Venus Et Les Sodomites
Le jour J est arrivé. Tu mas bien prévenu que cela serait le jour oû je devrais assumer définitivement mes tendances.
Tout excité davoir été obligé dattendre de pouvoir sortir du bureau, jai conduit avec une certaine nervosité jusquà la maison. Tes remarques moqueuses sur moi, tes petites phrases assassines sur le fait que je préfère dautres jeux à toi, ne purent diminuer mon excitation. Ce jeu que javais souhaité tu allais me loffrir. Cest un jeu. Il ne sagit pas damour mais de jeu. Javais la joie dun recevant son jouet désiré de la main de ses parents. Est-ce pour cela quil se détournerait de ses parents ? Non bien sur
au contraire.
Arrivé à la maison, tu mas demandé dattendre dehors 5mn. Je tentais durant ce temps de moccuper à arracher de mauvaises plantes. Quand la porte sest entrouverte, jai foncé directement à la chambre. Je tai découvert avec la cravache dans une main et le plug gonflable dans lautre.
- « Vite déshabilles toi, mordonnas tu. »
Je me suis exécuté à la vitesse de léclair, laissant mes habits en tas sur le plancher. Tu tes approché de moi, caressant mon corps avec ta cravache.
Tes lèvres se sont approchées des miennes. Je les ai goutées, aspirées avec toute la fougue possible. Le goût est si délicat que mon sexe ne put sempêcher de réagir.
- « Penches toi en avant, jambes écartées
..tu embrasses bien
.»
Jobéis. De petits coups de cravache sur les fesses, beaucoup de gel sur lanus et le plug qui force son passage, sinsinue lentement et inexorablement sous ta pression. Mes sphincters se lâchent dun coup. Le plug prend possession de moi, sapproprie ma douleur heureusement fugace. Je ne bouge pas le temps de mhabi. Je respire rapidement. Je veux me redresser mais le ton de ta voix me rappelle quaucune équivoque nest possible sur le détenteur de lautorité. Je suis soumis.
Tu gonfles le plug. Le début est agréable. Cest comme si le plug cherchait à mieux sadapter.
Je profite avec délectation de ce moment. Courte pause, que ton empressement à gonfler suspend. Le plug semble vouloir me déchirer. Je crie. Tu dégonfles. Je soupire de soulagement. Tu reprends le gonflage avec des doses plus ou moins fortes
.Cela continue pendant une bonne vingtaine de minutes.
Je transpire à grosses gouttent. Quand tu retires le plug gonflable, cest comme un grand vide. Mon cul réclame encore. Tu menfiles un plug en acier et mordonnes de mhabiller.
- « Dépêches toi, nous partons, me dis tu »
- « où ? »
- « Ne traines pas, tu verras bien. Tu sais tu as de la chance, je tai bien préparé ton cul de petite pute. Comme ça tu souffriras moins
Portes le sac noir. ».
.
Tu me fais arrêter la voiture au fond du parking du Campanil. Je tattends pendant 5mn. Lorsque tu reviens, tu me conduis jusquà une chambre située au RDC. La chambre est petite propre
.
Je me mets nu. Du sac, tu sors un collier, une corde, des pinces à seins que tu positionnes immédiatement. La morsure me fait durcir les mamelons. Le cock ring lesté est mis autour des testicules. Tu rajoutes des poids aux testicules. Jadore me retrouver avec les testicules qui pendent.
Tu mattaches les mains ensembles et les assemblent au niveau du collier. Tu me conduis dans le placard avec un bandeau sur les yeux. J y entre debout. Tu refermes la porte du placard.
A cause de la télé qui fonctionne, je ne comprends pas ce qui se passe. Je timagine aller chercher un amant pour lui faire lamour à coté de moi. Cette idée me fait bander. Jai vraiment envie de me masturber. Ma position men empêche.
Le temps me parait infiniment long. La porte du placard souvre. Tu me tires violement dehors.
Tu me pinces les seins. Tes autres mains me les testicules
Je réalise que soudain tu es revenue accompagné. Je veux parler. Mais un « Silence » me rappelle que je ne suis plus quune chose, votre chose.
- « Ma petite pute va être bien gentil avec François.
Le François en question me juge pendant ce temps. Une grande claque sur les fesses et un ordre bref. « A genoux ». Jobéis.
On pousse mon visage sur son pantalon au niveau du sexe. Je le lèche à travers létoffe. On me demande de le sortir. Je défais maladroitement la ceinture et prends en bouche le sexe à moitié bandé. Tu me susurres à loreille, que le sexe est beau, grand, énorme. Cest pourquoi tu las choisi sur internet. Cest ton scénario et le sien.
Je me rends compte de lénormité du sexe en essayant de le gober. Les mains jointes autour du cou mempêchent de le mesurer.
Mes capacités buccales te donnent envie car tu te joins à moi pour le lécher
..
