Delphine, Antonia & Moi : Week-End À Trois (5Ème Épisode).

Après une bonne journée passée à faire du tourisme à Nevers, puis dans le magnifique Parc National du Morvan, nous rentrons à l’hôtel vers 18h.

Installés au bord de la piscine, devant un rafraîchissement bien mérité, et alors qu’on n’en avait pas parlé de la journée, j’ai droit à quelques questions indiscrètes d’Antonia, suite à nos exploits matinaux.

- Cette Sandie, tu semblais bien la connaître, non ?
- Oui, nous avons sympathisé lors de mon dernier passage, c’est une très charmante personne..
- Sympathisé, et plus encore, je crois !
- Moi, je dirais « baisé », ajoute Delph d’un air narquois.
- C’est exact, mais je crois que vous en avez profité aussi, ce matin !
- Vrai, ce fut délicieux ! J’ai bien fait de faire tomber ce pot de confitures, hein ?
- Quoi ? Tu l’as fait exprès ?
- Quand cette Sandie est entrée, j’ai bien senti ton intérêt « grandir », et j’ai voulu te donner une leçon !
- Garce ! Je te pardonne, car cette pipe à la groseille était divine, autant que la tienne, ma chérie !

Nous rions de bon cœur. Toutes deux me pressent de raconter mon dernier passage ici.

J’étais venu seul, pour me détendre, et un jour, vers 11h, j’avais décidé d’aller faire un tour à Nevers. A 1 km de l’hôtel, je vois une voiture garée sur le bas-côté, les feux de détresse allumés, et notre Sandie qui me fait des signes de détresse, elle aussi, pour m’arrêter. Je me gare, et viens à sa hauteur.

Ah, Monsieur, quelle chance de vous voir passer là, je crois que j’ai un pneu crevé !
Les écrous sont tellement bien serrés que je n’arrive pas à démonter ma roue.

Elle est toute rouge, des taches de transpiration auréolent son chemisier, qu’elle a déboutonné suffisamment pour laisser entrevoir une poitrine bien fournie.

Vous ne travaillez pas ce midi ?
Non, aujourd’hui, j’assure le service du matin, et ne revient que vers 18h, pour le soir.



Pendant que je m’escrime sur sa roue, elle s’est accroupie à côté de moi, m’offrant une vue imprenable sur ses seins ronds et blancs. Sa jupe courte est remontée assez haut pour dévoiler des jambes superbes.

La roue changée, elle me remercie chaleureusement, et me propose de la suivre chez elle, près de là, afin de me laver les mains et boire quelque chose de frais.

En pleine campagne, elle habite une jolie petite maison, entourée d’un jardin fleuri.

Elle me conduit à la salle de bains, se lave les mains à mes côtés, tout en me souriant dans la glace.

Je suis en transpiration, dit-elle. Vous allez vous installer dans le salon, pendant que je me douche rapidement. Ensuite, nous prendrons un thé glacé, car je crains de n’avoir pas grand-chose d’autre à vous offrir.

L’intérieur est coquet, et sent bon l’encaustique. Installé dans un canapé en cuir, j’entends le bruit de la douche qui s’arrête, et quelques minutes plus tard, Sandie apparaît avec un grand pot rempli d’un liquide ambré, dans lequel surnagent des glaçons.

Elle s’est changée et porte une jupette de tennis, des socquettes blanches et une chemisette légère, à peine boutonnée, tendue sur une poitrine qu’on devine opulente. Elle ne porte pas de soutien-gorge, et ses seins jouent librement sous l’étoffe pendant qu’elle se dirige vers la table basse devant moi.

Elle pose le pot, penchée sur la table, m’offrant le spectacle d’un décolleté vertigineux. Puis elle se dirige vers un buffet rustique, se penche pour prendre des verres, ce qui me permet d’admirer ses longues jambes, sa croupe pleine, et un peu de sa culotte blanche.

Toujours naturelle, elle revient vers moi, nous sert du thé, et nous trinquons. Son regard est trouble, elle me sourit et vient s’asseoir à côté de moi.

Je la complimente sur sa maison, et lui demande si elle y vit seule.
Non, je suis divorcée, et d’habitude j’ai mes 2 s avec moi.
Actuellement, ils sont avec leur père, pour deux semaines de vacances scolaires.

Tout en parlant, elle se tourne vers moi, et son mouvement échancre encore plus son chemisier, ne cachant rien de sa poitrine. Pour être à l’aise, elle replie une jambe sur le canapé, l’autre reposant par terre. Sa culotte s’offre à ma vue, et je commence sérieusement à être gêné dans mon pantalon, à hauteur du bas ventre.

Sa conversation est agréable, et je sens qu’elle a perçu mon trouble. Elle se lève d’un bond et se poste face à moi, ses genoux frôlant les miens.

