Ma Beurette Et Sa Mère En Hijab Deuxième Partie

Vlan!!!! La vacarme du claquement de la porte me tira aussi sec des bras de Morphée. Putain quelle heure était il? Je prenais mon téléphone d'une main, les yeux encore dans le gaz, 11h. Samira avait du aller faire un tour, pas vraiment discrète à son retour. Comment je devais interpréter ce fracas? Lève toi flemmard il est tard, ma fille mérite mieux qu'un mec qui fait la grasse matinée à 30 piges passé depuis longtemps ou plutôt réveille toi, j'ai mouillé toute la nuit, viens me défoncer comme une chienne? Oula, je commençais à partir dans mes délires tout seul là. Elle nous avait observés mais ça ne voulait pas dire qu'elle voulait quelque chose. Et était elle vraiment là dans l'entrebâillement de la porte? L'ai je réellement vu ou simplement fantasmé? Trop de questions me trottaient dans la tête, il était l'heure pour moi de filer sous la douche. Assez vite j'enfilais un jogging et un t-shirt, hors de question de sortir en caleçon devant une daronne que je connaissais à peine. L'envie de me la faire d'accord, mais ne pas oublier le respect, sauf si ma queue finit dans sa bouche évidemment.

L'eau chaude, presque brulante de la douche me ramène à la vie et à la réalité. S'en suis un dialogue dans mon crâne de pervers, "Mec que tu fantasmes sur sa mère c'est une chose, que tu te la fasses sans est une autre, arrête ton délire", "oui mais en même temps ça sera peut-être ta seule occase...", "de quelle occase tu parles?! Si je foire mon coup, je perds ma chienne", "t'as vu le cul qu'elle a sa mère?! Moi je dis que le jeu en vaut la chandelle".

Je quitte ce joyeux bordel interne, éteins l'eau, passe une serviette. Je me passe un bas de jogging et un t-shirt, boxer obligatoire en dessous, je me connais, à tous les coups je vais avoir la gaule un moment où un autre. Khadija rentre à 17h30 il me semble, voilà qui laisse l'après-midi de libre. Excitant mais en même temps si rien ne se passe, je sens que je vais bien me faire chier avec sa mère.

Je repasse par la chambre, chope mon téléphone, quelques messages. Des conneries pour la plupart, et un message de ma chiennasse, "ça va bb? Ça se passe bien avec ma mère?". "Oui nickel t'en fais pas, bosse tranquille, à ce soir". "Merci bb!!! Oui vivement ce soir, j'ai hâte!!!". "Je vais te défoncer comme une bonne pute!", "hummm...faut que je te laisse, j'y retourne, bisous". "Bisous".

Cette fois il est l'heure. J'ouvre la porte du salon, la lumière du jour me pique les yeux. "Salam Aleikoum", Aleikoum Salam". Les échanges de formalité son brèves. TV allumée, Samira vaque entre le canapé et la cuisine. Elle porte un pantalon noir et un léger pull qui la couvre complètement. Ses cheveux sont recouverts d'un hijab de couleur sombre qui oscille entre le marron et le noir. A chacun de ses pas son énorme cul se balance de gauche à droite. En voilà une qui a raté sa carrière d'hypnotiseuse. Un détail me saute aux yeux, elle est pieds nus. De jolis pieds très fins qui dénote totalement du reste de sa silhouette bien en chair. Je me demande d'ailleurs comment de si petits pieds peuvent réussir à supporter un si gros cul. Malgré la texture de son pull, difficile de cacher ses obus qui pointent dans ma direction. J'ai la sensation qu'ils sont plus gros que ceux de sa fille. Est-ce humainement possible? Putain j'ai envie de lui demander si je peux vérifier là tout de suite, juste pour comparer mais tout ce qui sort de ma bouche c'est, "ça va? Vous avez bien dormi?", "oui ça été" me répond elle sur un ton assez sec. Merde, moi qui me voyait déjà dans un remake des films pornos des années 80 je dois ravaler mes illusions.

