Une Nouvelle Connaissance
Midi, jentrais dans un restaurant qui venait douvrir près de mon travail. Je minstallais à une table, et à celle dà coté il y avait une femme dun cinquantaine dannée vraiment très bien conservée.
Elle avait des cheveux aux bruns coupés court. Ses yeux étaient verts. Elle portait un chemisier transparent qui laissait voir un magnifique soutien-gorge noir en dentelle. Elle avait un pantalon moulant en cuir noir et des escarpins.
Elle prit une cigarette dans son paquet et pour engager la conversation, me demanda du feu. Je lui en donnais et elle me proposa de venir à sa table. Très vite la conversation porta sur elle, sa solitude, etc.. etc..
Le repas terminé, elle me proposa daller chez elle pour prendre le café. Jacceptais.
Une fois chez elle, elle me dit de minstaller sur le canapé du salon. Elle alla préparer le café, puis vint sasseoir près de moi en me disant :
- Ce nest pas souvent que jai un homme à la maison et ça me fait plaisir.
- A moi aussi, car vous êtes vraiment très séduisante.
- Je vous plais ?
- Oui.
Elle sapprocha de moi et membrassa à pleine bouche. Après son baiser, elle me dit :
- Jai très envie de baiser avec vous.
- Moi aussi, vous devez être très
- Je ne veux pas vous paraître vulgaire, mais quand je baise, jaime les mots crus, alors toi aussi dit moi tout ce que tu veux.
Elle se leva et vint se mettre à genoux devant moi. Rapidement elle me retira mon pantalon et mon slip, puis elle môta mon t-shirt. Elle posa ses doigts sur mon sexe et commença à me masturber lentement, puis elle me prit dans sa bouche. Sa langue tournait autours de mon gland et elle se mit à me lécher tout le long de ma verge. Ses doigts sagitaient et sa bouche me suçait goulûment. A un moment, elle me dit :
- Je veux que tu gicles sur mon visage, que tu inondes ma bouche de ton foutre.
- Ok, mais après cest toi qui viendra jouir dans ma bouche.
- Je toffrirais mon jus, promis, mais jespère que tu voudras aussi me prendre par tous mes petits trous. Tu sais jadore quand une belle grosse queue senfile dans ma vulve et aussi quand je la sens entre mes fesses. Mon petit cul, tu verra est chaud et étroit.
Sentant que jétais sur le point dexploser, elle retira son chemisier et son soutien-gorge, puis prit ma queue entre ses seins. Ils étaient comme je les aime, assez gros et avec une peau merveilleusement fine. Elle se mit à me masturber avec, me léchant le gland chaque fois quelle le pouvait. Soudain, je ne pus plus me retenir et jexplosais, vidant mon foutre sur son visage. Avec ses doigts, elle le fît glisser à sa bouche en me disant :
- Humm, cest bon, jadore le sperme, cest trop bon
Rapidement, elle me demanda de mallonger sur le dos sur la moquette. Elle retira son pantalon et son string, puis vint se mettre à genoux sur moi, son sexe sur mon visage. Elle était rasée, nayant quune légère touche sur son mont de Vénus.
- Lèche-moi et je me masturberais pour toffrir ma douce liqueur
Ma langue se mit à lui lécher sa vulve y pénétrant chaque fois quelle sappuyait sur ma bouche. Dun doigt elle se mit à se masturber frénétiquement son clitoris en hurlant :
- Oui, lèche ma chatte, suce-moi, que cest bon. Je veux jouir et te donner à boire tout mon jus.
De plus en plus vite elle se masturba. Sa cyprine commençait à couler entre mes lèvres et je sentais quelle était au bord de lorgasme. Elle se mit à hurler :
- Oui, suce, suce, suce moi encore, plus fort, je vais exploser
.. Ca vient, ouiiiiiiii
Un long flot de sève me coula dans la bouche et jaspirais ses lèvres entre les miennes. Son jus était un vrai délice.
Nous nous sommes réinstallé sur le canapé et elle nous servit un verre. Elle me demanda :
- Tu as envie de mon petit cul ?
- Oui, jen rêve.
- Alors il faudra que tu le suces, puis que tu me prépares avec ton doigt.
- Je ne demande que ça, te prendre comme une chienne, te sodomiser comme une vraie bonne salope que tu aies.
