Delphine, Antonia & Moi : Week-End À Trois (2)
Dernier dune lignée de petite noblesse, jai dabord servi aux Affaires Etrangères, un peu partout dans le monde. A 50 ans, jai demandé un poste plus sédentaire, et jai atterri mystérieusement au Ministère des Anciens Combattants, à la Direction des Archives.
Placard doré, les clients se faisant moins nombreux dannée en année. Cest là que jai connu mes héroïnes : Delphine et Antonia.
Jai un physique plutôt banal, mais un nom à particule arrange souvent bien des choses, dans tous les domaines. Bien que mes deux collègues soient peu sensibles aux blasons et armoiries, nous avons vite sympathisé, et sommes rapidement devenus amis.
« Bonjour, Mesdames ! Soyez les bienvenues ! Bonjour, Monsieur de S. ! ».
Le Directeur de lhôtel nous accueille en personne, fait prestement embarquer nos valises dans notre chambre, et nous invite à accepter lapéritif de notre choix.
Je nai nul besoin de faire les présentations, ni dinventer une quelconque histoire pour justifier la réservation dune chambre pour trois personnes. Ici, la discrétion nest pas un vain mot.
« Ben, dis donc ! Quel accueil ! Monsieur est connu, semble t-il. Tu descends souvent ici ? ».
« Cela marrive. Jy traite des affaires privées avec mon banquier, ou jy viens me reposer. ».
« Seul ? ».
« Vous êtes bien curieuses
! »
« Non, avec mon banquier, je viens de dire
Euh, à propos, cest une femme ! Et toc ! ».
Elles se mettent à rire, échangeant encore un regard de connivence. Ces deux là doivent fricoter ensemble. Je veux en avoir le cur net.
Assis à lécart dans des fauteuils profonds, nous sirotons nos whiskies, lesprit ailleurs, à penser au petit intermède dans la voiture.
« Dites-moi franchement, vous deux, vous faites souvent lamour ensemble ? ».
Pas ébranlée le moins du monde, Antonia répond :
« Seulement trois mois que nous nous sommes découvert cette affinité.
Delphine demande à raconter cette première fois.
Voilà trois mois, jinvite Antonia à la maison. Toi, tu étais en vacances au Maroc.
Après dîner, on sinstalle dans le salon, on papote de tout et de rien, puis la conversation soriente sur toi. Je te passe nos commentaires élogieux, pour téviter denfler des chevilles, et nous abordons tes petites manies vicelardes, consistant à nous reluquer en douce, à ne tenir que des propos grivois et salaces, et à raconter des blagues très « hot ».
Nous sommes tombées daccord sur le fait que cela nous plaisait beaucoup, et nous nous sommes amusés à timaginer plus entreprenant. Nous rêvions de te voir enfin nous peloter, caresser nos fesses, te frotter à nous, et pourquoi pas un jour glisser ta main sous notre jupe, et peut-être plus encore..
Jétais captivé par ce récit. Savaient-elles que je me branlais en pensant à elles, que je jouissais en murmurant leurs deux prénoms ?
Delph continue son captivant monologue.
Tant et si bien que le trouble nous gagne, assises côte à côte.
Je regarde dans le décolleté dAntonia et aventure un doigt entre ses seins splendides. Je ne peux tenir et déboutonne son chemisier avant de lui enlever. Après lavoir peloté comme une femme aime lêtre, je lui soustrais son soutien-gorge. Comme toi cet après-midi, jai été subjugué par ses nichons de rêve. Je mempare deux et les maltraite avec frénésie.
De son côté Antonia fourrage dans ma culotte, me crochant la chatte, y enfonçant la main entière, doigt après doigt ! On fut très vite complètement nues. On se rendait folle lune lautre, chacune imaginant que cest TOI qui nous faisait tout ce bien. Nous étions trempées, nos langues sincrustaient partout, nous jouissions sans retenue, mais toujours en pensant à TOI !
Cest lheure de passer à table, et le Directeur vient prendre la commande, avant de séclipser discrètement, nous laissant pratiquement seuls.
Tout en mangeant, Antonia reprend le flambeau et raconte la suite.
Tous ces préliminaires nous avaient laissées pantelantes, mais frustrées. Il nous manquait ton sexe, ta bite, tes couilles, ton jus, sur nous, en nous. Je le dis à Delphine qui me dit : Attends, jai quelque chose à te montrer, jarrive ! Elle revient avec, à la main, une boîte doù elle sort des godes de toutes longueurs et toutes formes ! Jétais abasourdie. Rapidement, ces ustensiles remplissent nos trous, guidés par les mains de lautre. Changeant de format progressivement, nous avons fini avec un énorme gode chacune dans la chatte et dans le cul, en hurlant de plaisir, nos humeurs dégoulinant sur nos jambes, tant il y en avait trop à avaler. Depuis ce jour, nous avons renouvelé lexpérience plusieurs fois, en faisant un transfert sur ta personne, cherchant par quel moyen nous pourrions concrétiser ces rêves fous avec TOI !
Le pique-nique improvisé a été une aubaine, et si tu ne nous avais pas invitées ici, je vous aurais proposé de passer la soirée à la maison.
Mon chéri, Notre chéri devrais-je dire, car nous ne sommes pas jalouses lune de lautre, cela fait pas mal de temps que tu émoustilles et excites nos sens. Je sais que cest réciproque, aussi je crois que nous allons atteindre le nirvana ensemble ce week-end.
Je nen revenais pas ! De plus, javais le feu au bas ventre. Inquiet quand même après les deux prestations de laprès-midi, je me demandais quand je pourrais à nouveau bander et surtout jouir ! Mais je suis sûr que Delph a amené sa boîte magique dans ses affaires. Il va y avoir de quoi faire, non ?
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