Delphine, Antonia & Moi : Week-End À Trois (1)
**** avis au Comité de Lecture *******
je ne sais si je vous ai déjà transmis cette histoire.
Dans le doute, je l'envoie à nouveau.
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Après ce pique-nique spécial, je décide dembarquer mes copines en week-end.
Pendant quAntonia prépare quelques affaires, je réserve une chambre pour 3 personnes dans un hôtel manoir que je connais bien, quelque part dans le Morvan, à 200 km dici.
Je demande à prendre une douche, mais les 2 amies répliquent en chur : « Pas question : on garde les odeurs de notre petit moment dégarement !».
Antonia boucle son appartement, et lon doit encore passer chez moi, puis chez Delphine, pour prendre quelques affaires.
Antonia me demande si elle peut conduire mon petit bolide. Je lui tends les clés, Delphine sinstalle à larrière, moi à lavant.
Le temps de 2 arrêts, car cela ne prend guère de temps pour balancer quelques fringues et affaires de toilette dans un sac de voyage.
Delphine descend en courant de chez elle, et balance son sac dans le coffre que je tiens ouvert.
Elle sinstalle à larrière, et, pris dune inspiration soudaine, je monte à côté delle !
« Cest marrant, mais je ne suis jamais monté comme passager arrière dans ma propre voiture. Je suis curieux de savoir si on est bien ! ». Dans le rétro, Antonia hoche la tête, amusée.
Elle a eu le temps de choisir les musiques qui lui plaisent et enclenche un CD de Queen.
Je lui donne les grandes indications sur litinéraire, et elle démarre. Dès que nous sommes sortis des routes encombrées, elle prend de lassurance. Elle conduit vite et bien, comme beaucoup de femmes.
On discute de choses et dautres, mais pas un mot sur ce que nous avons fait une heure auparavant. Delphine se rapproche de moi, et pose une main sur ma jambe. Je vois Antonia jeter quelques regards furtifs dans le rétro.
« Dans deux heures environ ».
« Dans ce cas, vous pouvez faire un petit somme, je veille sur vous. Je te demanderais des précisions en approche finale ».
Divorcée dun pilote dAir France, grand amateur de rallyes, elle utilise volontiers certaines formules aéronautiques, et a gardé de cette époque le plaisir de conduire des voitures rapides.
Delphine se love contre moi, et sa main remonte un peu plus haut.
Elle semble sassoupir, ou fait semblant. Au bout dun moment, elle bouge, enlève ses chaussures, et se couche sur le dos, prenant toute la largeur de la banquette. Elle pose sa tête sur mon entrejambe, soupire, puis semble sendormir.
Antonia, tout à sa conduite, regarde quelque fois dans le rétro, et chantonne avec Freddy Mercury «The show must go on». Je nose bouger, je me sens bien et caresse doucement les longs cheveux de Delph. Cette tête blonde qui pèse sur mon sexe me trouble, et je sens ma queue grossir.
Au bout dun moment, elle déplace un peu sa tête, et pose franchement sa main droite sur ma braguette. Je bouge imperceptiblement pour libérer cette pression, mais sa main persiste et saccroche.
A force de bouger, sa jupe sest relevée, dévoilant ses jambes, son chemisier sest entrebâillé et japerçois un petit sein qui émerge dun cocon bleu. Doucement, ma main se déplace vers cette poitrine fugitivement entrçue lors de nos ébats récents. Avec dextérité, jarrive à défaire un bouton, puis deux, afin dy voir mieux. Dans son rétro, Antonia ne peut rien voir, mais accrochant mon regard fixe planté dans le sien, elle se doute de quelque chose.
Delph a pris une posture alanguie, bien à plat sur le dos, les jambes légèrement écartées. Seule la tête est de côté, tournée vers moi, sa bouche entrouverte à quelque millimètres de ma queue endolorie. De deux doigts je caresse doucement son sein.
Délaissant ses seins, ma main se dirige vers sa jupe relevée : doucement, je soulève le peu de tissu qui cachait encore son bas-ventre, et pose un doigt sur sa culotte bleue, assez transparente pour deviner une toison claire, traversée dun sillon bien marqué.
