Table De Sapin 18
Sitôt la grille du travail verrouillé, jai pris ma voiture pour rentrer chez moi, avec en tête une envie folle de baiser ma femme. Le hasard a fait que jai rencontré mon beau-père entre temps. Il était de service, ma-t-il dit, et cela pour une bonne partie de la nuit. Après lavoir salué et lui avoir lancé « un bon courage », dusage, jai continué ma route. Avec toujours dans la tête, lenvie de baiser sa fille. Mais alors que je mapprochais de chez moi, une idée déraisonnable est venue me tarauder lesprit. Assez excitante pour me persuader de changer de destination, et de prendre la direction qui allait me mener jusquà chez mes beaux-parents.
Jai volontairement laissé ma voiture trop reconnaissable, sur la place de léglise et jai continué à pied. Un moyen comme un autre pour ne pas ce faire remarquer. Jai même dû, chevaucher le petit portail de bois de leur potager dans un coin à labris des regards, pour être certain de ne pas être vue à rendre une visite à ma belle-mère. Ce qui était sûr, cest quelle nétait pas mécontente de me voir, même à cette heure tardive.
- Jai vu ton mari. Il ma dit quil en avait pour un bon bout de temps, alors...
- Alors ! Ma-t-elle coupé. Tu tais dit que cétait le moment de venir de vider tes couilles dans le cul de ta belle-mère.
- Cest exactement cela.
- Et tu as bien fait mon gendre ! Tu ne peux pas savoir comment cest difficile de se contenter seulement de caresse solitaire.
Jai attrapé lourlet de sa jupe de tailleur et je lai tiré vers le haut.
- Non attend mon chou ! Fit-elle en tapotant sur ma main. Jai une surprise pour toi.
Elle sest déplacée sur la pointe des pieds nus et a disparu quelques instants. Où a-t-elle pu aller et pour faire quoi ? Elle est revenue dun pas tout aussi félin, tenant en main une boite. Quelle sest empressée à retirer le couvercle pour en sortir une culotte de couleur noir transparente.
- Je sais que tu les aimes cela.
Et comment je les aime ! Je kiffe tout se qui est transparent. Et cerise sur le gâteau, il y avait une ouverture sur le devant de la lingerie.
- Alors ? Me fit-elle, en posant son gros popotin sur le bord du fauteuil pour mieux faire glisser la culotte fissurée le long de ses cuisses. Puis elle sest levée pour lajuster, avant de ce laissée tomber à nouveau dans le fauteuil. Dans une position aguichante, qui faisait sextirpé sa grosse chatte de lentaille.
- Quen penses-tu ?
- Que du bien. Ai-je répondu en mapprochant, et en tendant un bras.
- Pas touche mon gendre. Jai encore un truc à te montrer. Me fit la cochonne, dun regard coquin.
Glissant un doigt dans son vagin. Deux ou trois va-et-vient après, elle la porté à sa bouche. Elle la léché avec gourmandise, sans me quitter des yeux.
- Hmmmmm cest bon ! Fit-elle, alors que je la regardais
avec un intérêt plus que soutenu. Comme tu peux en juger, je mouille comme la grosse cochonne que je suis.
Tout en parlant, elle a frotté son bouton avec le bout de son doigt et poussait des soupirs en se mordillant les lèvres. Elle a trempé de nouveau son doigt dans son sexe. Juste pour y ramasser un peu de crème damour. Quelle ma directement mit dans ma bouche. Je lai léché. Il men a pas fallut plus pour me mettre dans un drôle détat. À en trembler, à en avoir chaud.
Il fallait le reconnaître, elle savait si prendre la cochonne, pour mexciter si promptement ?
Elle a ronronné dexcitation en voyant la bosse que faisait mon érection sous le pantalon. Une fois nest pas coutume, jai détaillé son sexe. Admiratif devant les grandes lèvres entrouvertes. Qui laissaient apparaître l'intérieur rouge luisant de mouille, qui palpitait d'excitation. Le capuchon du clitoris était gonflé. À men donner leau à la bouche.
Je lui ai tendu la main pour laider à se mettre debout. Avec une grande joie, jai commencé par caresser la rondeur de son ventre du bout des doigts.