Pas grave, il m'en faut plus pour m'avouer vaincu. Essayons encore d'entamer le dialogue et de la détendre, après sur un malentendu comme disait l'autre. "Vous êtes sortie tout à l'heure?", "oui je suis allé faire quelques courses, je voulais des légumes", "vous n'en avez pas eu pour trop cher j'espère?", à la fois surprise de la question et par ma sollicitude, elle se met à m'expliquer que si, elle avait été surprise par les prix.
Que dans l'Est où elle vit c'est moins cher et bla-bla. Pour être totalement honnête, à ce moment là je me moque totalement de ce qu'elle me raconte mais je secoue la tête bêtement avec un grand sourire, ponctuant par des "ah", "oh", "ah bon?" qui lui donnent l'impression que je m'intéresse à ce qu'elle me dit. Ce qui la pousse à continuer et à partir sur différents sujets divers et variés. Tout en continuant mon manège de gendre idéal, j'observe chacun de ses traits et plus particulièrement sa bouche. Hum, sa bouche... Des lèvres charnues et pulpeuses. Une vraie bouche de suceuse de queue. Par moment lorsqu'elle parle je remarque un tic de langage, le bout de sa langue selon les syllabes employés, sort un tout petit peu à travers ses lèvres. J'imagine cette langue sur ma queue et ça commence déjà à me donner un début d'érection. Putain arrête, c'est pas le moment, discret merde. D'un coup elle me sort de mes songes pervers, "je vais préparer à manger, tu dois avoir faim" et elle se lève roulant du cul de manière presque vulgaire. Dans ma tête ça se remet à partir dans tous les sens. Elle voulait dire quoi par tu dois avoir faim? Car j'ai sauté le petit déjeuner ou plutôt car j'ai sauté sa fille hier soir comme un a****l?!

"Tu peux venir me montrer où sont les choses ici, je suis perdu". Je m'approche, réponds à toutes ses demandes avec le sourire. J'avoue, ce n'est pas souvent moi qui m'occupe de la bouffe mais je sais où sont rangés les trucs, enfin à peu près. Parfois je cherche un peu sans en donner l'air. On continue de discuter, de tout et de rien. Je la sens beaucoup plus détendue que ce matin. Remarque t elle que je la reluque comme le dernier vautour venu? Aucune idée, elle ne laisse rien transparaître. Pourtant mon oeil lubrique ne doit pas masquer mes intentions salaces. Je l'imagine nue pendant qu'elle prépare le repas, ses grosses fesses valsants de gauche à droite sous la puissance des fessées que je lui assène, moi la défonçant debout contre le plan de travail.
Elle n'a jamais du prendre dans le cul? Ou peut-être qu'elle adore ça? Oulala faut que je me calme....

L'heure de passer à table est venue. On mange silencieusement. Très bonne cuisinière, je comprends mieux les talents de sa fille. Au même moment mon téléphone sonne, c'est Khadija, "bb ça va?" "Oui très bien, on mange là et toi?", "matinée fatiguante, mais ça va aller, je peux pas rester très longtemps, je reprends dans 10 mn. Tu peux me passer ma mère steuplait? Encore merci pour tout bb!!". Je donne le téléphone à sa mère qui file s'isoler dans le couloir 5mn pour parler avec sa fille avant de revenir dans le salon. Elle se rassoit, je sens sa mine plus grave. "Tu sais bien que ça ne se fait pas ce que vous faites, vous devez vous marier". Et merde voilà qu'elle remet ça... "Oui bien sur, nous comptons le faire, au moins le religieux, pour le civil on verra plus tard". "C'est important tu comprends. Tu sais bien comment ça se passe. Ça va se savoir. Demain je rentre au bled, je n'ai pas envie que les chouettes se mettent à parler". "Je comprends. Mais soyez rassuré, nous allons le faire". Un silence s'installe après cette conversation un peu malaisante qu'elle brise à ma grande surprise assez rapidement. "Tu sais Tarek était un bon garçon mais malheureusement il ne s'occupait pas bien de ma fille, il faut que tu t'en occupes bien", "c'est ce que je fais et j'essaye de le faire au mieux", "j'ai cru comprendre" me lâche t-elle dans un sourire avant de quitter la table et de débarrasser. Cette fois ce n'est plus ma tête qui me fait des siennes, elle a bien dit quelque chose, je ne suis pas fou? C'était un sous entendu, j'en suis sur! Je peux pas laisser passer ça, mais en même temps si je me faisais des idées? Il était temps de tenter une approche.

