La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1406)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) (suite de l'épisode N°1392) -
soumise Keira MDE suit à quatre pattes Le Noble jusquà lAmiral
Le Châtelain rejoint son ami sur le pont, occupé à donner des directives à ses hommes. Il fait signe à Vanessa de patienter aux pieds dun des serviteurs de lAmiral, puis ils montent au poste de commandement.
- Mesdames, Messieurs, la soirée touche malheureusement à sa fin. Je voulais vous remercier pour votre participation, et inviter chaque Dominant à visiter la partie privée de ce yacht. Vous pouvez laisser sans crainte vos soumis sur le pont, le commandant en prend la responsabilité, annonce lamiral en désignant lhomme en question qui se tient à ses côtés.
Tous accueillent cette annonce avec une joie non-dissimulée, sauf le malsain homme en question qui donne quelques ordres tout bas à ses deux soumises, avant de séloigner en conservant un regard méfiant et méchant envers elles. Toutes les soumises et soumis restent en position dattente, la tête baissée, pendant que les Dominants séloignent avec lAmiral pour une visite de quelques minutes. Le commandant patiente quils soient tous hors de portée, puis fait signe à ses hommes. Aussitôt lun deux sapproche de Vanessa et des deux jeunes femmes.
- Toi, toi et toi, debout et suivez-moi immédiatement, ordonne-t-il sèchement.
Sachant de quoi il retourne, Keira MDE ne perd pas un instant pour obéir, mais les deux soumises ont reçu lordre de ne surtout pas bouger dun millimètre et craignent trop le (mauvais) Maître auquel elles appartiennent pour y déroger. Lhomme du commandant insatisfait de leur immobilisme les malmène, les prenant par les cheveux tout en se saisissant dune cravache.
- Doucement, intervient Vanessa dun ton ferme, tout en sinterposant physiquement arrêtant le coup de cravache de son avant-bras.
- Pardon ? Qui es-tu pour me donner des ordres ?, sinsurge lhomme levant de nouveau sa cravache, prêt à la sanctionner.
- Elle est celle que tu ne devrais pas toucher davantage, ce coup serait un coup de trop, intervient le commandant dune voix sèche
- Mais elle ma manqué de respect, Commandant.
- Cette soumise nest pas une soumise comme les autres, cest une soumise MDE, cest-à-dire quelle est la Propriété du fameux, du si célèbre Marquis dEvans qui nous fait lextrême honneur dêtre présent sur ce yatch.
- La sou
soumise du
du
Marquis dE
dEvans, dit-il en balbutiant, car rien dévoquer le nom du Noble, il en est tout impressionné et retire sa main levée.
- Je tai exigé de me les amener toutes les trois ici, tu nas pas autorité sur ces soumises, ordonne-t-il alors que Keira MDE aide les deux jeunes femmes à se relever pour aller en direction du Commandant.
Ce dernier les fait entrer dans le poste de commandement à labri des regards et des oreilles indiscrètes, puis se tourne vers Vanessa.
- Bien, tu nas que quelques minutes, hâte-toi, précise-t-il en lui tendant son téléphone portable.
Keira MDE aide les deux jeunes femmes à sasseoir dans un fauteuil puis leur explique le plus rapidement possible.
- Jai cru comprendre que vous étiez très en danger, lAmiral et Monsieur Le Marquis ont pris mon avis au sérieux. Ils sont prêts à vous aider, mais vous devez me confirmer que ceci nest pas un malentendu, que vous êtes vraiment maltraitées et malheureuses avec cet énergumène qui se prétend maître.
Les deux jeunes femmes ne répondent rien, tremblantes, elles patientent en silence, la tête baissée.
- Cétait bien un code SOS, je nai pas rêvé ? Je nai que quelques minutes, après il sera trop tard, insiste Keira MDE dun ton inquiet.
La jeune soumise qui avait composé le code morse, lève des yeux implorants et fait un léger signe de tête affirmatif, confirmant à Vanessa quelle a raison.
- Nous ne voulons pas être séparées. Il nous a prévenu quils étaient partout, même dans la police, et que si nous essayons de le fuir, nous serions rattrapés et vendues séparément à dautres Maîtres, biens plus cruels, dit-elle dans un sanglot.
- Je précise que Monsieur Le Marquis ne veut pas vous posséder, Il veut simplement vous libérer, il est puissant et très influent, connaissant beaucoup de monde en haut lieu, sil le faut, il en a largement les moyens.
Tout en lui répondant, elle compose un rapide SMS quelle envoie au Noble pour confirmer ses soupçons.
- Je
non ! Nous voulons rester ainsi, répond-t-elle trop angoissée à lidée de tomber dans un éventuel piège.
- Vous lavez entendu donner une leçon au Maître qui vous possède, vous lavez entendu lors de sa démonstration, oui je lui appartiens, mais vous avez bien vu quIl faisait attention à moi ? Si vous le souhaitez, dès maintenant vous serez sous Sa protection et Il vous aidera à retrouver une liberté et la vie que vous désirez. Monsieur le Marquis vous trouvera du travail et un logement nimporte où en France ou à létranger sans aucun problème pour refaire votre vie, vous reconstruire et sans rien exiger de vous en retour, je vous en donne ma parole. Je vous en supplie, acceptez mon aide, je ne pourrais pas dormir en sachant que je nai pu vous venir en aide.
La seconde jeune femme sert fortement la main de la première comme pour lui indiquer daccepter cette inespérée main tendue.
- Euh
daccord, mais comment faire pour le fuir ? On est au milieu de locéan, demande craintive la jeune femme.
