Profond Sommeil
Ce soir là nous avions un peu bu et Marie-Laure était allée se coucher. Nous étions avec mes amis à discuter, quand l'un d'eux nous proposa de finir la soirée chez lui. J'allais en parler à mon épouse pensant qu'elle ne dormait pas encore. Effectivement, quand je rentrais dans la chambre elle lisait un magazine. Je lui ai donc fait part de la proposition. Elle ne semblait pas très chaude pour y aller ou pour me laisser partir. Alors que je parlementais un des amis vint frapper doucement à la porte de ma femme. Celle-ci ne souhaitant pas être obligée d'argumenter ferma les yeux et fit semblant de dormir. La porte s'ouvrit alors sur le visage de mes amis. Ceux-ci me trouvèrent allongés sur le lit le long de ma femme qui dans les draps semblait dormir.
Ils entrèrent doucement, en m'interrogeant du regard.
Je pense que l'alcool et la petite déception faisant leurs effets. Je posais la main sur l'épaule de ma femme pour la secouer délicatement afin qu'elle accepte de se joindre à nous. Comme elle continuait à s'obstiner à fermer les yeux, j'eus l'idée de la forcer à les ouvrir en disant à mes amis, elle n'est pas belle quand elle dort et joignant le geste à la parole je la découvris.
Marie-Laure est une jolie Blonde au yeux bleus de 42 ans et cheveux longs. 1,58 m pour 45 kg avec une poitrine généreuse, lourde mais ferme aux tétons bien délimités et un sexe blond taillé en ticket de métro.
Je m'attendais à ce qu'elle se redresse brusquement, mais non, elle resta immobile. C'est alors que je décidais de voir lequel de nous deux cèderait. Je lui caressais gentiment le visage et descendit ma main jusqu'au premier bouton de son pyjama que je défis. Mes amis ne bougeaient plus, les yeux fixés sur Marie-Laure. Pour ma part, je me mis à bander et mon épouse ne pouvait l'ignorer.
Comme elle ne disait toujours rien le second bouton céda, puis le troisième. J'écartais un peu les deux pans de la veste et un sein fit son apparition.
Je restais là sans bouger offrant cette vue à mes amis, regardant ce sein libre, et mon épouse qui toujours fermait les yeux. Nous étions pris à notre propre jeu.
Voyant que Marie-Laure ne bougeait toujours, que mes amis étaient là sans bouger mon excitation grandit. Cest comme un automate, que je vis ma main continuer à défaire tous les boutons restant et écarter complètement la veste découvrant toute la poitrine de ma chérie. Discrètement, je sentis la main de Marie-laure glisser le long de ma jambe et à labri des regards elle pinça ma cuisse tout en gardant les yeux obstinément fermés. Il faut dire que nous sommes aussi têtus et joueurs lun que lautre. Voyant quelle ne voulait toujours pas céder, je me dégageais afin de me trouver hors de porté de ses doigts vengeurs. Marie-Laure fit semblant de bouger dans son sommeil et tourna le dos à nos amis, soustrayant ainsi ses seins à leur vue. Je faillis éclater de rire devant la situation. Les quatre têtes de mes amis avaient la même expression de désolation.. Afin de leur rendre le sourire, je tirais alors sur la culotte du pyjama découvrant une grande partie des fesses de mon épouse. Discrètement celle-ci avait agrippé le devant mempêchant daller plus loin. Je fis alors signe à mes amis dapprocher et leur demandais en chuchotant de maider. Je savais que Marie-Laure ne pourrait continuer à tenir son pyjama sans quils sans aperçoivent et navait donc dautre choix que de se "réveiller". Bernard et Philipe furent les premiers à sapprocher. Là à mon grand étonnement ma femme relâcha son emprise et continua à sobstiner. Le pantalon glissa dun coup libérant la totalité de ses fesses. Déjà Bernard, avait prit le relais et continuait à tirer le pantalon vers le bas. Marie-Laure se trouvait là, sur le côté les fesses à lair et les yeux toujours clos
. Philippe posa alors sa main sur son épaule, Pierre qui sétait approché mis ses deux mains sur les hanches de ma femme et tous deux lattirèrent vers eux obligeant ainsi mon épouse à se retrouver sur le dos.