Alors qu'elle s'apprêtait à faire la vaisselle, je lui dis que je peux m'en occuper et commence à m'y atteler. Elle reste debout à côté de moi, à ranger, et il me semble distinguer ses tétons qui pointent à travers son pull.
Même à l'arrêt ses fesses semblent se balancer et ses lèvres sont une invitation à la débauche. J'en peux plus et j'oriente la conversation vers la veille. "Avez-vous bien dormi? J'ai regardé le match un peu fort hier ça a du vous gêner?", "non, je ne dormais pas encore de toute façon. J'ai eu du mal à m'endormir, toujours quand je ne suis pas chez moi" me dit elle sans me regarder, ses yeux, brillants, fuyant volontairement mon regard. Je décide donc d'en remettre une couche, "on a du faire du bruit ensuite, on aime bien parler assez tard avec Khadija", "euh non ça été...", "vous êtes sur? Vous pouvez me le dire vous savez, je sais que nous ne sommes pas discrets". Surprise, la maman si austère à première vue se mettait à rougir et à baisser les yeux. Ce que j'avais vu la veille n'était donc pas le fruit de mon imagination, elle s'était bien rincée l'oeil dans l'entrebâillement de la porte. "Non je t'assure, ça été...". Ah tu veux jouer à ce jeu là, on va jouer.

"On a déjà la voisine du dessus qui est venue se plaindre"

"....quoi?"

"Oui pour tapage répété, elle trouve qu'on fait trop de bruit"

"Ah bon?"

"Oui c'est ce qu'elle dit. Après faut dire que les murs de ces appartements sont faits avec du papier à cigarette, on entend tout"

"..."

"Vous ne trouvez pas?"

"Euh....je ne sais pas, je n'ai rien entendu"

"Ah bon? Que faisiez vous alors derrière la porte? Vous veniez parler à votre fille?

La scène était cocasse. Samira ne s'attendait pas du tout à cette remarque, ses yeux sortaient presque de leur orbite. Elle me fixait l'air complètement décontenancée, et se mis à bafouiller un presque inaudible, "qu-qu-quoi, je-je-je ne comprends pas...".

"Je vous ai vu vous savez. Le miroir donne une vue splendide sur l'entrée de la chambre, mais ne vous inquiétez pas, votre fille n'a rien vu et ne le saura jamais". A ces mots je senti Samira se relâché même si la gène était encore bien palpable. Elle ne parlait plus. Mais moi je n'avais pas l'intention d'arrêter en si bon chemin.

"Je comprends vous savez. Vous êtes seul depuis longtemps, il n'y a rien de mal à ça. Ça doit vous manquer".

A ces mots elle sursauta, et pris un ton plus sévère, "je suis sa mère et...", je lui coupais immédiatement la parole, "et vous avez maté votre fille se faire prendre hier soir dans sa chambre". "Non pas du tout! Enfin...j'étais venu pour lui demander quelque chose et quand je suis arrivé, vous étiez en train de... voilà, vous me comprenez!". "J'étais en train de baiser votre fille oui". La vulgarité de mes propos la fit bondir à nouveau, pour sur qu'elle ne s'y attendait pas. "Oui mais j'étais là pour lui demander quelque chose, c'est tout!". "Ah bon? Et pourquoi être vous restés pour regarder alors?", "euh mais non pas du tout, j'ai juste entrouvert la porte et je suis repartie". "Faux. Je vous ai vu rester un moment, je suis même certain que vous y avez pris un certain plaisir". "Comment? Je ne vous permets pas " me dit elle s'apprêtant à me gifler, quand je saisis son poignet fermement. "J'ai vu que tu matais et que tu y prenais du plaisir. Ça t'a excité de me voir défoncer ta fille j'en suis sur. Je suis même certain que toute cette conversation t'excite là, tu dois être toute mouillée". "Tais toi! Comment oses tu me dire ça?". Elle voulait se montrer toujours aussi autoritaire mais clairement sa voix avait faibli. Elle ne le reconnaîtrait jamais mais je sentais que la situation l'excitait, je pouvais le sentir.

