Un Résumé De La Vie De Virginie (Partie 1)
Certains dentre vous se demandent certainement qui est Virginie. Est-ce un personnage de fiction ? une pure invention issue de mon imagination ? Peut-être. Cela est possible. Mais, le contraire est tout autant possible car, dans tous récits, il y a une part dhistoires vraies et de biographie. Mes récits sont principalement autobiographiques pour ne pas dire exclusivement, quelquefois enjolivés sur les dialogues où sur les situations. Néanmoins, chaque fait est vrai et lié à une histoire vécue, avec la même princesse.
Dans ce nouveau récit, je compte bien brosser un portrait si possible chronologique de Virginie, un portrait presque complet pour ceux qui nauraient pas lu tous mes précédents récits. Pour les autres, il ny aura sans doute pas de grande nouveauté mais la lecture de ce nouveau récit peut sans doute apporter plus de clarté dans le déroulement de cette histoire amoureuse qui finalement nest peut-être pas si ordinaire que cela. Je vous en fait le récit ? Oui. Alors commençons :
Virginie et moi, nous nous sommes connus sur la fin de ladolescence à une époque où nous étions encore au lycée lun et lautre. Nous vivions alors chacun chez nos parents respectifs. Elle plus précisément avec sa mère, née de parents trop tôt divorcés.
Ensemble, nous fîmes lamour pour la première fois lun et lautre, trois mois après notre rencontre, ayant flirter pendant longtemps à nos débuts, moi caressant ses seins presque dès le premier jour de notre rencontre.
La belle ne semblait pas farouche et pourtant à nos débuts et dans sa vie par la suite elle fit toujours preuve dune grande timidité, si bien que les garçons ne la regardaient pas. Pire : ils crurent en une fille coincée, peu intéressante alors que sous leurs yeux se cachaient en réalité une femme en devenir, exceptionnelle par sa beauté pour qui sait la regarder.
Lamour, nous le faisions autant que possible, chez elle dabord, dans son lit, dans sa chambre.
En ce temps, alors que nous étions à peine majeurs, il y avait sur une chaine cryptée bien connue, chaque premier samedi du mois, ce genre de films que beaucoup de gens regardent sans véritablement le dire. Virginie ne dérogea pas à la règle. Et mieux que cela : ce fut elle la première qui me proposa de regarder ce genre de films. Elle avait commencé par les regarder en cachette de sa mère, pour elle-même. Elle les enregistrait tard dans la nuit puis en subtilisait lenregistrement discrètement tôt le matin avant que sa mère ne sen aperçoive, et le moment venu, la belle les visionnait chez elle en solo, pour son propre compte, comme pour découvrir les jeux de lamour et de la finesse. Un jour, elle meut dit, même, avoir pris beaucoup de plaisir et ressenti beaucoup de désir dans le bas de son ventre. Malheureusement, je nétais pas encore là pour assouvir tout cela.
Plus tard, nous regardions les films ensemble et très vite nous fîmes lamour avant que le film ne se termine. Cétait le plus souvent chez elle, dans le canapé même où le soir même sa mère venait sasseoir pour se reposer devant la télévision après sa journée de travail. Nous vivions ainsi pendant de longs mois nos premiers émois amoureux. La belle devenait plus belle au fur et à mesure que je laimais. Elle devenait femme et très vite les autres hommes sen aperçurent.
Et cest ainsi que Virginie fit la rencontre non espérée de Bruno, moniteur dauto-école. Parce quil fallait bien pour elle et moi passer notre permis de conduire. Bruno était un homme doux, attentionné mais aussi un homme prudent, entreprenant, fort, beau, costaud. Très vite, il sut séduire ma belle qui ne résista pas à son charme. Et le philtre de Cupidon faisant son chemin, il sodomisa pour la première fois ma chérie qui était vierge de ce côté-là ; le tout se passait dans lune des voitures-écoles de lagence.
Virginie me confia peu après les faits, cette première relation extra-conjugale. Très vite, je lui pardonnai par amour pour elle ; puis je me rendis compte que la situation finalement mexcitait beaucoup. Savoir quun autre que moi pouvait disposer de ma femme était jouissif. Mais Nono finalement quitta rapidement lagence. Il était venu là en remplacement dun autre moniteur et ni Virginie ni moi neurent de ses nouvelles après ce temps-là.
Les mois passèrent. Quelques mois à peine ; et ce fut le temps où Virginie et moi venions régulièrement sur Paris pour une autre vie : la vie étudiante. Ma belle intégra une école dans le domaine de la communication, du commerce et de lévénementiel qui débouchait sur un diplôme de BTS. Moi, jétais dans un autre quartier de la capitale, me consacrant pleinement à mes études. Le soir, nous nous retrouvions souvent pour prendre le train ensemble et rentrer respectivement à nos domiciles. Plus tard, nous emménagions ensemble rue du Midi à Vincennes mais pas encore en ce temps-là.
