Ma Femme L'A Appris
J'avais raconté ici, voilà quelques semaines, une première expérience de soumission qui m'avait découragé de retoucher à cela à tout jamais. Soit que je n'étais pas fait pour ces plaisirs douloureux, soit que j'étais tombé sur une maîtresse qui maitrisait trop bien l'art de faire mal, toujours est-il que je m'étais bien promis de tout oublier et de rentrer sagement dans le rang des hommes qu'on dit normaux. Mais voilà que la situation a évolué d'une manière inattendue. Je croyais bien, en rentrant à la maison après avoir été solidement fessé, que l'excuse que j'avais donné à ma femme avait été suffisante pour atténuer tout soupçon. Mais cela n'a pas été le cas. Au départ, elle n'a fait l'air de rien me donnant l'impression d'avoir gobé mon récit d'accident. C'était sans compter sur sa méfiance et sa patience à élucider les mystères de ma vie. Après quelques semaines de vie normale, un soir que nous étions à la maison, elle commenca à me questionner sur les circonstances de l'accident et mettre en doute ce que je lui avais raconté. J'insistais pour maintenir ma version de l'histoire et, à mon grand déplaisir, elle s'acharnait à la démolir point par point si bien qu'après près de trente minutes de discussion je devais finalement me rendre à l'évidence que mon histoire ne pouvait tenir debout. Je me disais que je ne pouvais malgré tout me contredire et tentait de maintenir, tant bien que mal, le récit que j'avais imaginé. Mais c'était sans connaître la ténacité d'Hélène, ma femme. Après encore une dizaine de minutes de discussion, cette dernière m'avoua avoir vérifié mes courriels et mes factures de carte de crédit. Elle y avait trouvé ma correspondance avec la dominatrice que j'avais rencontré et le paiement de la location du chalet où avait eu lieu la rencontre. J'étais tout simplement sidéré et parfaitement pris. Je n'avais plus le choix et j'avouai donc l'aventure. Ma femme était dans une vive colère et ne pouvait imaginer que j'ai pû penser un instant à avoir une aventure de la sorte.
Quelques jours s'écoulèrent et je dois dire que le climat était particulièrement lourd à la maison. Les conversations étaient limitées au strict minimum et, plus souvent qu'autrement, Hélène évitait d'être là pendant que j'y étais, prétextant réunions, sessions de travail, rendez-vous à l'extérieur ou certains courses pour que nous ne nous rencontrions pas. De plus, nous faisions chambre à part. A quelques occasions, je plaidai fortement que je l'aimais et que je ne désirais pas qu'on se sépare, que je serais prêt à tout pour que nous puissions demeurer ensemble.
Il faut dire que ma femme a toujours été une excellente épouse et bien que moins portée sur la chose nous avions toujours eu une excellente relation.
Les jours s'écoulèrent et le week-end arriva.
En soirée, ma femme commenca à me dire qu'elle avait bien réfléchi à la situation et qu'elle allait essayer de pardonner, qu'il lui faudrait sans doute du temps, de l'adaptation et une bonne dose de repentir de ma part. Elle me reprocha d'avoir tenté d'assouvir mes désirs à l'extérieur, sans lui en avoir parlé et qu'il lui était particulièrement difficile d'accepter ce manque de confiance. Elle me faisait savoir de la sorte que mon attitude future allait conditionner le fait que notre mariage dure ou non.
Elle me dit de plus qu'effectivement je méritais sans doute de réaliser ce fantasme d'être sévèrement puni et que cela la soulagerait également de me punir comme je le méritais. Elle me demanda de me mettre à genoux, de me pencher sur le fauteuil et de baisser mes pantalons. Puis, avec une ceinture, Hélène assouvit sa vengeance sur mes fesses avec une rage non contenue.
Épuisée d'émotions et probablement physiquement aussi, Hélène s'arrêta soudainement et se réfugia rapidement dans sa chambre pendant que je gisais sur ce fauteuil, mortifié et les fesses fortement endolories.
Mon mariage était sauvé et c'est sans doute, malgré tout, ce qui comptait le plus.
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