Une Femme Au Foyer Tout A Fait Soumise 4
UNE FEMME AU FOYER TOUT A FAIT SOUMISE 4
Le soir vers 20 heures nous sommes arrivés à la clinique ou Patrick était hospitalisé. Comment vous présenter Patrick ? Il est le double de mon mari, son ami de toujours, son frère, avec lui il a fait les quatre cent coups. Donc moi je le connais très bien, cest avec lui que mon mari ma initié à la double pénétration. Et depuis quinze ans ils mont prise en sandwich un nombre incalculable de fois, ils m'ont pénétrée dans toute les positions possibles. Ils ont même établis des records. Celui qui tenait le plus longtemps quand je le suçait, celui qui pouvait menculer ou me baiser le plus longtemps ou celui qui me faisait jouir le plus vite en me léchant.
Arrivé devant la porte de sa chambre mon mari frappa, Patrick nous dit dentrer,
(( alors vieux frère on veut jouer au jeune homme, à quarante ans on ne fait plus de moto ))
et mon mari me dit a loreille
(( met toi à droite du lit cest sa main valide )),
je mexécutais sur-le-champ et mapprochais de Patrick par la droite. Je me penchais pour lembrasser, je me relevais et me plaçais de façon que sa main droite soit au niveau de mon entre jambes,
(( tu parle sil navait pas plut, je nen serais pas là ))
il avait passé sa main sous ma jupe et commençait à tripoter ma chatte, jécartais tout ce que je pouvais pour lui faciliter la tache,
(( tu en as pour longtemps avec ce bras ))
(( non je dois sortir dans deux jours, et je garderais le plâtre deux ou trois semaines je ne sais pas ))
mon mari me fit signe avec ses yeux que Patrick avait besoin de réconfort, je mempressais de lever son drap et de sortir sa queue, et me baissais pour lui prendre son membre et commençais à le sucer. Il continuait à parler, je le suçais comme il aimait en lui tournant la queue avec la main et en même temps je montais et descendais avec ma bouche. Je lui caressais les couilles de lautre main.
Au bout un moment il se mit à jouir je pris tout dans la bouche et lavalait, et puis je lavais le reste de sperme qui restait sur sa queue.
(( Maintenant chérie tu vas descendre à laccueil nous chercher des cafés nous avons à parler ))
je messuyais la bouche et sortis, je pris tout mon temps mon maître ne voulait pas de moi dans chambre. Il me dirait quand je pourrais rentrer. Au bout de dix minutes, je me retrouvais devant la porte je frappais très doucement, je ne voulais pas quils boivent leur café froid, mon maître ouvrit la porte me prit les cafés des mains et la referma, je restais dans le couloir à attendre lautorisation de rentrer. Au bout du couloir deux infirmiers commençaient leurs soins du soir. Jai patienté un bon quart dheures avant que mon mari ouvre et mautorise a pénétrer dans la chambre. Nous parlâmes de tout et de rien, puis mon mari dit quil était temps de partir pour laisser Patrick se reposer. Je lembrassais, il avait des étincelles dans les yeux, je connaissais bien ce regard, il me préparait quelque chose. Le voyage de retour se passa sans problème, je ne posais aucune question à mon maître. Je navais pas lhabitude de le questionner, il me donnait des ordres et les exécutaient. Je repris ma vie normale a faire des ménages surtout chez des habitués comme Marcel. Je couchais avec deux hommes à qui javais été offerte par mon maître. Je revis Patrick, plusieurs fois chez lui ou à la maison, enfin une vie tout fait dévouée à son maître. Ah ! Si javais fêté lanniversaire de Marcel, il avait invité quelques potes mais je vous raconterais ça un autre jour. Trois semaines sétaient passées, javais oublié cette discution entre mon mari et Patrick. Le samedi pendant le déjeuné mon mari me dit,
(( ce soir tu sors, tu te fais belle, et tu mets ton manteau car tu rentreras dans la nuit, voir au petit matin, et où tu vas il ne fait pas très chaud. Je veux être totalement satisfait de toi, et ne pas avoir de reproches, je temmène vers vingt et une heures.