Le tissu est mouillé. Elle gémit encore tout bas, et le ronflement du moteur empêche certainement Antonia dentendre sa plainte. Mon doigt parcourt de haut en bas cette fente si bien dessinée, imprimant une petite poussée, comme pour senfoncer dans ce calice.
Delph, endormie ou pas, se crispe sur la bosse de mon pantalon, et bouge imperceptiblement sa main autour de mon sexe, enfermé dans ce slip et ce pantalon qui me gênent. Mon sexe recourbé dans son étau de tissu narrive pas à bander normalement, et je nose bouger, de peur de rompre le charme.
Mes doigts sinsinuent maintenant sous le tissu, je suis au contact de ses poils humides, et très lentement je franchis la crête de peau qui me fait pénétrer un vallon chaud et ruisselant de lave en fusion. Je nen peux plus, il me faut me dégager ! De ma main libre, jessaie de minfiltrer sous le pantalon, puis dans le slip pour redresser ma queue qui soufre le martyre.
Dans le même temps, mon doigt sinsinue dans le sexe de Delph, aidé en cela par un léger mouvement de son bassin. Inconsciente ou active, elle participe à ma quête du Graal.
Je sens un relâchement dans la pression du tissu, ma fermeture Eclair est descendue doucement par des doigts agiles. Delph me regarde, les yeux grands ouverts, un léger sourire aux commissures des lèvres. Elle écarte les pans de ma chemise, tire sur lélastique du slip, et redresse ma verge congestionnée. Ecartant un peu sa tête de moi, elle me laisse bouger suffisamment pour que je baisse dun coup pantalon et slip.
Sa bouche mengloutit à moitié, mais elle reste ainsi, sans bouger la tête. Elle respire par le nez, et son souffle caresse ma queue. Sa langue entame un lent travail de lubrification.
La nuit commence à tomber, et nous nous trouvons bientôt dans une zone très éclairée. Antonia descend les rapports tel un pilote de rallye, jentends le clignotant, puis la voiture simmobilise. Sans se retourner, par rétro interposé, elle lance :
« Je fais le plein. Cest du 98, hein ? Défense de bouger, vous pouvez continuer à jouer, mais surtout aucune conclusion hâtive sans moi, cest compris ? ».
Delph se redresse un peu, sort ma verge du fourreau de sa bouche, reprend son souffle, tout en continuant de me masturber. Son autre main croche ma nuque pour rapprocher ma tête de la sienne. Sa bouche attend un baiser, que je lui donne avec ferveur, douceur, amour aussi. Comme Antonia tout à lheure, dans le canapé.
Jai mis trois doigts dans son vagin trempé. Je les bouge dun mouvement circulaire afin de bien toucher les parois humides. Son bassin vient à ma rencontre, à grands coups de rein de plus en plus rapides. Sa main se fait plus ferme sur ma queue, mamenant au bord de lexplosion. Mais elle sait réduire la pression pour empêcher léruption.
Je dis : « Doucement, mon chou, Antonia a dit de lattendre. ».
« Je sais bien, mais moi, je nen peux plus ! Je veux et je vais jouir maintenant, sur tes doigts ! Ne sois pas inquiet, je sais que tu vas me faire encore jouir tout à lheure. Tu las souvent fait, sans rien en savoir ! ».
Antonia reprend le volant, démarre en trombe, pour sarrêter peu de temps après, dans un chemin de terre. Elle sort, bascule son siège, passe à larrière, verrouille les portes, et sassoit en repliant les jambes de Delph pour se faire de la place.
Ses doigts rejoignent les miens et sagitent eux aussi dans la chatte de Delph, qui continue ses coups de boutoir avec son bassin.
Antonia se penche sur ma verge, la prend en bouche. Ses lèvres et sa langue me brutalisent jusquà lextase. Jexplose en elle, mais elle ne se retire pas. Elle maspire le gland jusquà la dernière goutte, puis dans un baiser denfer fait partager sa récolte à sa copine.
« Cest bien de mavoir attendue, mes amours. Avec ce connard de garagiste qui me faisait du baratin, jai failli arriver trop tard ! ». Lodeur de foutre embaume la voiture.
Elle me dit encore : « Chéri, peux-tu reprendre le volant, la fin du parcours doit être plus compliquée, non ? ». Décidément, le week-end va être chaud !
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