- Vous allez rester cachées ici, lAmiral soccupe de tout, nayez crainte, lorsque vous sortirez, vous serez libres.
La jeune femme ne peut sempêcher de sauter dans les bras de Vanessa en sécroulant en larmes.
- Je nai plus le temps, je dois retourner à ma place, surtout ne bougez pas, le Commandant veille sur vous. Nous nous reverrons dans quelques minutes, annonce Keira MDE en retournant rapidement se positionner à genoux sur le pont, dans la position exacte où elle était.
Le groupe arrive seulement quelques secondes après, chacun reprend possession de son ou sa soumise, leur exigeant de se revêtir avant larrivée au port.
- Où sont mes deux soumises ? demande-t-il dun ton fâché.
- Lune delle a fait un petit malaise, elles sont à linfirmerie, si vous voulez bien me suivre.
Lhomme maugrée mais suit lAmiral dun pas pressé, il le fait entrer dans une cabine pour lenfermer et ferme donc à clé rapidement derrière lui avant quil ne comprenne ce qui se passe. A larrivée au port, les convives sortent remerciant lAmiral, sans se douter un seul instant de ce qui se trame. La police prévenue par le commandant, qui attendait à quelques mètres monte à bord. LAmiral accueille son ami le commissaire lui expliquant la situation alors que Le Noble sadresse à Sa soumise.
- Félicitations, je suis fier de toi, malheureusement je ne vais pas te récompenser ce soir, car jai besoin de la Vanessa vanille pour les mettre en confiance. Tu comprends ?
- Oui Maître, Vous avoir rendu fier est une récompense en soi, répond Keira MDE dune voix sincère.
- Parfait, alors habille-toi et suis-moi debout, ordonne-t-Il en lui tendant sa robe.
Vanessa suit donc Le Noble jusquau poste de commandement rejoindre les deux jeunes femmes à qui on a fourni des vêtements, et qui patientent assises dans un fauteuil. Ils sassoient tous deux en face delles.
- Bonsoir Mesdemoiselles, comme vous lavez compris, je suis Monsieur Le Marquis dEvans, et voici Vanessa avec qui vous avez pu discuter brièvement. La police est actuellement en train de soccuper du maître, enfin je veux dire de ce néfaste homme qui vous a amené ici, car aucun Maître digne de ce nom ne se comporterait comme il sest comporté envers vous. Vous êtes libres, vous pouvez quitter ce bateau sur le champ pour aller où bon vous semble. Mais si vous le souhaitez, je vous offre lhospitalité dans Mon spacieux hôtel personnel sur la plage où vous pourrez évoluer en toute liberté, sans aucunes contraintes et aussi longtemps que vous en aurez besoin, annonce Le Noble dun ton gentleman.
- Nous
nous navons pas de quoi payer un hôtel
et
- Je ne vous demande rien, la coupe Le Noble. Je vous dois lhospitalité, un homme sest permis dutiliser notre milieu pour r de vous, il est de mon devoir de faire ce qui est en mon pouvoir pour réparer ce comportement inadmissible et irresponsable, même si rien ne pourra effacer ce que vous avez vécu, continue-t-Il dun ton parfaitement sincère.
Les deux jeunes femmes se regardent, restant serrées lune contre lautre, encore apeurées. Vanessa comprend quelles hésitent, encore effrayées de retomber dans un piège. Elle prend donc linitiative de les rassurer.
- Vous mavez fait confiance et je vous en remercie. Je sais quau fond de vous, il vous est difficile de croire de nouveau aux bonnes intentions dun homme, mais faites-moi de nouveau confiance, Monsieur Le Marquis ne veut que vous venir en aide et cest tout. Acceptez au moins pour cette nuit afin de vous reposer, et demain-matin vous pourrez prendre vos décisions plus sereinement.
- Cest
cest daccord, ose enfin celle qui parle pour les deux. Enfin je voulais dire, sil vous plait, Monsieur le Marquis, nous vous prions daccepter de nous accueillir sous votre toit.
- Voyons, vous êtes mes invités, il nest nullement nécessaire que vous vous adressiez à moi en tant que Maître, je nai nullement lintention de vous soumettre. Je vous en prie, allons-y, répond Le Noble souriant tout en se levant.
Le petit groupe précédé par Le Châtelain quitte le poste de commandement pour rejoindre lAmiral sur le pont. Monsieur Le Marquis remercie son ami pour cette soirée dont lissue fut quelque peu particulière, puis quitte le yacht pour rejoindre la Rolls conduite par Walter qui lattend. Vanessa prend place aux côtés du Noble, pendant que les deux jeunes femmes sont assises en face deux. Le malaise est palpable, les deux jeunes femmes conservent les yeux baissés, Le Châtelain les laisse se remettre de leurs émotions...
Il profite de ce moment pour récompenser sa favorite, en passant avec sensualité Sa main sur sa nuque et ses épaules.
- Comment te sens-tu ? demande-t-Il dun ton très doux.
- Bien Maître, merci de Vous en soucier.
- Ton fessier ?
- Tout va bien, Maître.
- Toujours aussi résistante, sourit-Il. Ce soir, lorsque tu auras terminé dinstaller nos hôtes, tu prendras du temps pour toi, ma masseuse personnelle sera disponible pour soulager tes maux et atténuer ces marques.
- Ce nest pas nécessaire, Maître, tout va bien.
- Si la femme naccepte pas ce répit bien mérité, je limposerais à la soumise, lui répond-t-Il dun ton complice...
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!