- Jadore quand tu me parles comme ça. Et jai envie de ta grosse bite dans mon cul. Je veux que tu me défonces bien
- Ne ten fais pas, je vais me planter profondément et te prendre à fond.
- Oui, prends ta salope comme elle le mérite.
Je lui dis de se mettre à quatre pattes sur la table basse du salon. Elle sy installa. Je me glissais derrière elle et jécartais ses fesses de mes mains. Ma langue vint lui faire un bouton dOr. Son cul avait une douce saveur poivrée et jy enfilais la pointe de ma langue. Elle devait aimer ça, car très vite je sentis son bouton souvrir et réclamer la pénétration. Je lui enfilais un doigt et je me mis à le faire aller et venir. De son coté, elle se masturbait frénétiquement son clitoris, enfilant par moment son doigt profondément dans sa vulve. Elle ne cessait de crier :
- Oui, lèche, suce, plante ton doigt, vient, enfile moi ta queue, je la veux.
- Fais-toi dabord jouir, je veux prendre ton jus pour lubrifier ton petit cul.
- Oui attend, ça vient. Làààààà.
Je mouillais mon doigt de sa liqueur et lenfilais à nouveau dans son anus. Puis je mouillais ma queue en la frottant contre sa chatte et dun coup je menfilais profondément dans son cul jusquà la garde. Mes mains sagrippèrent à ses hanches et je commençais un long vas et vient. Je mactivais de plus en plus vite. En même temps, je lui disais :
- Humm, comme tu es bonne, jaime ton petit cul. Il est chaud et accueillant.
- Oui, défonce-le, plante toi fort. Oui je suis une vraie salope, cest trop bon.
Je me mis à la défoncer de plus en plus fort, de plus en plus vite, essayant de menfoncer le plus profondément en elle. Soudain, je sentis monter en moi lenvie de jouir. Je me plantais au fond de ce si merveilleux cul et je me vidais en longues et fortes saccades. Elle qui continuais de se caresser son clitoris, jouis à son tour une nouvelle fois.
Au bout dun long moment qui nous permis de reprendre nos esprits, je labandonnais et minstalla sur le canapé. Elle vint sasseoir à coté de moi en me disant :
- Tu es vraiment un très bon amant et tu sais bien baiser.
- Avec une femme comme toi ce nest pas très difficile.
- Tu as aimé ?
- Oui, et toi ?
- Aussi, mais jai encore un petit trou que tu nas pas visité. Récupère et ensuite je veux que tu me prennes.
- Je ne demande que ça. Je suis certain que ta petite chatte doit être très câline.
- Tu verras, cest moi qui viendrais me planter sur ta queue.
Elle resservit un verre. Pendant que nous buvions, elle me caressa ma verge de ses doigts. Très vite, je repris de la vigueur. Elle estima que le moment était venu de me faire explorer sa grotte. Elle mallongea sur le dos et sinstalla à califourchon sur moi. Dune main, elle guida ma verge vers sa grotte et dun coup sempala sur moi. Bien plantée, elle commença de faire fonctionner ses muscles intimes. Javais limpression que des millier de doigts de caressaient ma queue. Ses mains agrippèrent sa poitrine et elle se caressa violement, pinçant ses mamelons entre ses doigts.
Elle commença de faire aller son bassin davant en arrière, puis de gauche à droite. Je me sentais buter au fond de son vagin, ce qui nétait de loin pas désagréable. Après un long moment de ce jeu, elle se mit à monter et à descendre le long de mon pieu de chair. Avec mes mains, je lui malaxais ses fesses. Elle gémissait doucement :
- Oui, cest bon, je sens ta queue au fond de ma grotte, je mouille, je coule
- Aller, défonce-toi, plante-toi bien, je te veux encore plus salope.
Elle prit alors un rythme plus rapide, montant et descendant de plus en plus vite et de plus en plus fort. Soudain, elle poussa un long râle et un flot de sève coula le long de ma queue, inondant mes couilles et coulant entre mes fesses.
Après ces ébats, je suis allé prendre une douche. En revenant au salon, elle avait mis un peignoir. Elle passa ses bras autour de mon cou et membrassa fougueusement.
- Jai envie de te revoir. Je vais te donner mon no de portable et tu mappelles quand tu veux
- Avec le plus grand des plaisirs.
Je suis rentré chez moi, non sans me promettre de lappeler pour repasser daussi bons moments.
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