Eveil Et Maturite (10) - Chapitre 10 - Clélia Enfin !

EVEIL ET MATURITE (10)

CHAPITRE 10 - CLELIA ENFIN !

Mais tout a une fin! Les vacances se terminèrent et, la mort dans l'âme, je dus quitter Clélia et rentrer dans mon pays plat du nord. Elle aussi d'ailleurs rentrait chez sa mère à Paris pour reprendre une vie de course continuelle entre l'univ et les divers cours particuliers qu'elle suivait.

On s'écrivait beaucoup, environ une fois par semaine. Je faillis la voir pour Noël, puis finalement elle partit faire du ski avec sa mère et on ne pu se voir.

Cette année fut extrêmement dure sans ma Clélia. Je me jetai à corps perdu dans mes études. J’étais en dernière année et mes résultats étaient assez brillants. A part cela je filais sur Paris dès que c’était possible pour elle de se voir, même si ce n’était pas souvent la fête des sens. Sa mère était une personne charmante mais très prude et BCBG. J’aimais profondément Clélia et il était exclu que je me fasse mal voir par sa mère si elle nous surprenait. Mais je sentais que sa mère m’aimait bien et mes succès d’études y contribuaient.

Un déclic profond s’était fait en moi qui me disait que le sexe est super mais que, vécu pour lui-même, il est pauvre sans sa dimension affective. Une page était tournée en moi, celle du jeune qui découvre sa sexualité. J’étais maintenant plein d’amour pour ma future petite épouse.

Puis vint la fin des cours et les examens. Je fus à nouveau reçu en première session avec grande distinction. Finie la vie d’étudiant ! Et j’allais enfin retrouver ma Clélia chez sa Tantine dans le midi.

Quand j’arrivai sur la côte ce fut le bonheur. Elle devait être arrivée chez Tantine depuis la veille. Je me retrouvai vers 17 heures sonnant à la porte de Tantine, un jour plus tôt que ce que je lui avais dit.

J'aspirais à revoir mon amour de Clélia et sa vicieuse Tantine que je souhaitais aussi sentir à nouveau à poils sous moi. La porte s'ouvrit et je me trouvai face à face avec Clélia en tenue de tennis.

Elle me regarda interloquée un moment puis se jeta dans mes bras. Notre baiser fut long et passionné. Nous étions tous deux follement heureux.

J'avais eu de la chance de la trouver. Elle allait sortir avec Tantine pour jouer un double au tennis avec des copains! Elle m'entraîna pour dire bonjour à Tantine. Un jeune cousin était là aussi. Tantine me lançait des oeillades disant à la fois sa joie de me revoir et sa crainte que le cousin ne comprenne ce qu'il ne devait pas comprendre.

Puis Clélia me tira par la main avec elle dans sa chambre. On s'enlaça follement. Ma main partit caresser ses seins et la sienne glissa sur ma braguette. Ma queue se dressait ! Clélia poignait dedans à pleine main. Elle me dit à l'oreille :

- Vite ce soir que tu me fasses l'amour ! Si au moins ce petit con n'était pas là !

- Il reste loger ?

- Tu parles ! Il est là pour quinze jours ! Tantine n'a pas pu refuser ! On n'aura pas les mêmes vacances que l'an dernier à cause de lui !

- On pourrait le débaucher ? Ca lui plairait peut-être ?

- Tu es fou ! Il a juste 18 ans ! Il me lèche tout le temps des regards mais c'est tout ce qu'il fait !

La voix de Tantine s'éleva, appelant Clélia pour lui dire de se presser, qu'elles allaient être en retard. Elle s'arracha à moi et me précéda dans le petit hall où on retrouva Tantine. Elles partaient pour deux bonnes heures au moins, la propriété de leurs amis étant à plus de vingt kilomètres de là.

La porte se referma et je me retrouvai seul avec le gamin en maillot. Il s'appelait Pierrot et allait nous gâcher nos vacances... A moins... A moins qu'on ne réussisse à le convertir à nos jeux. Il devait aimer le plaisir comme tout le monde !

Mais je ne devais pas compter sur Clélia et Tantine pour ça. Je le sentais bien. Jamais elles ne se risqueraient à essayer de l’entraîner au lit. Il était un neveu de Tantine. C’est vrai que c’était dangereux pour elle ! Alors moi ?.
.. Ca marcherait peut être ? Il serait peut-être vicieux comme Albert ! Et c'était un beau gosse... Décidé à essayer de sauver la situation et à tenter de l’entraîner à des jeux sexuels avec moi, je me tournai vers lui.