Et brutalement me revenait en mémoire cet évènement de la clinique. Ça sest un coup de Patrick. Mon maître me prêtait pour la nuit, je devais être nue sous un manteau et être totalement lesclave des personnes que je verrais cette nuit,
(( je serais totalement soumise et je serai le jouet des personnes que je verrais cette nuit, tu seras fière de moi chéri ))
nous avons fini de déjeunée. Laprès midi sécoula tranquillement, vers vingt heures je pris un bain et me rasais de près la chatte et le reste. Nous partirent à vingt et une heure comme prévue, je me rendis compte que nous allions vers lOise. Après avoir fait bien soixante dix kilomètres, il faisait nuit noire, mon mari sarrêta derrière une grosse voiture type Espace juste avant un grand carrefour,
(( tu descends là monte dans la voiture devant ))
Je mexécutais, mon mari reparti aussitôt, je me dirigeais vers cette voiture, le chauffeur me fit signe de monter derrière,
(( bonsoir Messieurs ))
(( bonsoir Madame, veuillez attacher votre ceinture ))
et la voiture démarra. Lhomme ne parlait pas, nous roulâmes quelques kilomètres sur la grande route, puis il bifurqua dans une petite route qui rentrait dans la forêt. Et roula un certain temps cela me paraissait assez long. Je ne pus réprimer un frisson, on était en pleine foret tout était noir sauf les faisceaux de lumière de la voiture qui balayaient la route qui narrêtait pas de tourner. Puis il prit à droite dans une sorte de chemin de terre. Jétais pas mal secouée et une inquiétude montait en moi. Dans quel fantasme mavait entraîné mon mari et patrick ? Brusquement au détour dun virage une très grande maison apparue. La voiture stoppa, le chauffeur arrêta le moteur et descendit. Je fit de même, je me trouvais sur un parking ou six autres voitures étaient garées. Lhomme me fit signe de la main de le suivre. Tout en marchant je regardais cette battisse, cétait une grande maison presque un petit château en pleine forêt, en mapprochant je remarquais des panneaux de publicité.
(( messieurs, je vous présente Monique la femme de notre ami qui a eu lextrême obligeance de nous la prêter pour cette soirée. Etant lesclave de notre frère de débauche, vous ne verrez pas objection à la considérer comme des nôtres, et à ne pas appliquer nos règles pour les jouets sexuels de nos soirée ))
dans un ensemble parfait les huit hommes rebondirent par laffirmative à la demande. Il reprit la parole en désignant les trois jouets comme le disait le maître de cérémonie,
(( bien pour vous trois je vous rappelle nos règles. Vous êtes nos esclaves pour la nuit, vous devez soumission totale aux neuf membres. Vous avez interdictions de parler entre vous, interdictions de parler aux neuf membres et bien sur à Monique, sauf si on vous y invite. Vous pouvez crier voir hurler vous êtes dans une cave et personne nous entendra. Vous devez accepter toute demande des neuf membres, si vous dérogez à ces règles notre punition sera à la mesure de votre refus je tiens a vous rappeler que vous avez tous un compte a régler avec un des membres de cette assemblée. ))
Les deux jeunes étaient vraiment inquiets maintenant. Lhomme qui me tenait le bras se pencha à mon oreille et dit doucement
(( bien sur pour vous ma chère il nest pas besoin de punition, nous savons très bien que vous êtes toute disposée à nous satisfaire, et nous sommes tous impatients de vous voir en action. A se que je sais de votre mari et de Patrick votre réputation nai plus a faire visa vis des choses du sexe ))
Puis il releva la tête et dit
(( est que ces trois personnes pourrait se déshabiller maintenant ))
tous les yeux se tournèrent vers eux. La jeune fille était un peu pétrifiée, puis doucement elle passa ses mains derrière sa nuque et défit le nud qui tenait le haut de sa robe. Puis elle descendit les mains avec la robe jusquà la taille et dévoila ses petit seins puis elle continua jusquau pieds et leva ses deux pieds pour la retirer complètement, puis elle mit ses pouces de chaque coté de ses hanches et descendit sa culotte quelle retira. Elle était vraiment blonde naturelle et avait de petites fesses. Lhomme près de moi reprit sur le même ton,
(( jeune fille quel est ton prénom ))
(( Aurélie, monsieur ))
(( bien, ma petite Aurélie je crois que tu vas découvrir des choses ce soir )).