La situation nous échappait, Je ne pouvais les en empêcher, puisque je les avais incités et Marie-laure ne pouvait pas résister sans se réveiller ou éveiller les soupçons. Jattendais là de voir sa réaction. Marie-Laure était sur le dos, La veste de son pyjama ouverte, les seins et le bas du ventre nus. Je voyais les yeux de mes quatre amis parcourir son corps de son visage à sa chatte en sarrêtant à ses seins. Voyant que ni moi, ni Marie-laure navait réagit, Bernard délicatement mais fermement pris les chevilles de ma femme et les écarta afin que chacun puisse avoir une vue parfaite de son petit puits. Alain qui jusquà présent navait rien fait, me regarda et demanda « on peut ». Que pouvais-je dire ? Mon silence sembla lautoriser et je vis alors sa main prendre possession de la chatte de Marie-Laure, ses doigts écarter ses lèvres intimes et la pénétrer. Après deux ou trois mouvements, il les ressortit et les montrant à tous il me dit doucement « Ta femme doit aimer ça, regardes comme elle mouille ». Presque immédiatement ce fut trois autres mains qui vinrent constater le fait. Puis Philippe pris place entre les cuisses de Marie-Laure et lança sa langue à lassaut du bouton magique. Marie-laure ne peut résister à cette caresse et je vis alors son corps sarque bouter dans une première jouissance et ses mains maintenir la tête de notre ami entre ses cuisses. Nous étions arrivés au point de non-retour. Jétais jaloux de voir ma femme jouir sous la langue dun autre que moi, mais aussi trop excité par cette situation pour vouloir linterrompre. Lorgasme passé, Marie-Laure ouvrit les yeux et me regarda. Nos yeux ne savaient que dire, cest alors que je vis la bite de Bernard apparaître dans notre champ de vision et venir se déposer sur les lèvres de ma chérie. Son regard minterrogeât, pour toute réponse je souris, défis ma braguette et sortis à mon tour ma bite trop à létroit. Je vis alors Marie-Laure entrouvrir la bouche et la queue de Bernard doucement glissa comme prise dune vie propre.
Jaimais voir Marie-Laure avec dans la bouche une bite qui nétait pas la mienne. Mon épouse tendit la main droite, sempara de ma queue et commença à me caresser. Jouvrit le tiroir de la table de nuit et tendit un préservatif à Philippe. Pierre de son côté caressait les seins de Marie-Laure, tirant sur les bouts. Philippe se redressa, séquipa et positionnant les jambes de ma femme sur ses avant-bras approcha son sexe de la chatte de ma tendre. Je regardais cette bite sapprocher lentement de ses lèvres intimes. Le gland les toucha, je les vis sentrouvrir puis elles semblèrent laspirer. Ses lèvres sentrouvrir le gland la pénétra, puis la colonne de chaire de Philippe disparut au fond de Marie-Laure et de ma vue. Marie-Laure émit un gémissement quant il se laissa tomber sur elle. Puis prenant appui sur ses mains, il se releva et je vis sa bite ressortir couverte de plaisir puis à nouveau plonger au plus profond de ma femme. Jétais somme hypnotisé par cette queue qui entrait et sortait de la chatte de mon épouse. Je serais resté là à regarder ce spectacle si Bernard, navait pas tout à coup émis un grand râle en se répandant dans la bouche de ma chérie et en dehors. Je vis, sa queue échapper de la bouche de ma femme et son sperme par petits jets inonder son visage. Ma femme essayait de la reprendre en bouche, mais les soubresauts de la bite de Bernard rendait lopération difficile et de plus Marie-Laure semblait avoir déjà la bouche bien remplit puisque nous pouvions voir couler le liquide de Bernard au coin de ses lèvres à chaque fois quelle essayait de le reprendre en bouche. Bernard se retira enfin et Marie-Laure me regarda alors souriante. Je pouvais voir son visage maculé de sperme, se tendre à chaque pénétration de Philippe. Pierre profita alors de la place laissée libre par Bernard, pour enfourcher le corps de mon épouse et déposer sa bite entre les seins de ma femme. Marie-Laure délaissa alors ma queue et pressant ses deux lobes elle offrit à mon ami lécrin attendu.
