Dominée Discretement Par Une Élève

Je suis formateur en formation continue et suis ainsi en contact avec
des hommes et des femmes de tous âges salariés que je forme en
entreprise.
Dernierement, une jeune femme de 25 ans environ, brune fière,
d'aspect assez sûr d'elle même, se faisant respecter mais ayant toujours
le sourire, se mis à me regarder, me questionner de manière
anormalement fréquente.
En fin de journée, elle me demanda si je pouvais diner avec elle car
elle supposait que je ne rentrais pas chez moi, à plus de 100 km et étais
donc à l'hôtel.
Intrigué car j'affiche moins que mon âge mais pourrait être son père,
mon alliance est visible à ma main gauche, je lui demande ce qu'elle
attend de cette soirée.
Vous verrez bien, me dit-elle, mais je suis certaine que vous ne la
regretterez pas et que vous serez très surpris.
Bien, vous semblez hésiter donc vous avez envie de dire oui mais
n'osez pas, alors voici mon adresse, vous prenez un taxi et il vous
déposera chez moi vers 20h30, me dit-elle en me glissant dans la main
un papier sur lequel figurait en effet son adresse.
Je sourie, la salue sans répondre et la quitte pour rentrer à mon hôtel.
Intrigué, je me déshabille, prend une douche, m'allonge nu sur mon lit,
rêve à un peu tout puis me surprends à me lever, m'habiller de propre,
me parfumer légèrement, regarder l'heure et descendre pour me diriger,
il est l'heure, vers une station de taxis.
Je me retrouve devant un immeuble tranquile de la ville, vérifie l'heure
et sonne à son nom. La porte s'ouvre, je prends l'ascenseur, le coeur
battant comme celui d'un collégien.
Je frappe à sa porte et elle ouvre, vêtue de manière ordinaire et légère,
ni trop sexy ni trop sage, son, étgernel sourire aux lèvres, et d'un regard
de braise m'indique, en tournant la tête, la pièce à côté de l'entrée.


Une salle-à-manger salon de jeune femme, sobre, spacieuse, claire, un
canapé, quelques poufs, et de l'autre côpté de la pièce une table ronde
en verre et quelques chaises autour.
Au murs, des copies de tableaux récents, modernes et des miroirs.
Elle m'indique le cdanapé et me précise : je pense qeu vous aimeriez
boire un whisky. Sans attendre, elle virvolte, disparait dans ce que
j'imagine être une petite cuisine et reviens avec un verre servi de whisky
et de glaçons dans une main, un verre qu'elle me précise être de Porto
dans l'autre. Une musique moderne, de faible niveau sonore, forme un
fond sonore agréable.
Nous devisons de choses et d'autres, elle guide agréablement la
conversation puis nous passons à table devant un diner froid et léger,
très agréable.
Elle a dirigée la conversatIon de bout en bout, sur des sujets très variés,
ne dévoilant pratiquement rien sur elle, ne me posant que peu de
questions mais de manière telle qu'elle me sait marié, deux grandes
filles plus âgées qu'elle et grandpère de deux petits fils.
Elle me propose de quitter la table vers 22h00 pour rejoindre le canapé
sur lequel elle s'assied à côté de moi.
Toujours souriante mais avec un ton sec, ferme bien que chaud, elle me
précise enme tutoyant : donc, tu es d'un naturel soumis, à tendances
homosexuelles, si, si, ne nie pas, et tu as un grand besoin d'être
dominé.
Je supose que tu penses que ta femme ne sais rien mais tu ne dois pas
l'honorer souvent depuis quelque années, je me trompe ?
Ne réponds pas. Inutile, tu as mis ceci sur l'âge et la fatigue et elle te
trompe, tu ne l'avoue pas mais le sait et elle reste discrète pour ne pas
te faire de peine.
Tu sais qu'elle a de gros besoins que tu ne peut pas assumer
toi-même donc tu ne dis rien hypocritement !
Je suis surpris de la tournure de la conversation, de l'entendre me
dévoiler ainsi, si crument et de manière si concise, à moi-même, baisse
les yeux, muet.

