Premiers Émois

Étant petit - cinq ou six ans, je pense - , je ne me souviens
plus très bien , je m’ amusais fréquemment avec la fille des
voisins et d’ autres gamines, généralement plus âgées - 8
ou 10 ans, peut-être -, dont j’ étais bien souvent la tête de
Turc , et qui ne manquaient pas de me faire moultes
farces.…

Un jour, la plus délurée pris ma tête entre ses deux mains
en jouant, et, la mettant sous sa jupe, me plaqua fortement
le nez contre contre sa culotte, à l’ endroit que l’on peut
deviner, en me disant je ne sais quoi ayant un rapport avec
le “ grand méchant loup ”……

Je me souviendrai toujours qu’ elle était rose, en coton,
tiède et un peu humide, et je que je sentis une odeur
fascinante, ceci d’ autant plus fortement que j’ avais
spontanément respiré un grand coup par crainte d’
sous sa jupe. J’ ai aussi le souvenir que celle-ci était en
tricot et que ses cuisses étaient claires, douces et fraîches.

Aujourd’ hui tout le monde s’ asperge de déodorant, mais à
l’ époque, les filles prenaient une douche par semaine et
ne changeaient de sous vêtements qu’ à cette occasion,
même chez les gens comme il faut !

Ce fut un véritable choc, dans la mesure ou après cela, l’
image des filles, a toujours été associée - pour moi - à celle
d’une petite culotte ayant cette odeur dont je conservais le
délicieux souvenir.

Ainsi, plus tard, étant adolescent, puis adulte, l’ ai-je
toujours recherchée et souvent retrouvée, de telle sorte que
pas une des jeunes-filles ou des femmes que j’ ai
connues ensuite n’ a échappée à de fougueux cunilingus
de ma part, quelque fois avant tout autre contact sérieux d’
ailleurs.

Je dois à la vérité de dire que toutes y ont trouvé du plaisir et
qu’ aucune ne s’ est jamais plaint de ma façon de faire ! Ce
traumatisme initiatique fut donc très bénéfique pour moi,
même si la chose a longtemps frisé l’ obsession, car la
seule vue - même furtive - d’une petite culotte m’a
longtemps procuré une érection spontanée !