Justine-3 Tina
Justine faillit sévanouir quand elle vit Tina en face delle.
Bonjour, Justine. Je tavais dit quon se reverrait. Tes punie ?
Jamais Justine ne sétait sentie aussi vulnérable quà cet instant. Elle était entièrement à la merci de Tina, attachée et bâillonnée comme elle était, dans une position humiliante et incapable de résister. Elle se mit à trembler.
Fait voir ton anneau, je ne lai pas bien vu dans le métro.
Elle tira sur la corde du côté où le pied de Justine était posé, relevant lautre jambe. Tina saisi la cheville levée et la souleva le plus haut possible. Justine dut sautiller sur lautre jambe pour ne pas tomber. Tina mit sa main brune sur le sexe ainsi exposé, le caressant jusquà y mettre un doigt. Elle soupesa lanneau et tira dessus, vers le bas. Justine, pour éviter la douleur, dut fléchir sa jambe dappui, tirant au delà du supportable sur ses bras retenus en haut. Elle poussa un hurlement, pas plus fort quun gémissement à cause du bâillon. Sa jambe, fléchie, tremblait de fatigue. et soudain se déroba. Surprise, Tina lâcha prise et Justine se cogna violemment sur le bâti, en poussa un hurlement de douleur qui franchi le bâillon.
Excuse moi, dit Tina. Javais pas vu que tu étais en déséquilibre. Attends, je vais te frotter.
Elle frotta vigoureusement lanus et le sexe de Justine, Justine crut de nouveau défaillir tant la brûlure était intense. Sans se préoccuper de son équilibre, elle se débattit dans ses liens pour échapper à lintense brûlure qui gagnait tout son abdomen.
Pardon ma poule, javais oublier que Maud tavais mis du piment partout dans le trou et la chatte.
Comment savait-elle tout cela? se demanda Justine avec inquiétude.
Tina aida Justine à se remettre en équilibre sur une jambe.
Tu ma dénoncée pour la boîte, mais sest pas grave. En plus, je ne suis pas rancunière. Je tai apporté de quoi te distraire, ajouta-t-elle avec un grand sourire.
Elle lui présenta deux ressorts, avec un mousqueton à une extrémité un un boule chromée de cinq centimètres de diamètre à lautre.
Les mousquetons souvrent comme ça, dit-elle en appuyant dessus.
Lanneau formant lextrémité du mousqueton souvrit. Elle relâcha la pression et lanneau se referma.
Plus on tire sur le ressort, plus lanneau est solidement fermé. On les accroche dans les trous des tétons pour titiller gentiment les petites esclaves punies. Ça ne fait pas mal, mais ça excite! Je vais te les mettre. Mais tu nest pas percée! sexclama-t-elle. Ça ne fait rien, on peut les mettre quand-même.
Elle pinça un téton entre le pouce et lindex, le passa dans lanneau ouvert dun mousqueton et le lâcha. Elle fit la même chose pour lautre téton. Les boules argentées montaient et descendait en sautillant, pinçant cruellement les tétons de Justine et lui arrachant des cris et des larmes de douleur à chaque fois quelles arrivaient en bas, la pinçant plus fort en tirant ses seins vers la bas. Elle crut que les mousquetons allaient lui perforer les tétons, gonflés à éclater sous la morsure cruelle.
Je te laisse, je ne suis pas là pour mamuser. Comme tu es punie, Léa ma demandé de faire le ménage à ta place. Je lai croisée en venant.
Elle se mit à passer laspirateur, laissant Justine anéantie de désespoir, le corps tremblant sous la de toutes les douleurs qui assaillaient les différentes parties de son corps, surtout les plus intimes. Quand Tina arriva pour faire la cuisine, elle poussa plusieurs fois le pied de Justine avec la brosse de laspirateur.
Aller, aller, pousse-toi un peu que je puisse nettoyer. Un petit effort, saute! dit-elle en riant.
Pour ne pas tomber, Justine sauta maladroitement et réussi à retrouver son équilibre pas des petits sauts sur lautre pied. À chaque saut, son clitoris était tiré par lanneau dans son sexe et ses tétons pincés encore plus fort. Tina arrêta laspirateur. Dix minutes après, elle sorti de la cuisine.