Comment me trouvez-vous ? Ne suis-je pas un peu grosse pour mettre cette jupette ? Mais bon, je suis chez moi, personne ne me voit, sauf vous !
Grosse, quelle idée ! Vous êtes superbe, et aussi très désirable.
Vous dites cela pour me faire plaisir. J’ai une croupe trop charnue, et des trop gros seins. Il n’y a que mes jambes que je trouve bien.

Je me penche vers elle, pose mes mains sur ses genoux, et remonte lentement vers son bassin. Elle me laisse faire, s’approche du canapé, et s’assoit à califourchon sur moi. Ses seins sont à la hauteur de mon visage. Je glisse mon nez dans l’échancrure, et dépose un baiser sur chaque sein, m’enivrant de leur odeur naturelle. Mes mains se plaquent à présent sur ses fesses, sous la jupette, et je l’attire encore plus contre moi. Son bassin est collé au mien, et elle commence à se frotter sur ma queue, tout en déboutonnant ma chemise.

Elle entoure ma nuque de ses bras, et la tête rejetée en arrière, continue ses ondulations, incrustant sa chatte sur mon bas-ventre. Elle pousse des petits gémissements d’aise, alors qu’abandonnant ses fesses, j’entreprends de lui enlever son chemisier.

Ses seins pointent comme des obus, ils sont lourds, avec de larges auréoles brunes.
Je suce ses bouts, durs comme du teck, ce qui l’excite fortement.

Oh, oui ! Mes seins, encore, vous allez me rendre folle.
J’ai l’habitude de me faire jouir rien qu’en me caressant les tétons. Je vais mouiller ma culotte, et votre pantalon aussi, si vous n’arrêtez pas !

J’ai vite fait de lui enlever sa chemisette, elle se met debout sur le canapé, en se tenant à mes épaules. Prestement, je fais descendre sa jupette. J’ai maintenant sa culotte face à mon visage, et je distingue nettement son sillon d’amour, bien dessiné par l’humidité du tissu. Je mords délicatement ce triangle blanc, ma langue darde sur le coton, parcourant de bas en haut ce renflement suggestif. Elle colle son bassin contre moi, en poussant des soupirs extatiques.

Au bout d’un moment, elle s’écarte, descend du canapé et s’active à m’enlever ma chemise, mon pantalon et mes chaussettes. A genoux entre mes jambes, elle m’imite en me caressant le sexe sur le slip, puis mime une fellation au travers du tissu, tout en me regardant droit dans les yeux.

Raide et droit comme l’Obélisque, mon sexe est à l’étroit et me fait un peu mal. Elle s’en rend compte et me soulage de ce vêtement superflu, pour m’engloutir avec appétit. Elle m’enduit de salive, me suce, me goutte, m’agite avec vigueur, en déposant des petits baisers sonores sur le gland.

Me sentant à point, elle se relève, enlève sa culotte, découvrant une toison abondante, puis revient se mettre à califourchon sur moi. Avec précision elle guide ma queue à l’entrée de son vagin, puis lentement s’empale à fond sur mon chibre durci. Puis elle s’écrase complètement sur moi, m’empêchant tout mouvement. Elle non plus ne bouge pas. Elle m’embrasse avec douceur, sa langue tournant lentement autour de la mienne. C’est à ce moment qu’elle entame des contractions de sa chatte autour de ma colonne de chair, serrant et desserrant son étreinte autour de ma queue, tout ceci sans bouger son corps. L’effet est divin, tel un étau qui vous emprisonne puis vous relâche. Des bruits humides montent à mes oreilles, je sens sa mouille couler sur mes couilles, elle commence à haleter, à soupirer fortement, de plus en plus vite, pour finir dans un hurlement de plaisir.
Elle atteint l’orgasme en même temps que moi, et je me sens cracher mon sperme en elle, par soubresauts internes, sans pouvoir bouger le corps, tant elle me cloue au canapé. Elle enfouit son visage dans mon cou, me murmurant des mots doux et tendres, en relâchant lentement la pression.

Un bon moment plus tard, elle me libère de sa gangue humide, dans un bruit de succion, et se remet debout. Ses cuisses dégoulinent de nos jus mêlés, en traces luisantes.

Elle me tend mon verre, et lève le sien à notre santé.

Je lui dis combien ce fut délicieux, et elle me retourne le compliment.

Je lui propose d’aller à la ville la plus proche manger un peu. Elle accepte volontiers, et après un chaste baiser du bout des lèvre, elle file se préparer.

Il nous faudra revenir assez tôt, dit-elle, car avant de retourner au travail, je veux recommencer. Mais cette fois, tu me baiseras dans le cul, uniquement…

Antonia et Delphine s’agitaient sur leur siège, leur regard trouble m’invitant à poursuivre, mais je leur promis mon histoire pour une autre fois, car il était temps d’aller nous préparer pour la petite sauterie de Monsieur P.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!