Alors que je cesserais l'étreinte, elle retira son poignet brusquement et parti s'asseoir sur le canapé sans un mot. J'avais beau savoir que la situation l'excitait, sa gène était toujours palpable et si je n'arrivais pas à mes fins, j'allais sans doute perdre Khadija. Si sa mère lui racontait comment je lui ai parlé... Je parti donc m'asseoir à côté d'elle sur le canapé. Après un long moment de silence, la tête tournée vers ses pieds, elle brisa à nouveau le silence:

"Ma fille ne doit jamais savoir"

"Je ne lui raconterai jamais pour hier soir"

"Merci"

"Ni pour ce qu'il va se passer"

"Que va t il se passer?!"

Et là sans lui laisser le temps de réagir je mis ma bouche sur la sienne pour lui arracher un premier baiser. Ses lèvres étaient chaudes comme du miel et leur texture donnait la sensation d'embrasser un marsh mallow. Elle me repoussa presque aussitôt, "Que fais tu? Ça ne va pas? Je suis une femme respectable, la mère de Khadija", "Oui, mais aussi une femme qui a besoin qu'on s'occupe d'elle, ça fait tant d'années", "oui mais non, ce n'est pas bien, il ne faut pas...". Sa réplique manquait de volonté et je pus sans aucun problème lui prendre à nouveau la bouche. Je la fouillais de ma langue, et la sienne me fut immédiatement donnée. Nos langues s'entremêlaient et je commençais à laisser glisser mes mains sur son corps, ses seins par dessus le pull, frôlant la pointe dur de ses tétons, ce qui la fit pousser un gémissement. Elle me repoussa ensuite à nouveau, "non il ne faut pas...", "ne t'inquiète pas, ça restera entre nous, je vais bien m'occuper de toi". Je continuais de l'embrasser cette fois sans retenu, je lui bouffais la bouche et ça ne semblait pas lui déplaire. Sa bouche au départ assez fermé, s'entrouvrait volontiers désormais. Sa langue tournoyait un peu dans tous les sens, comme une collégienne qui roulait ses premières pelles, c'était assez drôle. D'un coup sec je fis remonter son pull pour la trouver en soutien gorge sur le canapé. Elle avait de nombreux bourrelets, une peau assez blanche mais surtout une paire de seins énormes que laissaient deviner un joli soutien gorge à dentelle. Moi qui pensais me retrouver face au stéréotype des dessous de grand mère, j'étais agréablement surpris. Avait elle tout orchestré? A vrai dire je m'en foutais royalement. J'embrassais ses seins partout, les mordillant, les léchant, elle miaulait, "haaaa", "ouiiii", "hoooo". Elle haletait de plus en plus fort. Ses réticences du départ avaient disparu, à son tour elle faisait passer ses mains sur mon dos, mon ventre et fit remonter mon t-shirt. Je l'aida en l'enlevant d'un coup sec.


La scène était irréelle. J'étais sur le canapé de ma meuf, avec sa mère en soutif chaude comme la braise. Je l'embrassais dans le cou, la léchait, remontait jusqu'à sa bouche. Mes mains d'un coup firent tomber son soutien gorge. En sortie une poitrine lourde, qui pendait un peu mais se maintenait tout de même assez bien malgré son âge. Très blancs, volumineux, avec des tétons très foncés et qui pointaient vers moi. Sans hésiter je me mis à les lécher, les manger. Quelques morsures lui firent échapper quelques cris mais jamais Samira ne se plaint, au contraire, elle s'abandonnait totalement à mes caresses, délaissant un peu mon corps pour le moment, mais elle se ratt****ra plus tard.