Léa ma dit de te donner à manger et de te dire quelle sera en retard. Regarde, je tai préparé une boîte de boulettes. Je nai pas eu lordre de te détacher, alors tu mangeras comme ça.
Elle enleva le bâillon et lui essuya le visage, le cou et la poitrine avec un torchon.
Tes dégoûtante, tas bavé partout.
Justine narrivait pas à fermer sa bouche, tellement elle était longtemps restée ouverte, la mâchoire presque déboîtée et durcie par les crampes. Avec un cri de douleur, elle y parvint.
Je ten prie, détache moi, supplia-t-elle.
On ma pas dit de le faire. Ce nest pas ma faute si tu es punie.
Si, cest toi qui a ouvert la boîte de Maud et cest à cause de toi que je suis punie !
Cétait pour rire! En plus, si tu avais été moins stupide, tu maurais dit de ne pas louvrir. Cest donc ta faute. De toute façon, tu doit obéir et te soumettre, même à moi, ajouta-t-elle en riant.
Justine compris que même si cétait injuste, cest Tina qui avait raison. Elle était lesclave punie et attachée, à la merci de la jeune fille noire à laquelle elle navait plus quà obéir docilement. Elle baissa la tête.
Tiens, mange !
Tina approcha une écuelle de la bouche de Justine.
Comment vais-je mangé ? Je ten prie, détache moi au moins une main, dit-elle dun ton implorant.
Ma pauvre poule, jai pas le droit de te détacher. Tu va être obligée de manger comme un chien, dit-elle en souriant.
Aller, mange, mon toutou!
Justine tourna la tête.
Écoute, on ma dit de te donner à manger. Si tu ne manges pas, je vais me faire disputer. Alors maintenant, mange!
Elle saisi les cheveux à larrière de la tête de Justine, serra en tournant la main et leva lécuelle jusquà ce que le nez de Justine trempe dans la sauce. Justine était brisée par lhumiliation. Elle essaya dattr une boulette entre ses dents. Elle ny arriva pas et Tina leva plus haut lécuelle, trempant tout le bas du visage de Justine dans la sauce brune.
Quand elle eu tout mangé, Tina recula lécuelle et éclata de rire.
Si tu voyais ta tête! Attends, dit-elle comme si Justine pouvait bouger.
Elle revint avec un appareil photo.
Pas ça, supplia Justine.
Au moins ça prouvera que je tai donné à manger! et elle pris plusieurs clichés.
Justine était morte de honte.
Puis Tina pris un torchon, débarbouilla Justine et approcha un grand verre deau de ses lèvres.
Bois, tu doit avoir soif.
Justine but à grande gorgée leau fraîche et bienfaisante. Tina posa ensuite une main sur le bas du ventre de Justine, lautre sur le bas du dos.
Tu dois avoir envie de faire pipi, depuis le temps. En disant cela, elle pressa fortement avec ses mains, comprimant la vessie. Justine poussa un petit cri et sentit un peu de liquide chaud couler le long de sa cuisse. Tina ramena un seau de la cuisine. Puis elle tira sur la corde fixée aux chevilles, forçant Justine à lever une jambe très haut, Elle plaça le seau sous le sexe de Justine.
Le petit toutou lève la patte, dit Tina en riant. Il a envie de faire pipi. Aller, aller... Dépêche-toi, ça fait partie des instructions que jai reçue : tu dois aller aux toilettes. Mais comme je nai pas le droit de te détacher...
Jamais Justine navait pensé quon pouvait avoir autant honte et être aussi humilié. Elle essaya dobéir, mais elle ny arriva pas, tant sa position la torturait.
Je ny arrive pas, gémit-elle.
Tant pis. Au moins, jaurais essayer. Bon, je vais devoir partir, et Léa ne devrait pas tarder à rentrer. Tâche de te retenir. Pour ne pas que tu tennuie en attendant, je te laisse mes breloques, tu me les rendras à loccasion. Et, mutine, tira dessus pour les faire aller et venir.
Je ten supplie, enlève les, jai limpression que mes tétons sont en train de se déchirer.
Comme ça, tu penseras à te les faire percer. Jai autre chose pour toi, regarde, tu vas aimer...
Elle lui mit sous le nez un vibromasseur de gros diamètre avec une embase en forme de demi-lune. Justine eut un sursaut effrayé devant sa taille.