- Je vais déballer mon sac à dos et prendre une bonne douche. Je peux te laisser seul ?

- Oui bien sûr !

Je le laissai seul au salon et filai dans la chambre de Clélia. Je fermai bruyamment la porte, mais la rouvrit immédiatement sans aucun bruit. Je me mis à poils et nouai un essuie autour de mes reins. Je retournai alors tout doucement à pieds nus vers le salon en faisant le moins de bruit possible. Quand je me glissai à la porte les dieux étaient avec moi !

Pierrot était assis presque dos à moi dans le divan devant la TV et regardait son bas ventre. Je voyais ses jolies cuisses nues sortant de son maillot. Le maillot contenait une grosse bosse qui bougeait. Sa jeune main s'y agitait merveilleusement en rythme.

J'approchai sur la pointe des pieds. Il écarta son maillot et redressa sa bite sur son ventre dans son jeune poing. Toute belle bite nue ! Il me vit subitement quand je fus tout près de lui. Il devint tout rouge, retira brusquement sa main et le maillot cacha à nouveau sa bite.

- Je... Je ne savais pas que tu étais là !... Ne... Ne leur dis rien... Je t’en prie !

- Je m'en doute ! Mais tu ne dois pas t'en faire ! J'aime ça aussi ! Je me le fais souvent comme toi !... Et puis... je sais me taire tu sais !... T’en fais pas !...

J'approchai encore de lui et regardai ostensiblement la longue bosse dans son slip. Je sentais qu'il allait se relever et je plongeai à genoux devant lui pour qu'il ne le fasse pas. Il me regarda comme affolé. Je posai mes mains sur ses cuisses nues et les caressai. Je lui dis :

- Ne t’en fais pas !... Je suis comme toi !... Mais laisses moi te le faire un peu...C’est bien meilleur quand c’est un autre qui le fait !

Alors ma main glissa sur son slip et se mit à palper doucement cette longue bosse.
Il ne bougea pas. Je continuai à la caresser. Sa queue gonflait dans ma main et redevenait une vraie bite. De l'autre main je caressais sa cuisse douce.

Alors mes mains glissèrent sur sa peau et écartèrent son maillot de son ventre. Il sursauta et resta comme paralysé, le regard fixé au mien. Mais elle était là, couchée sur son ventre, une belle grosse bite pour un jeune gamin et un beau gland rose bien dessiné... bien nu !

Je la pris à mains nues et la redressai verticalement. Je fis aller et venir la peau sur le gland puis, comme il ne bougeait toujours pas, je me mis à le masturber doucement à deux mains.

Quelle belle bite ! Elle était chaude ! Je voulais voir ses couilles ! Je tirai le slip vers le bas. Je craignis une seconde qu'il ne résiste, puis il s'abandonna. Je retirai totalement son slip et écartai ses cuisses pour bien voir tout son sexe et je repris une douce masturbation. Il était beau entièrement nu sous mes mains.

- C’est bon ?

- Oui !

Il commençait à geindre doucement en regardant sa bite dans mes mains, dressée sur son ventre nu, comme plantée dans ses jeunes poils. J'en caressais toute la longueur et mes doigts couraient sur ses couilles.

Je remarquai tout à coup que par delà sa bite dans mes doigts, il jetait des regards insistants vers mon ventre où ma bite se dressait et pointait sous l'essuie. Sans lâcher sa bite, je glissai une main vers l'essuie et le fis tomber. Il sursauta. Je pris également ma bite en main et me mis à caresser doucement les deux queues. Il mangeait la mienne des yeux.

- Tu vois ! On est pareils ! J'aime aussi me faire ça ! Et on le fait l’un devant l’autre !

Après deux bonnes minutes de caresses aux deux bites je me rapprochai de lui, poussant ma queue vers la sienne. Je les allongeai l'une contre l'autre et les enserrai toutes deux dans une main, continuant à les masturber ensemble. C'était exquis ces deux bites accolées, jouissant de la même chose et l’une de l’autre ! Son ventre faisait des petits bonds involontaires.
Sa queue et ses couilles étaient chaudes contre les miennes. Nous étions entièrement nus à deux, nos sexes accouplés, pleins de plaisir, et la situation lui plaisait visiblement.