Comme je me suis fais un plaisir de palper ses grosses fesses. Avant de glisser mon doigt dans le fossé de sa raie du cul. Jusquà atteindre son anus. Jai tourné lextrémité de mon index autour de la rondelle fripée, puis avec lenteur, je lai vissé entre ses fesses. Très sensible de ce côté, elle a eu un tressaillement nerveux, alors que sa bouche a exhalé un soupir. Elle na pas mis longtemps pour jouir. Encouragé par ce quun seul doigt pouvait lui procurer, je me suis encore un peu attarder sur son trou du cul, avant de descendre et de nicher le même doigt dans les replis de sa chatte moite de désir.
Que jai fais par la suite, tourner à lentrée de lorifice baveux, sans aller plus loin. Mais elle en voulait plus la cochonne, et me le fit savoir, haut et fort. Jen avais la tête qui me tournait. Au point de ne pouvoir résister à la tentation denfuir ma bouche dans l'entrecuisse. Embrassant successivement les replis de ses aines, pour ensuite glisser ma langue au-dessous du vagin. Puis de la laisser couler jusqu'à l'illet. Qui sest contracté sous leffet de la caresse. Puis je suis revenu lentement jusqu'à la vulve. Mâchouillant les grandes lèvres et introduisant le bout de ma langue dans lorifice qui béait.
Un gémissement sest échappée de sa bouche. Elle a plié ses genoux, pour mieux se tendre à moi. Serrant ses cuisses sur mes joues, comme pour mieux memprisonner à elle, alors que ma langue la fouillait habilement. Elle fut comme chaque fois sous ce genre de caresse, emportée par la jouissance. Jai crus que son corps allait exploser. Elle a expulsé une quantité impressionnante deffluents.
Jai attendu quelle desserre ses cuisses pour récupérer ma tête et quitter sa fourche.
- Ta fille ! Fis-je à ma belle-mère.
- Il faut mieux que tu répondes, alors.
- Et pas quun peu quil faut que je réponde. Sinon jaurai droit à la sérénade en entrant.
Jai mis mon doigt devant la bouche comme pour signaler à ma belle-mère quelle devait à présent se taire, et jai pris lappel.
- Tu es toujours au bureau ? Fit la voix de ma femme.
- Oui ! Bien sûr, sinon je serais entre tes cuisses en train te sucer la foufoune.
- Tu men donne leau à la bouche ! Tu en as encore pour longtemps ?
- Je ne sais pas. Répondis-je en prenant un certain plaisir pervers à enfoncer mon index dans le trou du cul visqueux de sa mère. Restée à mes côtés pour écouter la communication. Mon cur sest emballé dun coup. Elle sest de son propre chef, aplatit en avant sur le plateau de la table en sapin, tout en continuant de dresser la croupe vers le doigt qui la fouiller voracement.
- Tu sais ! Jai moi aussi très envie de tavoir en bouche ?
- Waouh ! Je pense que je vais mettre tout ce petit monde dehors pour venir te rejoindre. Ai-je lancé.
Alors que je conversais avec la fille, la mère, dun geste sûr, a fait jaillir mon membre dur à lair libre. Et jen ai profité pour retirer mon doigt pour le remplacer par mon gland. Que jai mis entre le sillon profond. La coquine a tout de suite, commencer à faire coulisser ma saucisse entre ses tranches de fesses charnus de sa croupe. Ça était un vrai régal, de ce faire du bien ainsi, tout en dialoguant avec sa femme.
- Quest-ce quil tarrive ? Me fit ma femme au téléphone.
- Comment ça ?
- Je te sens oppresser au téléphone. A-t-elle ajouté.
- Cest
cest que
- Cest que quoi ? Fit-elle dune voix autoritaire.
- Bon ! Si tu veux vraiment tout savoir et bien sache quavant que tu mappelles jétais en train de me masturber, voilà maintenant tu le sais tout.
- Non ! Cest vrai ? Dans ton bureau ? Et tu nas pas peur que quelquun te surprenne ?
- Je ne suis pas con, jai verrouillé la porte. Fis-je, en faisant plus que jamais, coulisser ma verge dans sa raie.
- Et bien sache
que
. Enfin que jen faisais autant devant la télé.
- Tu tes mis un film de cul ?
- Pas besoin.
- Je te sens excité, cochonne.
- Si tu voyais létat de mes doigts.
- Cochonne ! Suce tes doigts. Aller fais ce que je te dis. Fis-je en me branlant toujours entre ses fesses, percevant de lécouteur, les bruits mouillés que faisait mon épouse en léchant ses doigts.
- Jai été dans la chambre prendre le gode. Fit-elle, en reprenant la conversation.
- Les s dorment au moins ?
- Oui, les gosses sont au lit, et je me suis enfermée dans le salon.
