Aventures De Patoun (1)
J'aime les situations insolites, voulues ou non, quand une pointe d'érotisme pointe son nez.
J'ai appris à aimer mon corps fin et peu musclé et j'avoue qu'être déshabillée du regard par les garçons ou les filles me flatte et me donne souvent de doux frissons. Je suis devenue un peu exhibitionniste et me promener les seins nus sous un fin tee shirt ou un corsage échancré pour offrir une vue suggestive de ma poitrine menue à des inconnu(e)s me procure un plaisir visiblement souvent partagé.
A 21 ans ma toute récente nomination en EPS dans un lycée de la région parisienne ma souvent mise dans des situations embarrassantes, malgré le soin apporté à mes tenues comme lexige la profession. Mon 85C, mon 1,68m, mes petites fesses rebondies en haut de jambes fuselées, mes yeux bleus et mes cheveux châtains mont valu les faveurs de plusieurs filles et garçons dans cette école de sport de Lyon puis dans ce lycée. Mes partenaires mappellent Patoun, oubliant Patricia.
Heureusement javais pu trouver un petit studio dans le 18ème, me permettant de mener ma vie à ma guise. Jaime flâner, chercher le petit rien qui pourrait mhabiller différemment des autres, fouinant dans des magasins avec ces cabines d'essayage aux rideaux souvent bien peu étanches. Je sais que des clientes dont je suis peuvent se rincer l'oeil. Lorsque cest mon tour j'y trouve un certain plaisir, n'hésitant pas une fois nue à me retourner face aux défauts du rideau, exposant mes petits seins arrogants et mon sexe rasé de près à des yeux amusés.
Un soir, avec laide dune mignonne vendeuse de vingt ans à peine dans un magasin de mon quartier, je jetais mon dévolu sur des débardeurs. Son regard sétait égaré plusieurs fois dans léchancrure de mon corsage dégagé des deux premiers boutons, lui donnant accès à une vue prometteuse de mes seins en liberté. Je fis tomber quelques cintres et maccroupis pour les ramasser en faisant sauter le troisième bouton de mon corsage.
Jattendais que la cabine occupée par une dame BCBG, belle blonde dune trentaine dannées, se libère. Les deux pans du rideau refusaient de se fermer sur dix centimètres. Je métais déplacée pour jouir de la situation. Derrière moi deux jolies jeunes filles aux yeux pétillants, une petite brune qui me rappelait ma tendre cousine et une grande rousse, avaient vu mon manège et mimitaient, ne se gênant pas au passage pour mâter mes petits seins. Pendant quelques minutes nous avons pu admirer deux beaux globes quun string séparait ainsi que les superbes seins aux larges aréoles que la blonde tenta dhabiller. Mes deux voisines sétaient rapprochées de moi pour mieux apprécier les formes épanouies de la jeune femme. Jentendis la petite brune qui était collée à moi, ses petits seins discutant avec mon dos, dire « Tas vu ses nichons comme ils sont beaux et bien accrochés ? ». Sa copine lui répondit « Wouah ! Jaimerais bien avoir les mêmes ». « Moi aussi » leur ai-je répondu après mêtre tournée vers les deux délurées pour leur mettre mon index en travers de leurs lèvres délicates, tour à tour, restant à la limite de la sensualité. Elles me regardèrent en souriant, détaillant mes seins bien visibles à quelques centimètres de leurs yeux. Pendant que la blonde se rhabillait je sentis sur mon corsage les deux petits seins qui augmentaient leur pression puis une main se posa sur ma jupe, caressant mes fesses.
- Vous ne portez pas de dessous Mademoiselle ? questionna la brune dun air malicieux
- Non, pas toujours lui répondis-je
Des frissons parcoururent mon corps et mon bas ventre sactiva.
Une fois dans la cabine je me déshabillais et faisait face nue les mains sur les hanches aux deux jeunes filles qui sétaient postées dans langle adéquat du rideau mal joint. Pendant une minute je prenais les poses les plus aguichantes en variant les angles. Puis la jeune vendeuse, après un "Cà va mademoiselle ?", ouvrit le rideau sans attendre ma réponse, me trouvant nue face à elle et aux deux admiratrices. A peine gênée, elle a mis bien 10 secondes avant de le refermer, lui permettant ainsi qu'aux deux jeunes de profiter du spectacle en grand écran et à la dame BCBG de s'arrêter pour fixer ses yeux sur mon sexe gonflé. A ses excuses je répondis que ce n'était vraiment pas grave. Je l'entendis rire avec les deux jeunes filles et compris qu'elle avait ouvert le rideau sur leur demande. Cul nu j'enfilais le débardeur et demandais l'aide de la jolie vendeuse. Elle entra, laissant le rideau ouvert suffisamment pour que seules les deux filles puissent en profiter. Accroupie, elle écarta mes jambes, s'est saisie de mes fesses et les exhiba en les écartant et les caressant de plus en plus intimement, puis elle me tourna face aux deux coquines en remontant mon débardeur sur mon visage, me fit cambrer contre son épaule et ouvrit les lèvres de mon sexe trempé.
Mais les meilleures sensations et plaisirs ont une fin et mon amante dun soir me nettoya avec le kleenex que lui avait tendu ma petite brune. Elle sortit sans refermer ce rideau impudique à souhait en disant que c'est ce débardeur qui me convenait le mieux. Je me suis rhabillée et quittait la cabine en remerciant les deux jeunes filles de leur patience. J'ai gratifié la vendeuse d'un clin d'oeil complice lorsque je sortis du magasin. Elle souriait. Dehors la dame blonde BCBG m'attendait, un petit sourire entendu au coin de ses lèvres attirantes. Elle me prit la main et me proposa daller nous désaltérer et faire un peu plus connaissance. Prise dans une sorte de tourbillon que javais alimenté consciemment je la suivis volontiers et le lundi suivant une sacrée surprise mattendait au lycée.
Je n'avais pas esquissé le moindre geste pour cacher mon intimité quand le rideau sétait ouvert, pas plus ce soir là que ce jour où un copain de mon petit frère ouvrit la porte de la salle de bain et me trouva nue face à lui, alors que je j'observais la naissance de mes seins devant le grand miroir fixé sur la porte.
Patoun
(à suivre si jen ai le temps et si mes lectrices sont intéressées, mes lecteurs aussi)
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