Je me mis à descendre le long de son ventre puis à déboutonner son pantalon et le fit descendre jusqu'à ses pieds pour ensuite le retirer. La culotte, beaucoup plus rudimentaire et sans doute en coton blanc, suivi le même chemin. Je me retrouvais face à une toison qui n'avait pas été taillée depuis un moment mais qui ne débordait pas sur les côtés. Assez épaisse en surface, elle laissait transparaître une douce odeur poivrée qui m'enivrait complètement. Je m'y jetais à gorge déployé. Ma langue de fraya un chemin pour recouvrir son clitoris lui arracha un premier cri, "hiiii", puis je la fis rentrer dans sa fente large et trempée. La salope dégoulinait, j'en avais plein la bouche mais j'adorais ça. J'aurais pu boire son jus jusqu'à plus soif, mais je comptais bien lui donner son premier orgasme, le temps nous était compté. Je me mis à la dévorer, actionnant mes doigts à l'intérieur de son vagin. D'abord un qui la fit tressaillir, puis un second qui lui arracha un long râle de plaisir. J'aspirais son clitoris le faisant rouler sous ma langue, et d'un coup je sentis son vagin se contracter et elle explosa dans un long râle de satisfaction, "oh ouiiiiiii" qu'elle étouffa rapidement, sa pudeur reprenant le dessus.

Je me relevais, de la mouille plein la bouche et mes doigts encore trempés. Je lui pris la bouche alors qu'elle avait les yeux à moitié clos, puis je lui fis lécher mes doigts. Sans lui laisser le temps de réagir, elle les pris dans sa bouche pour les nettoyer consciencieusement en laissant glisser sa langue lentement sur chacun d'eux. Elle semblait aussi chienne que sa fille. Je ne manquais pas de lui faire comprendre d'ailleurs ce qui l'attendait, "tu vas prendre aussi cher que ta fille hier" lui dis je d'un ton plein d'autorité. Elle ne répondit rien, se contentant de me regarder un oeil lubrique tout en léchant ses lèvres. Trop excité par la situation, je sortis ma queue dur comme du bois de mon pantalon la pointant vers elle, "suce ma queue salope!". Elle ne se fit pas prier, la prenant immédiatement dans sa bouche. Hum, elle la léchait, l'aspirait, pendant que je continuais de caresser ses seins énormes. Malgré ses efforts, sa bouche peinait à s'ouvrir en grand, je sentais chez elle un manque d'expérience flagrant. Assise sur le canapé et penchée vers ma queue, je la pris par la nuque et la fit se mettre à genoux par terre. Un peu heurtée par la manoeuvre dans un premier temps, elle continua à se montrer docile. "Baisse tes mains, je vais te baiser la bouche" et je lui enfonça ma queue au fond de la gorge faisant ressortir un bruit qui laissait penser qu'elle s'étouffait. Je la ressortis puis renouvela l'opération à plusieurs reprises jusqu'à lui baiser la bouche complètement. Elle manquait de s' à chaque coup de queue mais je continuais mon entreprise de démolition de sa bouche, "Tu vois que ça t'avait excitée hier salope? T'aimes ça te faire baiser la bouche comme ta chienne de fille?" "Oaaargh", "quoi j'entends rien grosse pute??!!!" "Ouiiiiarghhh!!". "C'est mieux! Je savais que tu voulais de la bite salope, je vais t'en donner!!!" et j'appuya sur le derrière de sa tête pour la rentrer au maximum. Elle n'en pouvait plus, manqua de s', et déglutit un peu partout sur le sol en toussant une fois ma bite sortie". Je n'en pouvais plus, il fallait que je la baise. Elle le sentit et s'allongea sur le canapé jambes écartées comme si elle n'attendait que ça. D'un coup je mis ma bite dans sa chatte brûlante, "aaaahhhh", "ouiiiii, continue,,, ça fait si longtemps", "t'aimes ça ma grosse queue qui te défonce la chatte" lui dis je en la pilonnant de toutes mes forces, "oh oui, continue!!!!". Elle se mettait désormais à gueuler, son hijab à moitié défait, ses yeux révulsés par le plaisir, "Défonce moi, encore! Ta bite est trop bonne!!!", "Dis le que t'es ma grosse chienne, dis le!!!!", "Je suis ta chienne!!! Ta grosse pute, continue!!!!!!". La sentant sur le point de jouir, je sortis ma queue de sa chatte lui retirant un râle de déception. Je fis valser son hijab qui tenait à peine, l'attrapa par les cheveux violemment pour la mettre à 4 pattes sur le sol. "Je vais te démolir comme ta fille hier, tu vas jouir comme une chienne". Et d'un coup je mis à nouveau ma queue au fond de sa chatte lui faisant pousser un cri de satisfaction. J'étais en plein rêve. Son gros cul livide et graisseux était encore bien bombé. A chaque coup de rein il vibrait dans tous les sens. J'accentuais le mouvement en lui claquant son cul si fort que sa couleur originel prenait des teintes rouge sang. Je lui glissais mon pouce dans l'anus ce qui lui fit pousser un nouveau gémissement. J'étais en transe, je l'insultais de tous les noms, "t'aimes ça grosse pute?! T'es comme ta fille, un putain de sac à foutre!!! Je te défonce ta chatte avec ma grosse queue!!!! Je fais de toi ma pute sale chienne!!!", "Oh ouiiii!!!! Continue!!! Encore!!!!!! Je suis ta grosse chienne" me lâcha-t-elle dans un dernier râle et s'écroula sur le sol du salon tétanisée par un orgasme monstrueux. Ma bite en sortie complètement trempée, j'avais la sensation qu'on l'avait enduit de lubrifiant. Je reprenais mon souffle mais je n'avais pas giclé et je savais depuis le début où j'allais le faire, sur la partie de son corps qui m'excitait le plus.