Non, il est trop gros,tu vas me déchirer, je ten prie... limplora-t-elle.
Cinq heures dautonomie, et il titille le clitoris et la rosette en même temps. Tas pas fini de jouir... Si jarrive à le rentrer !
Elle lécha consciencieusement lengin sur toute sa longueur et suça lextrémité, qui rentrait à peine dans sa bouche. Puis elle mit lextrémité à lentrée du vagin de Justine et commença à pousser. Justine gémit. Lénorme sexe entrait en force, la remplissant, lui distendant le vagin, la laissant le souffle coupé. Quand il fut au plus profond delle, Justine crut quelle allait souvrir en deux et cria de douleur. Tina lui mit un torchon entre les jambes, du ventre au bas du dos, et le fixa avec une ceinture de cuir quelle serra fortement. Puis elle tira sur les deux extrémités du torchon, afin que lengin reste enfoncé au maximum. Justine, la bouche ouverte, haletait en gémissant.
Faut pas que joublie de remettre ton bâillon, dit Tina en lapprochant de la bouche de Justine. Aller, ouvre le bec !
Comme Justine gardait les lèvres obstinément serrées, Tina saisi les mousquetons entre ses doigts et commença à serrer. Justine hurla de douleur, les tétons violacés et gonflés à craquer par le douleur.
Cest malin. Tas pas encore compris que de toute façon, tu finiras par le mettre. Aller, ouvre! jai pas de temps à perdre. Elle serra plus fort les mousquetons.
Arrête, Jobéis , supplia Justine en ouvrant grand la bouche. Des larmes coulaient sur son visage.
Espiègle, Tina en profita pour lembrasser goulûment sur la bouche, lui mit prestement le bâillon en place et lui caressa la joue.
J e te laisserai la télécommande du vibro sur la table. Mais avant, mets le en marche.
Disant cela, elle approcha la télécommande du nez de Justine et appuya. La vibration éclata dans son ventre et dans tout son entre-jambe, lui vrillant le clitoris et lanus à vif, Tina manipula la télécommande, et la vibration augmenta dintensité. Justine se débattait dans ses liens, se tordant comme un ver pour échapper à la machine qui lui brûlait les entrailles de toute la puissance de ses vibrations, mais celle-ci était solidement maintenue enfoncée dans le vagin. Justine regardait Tina, les yeux agrandis et implorants.
Je te lai mis au maxi. À toi les orgasmes à répétition. Aller, je me sauve, amuse-toi bien.
Et elle partit, après une dernière caresse sur la joue. Justine aurait voulu lui crier de rester, la supplier. Mais le bâillon remplissait son office, la laissant muette et la bouche distendue. Elle entendit la porte claquer et fut de nouveau seule avec sa douleur et son désespoir.
Justine ne pouvait sempêcher de faire onduler son bassin et de tirer sur ses liens sous laction des puissantes vibrations. La machine lui dictait sa loi et elle était e de la subir en gémissant. Les vibrations étaient si fortes que ses seins tressautaient et que les boules, au bout de leur ressort, narrêtaient pas de sauter en lui pinçant cruellement les tétons. Elle perdit léquilibre et le bâti de porte heurta violemment la raie de ses fesses, enfonçant le vibromasseur encore plus. Le bâillon étouffa son hurlement de douleur. Lembase de lengin venait, tout en vibrant, de lui meurtrir le clitoris gonflé à éclater et son anus à vif. Elle réussit, après beaucoup deffort, à retrouver un équilibre précaire sur une jambe, lautre levée. Elle ne sentait plus rien, sauf les vagues de chaleur insoutenable qui lui mettaient le sexe en feu. Inexorablement, le plaisir montait. Elle ne voulait pas sy abandonner. Mais plus elle ondulait pour y échapper, plus le désir montait. Justine gémissait sans discontinuer, les larmes se mêlant à la salive qui coulait de sa bouche écartelée. Elle perdit encore léquilibre et lénorme engin senfonça brutalement au fond de son vagin en écrasant le clitoris et lanus. Justine fut submergée par la vague de plaisir et de douleur. Elle jouit à grands spasmes violents de tout son corps, hurlant sans pouvoir sarrêter. Le clitoris rendu encore plus sensible par lorgasme, multipliait par mille les vibrations qui continuaient à lagresser. Elle hurla encore plus en se tordant comme une folle, tant la sensation devenait intolérable.
