Leslie Re04

Leslie RE04 – Les récits érotiques
Les moments d’égarement de Shanna - Serge et Carla, les amis de Max et Christine, suite

Après la remarque de Serge, Carla pour me voir, Carla relève la tête et ne peut s’empêcher de se lever et de venir vers moi, sans dire un mot, elle s’installe près de moi et commence à me caresser la verge d’une main habile, ma réaction ne se fait pas attendre et au bout de quelques instants, ma verge est dure et dressée d’excitation.
Je me tourne vers Christine qui me sourit, un sourire malicieux et complice. Carla continue ses caresses, malaxe mes bourses, caresse mon gland avec ses doigts, et ça m’excite au plus haut point !
Toujours sans un mot, Carla prend mon sexe en bouche et commence une lente fellation. Mon sexe réagit à ses caresses buccales et je gémis doucement.
Alors que Carla continue sa fellation, Christine s’est levée et s’est approchée de Serge. D’une main experte, elle entame une masturbation, alors que l’autre main caresse délicatement les bourses. Me regardant, elle penche sa tête, prend le sexe de SCrerge en bouche et le suce délicatement.
Max de son côté se branle doucement en nous regardant, visiblement satisfait de la tournure que prennent si rapidement les évènements.
Les femmes nous sucent activement et avec Serge nous jouissons presque ensemble, gémissant de plaisir sous ces caresses buccales divinement faites. Carla avale ma semence et Christine fait de même avec celle de Serge, Puis elles vont vers Max et le font jouir dans un exercice à deux bouches.
Alors que Serge, Max et moi récupérons de ce moment de plaisir, les femmes se couchent sur leurs transats, nous jetant un regard plein de malice.

Un long moment se passe et c’est Serge qui, le premier, se lève et s’approche de Christine. Il se penche sur elle et de sa bouche embrasse tout son corps, en commençant par les seins, puis le ventre et enfin le pubis.
Il lèche, suce, rapidement très excitée, Christine se dégage de l’étreinte de Serge pour se relever et demande à Serge de s’allonger sur le transat la queue dressée vers le ciel et sans un mot, Christine vient s’empaler sur lui.


Carla à genoux, de son côté suce Max allongé dans un transat, la position de Carla est vraiment indécente, le cul légèrement relevé, je peux découvrir son petit œillet imberbe et disponible, la tentation est trop forte alors, je me lève et viens me placer derrière elle et commence à caresser son anus, elle réagit en gémissant et en cambrant encore plus ses fesses comme pour me faire comprendre qu’elle est consentante et tout à fait partante pour que je m’occupe de son cul plus en détail…
Alors après des caresses bien appuyées, j’introduis un doigt, très facilement, le fait coulisser un instant puis, présente mon gland sur son anus frémissant. Elle glousse tout en suçant Max et je pénètre lentement son petit trou jusqu’à être totalement en elle.
De son côté Christine gémit de plus en plus fort, Serge s’activant en elle et la pénétrant de plus en plus profondément.
Pénétrée par le cul, Carla s’active activement sur le membre de Max et lorsque Christine hurle de plaisir en sentant Serge jouir en elle, c’est l’instant où Max de son côté remplit la bouche de Carla et que de mon côté je jouis dans le fondement de ma belle transsexuelle…

Repus, nous nous séparons afin de reprendre nos esprits jusqu’à ce que Carla dise :
- Après cet apéritif très spécial, je propose de passer à table.
- Tout à fait d’accord, répond Serge, tout cela m’a mis en appétit !
- Moi aussi, répond Christine.
Comme Max, j’acquiesce d’un mouvement de tête. Nous nous regardons en souriant. La semaine commence bien !
Le repas que nous prenons nus sur la terrasse est sympa et bienvenu, un instant de calme avant la prochaine tempête qui ne tarde pas à arriver…

Carla, apparemment insatiable se lève et vient entre Max et moi, s’approche de nous et commence à caresser nos verges. Lentement, nos sexes reprennent vigueur jusqu’à devenir durs et dressés par l’excitation. Carla caresse l’un, suce l’autre, puis alterne, faisant monter notre excitation.
Christine n’est pas en reste en s’occupant de la verge de Serge.
Après de longues caresses, Carla nous propose de rentrer dans la maison le fond de l’air étant devenu frais et ce sont les queues dressées que nous la suivons pour nous retrouver dans une grande chambre où trône un lit immense, certainement un lit pouvant recevoir plusieurs couples voulant se donner du plaisir ensemble…

Inutile de vous raconter la suite de la soirée, ce fut une véritable orgie, tous les trous disponibles furent visités, ce ne fut qu’une suite de caresses, baisers et empalements divers. Clara encula les hommes à leur grande satisfaction, Christine fut prise plusieurs fois en sandwich et je me fis enculer moi aussi par toutes les queues disponibles et dressées, et même par Christine équipé d’un gode-ceinture. J’ai aussi enculé les hommes et ce ne fut qu’alors que la lumière du jour allait pointée que nous sommes allés nous coucher.
En m’endormant je sentais mon petit trou irrité qui me rappela les sodomies de la journée, en pensant qu’à ce rythme il n’y survivrait pas…

