Dans Le Train (Histoire Vraie)
Sandrine et moi avions décidé de passer une semaine en Italie au mois de septembre 2005.
Javais réservé pour loccasion des places dans le Transalpin pour le coté romantique de ce moyen de transport assez traditionnel et aussi lenvie pour une fois de prendre notre temps.
Nous fûmes surpris en arrivant dans le train par la beauté des cabines puis par le confort des sièges.
Il y avait 4 places dans chaque cabines séparées par un accoudoir en velours pourpre très cosy et nous avions deux places « salon » côte à côte.
10 minutes avant le départ un homme arriva dans la cabine, essoufflé, et après vérification de ses billets vint prendre la place en face de Sandrine.
Il nous salua, nous sourit et nous dit quil avait eu de la chance dattr son train puis sexcusa de devoir aller chercher de leau.
Sitôt parti je dis à ma femme « nous ne serons pas tranquille » et elle me répondit « au moins il a lair gentil et courtois ».
Je lui répondis immédiatement quelle devait faire attention à ne pas laisser ses cuisses trop ouvertes si elle sendormait pendant le voyage. Elle me répondit en souriant quelle devinait ce que javais derrière la tête et que vu que sa petite robe bleue lui arrivait mi cuisses elle ferait attention
Notre voisin revint à sa place alors que le train avait démarré depuis 5 minutes et je remarquai quen sasseyant il ne se gênât pas pour reluquer entre les cuisses de ma femme.
Pendant que le soleil qui pénétrait da,s la cabine chauffait les jambes de Sandrine, nous avions tous deux le nez plongé dans un magazine et en regardant de temps à autre je constatais que les yeux de notre voisin fixaient régulièrement le même endroit. Je regardais par-dessous mon journal et vit que sous leffet du soleil ma femme avait quelque peu ouvert ses cuisses et je pensais que notre voisin devait y voir un peu plus clair.
Je me rapprochais discrètement de Sandrine et faisant mine de lire son magazine lui glissait ce que javais vu à loreille.
Comprenant que Sandrine avait décidé de samuser seule je posai mon journal et feins de mendormir et elle ne tarda pas à mimiter.
Je restai plusieurs minutes fermant les yeux puis les entrouvris très légèrement mais juste assez pour voir notre inconnu. Sandrine faisant semblant de sêtre assoupie ouvrait maintenant plus largement les cuisses et notre voisin avait glissé dans son siège certainement pour y voir mieux.
Soudain il se leva et sortit de la cabine. Jouvrais les yeux et dis à ma femme en plaisantant quil avait du aller se soulager et nous rîmes.
Je lui dis que jétais très excité par cette situation, alors elle mit la main a ma braguette et constatai que je ne mentais pas
Elle me demanda si elle pouvait prendre (sans jeu de mots) les choses en main. Je lui dis que oui et lui demandai dôter sa culotte.
Nous avions déjà eu une expérience exhib mais jamais dans une telle promiscuité.
Elle retira son string puis a son initiative son soutien gorge et ouvrit un bouton supplémentaire à sa robe ce qui eut pour effet de faire apparaître la naissance de ses seins volumineux.
Nous fîmes mine de nous rendormir et une poignée de minutes plus tard notre voisin revint. Il prit tout son temps pour se rasseoir, lorgnant sans vergogne dans le décolleté de mon épouse. Je bandais dur.
Sandrine avait un peu refermé ses jambes mais faisant mine de dormir profondément, elle les rouvrait petit à petite et suivant un mouvement du train sur la gauche posa son genou sur la paroi ouvrant alors très largement la vue de notre mateur. Je le vis alors ouvrir en grand ses yeux mindiquant quil venait de découvrir le sexe nu et tres certainement trempé de ma femme. Jentendis le bruit dun objet tombé sur le sol et juste apres notre voisin faire mine de le ramasser en posant un genou à terre.
Je crois que cest létat dexcitation dans lequel devait être ce jeune homme qui le conduisit à faire la chose suivante. Il dégrafa un bouton du bas de la robe de Sandrine dévoilant un peu plus sa nudité. Puis il avança sa main vers sa cuisse et leffleura du doigt. Il avança sa main pour toucher son sexe rose et Sandrine ne réagissant pas toucha ses lèvres (Ma-t-elle raconté)
Dun coup Sandrine ouvrit les yeux et posa son doigt sur sa bouche pour lui dire de ne pas faire de bruit. Il eut un mouvement de recul mais ma femme mis un pied sur son fauteuil pour linviter à continuer. Il approcha sa tête de son sexe et je vis toujours en faisant semblant de dormir sa langue se poser sur le sexe de ma femme.
Il devait sy prendre assez bien car Sandrine dégrafa encore un bouton du haut de sa robe pour linviter à lui caresser les seins, ce quil fit. Je le vis les malaxer et lui pincer les tétons.
Pendant quil lui lêchait la chatte il enfonça un doigt dedans puis dans son anus aussi bien que je vis Sandrine sarc-bouter en mordant ses doigts et se laisser aller à un orgasme foudroyant.
Lhomme sans perdre une seconde se leva et sans un mot Sandrine ouvrit sa braguette descendit son pantalon très vite comme pour rappeler lurgence de cette situation et fit émerger dun boxer blanc un sexe pas très long mais très épais.
Aussitôt elle le prit en bouche et, gourmande, tantôt le lécha et tantôt le suça avec avidité.
Bientôt je vis lhomme se contracter et sandrine appuyer sur ces fesses pour lui dire de venir dans sa bouche. Il lui enfonça jusquà la garde et se déversa au fond de sa gorge.
Alors il se baissa toujours sans bruit lembrassa tendrement sur la bouche, se rhabilla puis reprit sa place en contemplant mon épouse.
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