Léa rentra une demi-heure plus tard, à la nuit tombante. Elle vit Justine agitée de soubresauts, suspendue par ses bras tirés en arrière, mettant en valeur ses seins au bout desquels sautillaient les boules de Tina. Ses jambes étaient de part et dautre du bâti, ne touchant plus le sol. Elle gémissait sans sarrêter.
Ma pauvre chérie, lui dit gentiment Léa. Je suis désolée davoir été aussi retardé. Javais envoyé Tina pour te tenir compagnie, mais je vois quelle est toujours aussi facétieuse.
Elle arrêta le vibromasseur, détacha les jambes de Justine et enleva le bâillon. Justine leva la tête.
Léa, je suis si contente que tu sois rentrée, je nen peux plus.. dit-elle pendant que les larmes coulaient sur son visage.
Léa ôta les mousquetons des tétons. Justine cria sous la douleur.
Si tu veux continuer à utiliser les jouets de Tina, tu ferais mieux de faire comme elle, des trous.
Les mousquetons avaient laissé deux profondes marques de part et dautre des mamelons.
Regarde moi ça. Il faut faire circuler le sang.
Elle fit rouler les tétons entre pouces et index, en serrant les doigt. Léa étouffa son hurlement de douleur en lembrassant sur la bouche salée par les larmes, la violant de sa langue agile.
Elle détacha ensuite la ceinture, ôta le torchon et lengin qui avait torturé Justine. Le torchon était trempé. Léa fixa Justine, tenant le torchon en évidence. Justine rougit violemment et baissa la tête. Elle navait pu se retenir. Son ventre et le haut de ses cuisses étaient mouillés.
Alors mademoiselle fait la fière et refuse le seau. Elle préfère faire par terre comme un chiot! dit Léa en masquant un sourire. Si Tina ne tavais pas mit un linge, je taurais tout fait lécher par terre.
Je ny suis pas arrivée dans le seau, Tina ma fait boire et je nai pas pu me retenir, je ne lai pas fait exprès, pardon, implora Justine, les larmes coulant de plus belle.
Je vais devoir tapprendre à être propre, comme pour les chiots! répondit Léa en souriant.
Elle approcha le torchon du nez de Justine, qui eu un mouvement de recul. Léa toucha le nez avec le torchon dégoulinant, puis lui donna un claque retentissante sur les fesses. Justine poussa un cri et son visage, la bouche grande ouverte, fut projeté sur le linge imbibé de son urine tiède. Léa ne put sempêcher de rire.
Jespère que tu as compris la leçon, et que la prochaine fois, tu sauras te retenir.
Oui, Léa, la prochaine fois, je serai propre, pardon, murmura Justine, brisée, le visage humide de son urine et de ses larmes.
Léa lui ôta ses escarpins et lui détacha les poignets. Elle dut soutenir Justine, qui narrivait plus à tenir debout et tremblait de tous ses membres.
Viens, je vais moccuper de toi.
Elle soutint Justine jusque dans la salle de bain et lassit sur le banc de la douche. Puis elle ouvrit le robinet deau chaude et orienta le jet sur Justine.
Reste là, je reviens.
Justine ne bougeait plus, gémissant sous les milliers de dards qui fouettaient son corps raide et endolori. Léa revint, entièrement nue. Elle savonna Justine des pieds à la tête, lui arrachant des faibles cris quand sa main insistait sur lentre-jambe à vif. Elle la rinça ensuite avec le jet, insistant de nouveau sur le sexe et lanus, laissant Justine essayer faiblement de se soustraire au jet brûlant en gémissant. Elle lenveloppa ensuite dans un grand drap de bain et la porta dans sa propre chambre et la coucha sur le dos, dans son grand lit double. Là, elle acheva de la sécher en frottant doucement. Justine était presque inconsciente. Léa pris un pot rempli dun onguent odorant. Elle sassit à califourchon sur Justine, et senti son anneau contre les lèvres de son sexe. Les mains enduites donguent, elle massa Justine sur tout le corps. Ses doigts énergiques insistaient sur les épaules raides, ses hanches et ses seins. Justine, les yeux clos, poussait des petits gémissements comme un animal blessé. Son bassin, comme doué dune vie propre, ondulait doucement, caressant le sexe de Léa.
