Corps Et Âme
CORPS ET AME
Cest sur un banc du bois de Vincennes, près du lac, que mon maître a souhaité me rencontrer.
Cest par Internet quil est entré dans ma vie. Un clic, deux phrases et une histoire qui commence. Soumise à lhomme avec qui je partage ma vie, je jouissais des hommes auxquels jétais offerte, et revivais les mêmes situations de semaine en semaine. Curieuse de nature, je cherchai sur le net dautres émotions, dautres récits dexpériences, quand un jour, un homme a su captiver mon attention. Durant des semaines, il ma écoutée, ma dirigée, ma expliquée, ma punie aussi lorsque ses attentes virtuelles nétaient pas exaucées. Mais combien de nouvelles jouissances, de nouveaux plaisirs, dinnovations de toutes sortes, ai-je découvert grâce à lui. Cest petit à petit que je compris quil allait prendre une place importante dans ma vie. Javais trouvée MON maître, et, quand quelques semaines plus tard, sans lavoir vus, ni entendus, sans savoir même si il existait vraiment, il me donna un rendez vous, et jacceptai.
Je me sens minuscule sur mon banc, petite fille fragile, offerte aux regards des hommes qui se promènent au bord du lac en cette fin daprès midi de septembre. Lhumidité du plan deau fait remonter des aromes de plantes que je ne saurais définir, mais que je qualifierais denivrants, daphrodisiaques. Il ne fait pas froid, on ressent encore les chaleurs de lété, et si je navais pas cette boulle au ventre, je pourrais dire que je me sens bien en ce lieu. Mon cur bas très fort, je tremble un peut. Il peut être nimporte lequel de ces promeneurs, puisque je nai aucun détail sur lhomme qui trouble mes nuits, puisque même son visage mest étranger à ce jour. Le ciel sassombri, déjà les oiseaux vont se coucher.
« Bonjour Sandrine »
Je sursaute, un courant électrique me traverse tout le corps des pieds jusquau cheveux. Il vient de sasseoir près de moi et je ne lais pas vu arriver. Pendant quelques secondes je suis prise de panique. Qest ce que je fais là, ou est ma maison, mon fils, mon mari
. Je croise son regard et je sais déjà que malgré tout, je suis à ma place.
« Bonjour maître »
Ces simples mots ont eu du mal à sortir de ma bouche, mais pour moi ils sont dune importance capitale. Je sens que je viens de sceller quelque chose, et que désormais je ne pourrais plus faire marche arrière, que jirais au bout de ces volontés. Je nai plus de force, mes jambes sont en coton, et je suis sur que je suis incapable de me lever.
« Je suis heureux que tu soit venue, tu me prouve ta force, ta détermination et ton attachement à ton maître, cest très bien. »
Le ciel est de plus en plus noir, la nuit tombe doucement sur Vincennes et de petits réverbères sallument pour émettre une lumière presque inexistante sur les bancs et le lac. Sont ils assez faibles pour cacher le rouge de mes joues ?
Dun bras, il entoure mes épaules et une douce chaleur réchauffe ma nuque. Sa cuisse se colle à la mienne, ce qui me provoque une nouvelle décharge électrique. Avec deux doigts, il tourne mon visage vers le sien, se rapproche et me donne un long et passionné baisé. Sa main quitte mon visage, et se pose sur mon ventre, le caressant doucement. Comment un homme si doux pourrait il me punir, cela me semble impossible. Sa main oublie mon ventre et délicatement caresse mon genou.
« Beau manteau ! Mais dessous ? »
Je sais ce quil veut dire. Trop souvent, sur le net, il a du me faire des remontrances à ce sujet, et il ma fallu du temps pour accepter de me présenter à lui comme il le désirait. Cest dune voix encore timide et chevrotante que je lui dis.