Le garçon défit sa chemisette, il était assez maigre. Il défit sa ceinture et descendit sa braguette et laissa tomber son pantalon. Puis il défit son slip, il avait un petit sexe comme dun de quatorze ans,
(( quel est ton prénom ))
(( Bruno, monsieur )),
puis se fut le tour de la femme elle détacha dans son dos son cache cur et lenleva elle avait des seins vraiment très jolis pas vraiment gros mais vraiment proportionnés. Puis elle défît sa jupe puis sa culotte,
(( quel et ton prénom ))
(( Céline, monsieur ))
ils étaient tous les trois nus, et attendaient un peu comme des animaux qui vont à labattoir. Il se tourna vers moi,
(( et maintenant le plat de résistance, Monique vous voulez bien ? ))
Je défis mon manteau, ils y eu quelques murmures, qui était tous sur la grosseur de mes seins, .
(( Maintenant les domestiques veuillez prendre place pour nous servir lapéritif )).
Tous les membres se dirigeraient vers la table près de la porte dentrée. La femme et le garçon se mirent à servir les apéritifs et la jeune fille avait pris des raviers contenant des amuses gueules. Le maître de cérémonie avait mit sa main gauche sur une de mes fesses et la droite sur mon sein droit et commençait a me tripoter. Il me dit
(( il y a longtemps que jentend parler de toi, Patrick mavait parler de ton corps. Mais il était en dessous de la vérité. ))
Un autre homme se mit à ma gauche et me prit la fesse gauche et le sein et tout les deux mirent à tripoter, puis leurs mains lâchèrent mes seins descendirent vers ma chatte et se mirent a fouillé mon intimité. Pendant quils me caressaient je regardais autour de moi, le jeune homme avait fini de servir, il était à genoux et était entrain de pomper un des hommes et il tenait de sa main gauche une autre queue. Pour la femme elle était dans la même position, mais elle avait trois queues a soccuper. Et pour la jeune fille, elle continuait de servir mais un homme lui prit les raviers des mains les posa sur la table puis la fit sagenouiller et lui présenta sa queue quelle prit dans la bouche. Le dernier homme lui mit sa bite sous le nez, elle la prit avec sa main gauche et commença a le branler.
(( Je manque à tous mes devoir voulez vous boire quelque chose Monique ?))
(( Oui, sil vous plait un verre de jus dorange
..Je me rend compte que je ne connais pas votre prénom, ))
(( Richard vous devez lavoir déjà entendu, ))
cétait vrai mon maître et Patrick lavait déjà prononcé devant moi, je lui fit un sourire. Après avoir but mon verre, je me mis en devoir de faire pareille que mes petits camarades. Je tendis mon verre a lhomme qui me tripotait sur ma gauche et me mis à genoux. Leurs queues étaient sorties. Je pris la queue de Richard dans la bouche, et lautre queue je me mis a la branler et jallais de lun à lautre. Cette séance de fellation battait son plein au bout dun certain temps Richard dit,
(( bon ! Messieurs, nous nallons pas jouir de suite, la nuit est encore longue, je vous propose de passer à table ))
Richard maida a me relever et tous ensemble nous nous dirigeâmes vers le buffet, les trois esclaves sexuels se mirent a courir pour être les premiers près du buffet pour pouvoir servir les membres. Chaque homme se présentait devant lun des trois leur disait ce quil voulait manger, pendant que lesclave le servait il lui tripotait ou la chatte ou le cul ou les seins. Quand tout les membres furent servis, Richard dit
(( bon maintenant que tout le monde est servi et à sa place, Aurélie et Bruno vous passez sous la table, et Céline nous servira à table, ))
les deux jeunes disparurent sous la table et commencèrent a pomper chaque membre, et Céline les servit. Chaque fois quelle se métait entre deux hommes elle se faisait tripoter la chatte le cul ou les seins. Moi jétais entre Richard et notre homme. Tous les hommes parlaient et demandaient à Céline de venir pour du vin ou pour rien simplement pour lui mettre les doigts dans la chatte ou dans le cul dans ces cas là, elle écartait les jambes pour faciliter lopération, Richard mangeait toujours et discutait avec moi ou un des membres. Lautre homme sur ma gauche avait arrêté de manger et me palpait les seins et me promettait une cravate de notaire a la fin du repas, je lui répondis que jétais à sa disposition. Richard dit,