Tu es vraiment incorrigible, murmura tendrement Léa en lui massant les seins. Retourne toi.
Péniblement, Justine se retourna et se laissa retomber à plat ventre, la tête dans loreiller. Léa lui massa longuement le dos, les épaules et les cuisses courbaturés. Ses doigts nerveux palpaient fermement tous les muscles endoloris. Justine râlait de douleur et de plaisir. Le massage de Léa dénouait tout son corps, et elle se laissait faire, sabandonnant aux mains expertes en ronronnant de bonheur, les jambes écartées, le bassin ondulant pour quémander une caresse plus précise.
Vraiment incorrigible, dit Léa en riant. Mets toi à genoux.
Justine se mis sur les genoux les jambes écartées, la tête enfouie dans loreiller, soffrant à la caresse, les fesses cambrées ondulant avec supplication. Léa donna un petit coup de langue sur la rosette dilatée et tuméfiée, provoquant un brusque sursaut.
Doucement, supplia Justine. Cest si sensible...
Sans tenir compte de la supplique, Léa continua à lécher doucement lanus à vif, envoyant des ondes de chaleur douloureuse dans tout le corps de Justine, qui se remit à gémir doucement, puis de plus en plus fort. La langue de Léa continuait impitoyablement à agacer à petits coups la zone sensible, tournant autour, la frôlant, puis lévitant de nouveau. Justine haletait. Elle tremblait de désir et se sentait frustrée par la lenteur insupportable des caresses de Léa, et ses hanches ondulaient de plus en plus vite.
Ne bouge pas, dit Léa en lui donnant une claque sur les fesses.
Justine poussa un petit cri. Le plaisir montait de plus en plus et elle avait de plus en plus de mal à essayer de maîtriser les mouvements réflexes de son bassin. Sans sen rendre compte, sa main pris le chemin de son sexe palpitant et humide de désir. Une tape sèche linterrompit.
Je ne tai pas dit de te caresser. Tu es vraiment impossible!
Justine ne parvenait plus à se dominer. Ses fesses allaient au devant de la langue qui la brûlait si délicieusement, et une sourde plainte déchappait de ses lèvres entrouvertes. Léa serra le haut des cuisses de Justine de ses mains nerveuses, et enfonça brutalement sa langue agile au plus profond de lanus, agaçant les terminaison nerveuses exacerbées par les mouvements rapides. Le cri de Justine fut étouffé par loreiller. Elle avait beau se tortiller pour échapper à la sensation trop intense, rien ny fit. Léa la tenait fermement et remuait sa langue de plus belle. Justine fut terrassée par une vague de jouissance qui fit passer un voile noir devant ses yeux. Elle seffondra, le corps secoué de spasmes.
Quand elle reprit ses esprit, elle était pelotonnée dans les bras de Léa, la tête sur sa poitrine ferme. Léa lui caressait les cheveux tendrement. Justine compris que si Léa navait pas fait delle son esclave par son chantage des sens, elle se traînerait à genoux pour la supplier de devenir son esclave, de lui appartenir. Léa lavait compris tout de suite et lui avait révélé sans le lui dire se quelle nosait pas savouer avant : elle aimait être soumise, dominée par la volonté dune autre femme, elle qui navait eut que des rapports avec des hommes. Son phantasme de soumission était apparu au grand jour et elle le vivait pleinement. Elle ne put retenir ses larmes damour.
Quest-ce quil y a, ma chérie ? demanda Léa en lui essuyant doucement les yeux.
Je taime... murmura Justine, une boule dans la gorge. Je voudrais rester ton esclave pour toujours... Garde moi, même si tu as envie de me punir souvent. Je taime, je taime... Les larmes coulaient doucement de ses yeux implorants, éperdus damour.
Léa eu un rire attendri et la berça doucement dans ses bras.
Ne ten fais, ma petite esclave chérie. Je tai trouvée, je te garde. Jaime ma petite esclave chérie, et jadore la faire obéir. Moi aussi, je taime. Elle murmura cette dernière phrase et lembrassa tendrement sur la bouche.
à suivre...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!