- Ca te plaît hein nos bites ensemble comme ça?... Elles jouissent toutes les deux l’une de l’autre !

- Oui !... Tu en as une grosse !

- Elle jouit accouplée à la tienne !... Et toi ?... Tu as du plaisir ?

- Oui !... C’est merveilleux !

Je m’écartai un peu, brisant le contact de nos bites, me baissai et posai mes lèvres sur son gland. Il sursauta mais se laissa faire encore, déjà entraîné dans un tourbillon sexuel intérieur. Alors mes lèvres glissèrent sur le gland qui entra entre elles. Il poussa un court gémissement et je me mis à le sucer du mieux que je le pouvais, ma langue léchant tout son gland.

Il se tordait en gémissant nu sous moi. En le suçant je le regardais dans les yeux. Lui regardait son ventre nu et sa queue dans ma bouche. Il se donnait totalement. Son joli ventre nu bondissait pour mieux me rentrer sa bite dans la bouche.

Je sentis qu'il devenait dangereux d'insister. Il risquait de jouir et d'être apaisé après, or je voulais le pervertir totalement. J'avais trop envie de coucher pleinement avec lui et de découvrir tous ses vices. Je voulais maintenant en faire un esclave de ses vices, un esclave que je pourrais mener par la queue dans mon trio avec les deux femmes. Je voyais déjà cette belle grosse bite dans leurs deux cons !

Je lâchai sa biroute à contrecoeur, me redressai et lui demandai :

- C'est meilleur que de le faire tout seul hein ?...

- Oh Oui !...

- Et ça peut encore être bien meilleur à deux garçons tu sais !... Sauf si tu as envie d’arrêter ?... Tu voudrais arrêter ?... Ou je te montre du meilleur encore ?

- Je... Je ne sais pas... Oui !... Montres moi !... Mais tu ne me feras pas mal ?

Il semblait moins naïf que je le craignais et semblait déjà comprendre où je voulais l’entraîner.

- Oh non !... Rien que te faire goûter encore plus de plaisir dans ton ventre !... Tu veux ?

- Oui !... J’en ai envie !...

- C'est merveilleux ! Tu es aussi vicieux que moi ! Tu vas voir ! On va beaucoup jouir à nous deux... l’un par l’autre !

Je me baissai à nouveau et léchai ses couilles. Puis je lui pris les jambes et les lui relevai. Il me montrait tout son joli cul. Et quel cul ! Quelles jolies couilles et quel ravissant anus tout rose et plissé ! Un anus vierge qui allait jouir de contenir une grosse bite ! Mes lèvres glissèrent doucement sur ses couilles, descendirent entre ses cuisses et se posèrent sur son anus. Il se raidit et refusa le baiser. Mais je ne le lâchai pas. En lui léchant l'anus je lui dis :

- Ne bouges pas ! Tu verras comme c'est bon aussi ! Abandonne toi ! Laisses moi t'embrasser là aussi ! J'adore tout ton cul !... Et toi tu vas adorer !

Après un moment d'hésitation durant lequel il sentait ma langue tourner autour de son anus, il se détendit, puis s'abandonna totalement.

Il avait un anus exquis. Je pointai la langue dedans et commençai un long baiser tout en continuant à caresser lentement sa bite. Il se plaignait doucement. Ma langue allait de plus en plus profond. Tout à coup il gémit et releva encore plus le cul pour me le donner mieux encore.

- Ah j'aime que tu me donnes ton cul comme ça ! Caresses ta queue en même temps !

Par dessus ses couilles je vis sa jeune main prendre sa bite et la masturber fermement. Il gémissait. Je le sentis à nouveau approcher du plaisir et lui pris la main en me relevant. Mais il ne voulait pas lâcher sa bite. Il était près de jouir. Je l'obligeai à lâcher sa queue et la regardai tomber lourde sur son ventre nu. Il se calma un peu et laissa redescendre ses jambes de chaque côté de moi. J'aimais le contact de ses cuisses nues sur mes hanches ! Et j'aimais qu'il m'accepte déjà, nu et le sexe dressé, entre ses jeunes cuisses mâles !

- Ne jouis pas trop vite ! J’ai encore de plus grands plaisirs à te faire vivre !

