Première Fois ! (Suite)
Cette première fois fut le début dune longue série. Nous faisions lamour partout, dès que nous avions un moment ou un peu dintimité, ce qui nétait pas aisé à la colo. Je mamusais à lexciter, ce petit jeu coquin nous entrainait parfois dans des situations cocasses. Je ne mettais plus que des jupes, évidemment sans culotte ou très petites, lui passait son temps à me montrer son sexe ou à me le glisser dans la main sous son short lorsque nous marchions en groupe serré. Moi je soulevais ma jupe négligemment lui montrant mes fesses et le reste
Nous étions fous. Dès que je pouvais, je mettais son sexe dans ma bouche, même pour 1 minute, et si nous en avions 5 ou plus, il me pénétrait, debout, couchée, ou assise sur lui. Jétais folle de lui et de son sexe. Jaimais quil me prenne ainsi nimporte où. Jinvitais même les copines à nous regarder à son insu ; leurs yeux brillaient denvie et de stupeur. Je navais aucune honte, bien au contraire, jétais devenue le centre dattraction des filles de mon groupe. Je faisais lamour comme une vraie femme, faisant ma coquine, négligeant les risques. Quelle inconsciente jétais, nous ne prenions aucune protection, il jouissait aussi bien dans ma bouche que dans mon ventre et jétais réglée depuis longtemps
Dès le matin en me levant, je pensais à lui, à son sexe et à lamour que nous allions faire. Il tenait latelier photo et je le suivais dans le labo avec dautres colons, non pour apprendre le tirage papier, mais je profitais de lobscurité pour me faufiler sous la table et glisser son sexe dans ma bouche. Je le suçais doucement, lui assis et moi à genoux entre ses jambes, jusquà ce quil éjacule et dépose son sperme sur ma langue sans un bruit ! Puis je remontais à la surface, la bouche pleine et lui donnait un long baiser. Les autres ne sapercevant de rien, cétait très excitant. Je navalais pas encore, découvrant ce plaisir que bien tard.
Jaimais faire lamour, pourtant je ne savais pas encore ce que cétait de jouir.
A partir de là, tout changea, je ne faisais plus lamour pour faire lamour, mais pour retrouver ce plaisir qui mavait coupé les jambes et mis le sexe et le ventre dans un état indescriptible.
Les deux semaines suivantes passèrent ainsi, à faire lamour, le sucer ou à jouir comme une folle. Il me fit découvrir toutes les positions quil connaissait.
Jusque dans le train du retour ou il réussit à mépuiser de ses ardeurs (un des rares à avoir réussi), dans les toilettes du train, dans le soufflet entre les wagons, dans un compartiment libre, nous avons passé le voyage de nuit à faire lamour. Quand il était épuisé, je le prenais dans ma bouche et redonnais vie à son sexe avec tous les talents que je savais procurer, il mappelait avec malice sa : « ptite suceuse » et jadorais ça
Maman était venue me chercher à la gare, et dans la voiture qui me ramenait à la maison, je sentais encore dans mon sexe ses va et viens et ma mâchoire me faisait mal , mais cétait bon ! Épuisée mais heureuse
Nous nous sommes séparés dans le train, sans larme ni espoir de se revoir (il habitait Paris), heureux chacun davoir pris ce que lautre avait à lui donner et je savais que notre échange de lettres se terminerait un jour. Il me chuchota à loreille juste en partant, sur le quai alors que ma mère prenait ma valise : « Tu ne moublieras jamais ! » « Toi non plus » répondis-je ! Il eut raison
je ne saurais jamais pour lui
.
Je me sentais femme ! Libre, ayant pris de lavance sur les « grandes » que je connaissais, par le nombre et la coquinerie que javais déployé. Le sexe et lamour dont personne ne mavait parlé à la maison maintenant je le connaissais, je laimais et lappréciais et jen redemandais encore et encore.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!