- Tu tes foutue à poil ?
- Non ! Jai juste retiré ma culotte.
- Tu as pris celui avec la ventouse ?
- Oui, le plus gros.
- Fixe-le sur la table basse.
- Pourquoi ?
- Fais-ce que je dis, fixe-le sur le plateau.
- Ça ne colle pas !
- Mouille la ventouse.
- Cest fait.
- Maintenant pousse la table jusquà ce quelle ce trouve en face du miroir. Tu vas voir comme cest excitant.
- Mais
- Fais ce que je dis. Fis-je en plaçant la pointe de mon gland entre les fesses bien ouvertes de ma belle-mère.
- Maintenant assied-toi sur la queue en silicone. Lui ai-je lancé en forçant lanneau sombre de son anus avec mon gland. Le sphincter sest détendu et jai fais disparaitre mon gland à lintérieur. Elle a râlé et une grosse bulle dair sest échappée bruyamment de ses intestins.
- Oh ! Fis la voix de ma femme dans lécouteur. Je lai entièrement en moi. Elle me remplit bien. Alain, tu ne peux pas savoir comme cest bon.
- Moi aussi ! Fis-je, en envoyant un coup sec pour investir entièrement le boyau étroit de la belle mère, qui gémissait de plus en plus fort.
- Vas-y ma chérie, fourre-toi bien ! Fis-je, à lintention de ma femme. Branle-toi bien la chatte avec le gode. Ai-je ajouté en sodomisant à grands coups de reins puissants, la mère. Allez ma chérie, je veux tentendre crier ton plaisir.
- Oh ooouuuiiii chéri, cest bon ! Oh que cest booooooonnnnn !
- Continue chérie ? Plus fort ?
Et elle sest mise à extériorisé son plaisir. Jai souris intérieurement, tout en ramonant le cul, qui métait offert. Et de plus en plus rapidement pour jouir le plus vite possible. Lenculant comme un endiablé. Ses grosses fesses tremblant comme du flanc à chaque coup de reins donné.
- Il te baise bien le gode ? Fis-je.
- Oh oui
cest bon ! Oui
oh ! Cest bon
trop bon
.OOOooouiiiii
oh OOOooouuiiiii
.
De mon côté, jai ôté ma verge et admiré le spectacle du trou béant au milieu des deux fesses, comme une bouche aux bords ourlés, dun rose presque rouge.
Dans lécouteur jai entendu ma femme continuait ses divagations. Sans me guider, je me suis enfoncé de nouveau dans son trou balle. Et jai accéléré le rythme de mes coups de reins, jusquà sentir les premiers picotements annonciateurs dun orgasme. Jai eu comme une perte de connaissance en me libérant en violentes giclés. Jai mis longtemps à retrouver mon souffle.
- Je te laisse chéri, jentends quen sapproche du bureau.
- Oui ! A-t-elle répondu. Rentre vite, jai une énorme envie de prendre ta queue dans mon trou du cul. Il mouille dimpatience.
- Cochonne ! Tu nas pas honte. Fis-je en coupant le contact.
Quand jai repris la voiture javais encore dans le nez les odeurs poissonneuses de ma belle-mère. À mon arrivée ma femme mattendait, elle avait prit la pose. Elle a avait même pris soin dinstallé le caméscope sur le trépied. Je lai contrais à se plier en deux en prenant appui sur la table basse. Jai sortis ma queue et la guidant dune main, jai frotté les fesses de ma femme avec mon bout, avant de la pousser dans la raie. Appuyée dune main, elle a arqué les reins pour mieux souvrir. Jai lanus et je me suis enfoncé lentement jusquau moment où mes couilles effleurèrent ses fesses. Elle a poussé des gémissements de plus en plus rauques au fur et à mesure que les mouvements de ma queue engloutie dans son cul se faisaient plus rapides.
Chancelant sur mes jambes, je sentais la sueur couler au creux des reins et sur mon front. La peau de mon ventre claquait contre ses fesses alors quelle râlait de plaisir. Son sphincter sest serré convulsivement autour de ma queue. Jai mis du temps avant de sentir monter le long de ma queue les giclées de sperme. Je me suis rué en avant dans un ultime coup de reins, laissant ma queue enfouie jusquà la racine dans ces entrailles tièdes tandis que je déchargeais par saccades. Elle sest agrippée tant bien que mal, criant sa jouissance en une plainte longue et rauque. Puis je suis devenu tout mou, épuisé de plaisir.
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