Au bout de son gland je vis perler une grosse goutte blanche prouvant combien il avait été près de jouir. Je pris sa bite et la redressai.

- Tu vois! Tu jutes déjà tant ça te plaît petit vicieux ! Mais attends ! Tu vas avoir du meilleur encore !

Puis je me baissai et vint ostensiblement me délecter à lui lécher cette goutte de jus de ses couilles. Il gémit de plaisir sensuel en me regardant faire. J'avançai alors mon ventre nu vers lui et vint à nouveau frotter ma bite et mes couilles aux siens. Il se tordait contre moi pour accroître les caresses de nos deux sexes nus l'un à l'autre.

Puis je m'arrêtai, m'écartai de lui et m'abaissai pour reprendre son gland en bouche. Quand je le sentis à nouveau proche du plaisir je le lâchai et lui demandai :

- Tu aimes hein petit vicieux ! ... Moi aussi ! J'adore !... Maintenant tu vas découvrir le vrai plaisir entre garçons ! Un plaisir que tu ne connais pas encore !... Tu sais comment on jouit avec une fille ?... On lui met la bite dans le con ! Eh bien... On peut jouir autant avec un garçon... en la lui mettant dans le cul !... Tu verras ! Tu vas tant jouir que tu ne pourras plus t'en passer tellement c'est bon !... Viens ! Lèves toi !

Je lui tendis la main et le regardai se lever, la bite complètement épanouie sur le ventre. Elle y balançait lourdement. Lui regardait la mienne tout aussi raide et dressée. Je pris place couché dans le divan, le cul dehors. Je relevai les cuisses et lui offrit tout mon cul. Il le regardait comme fasciné.

Viens jouir en moi !

Je mouillai ma main et j'étendis de la salive sur mon anus. Puis je l'attrapai par la queue et la tirai vers mon cul. Il obéissait et, les yeux écarquillés, regardait son gland se frotter à mon anus.

- Viens là ! Viens en moi ! Pousses ta bite dans mon cul !... Pousses !... Oui !... Pousses là dedans !... Encore plus !... Oui !... Vas y encore !... Maintenant rentres tout à fait... jusqu’aux couilles !... Oui ! Laaa !... Maintenant on va faire l'amour à nous deux ! Tu vas voir comme c'est bon, petit vicieux ! Tu vas jouir tellement que tu pisseras tout ton jus dans mon cul !... Dans mon cul tu jouiras beaucoup plus fort que tu ne l’as jamais fait dans ta main !... Quand tu auras goûté ça tu en voudras tout le temps ! Tu sens comme je te serre ?

- Oui !... Aaaahhh c’est bon !

Je sentis mon cul s'ouvrir sous la poussée de son gland chaud. Il entrait ! Il couchait avec moi ! Il glissa jusqu'aux couilles en moi en gémissant.

- Vas y petit vicieux ! Couches avec un homme et jouis bien dans son cul ! Fais comme tu as envie ! Entres et sort ! Emploies moi ! Jouis comme un fou dans mon anus et gicles de plaisir tout ton sperme dans mon cul !

Alors il se démena tout en caressant ma bite. Il me pilonnait et je sentais ses couilles battre entre mes fesses. Il se donnait entièrement à notre union ! Je vis son plaisir monter, hésiter, puis tout à coup le noyer dans un orgasme à la taille de l'attente qui avait précédé.

Il s'effondra nu sur moi. Sa queue battait encore de plaisir en moi. Il était comme fou, Je cherchai ses lèvres. Il accepta le baiser que je transformai vite en un bouche à bouche des plus passionné. Sa langue y participait pleinement. Ses dernières résistances avaient sauté avec le plaisir qu’il goûtait dans mon anus.

Puis il s'apaisa et resta un long moment couché sur moi. Mes mains couraient sur son corps nu et sur son dos et ses fesses douces et il me laissait faire.

Après un moment il se releva. Je sentis sa queue molle et petite sortir de moi. Il me regarda et se mit à me caresser partout. Il me dit tout bas :

- Tu m'as fait jouir comme je n'ai jamais joui ! Je ne savais pas qu'avec un homme on pouvait tant jouir ! Je n'avais jamais pensé qu'on pouvait mettre sa queue dans le cul d'un garçon ! Je ne rêvais jamais que des femmes !