Depuis trois jours je t'observe, je sais que je ne me trompe pas. Alors, je
vais te permettre d'être dominé.
Tu vas me faire l'amour sans te servir de conpménis quji ne doit plus
savoir travailler convenablement. Juste avec tes mains, ta bouche.
Allez, gagne ton repas, soumis, deshabile toi et deshabile moi et fais
moi jouir, me dit-elle, toujours du même ton sec et chaud, n'autorisant
aucune réplique.
Tu ne trompera pas ta femme puisque tu ne me feras pas l'amour avec
ton pénis, et si tu t'y prends bien, tu seras même récompensé, si non, tu
aura une fessée avec cette cravache me dit-elle en la ramassant,
posée par terre à côté du canapé.
Je restais abasourdi, incapable de dire quoi que ce soit, de bouger,
vaincu par cette transparence de moi-même, si précise, si vraie, ...
Allez, nous n'allons pas rester ainsi sans rien faire, bouge, lève toi,
agie. Montre moi si tu sais encore embrasser une femme, viens me
dit-elle.
Et nous voici, langue à langue, bouche à bouche, et l'instinct étant le
plus fort, je me mets à l'enlacer, la caresser, elle déboutonne ma veste
légère, me la qujitte, j'hésite puis caresse timidement sa poitrine, forte et
ferme de jeune femme, au travers du fin chemisier.
Oui!, continue me dit-elle en ouvrant la ceinture de mon pantalon. Elle
me le quitte, me retire ma chemise et me laisse ainsi, en slip, en me
précisant, que cela suffit pour moi . Allez caresse moi partout, lutine
moi, déshabille moi, n'oublie pas mes 25 ans et rends leur hommage,
je veux jouir de tes mains, de ta bouche, soumis !
Ce ton sec et chaud à la fois, ce nom donné qui humilie et me tra
nsforme en "sa" chose, me cinglent, me fouettent, et obtiennnent demoi
la soumission voulue.
Je me découvre ce que je suis, soumis, oui ! Obéissant et content d'être
ainsi, à la lécher, l'a caresser, la dévêtir doucement, avec crainte et
désir à la fois.
Je me revoie jeune, audacieux et timide en même temps,
mais je ne bande pas. Je réalise que je n'ai pas bandé depuis des
années déja. En effet, je n'honore plus ma femme depuis longtemps.
C'est venu progressivement mais assez rapidement, Nous sommes
comme frère et soeur dans un grand lit. Je lui caresse doucement
l'épaule ou la hanche pour lui dire bonsoir, allongé à côté d'elle.
Je ne dis rien lorsqu'elle rentre tard le soir ou dans la nuit.

je me mets à lutiner ma jeune élève, ouvre son chemisier, glisse une
main timide sous son bonnet de soutient gorge. Pince doucment mais
fermemetn un téton déja érigé, ferme, empaume un sein de jeune
femme, dur, vivant sous ma main. Depuis combien de temps n'ais-je
connu cela ?...
Prudente, ma jeune partenaire et maîtresse dégraphe elle-même cette
pièce de vêtement, et me prend ma main gauche pour la glisser vers sa
taille. Sa langue est vive et me maintient dans un état d'excitation très
avancé mais toujours sans bander.
Elle dégraphe le bouton de la ceinture de sa jupe, baisse le zip, se
soulève le bassin et je lui quitte sa jupe sans qu'elle ne détache sa
langue de la mienne, ses lèvres des miennes.
Je tente de la regarder, de l'admirer, ainsi, nue, en petite culotte simple,
taille basse, mais elle ne me laisse pas encore le faire, elle dirige tout.
Sa cujotte est quasi trempée, ma main caresse son mont de Vénus, elle
la prend et la glisse par le haut dans le vêtement.
L'ordre est clair : carresse moi ! J'obeie, surpris de savoir encore si bien
faire car elle se cabre sous mes doigts, réagie vite, ouvre les cuisses
légèrement.
J'ose prendre une initiative. de mes deux mains, oublient le sein que je
caressais, je lui soulève le bassin pour descendre la culotte.
La réaction est rapide, ferme. Elle retire mes mains, lache mes lèvres et
me descend la tête vers son ventre.