Je voyais alors la bite de Philippe aller et venir dans la chatte de Marie-Laure et celle de Pierre baiser ses seins. Philippe après un ultime aller se répandit, et offrit à ma chérie une nouvelle jouissance. Ce fut enfin le tour de Pierre à se répandre. Son sperme sécoula sur la gorge, le visage et dans la bouche de mon épouse. Marie-Laure avait le visage couvert de ce liquide damour. Pierre libéra son corps et ma femme se leva pour se rendre dans la salle de bain. Nous nous retrouvions tous les quatre à écouter leau couler sans oser rien dire. Cest Bernard qui ouvrit le feu « Cétait super », « Quelle coup » lui répondit Philippe et Pierre conclut par « Belle et bonne tu as du pot
Merci de nous en avoir fait profiter ». Nous étions tous les quatre nus sur le lit, les bites à nouveau au garde à vous et nous éclatâmes de rire. Marie-Laure entra alors dans la chambre et nous regarda en disant « Je vois que vous ne regrettez pas dêtre restés
», puis regardant ma bite elle continua « mon pauvre chéri, il ne reste que toi ». Elle enjamba alors Philippe et menjambant, elle vint placer sa chatte juste au-dessus de ma queue tendue. Puis elle sempala lentement sur mon sexe. Ma bite au fond de sa chatte, Marie-Laure commença à onduler. Philippe et Pierre sétaient mis debout et présentant leurs queues à ma femme qui les caressait et les suçait alternativement. La vue de ma bite entrant et sortant de ma femme et les queues de mes amis branlées et sucées par Marie-Laure était merveilleuse. Bernard, prit alors un préservatif, linstalla et se positionnant derrière mon épouse la pencha sur moi. Marie-Laure nest pas trop attirée par la sodomie. Elle résista, je la prie alors par les épaules et lobligeais à se baisser. Elle appuya sa tête sur mon épaule. Pierre et Philippe ouvrir ses deux lobes. Je pouvais suivre les opérations grâce à la glace de notre armoire. Bernard présenta son gland à lentrée de sa grotte secrète. Marie-Laure soufflait dans mon cou au rythme de la pénétration. A mon tour, je sentais, à travers la fine membrane, la bite de Bernard pénétrer ma femme. Puis, une fois au fond delle il simmobilisa.. Philippe et Pierre claquèrent alors chacun une fesse de Marie-Laure en disant « hue cocotte ». Je mattendais à ce que mon épouse soffusque. Non, doucement elle commença à remuer. Je sentais la bite de Bernard sodomiser mon épouse et son fourreau glisser le long de mon membre. Philippe et Pierre prenaient de lassurance et continuaient à stimuler le derrière de ma femme « vas-y remues ton cul, baises-les ». Loin de la choquer ces propos semblait exciter Marie-Laure qui remuait de plus en plus vite son corps « Vas-y salope, tu aimes ça ? Tu sens leurs grosses les queues « et ma femme qui répond « Oui baisez-moi à fond ». Cest le moment que lon choisit pour jouir tous les trois presque simultanément. Bernard se retira et fut remplacé par Pierre qui à nouveau pris le cul de Marie-Laure pendant que Philippe avait investit sa bouche. Jétais en dessous de Marie-Laure et je voyais la bite de Philippe entrer et sortir de sa bouche, pendant que la glace me renvoyait limage de ces deux queues qui la pénétraient
. Pierre explosa le premier suivit de peu par Philippe. Le surplus de sperme de ce dernier coulait des lèvres de ma douce sur ma poitrine. Marie-Laure se coucha alors sur moi et resta là les yeux fermés. Lorsque, nous nous réveillâmes, nos amis étaient partis laissant un petit mot écrit au rouge à lèvre sur les fesses de Marie-Laure « Merci ». Nous éclatâmes de rire et partîmes nous doucher.
admin
Jan. 31, 2023
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