- Tu as beaucoup rêvé de ma Clélia et de son con alors ?

- Oui ! Tu n'es pas fâché ?

- Non ! C'est bien normal ! ... Ta queue lui plairait bien à elle aussi ! ... Je te ferai faire l'amour avec elle ! Tu verras que c'est encore beaucoup mieux avec une fille ! Qu'est ce que tu vas gicler dans son con ! Et pas en rêve cette fois !

- Tu es fou ? Mais c'est ta fiancée !

- Et alors ? Tu as une bite merveilleuse ! Tu la feras jouir aussi tu sais !... Je la prendrai juste après toi ! Ce sera merveilleux ! Ma bite en elle... dans tout ton sperme ! Alors je la sens vraiment ma pute ! Et elle, elle adorera coucher avec nous deux ! J'ai le cul plein de ton sperme, je ne vois pas pourquoi je t'empêcherais de vider aussi tes couilles dans son con ! Depuis que je t'ai eu jouissant au fond de mon cul je suis prêt à tout te donner !

Il me regarda fixement. Ses mains s'égarèrent sur ma queue et mes couilles. La sienne se redressait sur son ventre nu. Il se mit à me masturber fermement, puis malaxa doucement mes couilles. Il me dit alors tout bas.

- Tu m'as fait tant jouir ! Mais tu n'as pas encore joui toi ! Tes couilles sont pleines !... Elles sont grosses !...

Il se baissa, regarda ma bite de tout près, puis l'avala. Il suçait comme un dieu. Je sentais qu'il voulait maintenant à tout prix me faire jouir. Je m'abandonnai à sa bouche et me mis à gémir de plaisir. Il entrait et sortait son pouce de mon anus. C’était exquis. Quand je fus tout raide ses lèvres lâchèrent ma bite. Il se mit à me lécher les couilles. Je vis sa bite dressée entre mes cuisses et relevai les jambes pour donner encore tout mon cul à ses plaisirs.

Mais ce n'était pas cela qu'il voulait !

- Tu m'as appris un baiser merveilleux tantôt ! Je veux aussi te le faire !

Ses lèvres glissèrent sur mon anus et sa langue pointa dedans. Je poussai un feulement de plaisir et m'abandonnai à son baiser. Sa langue agile me sodomisait avec passion ! Quel gamin plein de feu et de vices ! Il était franchement sensuel.

Après deux bonnes minutes il se releva tout à coup et me demanda :

- Je voudrais que tu jouisses dans mon cul comme j’ai joui dans le tien ! Tu crois que tu pourrais entrer ta bite dans mon anus ? Je veux aussi ton jus dans mon cul ! Je veux servir à poils à tes plaisirs !... Que tu m'utilises vicieusement... comme je t’ai utilisé tantôt... que tu me jouisses dans le cul !... Je veux sentir ta grosse bite bouger en moi ! … Et y jouir !

Je le regardai ému, et me relevai. Il était bien plus chaud que je ne le pensais.

- Assieds toi à ma place !

Il me remplaça et releva les cuisses pour me donner son cul. Je me baissai et démarrai un très long baiser à l'anus. Nous aimions ça tous les deux. Il se trémoussait et gémissait de sensualité rien qu'à l'idée de recevoir ma bite en lui. Son cul s'ouvrait tout grand. J'ajoutai un, puis deux doigts. Son anus restait ouvert comme un beau petit con. Il était prêt pour ma queue ! Alors je me relevai et lui tendis la main.

- Mets toi à quatre pattes sur le tapis et donnes moi bien ton cul ! Je vais jouir dedans !

Il obéit. Je me mis à genoux derrière lui, lui embrassai encore l'anus puis y frottai mon gland. Ma bite était énorme à l'idée de prendre ce jeune derrière mâle et ce bel anus encore vierge et plein de désirs d'accouplement. Le beau sexe mâle pendait, couilles et bite, sous son jeune cul. Je les malaxai un peu.

- Ecartes tes fesses à deux mains Pierrot !... Que je voie bien où je rentre !

Je le regardai se mettre le visage sur le tapis de haute laine pour libérer ses mains. Il était nu, le cul en l'air devant ma bite, et s'écartait les fesses à deux mains, appelant ma bite de tous ses vœux ! Quelle offrande !