Avec ta bouche, Soumis ! utilise tes lèvres, la lan gue, tes dents,
Soumis.
Ce "Soumis" claque, sec, sonore, mais chaud ! Surprenant de tendresse
et de domination mêlées.
Et c'est avec mes dents que je descend lentement, progressivement, la
fine culotte, n'ommetant pas de lecher, de presser, ici et là de mes
levres, de caresser avec cette bouche qui doit la faire jouir, qui
réapprend à le faire.
Mes levres découvrent le clitoris, le dégage, l'aspire, le tête, tandis que
ma main gauche vient ouvrir doucement les lèvres et caresser les
chaires gorgées de sang, vibrante, en bordure, de vagin.
Je n'ose encore pénétrer cette grotte. Ma mai droite vient effleure la
hanche, monte lentement et effleurant le plus légèrement possible la
peau, ves le sein.
Je suis un apprenti timide et audacieux à la fois et suis récompensé par
son corps qui vibre à ces caresses, elle lâche un très court
gémissement mais le ravale !
Saurais-je tenir la distance, Elle semble m'y encourager sans vouloir me
montrer qu'elle le fait.
Je poursuis, tête, aspire le bouton sacré qui semble avoir une vie propre
sous ma langue et mes lèvres, se battre contre elles. Je ne cède pas
mais veille à ne pas dominer.
Ma main ouvre lentement les nymphes gorgées de sang, serrées par
leur gonflement, visiblement avides d'être mises en mouvement, d'être
pénétrées. Je ne dispose que de ma main, de ma langue tout à l'heure,
pour ce faire, s'en contenteront-elles ?
Je m'applique et progressivment, je découvre que je sens litttéralement
vivre ce corps sous mes mains et ma bouche, que je préviens presques
ses réactions, commpe si j'étais femme moi-même !
Tant que ma maîtresse rféagie en conformité avec mes efforts et mes
audaces, je poursuis.
J'exacerbe ses seins que je me borne à effleurer sans cesse, à leur
donner envie de pressions que je refuse, et le jeu prends bien !
Allez, Ose, Soumis !
Je suis récompensé, elle commence à demander plus, la fzemme
devient maîtresse et quémande. Surtout ne aps céder mais ne pas
montrer quelque domination que ce soit.
Jamais je ne me serais cru capable d'une telle maîtrise tout à la fois de
son corps et du mien.
Jamais je n'a honoré mon épouse aussi bien.
Il me semble vivre certains de ces rêves dans lesquels je me voyais
féminisé par des hommes et peu à peu devenir effectivement femme,
femelle, par mes réactions, mes audaces, mes attitudes, pour complaire
à mes maîtres.
C'est une situation inconnue, surprenante, dans laquelle mes rêves ont
été mis à nus par une jeune femme qui me révèle à moi-même en se
jouant de moi, qui s'offre un plaisir pervers en utilisant mes propres
perversions masquées.
En quelque sorte, je me vois, comme collé au plafond, affairé à obéir, à
me soumettre pour le plaisir de cette si belle et si autoritaire jeune
femme qui me donne du plaisir en me dirigeant ainsi et en me revêlant
à moi-même.
Ses réactioins progressent, elle "se lâche" comme disent mes petits fils,
elle laisse passer des gémisments, des mouvments brusques et
involontaires mais significatifs de la monté de son plaisir, elle se
cambre, se cabre, se soulève, s'offre, monte ses ge oux, ses cuisses qui
s'ouvrent, ue de ses maijns v ient se joindre à la mienne our ouvrir sa
grotte et transformer ses chairs en une sublime rose épanouie dans
laqujelle ma langue, mes lèvres viennent butiner pour mon plus grand