Encore dans le cosmos, je l'aidais à se relever pour s'asseoir sur le canapé. Je m'approchais d'elle ma queue dressée fièrement, "ramène tes gros seins ici, tu vas me branler avec et tu vas me faire gicler sale chienne". Timidement, comme si l'orgasme l'avait ramené à sa gène de tout à l'heure, elle s'approcha de moi et se mis à entourer ma queue avec ses seins. Mais elle s'y prenait trop mal et à chaque fois un sein glissait de sa main, ça m'énervait. "Allonge toi sur le canapé". Elle obtempéra. Je me mis à califourchon sur elle, glissant ma queue entre ses seins énormes, et les resserrant avec mes mains, je me mis à les baiser littéralement. Je les malaxais en même temps et ils entouraient ma queue me procurant un plaisir maximal. Samira se contentait de regarder ma queue qui allait et disparaissait entre ses seins énormes qui avaient du faire bander plus d'un homme dans sa vie. Je sentais le plaisir monter de plus en plus, dans un dernier râle couvert par un long flot d'insultes, je lui balançais tout mon sperme, "tiens grosse chienne, je vais t'arroser ta gueule et tes gros seins. Sale pute, aaahhhhh!!!!". Le premier jet parti directement dans sa gueule, le second atterri dans son cou, le dernier alla se nicher entre ses seins, créant un flot qui glissait généreusement entre sa poitrine opulente. J'avançais un peu jusqu'à lui mettre ma queue juste devant la bouche, "nettoie!". Avec un regard étonné mais sans protester elle se mis d'abord à le lécher le gland puis à prendre ma queue entièrement dans la bouche. Elle aspira les dernière gouttes qui en sortirent. Je me relevais pour la laisser respirer, quand sans un mot, elle fila à la salle de bain. Ensuite elle regagna sa chambre sans rien dire. De mon côté je pris la suite dans la salle de bain et fit le ménage dans le salon pour ne rien laisser paraître. J'hésitais à aller la voir mais je me dis que si elle avait choisit de s'isoler ce n'était pas pour rien.

A 17h30 tapante Khadija débarqua. Souriante, elle me demanda comment ça s'était passé avec sa mère, "très bien, je l'ai à peine vu après le repas, elle est partie faire la sieste". Dans la foulée sa mère sortie de la chambre. Rien ne laissait paraître quoi que ce soit sur son visage de notre après-midi. Elle parlait à sa fille comme si de rien était et évitait scrupuleusement mon regard. Je n'ai pas souvenir qu'elle m'ait adressé un mot de toute la soirée.