Dans ces années-là, et peut-être malgré elle, Virginie multiplia les rencontres. A mon grand dam premièrement. Il y avait tout dabord cet homme bien plus vieux quelle, la cinquantaine, marié, deux s et chauffeur de bus. Virginie le rencontrait chaque soir quelle rentrait chez elle après le train car il était de lun de ceux qui desserviraient la ligne de transport qui menait à sa maison, la maison de sa mère chez qui elle vivait encore.
Lhomme était entreprenant, bien trop à mon goût. Dans le bus, lhomme draguait ouvertement ma belle qui ne se cachait pas de rire à ses blagues et de sourire admirablement à chaque flatterie. Les voyageurs ne disaient rien mais tout le monde voyait ce quil se passait. Un jour, je vis même lhomme sortir de chez elle alors que je mapprêtais à la voir. Cétait un dimanche matin. Il était 10 ou 11 heures. Ma belle était seule avec lui, chez elle. Quand je suis arrivé dans la maison, elle portait une chemise de nuit comme si elle venait à peine de se lever.
Après sa rencontre avec le chauffeur de bus, ma belle rencontra Alex et un autre homme dont je nai pas retenu le nom. Cétait à lissu de ses deux années de BTS. Ma chérie était alors en stage de validation dans une boutique très connue des Champs-Elysées. Alex était son maitre de stage ou manager. Lautre homme était le meilleur ami dAlex.
Alex devait plaire beaucoup à Virginie car la belle allait le voir à la boutique même, sur ses jours de congé. Elle demanda un jour même de venir avec elle comme pour laccompagner. Là, ma belle se glissait près de lui ou entre lui et lautre garçon dont je ne connais plus le nom. Virginie se trémoussait et regardait Alex avec des yeux brillants, comme excitée. Lhomme était plus grand que nous et dépassait Virginie dune demi-tête au moins. La belle riait à ses blagues. Devant moi, elle se lovait presque dans ses bras. Entre temps, elle avait sucé dans la petite pièce qui est à larrière de la boutique et où on stocke les marchandises, Alex et lautre bonhomme (voir le récit écrit à ce sujet).
Mais, sil est un des souvenirs les plus remarquables, cest bien le gang bang dans lequel ma belle se fit enrôler bien malgré elle, où bien grâce à elle. Virginie, en effet, en seconde année de BTS avait fait la connaissance dOlivier, un garçon du même âge que nous quoique peut-être légèrement plus vieux. Virginie me racontait tout de ses journées : ses rencontres, son travail, sa fatigue. A lécouter pendant des heures, javais limpression de connaitre Olivier et tous ceux de sa classe, filles et garçons confondus, mieux quelle. Elle me parlait souvent des filles de sa classe qui souvent parlaient de leurs exploits avec leur petit copain respectif. Virginie navait cure de tout cela. Cest du moins, ce quelle me fit croire pendant plusieurs années.
Ma belle avait le contact plus facile avec les hommes, ce que je nexplique pas car les filles en général restent entre elles et parlent entre elles de trucs de filles. Virginie ne se retrouvait jamais dans ses relations et préférait la compagnie des hommes, non pas quelle était un garçon manqué ; cela non ! Elle était bien trop féminine pour cela et se maquillait et shabillait en conséquent, toujours sexy depuis quelle avait vu le loup, toujours plus belle, à souhait, à croquer.
Non, avec les hommes, ce quelle aimait cétait dêtre courtisée ; de se sentir au centre de leurs intérêts, de leurs désirs peut-être parce quelle navait jamais connu cela auparavant quand elle était plus jeune. Elle aimait leurs sourires, leur délicatesse et leur promptitude. Certains restèrent timides avec elle mais dautres sans doute avaient remarqué que sous les airs mêmes de timidité de ma belle se cachait une fille en feu, une fille sensuelle, divine et sublime au moment même où elle fait lamour.
Ces garçons, ce sont eux qui ont eu raison de ma belle et de moi par la même aubaine : en quelques mois, sous limpulsion du plus entreprenant dentre eux, Olivier, ils sinvitèrent chez ma belle, en réalité chez sa mère, un mercredi après-midi. Ma chérie mavait prétexté de ne pas venir, quelle était souffrante où simplement en déplacement chez son père. Sa mère était au travail. Elle avait préparé le terrain pour recevoir Olivier et deux garçons de sa classe dont je ne connais pas les noms. A tour de rôle, sinon ensemble, elle les suça tous les trois, probablement dans le couloir dentrée de la maison, puis Olivier la transporta dans ses bras dans la première chambre venue, sans savoir que cétait celle de la mère de ma dulcinée. Tous les trois, ils profitèrent de ma chérie, sur le lit même de ma belle-mère dans un gang bang endiablé que ma belle attendait avec impatience.
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