« Sous mon manteau, je ne suis habillée que de mes escarpins et de mes bas, ainsi que ce foulard autour de mon coup »
En rougissant et avant quil ne puisse ouvrir la bouche, je lui précise :
« Ce foulard cache un collier de chien, et une laisse de chaînes métallique descend entre mes seins sous le manteau, maître, comme vous me lavez demandé »
Je suis sur davoir marquer un point et de lavoir déstabilisé quelque peut.
« Pose une main sur le banc, et lautre sur ma cuisse. Redresse toi et regarde devant toi »
Je sort mes mains crispées de mes poches et mexécute. Sa main sur mon genou devient plus présente, sa caresse plus forte et remonte lentement jusqu'au bas de mon manteau à mi cuisse. Sa main est chaude et pourrait être apaisante, mais je suis envahi par la peur et la honte. La nuit est maintenant tombée, mais il y a toujours autant dhommes qui passent et repassent devant nous. Ils nont aucune gêne à nous regarder, ou devrais je dire à me regarder, assise, là, comme une poupée de porcelaine sur une étagère. Je voudrais le dire à mon maître, mais, après tous ce quil a fait pour moi auparavant sur le net, je ne me sens pas le droit de gâcher se moment. Ma respiration saccélère quand sa main, passée sous mon manteau, dépasse la bande de dentelles et que ses doigts effleurent maintenant ma peau. Un tressaillement me fait me redresser .Ma peur doit se sentir, car de sa main placée sur mon épaule, il me tire et me colle contre lui, comme pour me rassurer. Dune voix douce il me dit à loreille :
« Làààà ! Cest biennnn ! Tu es une bonne chienne ! Nest pas peur, tout vas bien ! »
« Oui maître, merci maître. »
Bien que fixant le lac, je vois une ombre se faufiler derrière un arbre non loin de nous, puis une autre de lautre coté .Il ne fait aucun doute que notre couple intrigue et attire.
Je tente de me détendre et de minimiser ce qui se passe autour de moi, pour me concentrer sur les sensations que me prodigues les caresses de mon maître. Je sens sa respiration sur mon cou. Jaimerai lembrasser, mais se serrai risquer la punition. Sa caresse est tendre, il masse doucement ma cuisse. Je sursaute de nouveau quand son pouce vient à effleurer ma vulve.
« Cambre toi ! Ouvre toi doucement ! »
« Mais maître
» Dis je.
Sa voix douce a disparue et cest de façon autoritaire quil me reprend.
« OUVRE TOI ! Ecarte tes jambes doucement ! »
« Oui maître »
Je préfère mexécuter que de subir une punition. De plus, si je suis là, cest que je lui fais confiance, alors
Alors, je le fais. Mes genoux se décollent, et tandis que ma jambe gauche sécrase contre la sienne, ma jambe droite ouvre le passage à sa main, mais aussi à la vue, car cette manuvre fait remonter mon manteau, et dévoile mes bas, mes jambes, mon sexe. Son index glisse le long de ma fente, suivi de lannulaire. Un homme passe, et sarrête pour mater, et vas sasseoir sur un banc plus loin, sort sa queue et commence à se masturber en me regardant. Je sais que plusieurs regards sont sur moi, et je crois bien que ça mexcite. Un pouce adroit frotte mon clito pendant que les deux doigts ouvrent et plongent dans mes chairs. Ma bouche souvre pour laisser échapper un doux son de contentement. Je pousse un ouiiii de plaisir. Je me surprends à dire :
« hoooo !! Mon maître, enfin, vous me fouillez. »
Cette phrase mexcite et me fait mouiller davantage. Mon maître en profite pour me glisser un troisième doigt.
« Taime ça salope ?! Dit le que taime ça ! »
Le mouvement est devenu frénétique, et mon plaisir monte à une vitesse folle .Je ne peut que répondre :
« Oui maître, jaime ça, je suis une salope ! Jaime ça maître »
Je pousse un petit cri et je jouie comme une folle, le corps parcouru de spasmes. Cest après deux minutes de plaisir intense que mon maître retire ses doigts, trempés de mon plaisir. Il les porte à mes lèvres. Je les lèche tous, un par un, avec avidité et application. Durant se nettoyage en règle, je maperçois que je suis toujours cambrée, et que je nai pas refermé mes jambes. Un détail a coté du plaisir énorme que vient de me donner mon merveilleux maître. Je reprends ma respiration, doucement.