François me fait mettre à quatre pattes sur le lit le cul offert vers lextérieur. On môte le plug. Cest toi qui introduis son sexe dans mon anus après avoir sucé une dernière fois. Grace à la préparation maison au plug gonflable, la pénétration est non douloureuse. François samuse visiblement à sortir complètement et à se réintroduire dun coup. Il commente mon anus béant. Son sexe semble ne jamais finir de sintroduire. Cest puissant fort, bestial
Tu prends mon sexe et lintroduits en toi. Je te pénètre au coup de boutoir de François. Nous jouissons ensemble.
François se retire, enlève son préservatif et se répand sur mon dos. Il me présente son sexe à nettoyer. Visiblement cette intermède lui a plut. Car il retrouve une vigueur instantanée. Tu décides den profiter et lui demandes de te pénétrer doucement vu la longueur du sexe.
Le bandeau sur les yeux, javance à tâtons. Gauchement je suce un sein. Tu agrippes mon sexe et le masturbes nerveusement au gré de ton plaisir. Je me déplace pour que tu puisses me sucer ou me branler. Tes « prends-moi » résonnent dans ma tête. François alterne les positions et les rythmes. Jamais tu ne lâches mon sexe.
Un bruit de vêtement. Tu tapproches de moi tout habillé.
- « Ce nest pas fini pour toi. La petite pute va passer la nuit ici. Jemporte toutes tes affaires et te le rendrais demain. Jemporte les cordes et le plug. Je te laisse le collier, poids et pinces. François va faire venir des amis très bien monté selon lui. Je verrai les photos quil fera. Je ne sais pas combien ils seront, mais amuses toi bien. Attention, je ne reviendrai que si tu les as tous satisfaits. François est le libre arbitre. Jattends son téléphone. Jai négocié avec le directeur pour que vous ne soyez pas dérangés. Il a demandé une gâterie en échange, et je ne veux pas lui faire il est trop moche. Il est daccord que tu lui fasses. Alors appliques toi.
- Passes une bonne nuit et pense à moi
. »
Jai eu tout juste le temps de te faire un bisou et te dire que je taime, que tu es partie. Je pensais sérieusement que tu reviendrais rapidement. La suite a démontré que javais tors.
Une fois ton départ, François sallonge sur le lit et mordonne de le sucer. Il passe un ou deux coup de téléphone.
Il menlève le bandeau. La lumière maveugle au début. Japerçois mon Maître dune nuit. La cinquantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, je comprends quil test plu. Il est grand et mince avec un sexe immense et deux petits testicules. Je réalise que tu as emporté tous mes vêtements.
François me fait coucher en travers de ses genoux et commence à me fesser durement. Il alterne les coups forts et les caresses. Jai les fesses rouges et mords les draps pour ne pas hurler. François sarrête seulement quand des coups résonnent à la porte.
Un groupe dhomme entre. Deux blacks chauves ou rasés et un beur aux cheveux courts. Ils sont jeunes et musclés et peu avenants. Ils ne me donnent pas envie. Mon sexe se rétracte. François laperçoit et entre en colère.
- « cette pute pense que vous nêtes pas assez bien pour elle.
On me tire par les cheveux. Je reçois des claques sur les fesses, on mon sexe pendant que lon me bâillonne avec un sexe. On me pince les seins. Le beur a sorti des bougies et les fait couler sur mon sexe.
Lorsquils sont nus, je ne peux mempêcher dadmirer leur sexe énorme. On mencule dans toutes les positions. Ils éjaculent sur moi, le visage les cheveux
..Je ne suis plus quun trou qui suce et reçoit des queues énormes
Ils finissent par me conduire à la salle de bain, me font entrer dans la baignoire et me pissent dessus.
Je suis humilié, ne suis plus quun dépravé obscène avec du sperme partout. Et pourtant je jouis.
Trois heures se sont écoulés. Ils partent enfin. Je mendors dun coup. François me réveille le matin à 7H00. Il veut une fellation. Je mapplique. On frappe à la porte. Je cours ouvrir en pensant à toi.
Je reste stupide devant lair lubrique du directeur de lhôtel venant cherchant son dû. Il entre. François lapostrophe.
-« Cette pute me suçait, voulez vous vous joindre
. »
Le Directeur sort un sexe mou. François moblige à le prendre en bouche. Une fois bien dur, François me fait me tourner et offrir mon cul. La sodomie est douloureuse. Je dois sucer pendant ce temps mon Maitre.
Je suis seul quand tu arrives me chercher. Je me jette dans tes bras. Tu me souris. Je taime. Dans la voiture, tu me dis que tu tétais mis daccord avec François pour quil me prête à ses amis pour une tournante dans les caves des cités pendant que vous deux vous
..ton sourire est si narquois que je ne sais si tu te moques de moi
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!