Une Rencontre Bandante !
Préface :
Beh voilà beh je suis Paul. Jaime écrire mais aussi jaime le sexe. Dans ces lignes je vais lier les deux pour votre grand bonheur ou pour votre grand ennui
À vous de voir !
Je vais faire des chapitres par multiples de sept : le chiffre érotique.
Chapitre 7 : Les portes ouvertes.
« Le 22 Juin 2006, le Collège Saint-André de La-Fos vous invite à ses portes ouvertes vous permettant de découvrir nos professeurs ainsi que notre établissement ».
Je suis professeur de physiques. Cela fait déjà deux ans que jenseigne dans cet établissement. Jai donc 24 ans. Je suis marié à Népomucène, une jolie fille que jai rencontrée à Vergas-sur-Saone.
Je vins de me réveiller. Je fis une dernière caresse à ma femme, et, après mêtre vêtu de mon éternel tailleur noir et blanc, je quittai la maison avec laide de ma voiture noire. Cest une Viper. Jen suis très fier : elle fait un 0-100 en 10 secondes : une bombe !
Jarrivai au collège. Japerçois alors la stagiaire psychologue : elle venait darriver, dici une semaine, et déjà avait eu une proposition dembauche de la part du directeur. Cest une fille assez mince, mais pas trop, elle a les cheveux très sombres et très longs. Je regarde ces yeux dun bleu profond : un regard malicieux et in. Je lui souris en descendant de mon véhicule. Je ferme la porte délicatement et mapproche delle. Elle avait des talons aiguilles et son joli cul bien fondé balançait délicatement de droite à gauche. Ses lèvres étaient un poil épaisses. Elle était vêtue dun débardeur transparent blanc, laissant transparaître un joli soutien-gorge noir. Sa mini jupe était dun blanc éclatant. Elle me sourit. Je lui fais la bise, tout en lui faisant un « bonjour ».Mes yeux avaient du mal à ne pas descendre vers sa poitrine provocante. Elle semblait mavoir soupçonné. Je lui propose de me suivre vers le collège. Elle acquiesce, et nous fîmes deux pas avant quune feuille glisse de son document.
Je me redressai et jentendis derrière moi une voix qui me rendu profondément triste : mes yeux nallait plus être rincés
« Alex ! Alex ! On tattend pour commencer ! »
Je jette un ultime coup dil à la déesse de la beauté et me résigne à suivre le directeur, en pensant pour me réconforter « Tu la reverras ! Tu la reverras
»
Le directeur et moi parlâmes des « affaires internes » du collège et entrâmes dans le collège en poussant le portail qui jusqualors retenait la foule impatiente des parents et des futurs élèves. Je montai au second étage du bâtiment et minstalle en salle 07, mon chiffre porte-bonheur. Cinq minutes passèrent et jentendis les gens grimper les escaliers. Je passe une dernière fois dans les rangs de ma salle de physique et range une fiole oubliée. Je me poste derrière mon bureau et attend que la foule inonde ma salle si bien rangée.
Chapitre 14 : Une surprise.
Il est dix-sept heures, tous les élèves sont partis. Je me décide alors enfin à lever lancre et rejoindre ma belle femme. Je rangeai mon cahier de notes dans ma valise noire en toile et sortis de ma salle. Je noubliai pas de fermer à clef. Je descendis les escaliers et, une fois dehors, me dirigeai vers le parking. Jouvris ma voiture et monta à lintérieur. Quand je massis sur les sièges en cuir, je les entendis crisser. Je démarre la Viper.
Je fis alors chez moi en moins dun quart dheure. Je fermai le garage et entrai dans ma maison. Ma femme était dans la cuisine, vêtue dun tablier blanc, souillés de toutes sortes dimpuretés dont un peu de mon sperme me souvins-je. Jétais crevé et alla me coucher.
Chapitre 21 : La belle psychologue.