Le soir, je les laissais discuter dans le salon et je me mis dans la chambre avec mon téléphone. Vers 22h15 Khadija fit son apparition. "T'en as mis du temps!", "désolé bébé, on discutait avec ma mère, elle part demain, elle avait besoin de parler", "ça je le comprends mais par contre toi tu parles trop", "comment ça bébé?", "Ferme là et viens sucer ma queue sale pute!", "oui tout de suite maître". Elle vint sur le lit telle une anguille et commença à me bouffer la bite comme une acharnée. Je la regardais pomper ma queue, bouffer mes couilles, glisser sa langue sur mon trou du cul et le nettoyer, puis revenir le long de ma hampe avant de cracher sur ma bite. Elle l'astiquait avec un plaisir incroyable et me regardait avec un regard de chienne. Dans ma tête je repensais à mon après-midi et j'essayais de déceler dans son regard quelque chose qui me rappelait celui de sa mère. J'ai cru le déceler un moment lorsqu'elle se mit à gober mes couilles en me regardant presque implorante. Une gifle s'abattie sur sa gueule de chienne, "met toi à 4 pattes par terre, je vais te punir sale pute". Elle s'exécuta encore plus docilement que sa mère, tournant la tête vers moi se léchant les lèvres tout en remuant son gros cul, "quelle va être ma punition maître?" me dit elle un sourire vicieux au coin des lèvres. Sans un mot je me plaçais derrière elle et lui enfonçait ma queue directement dans le cul, à sec, jusqu'aux couilles. Elle poussa un hurlement. Suffisament puissant pour que sa mère l'entende, c'était le but. "Aie bébé, tu me fais mal, aie, vas y doucement au début stipulait", mais j'en avais rien à foutre, je voulais juste la foudroyer, la déboiter, lui mettre dans le cul ce que je n'avais pas mis à sa mère aujourd'hui entre ses grosses fesses. Je m'en voulais. Aurais je une autre occasion de lui prendre son cul? Je n'en savais rien! En attendant je défonçais littéralement le cul de Khadija, "ferme ta gueule grosse pute!! T'aimes ça que je te casse le cul à sec, t'aimes quand je te fais mal!!!", "t'es trop gros bébé, tu me déchires, ohhhh, oui, encore", "ba tu vois que t'aimes ça grosse pute, tout le monde le sait, tout l'immeuble sait que tu kiffes te faire enculer comme une chienne", "oh ouiiiiii!!!! J'aime que tu me défonces le cul, je suis ta pute, continues, éclate mon gros cul!!!" hurlait elle. "Je te le démolis, bientôt je vais ramener d'autres bites et on va te baiser à plusieurs sale pute! Je te mettrai en laisse dans un club et tout le monde te défoncera avec moi!!!" "Bébé je suis ta pute à toi!!!", "Non t'es qu'une grosse pute sale chiennasse! Tu m'appartiens t'as compris et tu suceras les bites que je te donnerai à sucer!!!!!" "Oui, je suis à toi!! Je suis ta chose, je sucerai qui tu veux!!" cria t elle tout en jouissant par le cul.

Sans un mot je sortis ma bite de son cul, complètement béant. Ma queue portait quelques stigmates qu'un passage anal apporte quelque fois. Je m'en foutais et lui collait dans la bouche pour lui faire nettoyer tout ce qu'elle avait laissé dessus. Je lui baisais la bouche comme un enragé en pensant à sa mère cet aprem. Ce qui me fit à nouveau gicler en la tenant fermement par la nuque. Elle manqua de s', et ma bite étant trop enfoncée dans sa bouche, le trop plein fut recraché par la voix nasale. C'était la première fois que je voyais du sperme s'écouler par son nez. J'y étais allé violemment, son maquillage avait coulé, elle ne ressemblait plus à rien, mais après avoir repris son souffle, elle nettoya consciencieusement ma queue telle la bonne chienne qu'elle était.

Peu de temps après un passage par la salle de bain elle se coucha contre moi et s'endormit. De mon côté je repensais à cette journée, à ce week-end prolongé. Je venais de baiser la mère de ma copine, qui semblait aussi soumise et docile que sa fille. Ses soeurs étaient elles pareil? Je m'endormis avec cette pensée.

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