plaisir, viennent boire une source soudaine mais jaillissante.
Ses doigts dirigent les miens vers le clitoris en colère qui se tord et
aspire à ne pas rester seul, elle me guide, me dirige, me soummet
totalement mais avec une douceur et une frzmreté mêlée, infinie.
Elle m'enseigne comment la porter encore plus loin vers la cime de son
plaisir.
Docile et heureux, j'obéie, apprends.
Son aurtre main m'enseigne l'art de r avec bonheur un mamelon,
un bout de sein durcit, si agrablement douloureux qui réclame encore
plus de souffrance dominée afin de rester supportable mais génératrice
de puissantes vagues de plaisirs.
Elle ne gémie plus, elle retient puis lâche des cris rauques puissants.
Sa source se fait violente, très abondante et j'ai peine à suivre son débit
puissant et à le boire.
Son bouton est tendu, un véritable petit poivron dressé, rouge de colère
et de bonheur.
Je ne bande pas mais je jouie à ma manière. Une façon encore
inconnue de moi, une sensation de plaisir intense, interne, dans mon
ventre, dans mon anus, dans tout moln bassin qui vance et recjule et un
très faible écoulement séminal que je découvrirai plus tard.
Je suis tout à la fois fier et angoissé car je ne sais comment poursuivre,
comment ne pas l'irriter, comment l'accompagner.
Une fois encore, elle me guide, m'enseigne, m'apprend ce qu'est une
femme.
Elle prend mes mains, mes doigts et les presse ici et là, avec une
précison que je tente de comprendre, pour apaiser et accompagner ses
hurlements, puis ses cris, puis ses halètements, puis le retour progressif
au calme.
Mes mains sous les siennes vont et viennent, restent peu en plalce,
mais reviennent et repartent.
Puis ce sont les siennes qui se font précises et ma mission, claire, sans
équivoque, est de presser tendrement, de conserver une chaleur
interne, d'apaiser ce corps. A elle de pratiquer ce qui s'apparente
presque, pour moi, à une séance d'acuponcture de sa part !
Nous ne bougeons plus, mes caresses se font légères, je suis épuisé
mais ne veux pas le montrer.
Je réalise que je ne savais pas ce qu'est un corps féminin et que j'ai
appris ce soir plus qu'en une vie de mariage.
Après un long silence, ma jeune maîtresse s'ébroue, se dégage, et me
dit : c'est bien, Soumis, tu apprendsz vite.
Tu reviendras, je te ferai faire jouir d'autres femmes et d'autres hommes
car tu es doué pour cela, tu aprends vite et bien, sauf avec un pénis
que tu n'as en fait jamaisi eu.
Rhabille toi, rentre à ton hôtel.
Demain, ton dernier jour de cours, tu seras comes les jours précédants
mais j'ai pris tes coordonées et je t'appelerai.

Avant de te rhabiller, viens ici, place toi à quatre pates par terre, sur le
tapis, devant le canapé, que je te donnes la fessée que tu mérites, à la
main, afin que tu puisses souffrir, ce dont tu as besoin !
Et... j'ai baissé la tête, obéie, reçu une fesée mémorable, violente, qui
m'a fait hurler puis jouir de manière interne, comme une demi-heure
plus tôt .

Et en silence, obéissant à son regard, je me suis habillé, et suis parti
sasn un mot, marchant à reculon jusqu'à la porte de son appartement,
elle, immobile sur le canapé, me regardant avec calme, comme on
regarde un serviteur, un livreur, "son soumis", je l'ai quitté en total état
de soumission.



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