Delphine, Antonia & Moi : Week-End À Trois (4Ème Épisode).

09h30 : La chambre, une suite à vrai dire, est inondée de soleil. La fenêtre ouverte du balcon donne sur le parc. Delphine et moi, nus tous les 2, sommes attablés devant un somptueux petit-déjeuner, et sirotons en silence café et jus de pamplemousse. Derrière nous, un bâillement sonore nous avertit du réveil d’Antonia.
« A part l’odeur de foutre, c’est l’arôme du café que je préfère ! ». Ambiance !
Elle se lève avec énergie, et fonce, à poil, vers la salle de bains. Elle en ressort 5 minutes plus tard, vêtue d’un peignoir blanc, court, frappé du blason de l’hôtel. Elle embrasse goulûment Delphine sur la bouche, puis se penche vers moi, m’offrant une vue panoramique sur ses seins. D’autorité, je dénoue sa ceinture, puis écarte les pans du peignoir, dénudant ainsi sa poitrine, son ventre et ses jambes. Elle proteste.
Mon chéri, le spectacle n’est pas terrible : tu vois ces mamelles qui tombent, ce ventre disgracieux, ce sexe poilu, ce gros cul. Cela peut passer quand on fait l’amour, mais à un autre moment, cela me gêne de vous infliger un tel tableau !
Pendant qu’elle parle, je lui sers son café et lui beurre quelques toasts.

- Suffit ! On est à poil, alors toi aussi. Tu es loin d’être un tableau de Courbet, lui qui appréciait les femmes vraiment grasses ! D’abord, tu vas arrêter de complexer sur ton corps. Je l’apprécie en toutes circonstances, Delphine aussi. En tenue de ville très « classe », au bureau « sexy chic », accoutrée comme une pute comme hier soir, mais aussi dans le plus simple appareil, c’est toujours toi, on t’aime et on te veut ainsi. Compris, mon ange ? Orange ou pamplemousse ?

Delphine acquiesce et dit :

D’ailleurs, va voir sous la table, il bande ! Tu constateras aussi que ses couilles se sont remplies pendant la nuit. Chic alors, qu’est-ce qu’il va nous mettre !

On rit tous les trois. Antonia vérifie des yeux et des doigts, puis dit :

- Tu es sûre que tu ne l’as pas un peu chauffé auparavant, pour qu’il bande comme çà ?
- Non, pas vraiment.

Enfin, juste un peu, mais c‘est resté très correct.
- Racontez-moi.
- Ben voila, nous étions tous les trois au lit, endormis, quand Amour s’est levé d’un bond et a foncé aux toilettes.
- Je me suis réveillé avec une impression d’humidité sur la queue, et vu l’érection matinale occasionnée par l’envie d’uriner, je me suis dit que j’étais en train de me pisser dessus ! Cette sale petite guenon était en train de me sucer ! Devant la cuvette, je me suis dit que j’allais repeindre les murs avec mon dard pointé vers le ciel. Donc, je fonce dans la salle de bains, face à la baignoire, et me vide le cerveau pour arriver enfin à pisser. Cette salope arrive derrière moi, m’entoure de ses bras, d’une main elle me secoue les bourses, et de l’autre posée sur ma queue, elle mime un homme en train de pisser, mais en me branlant quand même un peu !
- C’était trop tentant ! se justifie Delph.
- Et après ? demande Antonia, amusée.
- Ben, j’ai fait comme font les mecs : je lui ai bien secoué la quéquette longuement, pour faire tomber jusqu’à la dernière goutte !
- Et comme il avait interrompu ma pipe, j’ai repris là où j’en étais, pendant une dizaine de minutes. Mais je ne l’ai pas poussé à bout, en pensant à toi !

Nous avons encore bien ri. Delph gazouillait, elle avait une petite voix sucrée de gamine, et un regard plein de candeur, surtout pour vous asséner de telles turpitudes. Je les regardais, me demandant, bien que cela ne soit pas utile, laquelle des deux je préférais.

L’une était petite, douce, presque fragile, au comportement presque effacé. L’autre était plus charpentée, vive, un peu pète-sec et pleine d’assurance. En amour, j’avais découvert deux sacrées femelles, aux trésors insoupçonnés et à l’imagination débordante.

Toutes deux me regardaient, devinant mes pensées.

- Alors, diagnostic, Docteur ? dit Antonia.
- De quoi parles-tu ?
- Tu viens de nous passer un scanner, là, à l’instant.
Ne mens pas !
- En vérité, je viens de me rendre compte que vous êtes indissociables dans mon esprit. Il m’est impossible de raisonner sur l’une sans l’autre ! Deux femmes : je suis bigame ! Et un sacré veinard ! Deux femmes intelligentes et cultivées, mais aussi deux femmes superbes, sans faire de comparatif sur votre aspect physique. Enfin, deux créatures démoniaques quand il s’agit de sexe ! Mais, puisque nous en sommes au diagnostic, j’attends le votre.