Je me réveillai. Je me souvins mêtre recouché après avoir vu ce que faisait ma femme la veille. Je navais rien dit à ma femme. Je jetai alors un coup dil au réveil et, après mêtre préparé, je sors de la chambre. Je ne déjeunai pas ce matin-là. Je vais dans le garage et démarre la voiture. Je recule et roule en sous-régime pour ne pas réveiller les voisins. Dès que je fus sorti de la rue, je fis monter en régime pour entendre le bruit quelle faisait.
Je me garai sur le parking des professeurs.
Je regardai alors sans men rendre compte au bout du parking, comme pour voir si la psychologue allait arriver. Je me souvins quon était mercredi et quelle ne venait pas ce jour-là. Je passai alors le portail du collège, me dirige vers lescalier et le gravis. Jeus une petite surprise en ouvrant la porte : du liquide bleu sétait répandu dans la salle et il commençait à y avoir un précipité : du sulfate de cuivre qui réagit avec les pavés ! Plutôt que de marcher dedans et de le faire réagir avec mes chaussures, je le contourne et attrapai la serpillère. Celle-ci absorba tout le produit et mes pavés semblaient comme neufs ! Je vins de trouver un nouveau produit de nettoyage ! Je vérifiais quil nen restait pas et jentendis alors la sonnerie. Le bruit fut suivit de très près par la foule délèves qui piétinaient ces pauvres pavés du couloir.
Vers cinq heures je quittai le collège : jétais resté un peu pour préparer le TP de la troisième six qui venait demain. Je descends alors et prends la voiture. Je me dirigeai alors vers lhôtel où la femme mavait donné rendez-vous. Je passai par la Grande Avenue, sachant quil ny avait pas beaucoup de monde à cette heure-ci. Je vis alors linsigne du Tahiti. Il fait aussi restaurant, chose que je ne savais pas ! Il était spécialiste dutilisation de poivre et gingembre et tous les desserts étaient au chocolat. Je laissai la voiture au boy qui attendait là et ouvrit la porte de cet hôtel. Je la vis alors, assise sur une table ronde, avec deux couverts. Je vois sur la table une boisson Gingalcool. Les chandelles étaient illuminées. Le soleil commençait à se coucher. Je mapprochai et massis. Au moment où jai tiré ma chaise, jai vu quelque-chose de très excitant : elle navait pas mit de culotte sous sa mini-jupe ! Je sentis une petite bosse se former sur mon pantalon.
Chapitre 28 : Léa Cartado
Le silence régnait : je nosais dire mot. Je pris alors mon verre et en bus une gorgée. Il est très bon ! Je décide den reprendre alors une autre gorgée. Je la regardais jusquà la sixième gorgée, où sous leffet de lalcool sûrement, je lui fis :
-Vous êtes ravissante ! Vos seins
heu ! Votre haut est très joli !
Elle eut comme réponse un joli sourire. Un sourire comme on les aime : le petit sourire pervers. Je la regarde, ou plutôt je ladmire et je rajoutai :
- Je suis Alexander Freinh.