« Quest ce que tu fait ? Je ne tai pas autorisée ! Lève toi, on va marcher ! »
Nous prenons le chemin qui longe le lac, et il me prend par la taille. Cest agréable, je me sens bien, protégée. Intimidée tout de même je laisse mes mains dans mes poches. Les loups sortent du bois. Mon dieu, il en sort de partout. Je ne les avais pas tous vue apparemment.
Nous marchons depuis un bon moment. Nous avons beaucoup parlé, nous avons même ris je crois. Souvent il sarrête pour me donner de délicieux baisés. Jai fini par poser ma tête sur son épaule. Arrivé au bout du lac, là où le chemin tourne, il lâche ma taille, recule dun pas. Il me regarde, semblant réfléchir. Je me sens tout à coup ridicule, plantée là comme une potiche, devant cet homme. Jentends des bruits, des branches qui cassent sous des pas prudents. Nous ne sommes pas seul, les hommes nous ont suivis, cest évident.
« Ouvre ton manteau ! »
Une nouvelle vague de honte monte en moi, doublée dune excitation inconnue. Je nai pas envie de protester, mais de faire plaisir à mon maître. Lentement, un à un, je libère les boutons. Mon manteau souvre découvrant mes seins, mes tétons durs et dressés, mon corps nu fendu par la laisse qui tombe du collier qui garni mon cou, mon minou rasé et mes jambes habillées de bas. Je suis offerte à la vue de mon maître pour la première fois et de combien dautres regards cachés derrière les arbres ? Il est debout au milieu du chemin, les mains sur les hanches, les pieds légèrement écartés. Dans cette posture, il est imposant et appel au respect.
« Marche jusquau pont en laissant ton manteau bien ouvert et reviens »
Au bout du chemin, dans la pénombre, japerçois effectivement un pont de bois. Il doit y avoir une trentaine de mètres. Je sais déjà que cet aller-retour va me sembler très long. Afin que mon manteau ne se referme pas, je remet mes mains dans les poches, et commence mon périple. La lourde laisse en métal cogne ma poitrine et mon ventre, alors que la poignée effleure ma chatte à chaque pas. Jespère bien faire, je désire tellement faire plaisir à mon maître. A la moitié de laller, sur ma gauche, un homme se masturbe dans la pénombre. Pantalon baissé, il se cambre comme pour minsulter de son sexe. Jarrive au pont. Je suis dans le noir complet. Cest très impressionnant et très troublant dêtre nue, dans la nature, sans savoir ce quil y a devant. Je fais demie tour pour revenir vers mon maître. Des ombres furtives se déplacent et stop à mon passage. Je vois le branleur jouir sous les arbres, en poussant de petits râles. La silhouette de mon maître se dessine enfin. Arrivée devant lui, je constate que son sexe est sorti. Il est dressé dans la nuit, gonflé de désirs. Sa main agrippe la laisse et me tire vers le bas. Je comprend ce quil désire, et je maccroupie. Les jambes pliées, je pose mes mains sur mes genoux. Le gland rose devant ma bouche attend que je lui rende hommage. Je sors ma langue et doucement je tourne autour de ce joyau, salivant beaucoup pour que la caresse soit plus douce. Puis je lenveloppe de mes lèvres. Je le suce, je le tète. Il durci encore comme pour mencourager. Alors jenfonce plus de chair dans ma bouche. Je la prend et la ressort, comme un piston bien huilé. La cyprine qui maintenant excite mes papilles, me motive à continuer, plus vite, plus fort. Je laisse un instant cette douceur pour descendre ma langue le long du filet, tout en la faisant frétillée, jusquaux deux superbes testicules. Je fais jouer ma langue dessus, je les lèchent, les gobent. Sentant lattribut qui cogne mon front, mouiller de plus en plus, je le replonge dans ma bouche et entreprend une longue et chaude fellation.
