delphine atteint la jouissance suprême.
Antonia qui, accroupie sous moi, me léchait et me caressait les couilles pendant tout ce temps se saisit prestement de ma queue, lenfonce dans le vagin de Delphine quelques instants, la retire rapidement et se lenfourne dans la bouche, semployant à la laver avec application !
Insensiblement, je débande. Antonia me pousse sur le lit, où gît Delphine, les bras en croix, les jambes écartées, légèrement repliées. Son anus est béant. Jaurais aimé voir mon sperme en dégouliner. Le tableau est dune indécence et dun érotisme sublime.
Toutes deux mentourent et membrassent tour à tour à pleine bouche.
Sonnés, groggys, haletants, nous nous reposons un long moment sans mot dire. Jouvre les yeux et croise leur regard enamouré qui me scrute. Il flotte dans lair une odeur entêtante.
«On se doutait que tu aurais pas eu le temps de recharger tes couilles, mais ta bite dacier nous a troué le cul ! Cétait fabuleux ! On taime, tu sais ? « .
Delphine a pris ma queue molle dans sa bouche, en bredouillant tant bien que mal : « Tu vas dormir en moi. Je suis un bébé qui a besoin dune tétine pour dormir. Je vous aime, mes chéris.». Et elle sendort aussi sec !
Antonia a mis sa tête au creux de mon épaule, placé ma main sur son sexe, enfonçant un de mes doigts dans sa chatte dégoulinante. « Tu ne lenlèves pas avant que je sois endormie, promis ? Bonne nuit, Amour. ».
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