(( bon il serait bien davoir un petit spectacle non, ))
il demanda a deux des membres en bout de table damener la table à roulettes près deux, ce quils firent. Elle était plus haute que la table ou on mangeait,
(( très bien, Céline et Aurélie vous allez nous faire le plaisir, de faire un 69 sur cette table, ))
Céline posa la bouteille et alla sallonger sur la table, Aurèlie sortie de dessous de la table, alla près de la table et commença à monter dessus. En passant près du visage de Céline elle lui dit tout doucement, je nai jamais fait ça, et Céline de répondre tu lèches et tu ferme ta gueule sinon tu vas être punie. Tout le monde pouvait les voir, Bruno continuait a pomper en dessous. Le dîner continua, mon voisin de gauche me léchait les seins et tripotait ma chatte, on avait demandé à Bruno de sortir de dessous de la table pour servir à boire, un membre lui avait mit une bougie dans cul et il devait servir comme ça. Je discutais avec Richard, puis je me permis de lui poser une question,
(( tu pourrais mexpliquer ! Comment trouvez-vous ces gens pour ces soirée ))
(( tu es bien curieuse Monique, en général on ne parle pas de la façon de procéder. Bon ! Parce que cest toi, prend Aurélie, elle est en apprentissage avec lui ))
il me montre un des membres,
(( elle avait eu déjà à faire avec la justice pour de menus larcins, rien de très grave mais du sursis quand même. Mais voilà la petite se fait prendre par les cameras de surveillance de sa société en train de piquer dans la caisse. Il lui a fait voir la casette, et lui a mit le marché en main, et donc elle est là. Pour Céline cest autre chose son mari la quittait en la laissant avec un bébé et des dettes et pas de travail. Je lui est trouvé un travail. Un autre membre lui a trouvé un financement pour ses dettes ça lui évite de perdre sa maison. Donc en échange, elle nous consacre des soirées à notre demande. On à plusieurs femmes dans ce cas là, et on les appelles de temps à autre pour changer, ))
(( combien de soirée ))
(( une vingtaine, et pour notre petit pédé cest le mignon de ce membre ))
et il me montre un homme
(( il est tombé amoureux de lui, alors tout de suite notre membre a vu lopportunité. Il l'a dressé et il est devenus son esclave, cest la première fois quil vient. Dailleurs cest pareil que pour Aurélie )).
A la fin du repas, tout le monde sorti de table, trois membres demandèrent à Céline de venir. Un des hommes sassit sur un des fauteuil la queue bien raide. Céline sassit en sempalant sur sa bite. Les deux autres étaient de chaque coté et se faisaient pomper. Deux autres prirent Aurélie, la mirent a quatre pattes sur le lit, un la baisait, lautre se faisait sucé. Pour Bruno ils le mirent à califourchon sur le grand pouf, il avait les jambes qui pendaient un coté et les bras et la tête de lautre. Un homme se mit derrière lui, il lui écarta les fesses et lencula sans ménagement. Il poussa un cri, un autre lui présentait sa queue, il la prit dans sa bouche. Lhomme lui prit la tête de chaque coté et se mit a limer avec force et lui rentra la queue complètement dans la bouche. Pour moi Richard et mon voisin mentraînèrent sur le grand fauteuil ou on pouvait sallonger. Jétais sur le dos, lhomme avait mit sa queue entre mes seins et se mit a limer. Richard était face a lui et me mit sa bite dans la bouche et je me mis a sucer. Au bout dun certain temps, Richard et lhomme me firent me relever, Richard sallongea il demanda que je masseye sur sa queue, il mécarta les fesses et je menculais sur lui. Lautre homme me mit sa bite dans la chatte et ils commencèrent a me labourer, je vis un des hommes qui se faisait pomper par Céline se diriger vers le groupe dAurélie, lhomme qui la baisait sallongea et Aurélie se mit sur lui, elle tournait la tête vers lhomme qui venait darriver avec des yeux implorants. Lhomme écarta ses petites fesses lui présenta sa bite près a forcer sa rondelle, et il mit un violent coup de rein pour lui perforer le cul. Elle se mit a hurlé, en le suppliant darrêter. Lhomme continuait de plus belle en riant, celui de dessous se mit à la baiser avec force, le troisième les laissa il se dirigea vers Bruno, qui se faisait toujours enculer, il demanda la place à lhomme qui besognait Bruno, qui lui laissa.