Le lendemain, je me suis réveillée tard dans la matinée et après avoir bu un café, je fus étonné du silence qui régnait dans la maison, alors curieuse je me suis rendue dans la chambre de Carla pour y retrouver les deux femmes debout au pied du lit en train de s’embrasser.
Me voyant, Christine dit :
- Viens, nous sommes seules les hommes sont partis faire leur jogging, nous sommes tranquilles pour un bon moment !
Profitant que les deux femmes s’embrassaient, je me suis placé dans le dos de Christine pour partager cette étreinte, respirant son parfum et en embrassant Christine dans le cou, je redécouvrais le corps de Carla du bout de mes doigts.
La température est vite montée, Carla et moi nous sommes écartés de Christine et l’avons déshabillée, une fois nue, elles se sont mises à deux pour me déshabiller.
J’ai commencé à bander en me laissant faire et en pensant à ce qui allait suivre, puis se fut à Carla de se retrouver nue à son tour…

Mes mains glissaient sur la peau douce de Christine, accompagnées de celles de Carla, nos caresses faisaient montées le désir, la queue de Carla frôlait la mienne de temps en temps et Christine gémissait sous nos mains qui caressaient souvent sa fente en douceur et déjà humide.

Nos gémissements commençaient à remplir la chambre, alors nous nous sommes dirigées vers le lit, Christine s’est allongée sur le lit et Carla a pris place entre ses cuisses et j’ai vu aussitôt la langue de Carla disparaitre dans la vulve de notre compagne, je les ai entendu gémir, surtout Christine qui profitait de la langue habile de Carla sur son intimité.
- Eh bien, tu mouilles comme une petite salope ce matin ! Dit Carla.
- C’est que tu me fais du bien, répliqua Christine !
J’étais focalisée sur la douceur et la sensualité des caresses de Carla, je ne pouvais détourner mon regard de cette femme au sexe d’homme qui faisait l’amour à Christine avec une sensualité que je n’aurais jamais soupçonné, puis après quelques minutes, Carla s’est relevée pour se mettre à genoux entre les jambes de Christine, d’une main elle s’est aidée pour placer son gland à l’entrée de la vulve de Christine qui s’est ouverte pour l’accueillir dès la première poussée…
Le spectacle de cette chatte se déformant pour laisser pénétrer la grosse queue de Carla avait quelque chose de fascinant à mes yeux, un mélange entre la douceur d’une vulve et la puissance d’une queue.

Elle a repoussé Carla afin de se mettre en levrette et se faire prendre ainsi alternativement pas les deux orifices. Christine s’est mise à haleter de plus en plus fort, cherchant l’air, puis son corps a été pris de tremblements et l’orgasme l’ayant anéanti, elle s’est effondrée sur à plat ventre sur le lit.

Puis je me suis placée aux côtés de Christine, le dos, les jambes relevées, Carla s’est placée entre mes cuisses et elle a entré son gland en moi, j’ai senti son gros pénis entrer en deux poussées successives, elle m’a embrassé et nos langues se sont mêlées tandis que ses va-et-vient ont commencé.
À chaque poussée je me sentais remplit, j’aimais cette sensation de me sentir entièrement habité, être l’objet de son plaisir. Elle a accéléré, en continuant à m’embrasser, et enfin elle a poussé un gémissement qui s’est transformé en grognement sourd quand elle s’est enfichée au plus profond de moi et s’est vidée en moi.

Tellement excitée par cette étreinte que son dernier coup de reins m’a fait éjaculer entre nous deux.
Quand les hommes sont rentrés nous étions au bord de la piscine à boire un verre comme si rien ne s’était passé…

Le reste du dimanche fut une journée partagé entre repos au bord de la piscine, baignades suivies et séchages au soleil et parfois un couple, au gré d’un désir soudain, allait s’isoler dans un coin de la maison pour se donner aux plaisirs du sexe, le silence parfois rompu par des cris de jouissance…
Je me suis rendue dans ma chambre prendre une douche et me changer avant le diner…
Nous avons dinés et certainement trop fatigués par ce week-end de folie, après un dernier verre, nous sommes partis nous coucher.

Trop heureuse de cette fin de journée, je suis allée me coucher complètement éreintée des deux jours passés, qui je dois l’avouer n’ont pas été de tout repos, mon corps ayant été mis à rude épreuve et tout particulièrement mon pauvre anus qui en cette fin de journée commençait à crier grâce…
Comme nous devions le lendemain matin partir, Max et Christine pour rentrer chez eux et moi pour continuer mon périple, j’ai pensé que les prochains jours je les passerais à m’occuper de moi et particulièrement de mon anus et, surtout, le laisser au repos et ne plus le mettre à rude épreuve…

A suivre…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!