« Pince toi le clito ! Fort ! »
Je descends une main, et entre deux doigts je place mon clito gonflé. Ma bouche stop net quand je le presse. La douleur me fait pousser un cri étouffé par le sexe qui occupe ma bouche.
« Tu aime ça, salope, continue à le pincer ! »
Je reprends ma fellation tout en me pinçant le clito. Très vite la douleur se transforme en une violente sensation de plaisir et la mouille qui sécoule de ma chatte en est la preuve. Tout là haut, dans les étoiles, ça sénerve. Mon maître respire fort, donne des coups de reins et soudain matt par les cheveux et accélère le mouvement. La décharge est forte, longue, chaude. Javale en deux fois, et continue à sucer pour ne pas en perdre une goutte. Jai mal aux jambes dêtre accroupie, et je suis heureuse de sentir une main attr la chaîne et me tirer vers le haut. Mes yeux plonge dans son regard où règne un contraste de douceur et de détermination.
« Merci maître, cétait délicieux. »
Je me sent fier de moi, et suis souriante
Pas pour longtemps.
« Qui ta autorisée, davaler ? REPOND ! QUI TA AUTORISEE, PUTAIN ! »
Cest comme une grande gifle que je viens de prendre. Je me rends compte que jai fait une grosse erreur. Je baisse la tête et comme une prise en faute je murmure :
« Personne, maître. »
« Retourne au pont, salope ! »
Je me retourne pour refaire un aller-retour, quand ses deux mains sabattent sur mes épaules et tirent mon manteau. Cest nue, que je dois faire mon parcours. Les voyeurs sont aux anges, et devant un tel spectacle ont tendance à se lâcher. Ils sapprochent de moi, bites à la main, me tournent autour comme des oiseaux de proies. Jentend des « tes bonne salope » - « Tu veut que je te baise » - « Regarde, elle te plais pas ma queue ? » - « Je vais tattr, poufiasse ! ». Cest dun pas plus rapide que je rejoins mon maître, la peur vissée au ventre.
« Je lai méritée, maître. Vos punitions sont justes. Veuillez me pardonner. »
Comme pour acquiescer, il maide à remettre mon manteau, et sans dire un mot, il me reprend la taille et nous repartons dans le noir. Il doit avoir des yeux de chats, ou il connaît bien les lieux, car pendant quelques minutes je ne vois rien du tout. Enfin, une lueur devant moi. Cest un petit jardin d. Un bac à sable et cinq ou six bancs éclairé par la lune ainsi quun portique à balançoires. Cest vers ce dernier que nous nous dirigeons. Mes escarpins senfoncent dans le sable. Au portique, mon maître maide à masseoir sur une balançoire. Il redéfait les boutons de mon manteau, et louvre. Il écarte mes jambes, sagenouille, et plonge son visage entre mes cuisses. Je maccroche aux cordes. Sa langue frétille sur mon clito mais se sont deux doigts qui plongent dans mes entrailles qui provoquent un début de jouissance. Un pouce qui vient de faire un tour dans ma chatte pour shumidifier, viens se placer sur mon anus, et exerce de petites pressions courtes, mais de plus en plus fermes. Sous cette pression, je finis par ouvrir la porte et le pouce ne se fait pas prier pour entrer. Sollicitée de partout, ma respiration saccélère, et je sens la jouissance monter en moi. Cest le moment quil choisi pour arrêter. Il me prend par le poignet et me tire. Je manque de tomber, perd un escarpin et me retrouve penchée en avant les mains sur un banc. Il prend ma chaîne et fais un nud autour de celui-ci, minterdisant ainsi de me relever. Derrière moi, jentends le bruit dune fermeture éclair. Une langue habile sactive sur le trou interdit et tente de pénétrer. Cest un délice et je profite au maximum de ce moment. La langue laisse place à un doigt, puis deux, et enfin cest au tour du bâton magique. De petites pressions dabord, puis je sens limpatience qui grandi. Un coup de rein fait pénétrer lengin. Je mords mes lèvres pour ne pas crier. Ses mains, accrochées à mes reins, donnent le rythme. La douleur première, fait place à une sensation de trop plein. Etrange au début, je mhabitue et commence à beaucoup apprécier. Je sens ses couilles frapper mon vagin. Je suis dans un état second et la phrase que je prononce nest pas du tout contrôlée.