(( Vas y continue à défoncer le pédé, je vais aller me faire laver la queue par celle qui hurle ça la fera taire, ))
lhomme se diriger vers la bouche dAurélie et lui présenta sa queue. Elle détourna la tête, il lui força la bouche et lui rentra sa bite,
(( Eh. Les gars ! Allez plus doucement pour défoncer la petite pute, elle doit sappliquer pour me laver la queue, ))
celui qui lenculait sarrêta de la défoncer, et dit
(( il me semble avoir vu un refus de sa part ))
il répondit par laffirmative
(( bon ! Quand on en aura marre on va lui dilater le cul avec une bouteille de vin, comme punition. ))
Pour Céline les choses avaient changé, elle était sur la table où elle avait fait le 69, elle était allongée sur dos dans le sens de la largeur la tête pendante vers larrière, un des deux hommes lui avait mit sa queue dans la bouche, et lautre lui avait levé les jambes et les tenaient avec ses mains tout en lenculant profondément. Quand ils eurent fini avec Aurélie, les trois plus lhomme qui se faisait sucer par Bruno prirent la petite et la mirent sur le pouf à la place de Bruno. Elle était a califourchon les jambes dun coté les bras et la tête de lautre. Un des homme sassit sur elle pour quelle ne puisse pas se relever, deux autres lui tenaient les jambes, le dernier tenait dans ses mains une bouteille de Bourgogne il enleva le papier métallique qui entourait le goulot, il présenta la bouteille. Chaque homme qui tenait les jambes dune main, lui écartèrent les fesses de lautre, lhomme à la bouteille mit le goulot contre sa rondelle et lenfonça tout en tournant. Il rentra la bouteille au maximum quil pouvait, et se mit a faire un va et vient de plus en plus rapide, Aurélie criait et pleurait. Lhomme qui se faisait sucer par Céline lui avait déchargé dans la bouche, lautre qui avait arrêté de lenculer était parti se laver. Ils se retrouvèrent à table pour manger un morceau. Pour moi lhomme qui me baisait était parti se faire sucer par Bruno. Richard se lavait la queue après avoir décharger dans ma bouche, et en partant il demanda à Céline de venir me lécher pour nettoyer ma chatte et mon cul, elle sexécuta. Richard revint me voir pour discuter avec moi pendant que Céline me léchait, cest comme ça que jappris que ce groupe de joyeux dépravés existait depuis plus de dix ans. Que les fondateurs étaient Patrick mon mari et Richard, quils se retrouvaient deux à trois fois par mois, mais quils avaient dautres activités comme fournir des femmes aux membres pour un soir ou un week-end, quand leurs femmes et s étaient partis ou faire un jeu de pines, cest Cécile qui expliqua. La fille a huit à dix adresses pour une journée de travail de neuf heures a dix sept heures et elle doit se rendre a chaque adresse professionnelle et faire une pipe à chaque membre vu a ces adresses. Dailleurs pendant le bref moment ou nous étions toutes les deux, elle me dit tout doucement que si jamais un jour nous avions besoin dune esclave femelle, moi et mon mari, elle serait toute dévouée à nous deux. Et la nuit continua, Aurélie après son traitement avec la bouteille fut totale soumise à tous les hommes. Ils la prirent par tous les trous. Bruno passa une bonne partie de la nuit à genoux a sucé des queues, et bien sur son petit cul fut défoncer plus dune fois. Pour moi et Céline nous étions prises régulièrement en sandwich. Vers trois heures du matin, la soirée se termina et mon chauffeur me ramena chez moi, je navais pas besoin de raconter à mon mari ma nuit, car dans la cave il y avait des caméras numériques, et ils lui firent une copie de ma nuit. Je revis Richard pendant les vacances de cette année dans un hôtel club très spécial pour libertins avertis en Espagne. Dailleurs mon mari et moi avons emmené Céline avec nous. Je vous raconterais peut être mes vacances un Jour.
MONIQUE.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!