Denise 2 - Denise Se Révèle

DENISE et moi, nous nous sommes rencontrés les jours suivants, sauf samedi et dimanche, ces journées nous semblaient bien longues, surtout à elle je pense. Nos rencontres étaient de plus en plus chaudes, DENISE se sentait plus à l'aise mais refusait toujours certaines carresses, impossible de la débloquer. J'imaginais un petit plan pour la faire céder, j'allais l'appliquer le soir même.
Elle arriva, comme d'habitude, se deshabilla, s'allongea, carresses, baisers sans fin, elle attendait le moment où j'allais la pénétrer. C'est là que mon plan devait commencer, je mis un genou de chaque côté de ses cuisses, mes mains sur seins, je déposais de petits baisers partout sur son corps, descendant lentement vers son ventre. Je posais un genou entre ses cuisses, en même temps ma main sur le haut de sa toison, j'appuyais mon genou, ses cuisses s'écarterent pour laisser le passage à ma main qui atteignit sa fente, de mes doigts j'ouvrais ses lévres déjà bien humidifiées, ils pénétrerent à l'intérieur de sa vulve, de petits gémissements de plaisir sortirent de sa gorge, c'est à ce moment que mon deuxiéme genou vint rejoindre l'autre, ses cuisses s'écarterent un peu plus, pas de réaction de DENISE, ma main s'activait de plus belle avec sa chatte, elle bougeait son bassin pour accen son plaisir. Je choisis ce moment pour agir, rapidement je quittais son sexe, de mes deux mains j'écartais ses cuisses, mes bras passérent dessous pour les relever, ensuite mes mains sous les genoux qui ecartérent ses jambes au maximum, sa chatte m'était offerte. Comprenant ce qu'il se passait, elle leva la tête:
- Non! pas çà! non je ne veux pas! mon TITI, je t'en prie!
Trop tard, rapidement j'avais enfoui mon visage dans son triangle, ma langue fouillait déjà l'intérieur de sa chatte, je sentis son corps se relacher, elle avait cédé. Je la léchais, lui suçait le clitoris, ses mains vinrent carresser mes cheveux, une plainte de plaisir monta de sa gorge, elle appuya sur ma tête, puis la guida, ses cuisses se ressererent sur mes oreilles, elle fit bouger son bassin, frottant sa vulve sur mes lévres, se cambra et émit un long gémissement, sa séve s'écoula, inondant ma bouche.

Elle m'attira vers sa bouche, nos lévres s'unirent pour un long baiser, tout en l'embrassant mon pénis l'avait pénetré, je donnais de grand coup de rein, pour aller au plus profond d'elle. Ses lévres avaient quitté les miennes, ses yeux me fixaient, sa tête commença à aller de droite a gauche, de plus en plus rapidement, mes coups de butoir étaient plus puissants, tapaient son utérus, nous jouirent ensemble, elle, dans gémissement interminable, moi je l'inondais de sperme, nos corps se relachérent:
-Reste dans moi, reste, je veux encore te sentir en moi, c'est chaud, c'est bon. Tu as gagné, tu as eu ce que tu voulais, merci, c'était délicieux.

Le lendemain matin, je rentrais dans son bureau, elle m'accueillit avec un grand sourire, me fit un clin d'oeil en me serrant la main, me chuchota:
-Vivement ce soir.
Elle mit un doigt sur ses lévres et l'appliqua sur les miennes. Je quittais le bureau en pensant qu'il fallait que je trouve quelque chose pour l'amener à faire ce que je souhaitais, je pensais avoir trouvé, restait à le réaliser.
Le soir arriva, comme tous les jours DENISE etait à l'heure, elle se dévétit, moi aussi, sauf le slip que j'avais gardé. Elle s'apprétait à s'installer, je la retins, la prenant dans mes bras, elle fut un peu surprise, mais se reprenant elle m'embrassa, ses bras autour de mon cou. J'avais une main sur ses fesses qui se glissa dans la raie, jusqu'à la naissance de sa chatte, mes doigts s'y glissaient:
-Tu mouilles ma chérie.
-Tu m'exites, continue, c'est bon.
Je passais un bras autour de sa taille, l'autre quitta son sexe, fit le tour, carressa sa toison, puis trois doigts saisirent son clitoris, le titillant. DENISE écarta les cuisses, se mit sur la pointe des pieds, plia les genoux, elle se cambra, j'accentuais ma carresse, elle avançait sa chatte vers ma main, poussant de petits cris.
-Tu me rends folle, je ne sais plus ce que je fais.
Je dirigeais une de ses vers la bosse de mon slip, elle carressa ma queue à travers le tissu.

-Tu bandes, elle est grosse.
-Fais la sortir.
Sa main remonta à la ceinture, je pris les devants, je degageais juste mon gland.
-Retire mon slip, vas-y retire le.
Elle se baissa, sa bouche presque à la hauteur de mon gland, voyant une goutte qui perlait au sommet du gland, elle lapa la goutte, elle fit descendre mon slip, ma queue toucha son front, elle la serra dans sa main, decalotta le gland, les doigts de son autre main firent le tour de la base du gland je sentais ses ongles, une sensation trés agréable, parfois ses yeux se levaient, guettant mes reactions, certainement encouragée, sa langue lécha mon gland avec application, comme une boule de glace, je ne pus retenir un mouvement de rein en direction de sa langue, à ce moment mon gland disparu entre ses lévres, ses joues se creusérent, elle aspirait avec beaucoup d'énergie, sa bouche descendit encore, la moitié de ma verge avait disparu. Je pris sa tête entre mes mains, je baisais sa bouche, puis elle ne garda que mon gland en bouche, me masturba, son autre main tenait mes bourses, faisant rouler les testicules sous ses doigts, je sentais que je ne pourrais plus tenir longtemps:
-Arrete je vais te prendre, allonge toi, je ne tiens plus.
Elle s'allongea, les cuisses ecartées au maximum, elle glissa un coussin sous ses fesses:
-Viens, viens me lécher, je veux ta langue dans mon minou !
Je ne me fis pas prier, elle était trempée, je buvais sa séve à la source, elle guidait ma tête de ses deux mains, son cul allait de bas en haut, elle appuyait de plus en plus sur ma tête, elle émit un rale qui n'en finissait pas, son corps se relacha, elle m'invita à l'embrasser longuement, gouttant sa liqueur. J'avais pris sa tête entre mes mains,ses yeux verts me fixaient:
-Oui!baise moi, bien fort, tu es content de moi?
-C'était tres bon ma chérie
-Je n'avais jamais fait cela, continue, oui, bien au fond, que tu es gros, je veux ton jus, j'aime rcevoir tes jets au fond de moi, c'est chaud, viens, je vais jouir.

Nous avons joui ensemble, je crois avoir réussi à la débloquer, j'allais mon rendre compte plus tard.


ELRIC

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