Je posai mon gland chaud sur son anus et poussai doucement. Il y entrait facilement. J’attendis un peu.

- Je ne te fais pas mal ?

- Non !... Tu es entré tout à fait ?... Vas y !... Jusqu’aux couilles comme moi tantôt ! C’est si bon !... Continues !... Tu es gros !... Aaah comme tu me remplis !

Je plongeai doucement et glissai sans peine jusqu'aux couilles au fond de lui. Il gémissait follement et disait :

- Quelle bite ! Oh comme tu me tiens par le cul ! Que c'est vicieux ! Ah c'est bon ! Tu me le feras chaque fois qu'elles sont parties !... Et je te le ferai aussi !... Oh ça me fait jouir !

J'entendis la porte s'ouvrir, puis se refermer doucement. Il n'avait rien entendu et son visage sur le tapis était tourné vers la fenêtre. Planté en lui jusqu'aux couilles je me retournai. C'était Clélia et Tantine revenant du tennis. Elles étaient sidérées et regardaient la scène des deux garçons nus accouplés et écoutaient le gamin chanter son plaisir vicieux.

- Dès qu’elles partiront on se mettra à poils et tu me prendras comme ça !... Je te servirai à jouir... Et toi je te prendrai aussi !... Comme tantôt !... Oooohhh c’est bon ta grosse bite !... Dans mon cul !...

Je leur fis signe de se mettre toutes deux nues mais d'abord elles refusèrent. Je suppose qu'elles avaient une fois pour toutes considéré qu'elles ne pouvaient en rien le mêler à leurs jeux sexuels et craignaient qu'il ne parle. Mais je sus les désarmer.

- Comme tu te donnes Pierrot ! Quel cul tu as ! Ah j'aime t'enculer ! Je le ferai souvent maintenant ! Je te demanderai souvent ton cul pour jouir !

- Oh oui !... Ah c'est bon comme tu me tiens par le cul ! J'aime que tu me tiennes comme ça, avec ta grosse bite toute chaude plantée en moi. Jouis dans mon cul ! Gicles ton sperme en moi ! J'adore servir tout nu à ton plaisir !

- Oh mon Pierrot ! Et après qu'est ce que tu vas gicler dans le con de ma Clélia ! Tu rêves déjà de coucher à poils avec elle hein ?

- Oui ! Si elle m'accepte, alors on fera comme tu as dit. Je la défoncerai devant toi et tu viendras après en elle dans mon sperme !

- Et toi tu reviendras après encore dans le mien !

- Oh ouiiii!

Les deux femmes faisaient les yeux ronds de surprise. Je leur souris et continuai :

- Et Tantine ? Elle a un corps et des seins du tonnerre ! Tu aimerais aussi coucher avec elle hein petit vicieux ? Tu la sauterais bien, à poils, ta bite dans son con !

- Ah si je pouvais oui !... C'est vrai pour ses seins, et j'ai déjà souvent regardé son cul. J'en rêve ! Mais tu as couché avec elle aussi ?

- Bien sûr ! Très souvent ! Elle est très vicieuse aussi tu sais ! Tu vas les avoir toutes les deux à poils sous ton ventre ! Elles vont devenir tes maîtresses ! Et dans le con de Tantine je viendrai aussi après toi dans ton sperme !... On les prendra toutes les deux dans le lit. Tu monteras sur l’une et moi sur l’autre... et puis on changera !... Tu viendras dans mon sperme et moi dans le tien !...

- Oooohhh Pat !...

- Et puis, devant elles, je te prendrai dans le cul !... Ou toi tu me prendras !... Elles nous regarderont en se caressant l’une l’autre !

- Ooohhh Pat ! C’est vicieux !... Ooohhh oui !

Pierrot gémit puis sursauta tout à coup. Il vit deux jolis pieds nus près de son visage. Il voulut relever la tête mais Clélia s'accroupit, complètement nue, près de lui, les seins pendant et les cuisses grandes ouvertes, lui livrant la vue de son con tout ouvert, gonflé et mouillé.

- Eh bien Pierrot, je ne te croyais pas si vicieux !

- Tu aurais du le voir me remplir le cul du jus de ses couilles ! Il m'a défoncé en jouissant ! C'est un vrai vicieux !

- Ah parce qu'il s'est vidé les couilles en toi aussi ? Et pourtant il bande bien le petit enculé ! Ca lui plaît visiblement une bite dans le cul !