« Oui, maître, défoncez moi, je suis à vous, je suis votre pute, votre salope. Hummm ! Cest bonnnn ! Bourrez moi bien le cul !ahhhhhhh ! »
Ses mains puissantes attnt mes seins, ils sy accrochent, les tritures, les malaxes. En temps ordinaire, il me ferrait très mal, mais là, il ny a plus de douleurs. Pourtant il tape de plus en plus fort dans mon fondement. Ma chatte laisse écouler mon plaisir, inondant ses testicules. Je crois que je crie, mais je ne peux pas laffirmer, mon cerveau ne réagis plus comme il devrait, je suis ailleurs, dans un monde de douleurs libératrice de plaisirs. Jexplose, mes jambes fléchissent quand la lave chaude en jet puissant tente de me pénétrer encore plus profondément. Mes nerfs lâches et je pleure de bonheur, je suis secouée de spasmes, de sanglots. Il se retire doucement, et je tombe à genoux. Jamais je naurais imaginée quun plaisir puisse manéantir à ce point.
« Cest bien ma salope, cest très bien, je tapprécie beaucoup. Tu es une bonne pute. »
En guise de réponse, je le fixe dans les yeux, récupère sur mes doigts la mouille qui me coule entre les cuisses, et je porte ensuite la liqueur à mes lèvres. Je lèche et répète lopération deux, trois fois.
Il prend la chaîne et tire, mobligeant ainsi à marcher à quatre pattes dans le sable jusquà mon escarpin perdu. Une fois remis ma chaussure, il me demande de rester à terre et denlever mon manteau. Il le prend et le met sur la balançoire. Il me fait mettre sur le dos, jambes écartées, buste relevé, appuyée en arrière sur mes avant bras, tête en arrière et bouche ouverte. Je lobserve du coin de loeuil. Il va sasseoir sur un banc, et attend. En moins de temps quil ne faut pour le dire, je suis entourée de six hommes. Ma position nest pas équivoque, je suis là pour récupérer leurs semences. Vu den bas, ils paraissent immenses. Des gouttes de mouille coulent déjà sur mon visage. Les mains sactivent sur les verges gonflées et bientôt le premier jet de sperme vient barrer mon visage. Les autres suivent, tentant de remplir ma bouche, mais les jets peu précis méclaboussent tout le corps. Ils parviennent tout de même à remplir ma bouche. Apres quelques palpations mammaire et quelques doigts dans la chatte, ils disparaissent comme ils sont venus.
« Viens me voir ! »
Je me relève, doucement, pour ne pas laisser le précieux liquide quitter ma bouche, car forte de ma première punition, je me suis bien gardée davaler. Javance doucement, la tête en arrière. Je sens du sperme couler sur mes seins, mes reins, mes bras. Je suis souillée, outragée, mais tout cela na pas dimportance face à la satisfaction que jespère procurer à mon maître, pour le remercier dêtre là pour moi. Jarrive face à lui. Il appuis sur mes épaules pour me faire mettre à genoux et dune voix tendre me dit :
« Je te donne lautorisation davaler maintenant ! »
Ma bouche ce referme et sans broncher
.javale.
« Votre salope vous remercie, maître. »
A SUIVRE
Claude Lamour
claudelamour@hotmail.fr
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