Installation
Salut, j'ai commencé à lire vos histoires, il y a quelques temps et vous m'avez tous donné envie d'écrire la mienne. Merci. Mon histoire date d'il y a quelques années, lorsque j'ai emménagé dans mon premier appartement. J'ai acheté dans un magasin, une machine à laver (vous allez penser :"bonjour le cliché", perdu).
N'ayant pas de véhicule, deux hommes sont venus me la livrer à domicile. Ils sont arrivés un matin à 9 heures , je sortais de ma douche et était encore en peignoir.
L'un était agé à peu près d'une quarantaine d'années et l'autre un peu plus jeune, moi j'avais à l'époque dix-huit ans. Pendant que le plus jeune me branchait la machine, le plus vieux est parti saluer un pote qui habitait dans le meme immeuble que moi.
Je proposais un café à mon livreur, nous le bumes installé à la table basse du salon, en meme temps, je remplis mon chèque et je le supprend, les yeux rivés à mon peignoir largement ouvert.
Etant un peu décontennancée, je pars lui réchauffer un autre café dans la cuisine . Attendant devant ma casserole, je me sens toute mouillée, c'est alors que mon livreur s'étant approché en silence dans mon dos, glisse ses mains et me caresse les seins. Il les malaxe légèrement tout en pinçant les pointes ce qui me fait gémir.
Encouragé, une de ses mains glisse lentement vers mon sexe qu'il découvre totalement épilé et mouillé. Sans attendre, il m'a retourné et m'a assise sur la table de la cuisine en ouvrant mon peignoir, relevant mes jambes, il s'est jeté sur mes lèvres, sa bouche m'aspirait le clito, sa langue forçait l'entrée de mon vagin,je n'arrivait plus qu'à gémir, j'aimait ce qu'il faisait.
Il s'est enfin relevé, mes jambes sur ses épaules, venant m'embrasser pendant que son sexe glissait de l'entrée de mon vagin à mon clito, puis d'un petit coup de rein, il me pénétra, je criai, il attendit tout en m'embrassant... sentant que mon bassin se mettait en action, il se mit à me piloner, j'adorais.
Quand son collégue est revenu nous prenions sagement un café. mon livreur m'embrassa avant de partir devant son collègue éberlué...
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