Antonia, comme toujours, prit la parole la première.

- Tu le sauras sur le chemin du retour, Dimanche, pas avant !
- Effectivement, dit Delph. Cher Monsieur, votre dossier est incomplet. Nous attendrons d’avoir toutes les pièces avant de conclure ! Comme au bureau, na !

Soudain, je sens un courant d’air sur mes pieds, et j’entends un léger bruit venant de l’entrée, une sorte de petit salon.

- Qui est là ?
- Oh, excusez-moi, Monsieur, c’est Sandie. Je déposais juste vos journaux, je suis désolée !
- Il n’y a pas de mal, Sandie, amenez-moi les journaux ici, s’il vous plait.

D’un regard, je fais comprendre à mes 2 complices de ne pas bouger. En avaient-elles seulement l’intention ?
La porte du salon s’ouvre sur une jeune femme brune, jupe courte noire et petit tablier blanc, chemisier blanc assez transparent pour deviner un soutien-gorge blanc bien rempli.
Nullement décontenancée par nos corps dénudés, elle s’approche et me tend les journaux.

- Bonjour, Monsieur, bonjour, Mesdames. Je suis confuse !
- Ne le soyez pas, Sandie, je vous présente Mme A. et Mme G., deux amies du ministère.

Mes 2 copines lui sourient, la détaillant des pieds à la tête.

C’est à cet instant que je ressens une impression de gluant et de froid sur mon ventre, ma queue et mes couilles ! Delph, en reposant sa tasse, vient de renverser le pot de gelée de groseilles sur moi ! Par malchance, ma serviette était tombée à terre.

Alors que je vais, par réflexe, me relever, Sandie me force à me rasseoir, d’une pression de main sur mon épaule.

- Ne bougez pas, Monsieur, vous allez en mettre partout ! Si vous permettez, je vais nettoyer tout çà. Cela aurait pu être plus grave, avec du café chaud, par exemple !

Sandie récupère ma serviette tombée à terre et la glisse sous moi, pour éviter de salir le fauteuil en tissu. Puis, toujours debout, elle prend une autre serviette sur la table, se penche vers moi à l’équerre, et entreprend de tamponner délicatement mon ventre pour absorber la gelée de groseilles. Tout ceci d’un geste naturel, dans une situation aussi insolite.

Puis elle att ma hampe avec deux doigts, et d’un mouvement de bas en haut, avec douceur, elle récolte encore ce jus rouge pour le déposer dans la serviette.
Son corsage est légèrement entrebâillé, et laisse entrevoir une paire de seins magnifique.

Voyant Sandie ainsi prosternée, Antonia, visiblement intéressée par ce qu’il y a sous la jupe courte devant elle, ne se gêne pas pour la soulever !

Sandie se cambre un peu plus, pendant qu’Antonia lui retrousse la jupe bien haut.
La soubrette approche sa bouche de ma queue et commence par la lécher avec application, avant de l’engloutir complètement. Elle me suce avec énergie, pompant cette gelée sucrée et l’avalant en même temps.

- C’est le seul moyen de bien nettoyer, vous en conviendrez, Monsieur. Si vous pouviez me donner un verre d’eau, parce que c’est horriblement sucré !

Pendant qu’Antonia s’active dans le dos de Sandie, Delph qui n’est pas à court d’idées, lui défait un à un les boutons du chemisier, dévoilant une poitrine forte, débordant de son soutien-gorge. Une vision qui a pour effet de me faire bander encore plus, alors que la pipe qu’elle m’administre m’a déjà amené au bord de l’explosion. Mon bassin s’avance à sa rencontre, m’enfonçant au plus profond de sa gorge, alors que le tour de sa bouche est rouge groseille, tel le fruit carminé d’une chatte grande ouverte.


Delph s’empare des nichons de la jeune femme, les sort de leur enveloppe de tissu, les triture, les titille, les mordille, tout en se masturbant avec frénésie. Antonia n’a pas perdu son temps. Elle doigte Sandie avec fièvre, avec des mouvements saccadés du poignet, le regard fixe, se masturbant elle aussi.

- Oh, oui ! dit Sandie. Dans le cul, dans le cul, tous vos doigts ! Plus vite, je vais jouir !

Effectivement, Sandie se crispe sur ma queue, m’empêchant ainsi d’éjaculer, et, en se retirant elle pousse un long gémissement de plaisir avant de se relever prestement.

Sandie rajuste ses vêtements, dépose un chaste baiser sur mes lèvres, et dit, avant de disparaître :

- C’était délicieux ! Je vous suggère de vous économiser pendant la journée. Il y a une soirée privée, vers 20 heures, organisée par Monsieur P. Je sais que Monsieur le Directeur a pour vous un carton d’invitation. J’y serais, moi aussi, pour assurer le service. Du moins, au début ! Bonne journée !

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