El me répondis alors de sa voix si douce :
- Moi cest Léa
Jeus alors une pensée pour le film X que javais regardé il y plusieurs jours : Cétait une « Léa » qui se prostituait. Lhistoire était nulle mais « leffet bandant » était là ! Ce prénom résonna dans ma tête et jingurgitai une septième gorgée de mon cocktail. Quelle était belle ! Mes yeux tombèrent à nouveau sur son décolleté. Elle me faisait vraiment bander ! Elle suivit mon regard et souri de plus belle. Comme pour me provoquer, elle se penche en avant. Ceux dà côté aurait pu penser quelle avait mal au dos. Moi javais une vue superbe ! Je vis sur son sein gauche un grain de beauté qui est si bien placé ! Je voyais presque le bout du sein ! Je finis cul-sec mon verre. Le serveur apporta alors un plat. Du canard au poivre ! Je commençai et elle aussi. Vers la fin je sentis son pied doux me caresser le tibia. Elle me fit bander encore plus ! Son pied remontait de plus en plus vers mes testicules ! Je finis vite mon canard et demandai au serveur le dessert. Je la regardai encore une fois et ce fut une fois de trop : je fus pris dune envie de lui faire lamour comme je nen ai jamais eue ! Je prends un dessert basique : un fondant au chocolat et au gingembre. Je ne savais pas pourquoi mais après avoir mangé ce dessert je bandais encore plus ! Jôtai ma chaussure puis ma chaussette et lui caressa le tibia, puis la cuisse, puis le vagin. Je sentais son clitoris : il était gonflé. Avec mon pied, je lui caressai les lèvres et elle mouillait de plus en plus. Je payai laddition et remis ma chaussure. Elle me proposa de monter dans la chambre. Javais tellement envie de la baiser que jacquiesçai et que je montai les escaliers au pas de course. Pendant quelle ouvre la chambre je lui caresse son beau cul bien ferme. On entre dans sa chambre : des pétales de roses étaient disposés un peu partout et une bouteille de champagne était posée sur la table de chevet. Elle me jette sur le lit et me dit dattendre. Je my installai confortablement et au bout dun moment elle ouvrit la porte de la salle de bain, là où elle était partie se réfugier. Elle avait vêtu une lingerie la plus sensuelle qui existe ! Tellement quelle mouillait ça coulait le long de sa cuisse. Elle se mit à genoux au-dessus de ma tête. Je me redressai et lécha le long de sa cuisse sa liqueur qui coulait. Elle posa son pubis sur mes lèvres et ma langue recueillait ce liquide. Ma langue la pénétra doucement. Elle eut des contractions au ventre et elle était essoufflée. Je continuais à la lécher et sentis une nouvelle vague de mouillé. Je le bus et gardai le reste dans ma bouche. Je me dégage et ma langue entra dans sa bouche et dans un doux baiser je lui remis un peu de liqueur. Elle lavala et commença à mordiller la bosse sur mon pantalon. Cette douleur infime se transforma en plaisir. Elle continuait sans sarrêter. Elle ouvrit alors ma braguette, défit mon bouton. Elle tira mon pantalon et le jeta hors du lit. Mon caleçon narriver pas à retenir mon pénis qui créait une grosse bosse. Commença à le caresser sensuellement et menleva mon caleçon. Mon pénis pointait vers le ciel. Je nen pouvais plus !
- Vas-y suce-moi !
- Oh oui ! Je vais faire jaillir de tes tripes tout ce que tu as !
Elle commença par lécher le gland. Jen ai mal tellement je bande. Puis elle lèche les côtés. Je la prends par la nuque et la plante sur mon pénis. Elle le suce en faisant des allers-retours rapides. Je me sens extraordinairement bien ! Je sens mon pénis se contracter et dun coup, le sperme gicla dans sa bouche. Elle avala tout et ne sarrêta pas de me sucer. Je la pris alors la plaqua contre le lit. Jenfonçai mon bâton dur dans son vagin dun coup et la pénétrait. Tellement elle avait de plaisir elle se cabrait et hurlait de toutes ses forces :
- Cest BON ! Encore ! Plus vite !! Ohh jaime trop ça !
Elle marracha alors et se retourna, me faisant signe de lui trouer le cul. Je pris un pu délan et enfonça ma bite dans son anus. Elle cria de plaisir. Elle mouillait tellement que la housse du lit était trempée ! Jenfonçais à fond mon pénis et le retirait presque. Elle me prit mes mains et les posa sur ses seins. Ils étaient durs et la pointe semblait comme vouloir sortir de son sein. Je lui caressai onctueusement sentit une deuxième bague de sperme venir. Jéjaculai dans son anus. Elle en récolta quelques gouttes et se létala sur ses seins. Jétais au septième ciel. Elle jouissait tellement fort que tout lhôtel devait lentendre ! Elle se retourna me plaqua un baiser sur la bouche. Elle se rhabilla alors et sortit, me laissant seul dans la chambre dhôtel.
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