- Oh! T'en fais pas ! Il a encore des réserves de sperme ! Ses couilles se remplissent vite ! Il est en train de se faire enculer en regardant ton con ouvert ! Je vois déjà sa belle bite dedans ! Glisses toi à poils sous lui Clélia et goûte à sa bonne queue ! Fais toi remplir le con par lui !

Clélia avait passé une main sous le ventre de Pierrot et lui massait la queue. Elle lui dit d'une voix rauque :

- Ah mon petit cousin ! Tu me plais enculé comme ça petit mâle ! J'aime quand tu es vicieux comme ça ! Attends ! On va ajouter du vice ! Puisque ta queue est si belle et libre elle va ajouter à nos plaisirs !

Clélia se glissa sous lui en frottant ses seins délicieux au corps nu de Pierrot. Elle se mit en place, prit la belle bite de Pierrot, et se l'enfonça d'un coup dans le con jusqu'aux couilles.

Ils gémirent tous deux du plaisir de se posséder et le trio démarra pleinement. Nous roulions nus à trois, attachés ensemble sur le tapis. Tout à coup je vis Tantine s'abaisser nue sur nous. Elle souleva la tête de Clélia et glissa sa cuisse en dessous, ouvrant bien son con sous les yeux de Pierrot.

Il ne fut pas long à comprendre ce qu'il devait en faire et se mit à y boire follement sous les regards de Clélia, pendant que tout son cul, attaché aux nôtres par les sexes, dansait follement. Le plaisir coulait en nous, passait librement d'un cul à l'autre puis revenait. Nous gémissions comme des bêtes, serrant Pierrot nu entre nous. Et ce fut un quadruple long feu d'artifice dans nos corps.

On s'effondra tous mêlés et on s'apaisa doucement. Puis je dis à Pierrot :

- Qu'est ce qu'on a joui ! Maintenant il te reste à coucher avec Tantine et à lui mettre tout ton sperme dans le con !

Il la regarda et elle ajouta :

- C'est vrai ! J'en veux aussi moi de ton joli corps ! Les autres ont le cul plein du jus de tes couilles, et tu as commencé par le cul du garçon, sale vicieux ! Nous deux aussi on va faire connaissance !... Cul à cul !... Tu vas aussi gicler ton sperme dans mon con !

Clélia ajouta :

- Il est encore à moitié raide dans le mien ! On va le faire tout de suite ! Comme ça, après, il ne sera plus gêné de vivre ici à poils avec nous tous... et de coucher avec qui il veut, même avec un homme ! Il aura déjà couché avec tout le monde devant les autres !

Je me relevai et sortis doucement ma bite de son cul. Clélia se dégagea et Tantine roula contre Pierrot. Il ne fallut pas trois secondes pour qu'il fut en elle jusqu'aux couilles. J'enlaçai Clélia, et en lui caressant le con plein du jus des couilles de Pierrot, je les regardai coucher ensemble, Puis on se mit, Clélia et moi, à caresser partout leurs deux corps accouplés, et surtout aux bons endroits. Tout en lui caressant les couilles Clélia lui dit tout bas :

- Maintenant tu es des nôtres Pierrot ! Tu devras aussi suivre nos trois règles secrètes ! Liberté, égalité, fraternité !. Liberté : On fait librement tout ce qu’on aime devant les autres. Egalité : On vit tous égaux à poils dans l’appartement. Et fraternité: On couche tous avec tous, donc aussi entre hommes ou entre femmes devant les autres et on adore tous ça !

Ils glissèrent alors dans un orgasme qui les laissa pantois. Les vacances étaient sauvées ! On retrouvait la belle vie nus, à quatre cette fois... et avec un petit mec de 18 ans plein de sève et toujours occupé à bander !. Tantine avait une belle queue de gamin insatiable dans le con. La connaissant, elle l'aurait vite dans l'anus aussi ! Et de fait, cela ne tarda pas !

Clélia se coula nue dans mes bras et me dit à l’oreille :

- Oh Chéri ! Tu nous as sauvés ! Sans toi on était perdus !... Et maintenant Tantine pourra s’éclater avec lui … et nous pourrons enfin vivre à nous deux !

Je l’embrassai et elle y répondit follement. Nous étions enfin ensemble, tout entiers l’un à l’autre.

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